Commentaires
Après-plateau
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Derniers commentaires
Nous nous intéressons beaucoup du comportement de la France et les français au début de la guerre mais nous ne parlons pas de la manière que le gouvernement français s'est placé pour se rendre AVANT la guerre.
Dans les mots du Général CR Pierre Marie Gallois:
<< En 1936 la France était encore en mesure de freiner le nazisme. Il eût fallu qu'elle soit une réelle puissance militaire et non un territoire délibérément ouvert à l'invasion par l'aboulie de sa population et la sottise de ses dirigeants.>>
http://www.recherches-sur-le-terrorisme.com/Analysesterrorisme/armistice-juin-1940.html
De plus ne personne ose réfléchir que << la prose que le jeune Guy Mocquet distribuait alors dans le pays adhérait pleinement à la collaboration avec l'occupant.>> (Pierre Faillant de Villemarest)
http://www.recherches-sur-le-terrorisme.com/Documentsterrorisme/guy-moquet.html
Dans les mots du Général CR Pierre Marie Gallois:
<< En 1936 la France était encore en mesure de freiner le nazisme. Il eût fallu qu'elle soit une réelle puissance militaire et non un territoire délibérément ouvert à l'invasion par l'aboulie de sa population et la sottise de ses dirigeants.>>
http://www.recherches-sur-le-terrorisme.com/Analysesterrorisme/armistice-juin-1940.html
De plus ne personne ose réfléchir que << la prose que le jeune Guy Mocquet distribuait alors dans le pays adhérait pleinement à la collaboration avec l'occupant.>> (Pierre Faillant de Villemarest)
http://www.recherches-sur-le-terrorisme.com/Documentsterrorisme/guy-moquet.html
Mais pas seulement...
Quand un historien travaille sur des archives, il ne peux travailler sur des archives en une autre langue quand il ne connait pas cette langue, par exemple (Archive du Conseil Général de Gironde par exemple).
De plus, si l'INA enregistre les archives de la télévision française, elles ne seront qu'en français, or, dès le début de la télévision française plus de 70 % de la population d'Occitanie ne parlait qu'occitan tous les jours, voilà un exemple ; combien de vidéos en occitan à l'INA ? combien d'NIA en régions : AUCUNE !
Les archives sont toujours tendancieuses et objets de manipulation nationaliste d'expansion, nationalisme français ou parisien, pour s'assurer que l'État présent et homogène linguistiquement, comme le pense plus de 85 % des français, actuellement après quasi un siècle de nettoyage linguistique, combien de fois n'ai-je pas entendu : « en France on parle français », cette phrase est un acte politique, guère socio-linguistique, ni même socioligique.
Quand un sujet ne plait pas au xparisiens ou français (madrilène ou espagnol) ils se chargent de l'oublier, ou de le faire oublier (débat à la télévision espagnole, deux partis PP et PSOE seulement, alors que l'on sait que la majorité sera donné par les partis aragonais, basque, catalan ,canarien, andalous, galicien), afin d'avoir un marché pour leurs entreprises, un marché qui ne parlerait que français (ou espagnol) ... Et les populations s'associent benoitement, religieusement, quand elles emploient le mot "patois" ; les populations sont SM.
Dans ce contexte de domination linguistique francophone et française (espagnole), TOUS LES MÉDIATEURS d'INFORMATION -présent ou passé- sont mal placés quand ils ne parlent pas toutes les langues de France ; ils ne peuvent les parler car il n'y a pas de politique linguistique pour TOUTES LES LANGUES DE FRANCE, donc d'enseignement clair des langues de France (ou d'Espagne, le catalan est plus enseigné en Allemagne qu'en Espagne, c'est le même cas dans les université allemande par rapport aux universités en France). Cette absence de politique est un acte de destruction de la diversité linguistique, diversité détruite et acte français mis à mal par les déclarations récentes de l'UNESCO, mais aussi les Chartes de l'ONU ; combien de notes de presse parisienne sur ce thème, alors que l'UNESCO a bien son siège à Paris ?
Il faudra bien un jour que les français se reveille, car un jour Putin a bien raison, ils auront leurs petits Kossovo .... Car lo modèle serbe est bien le modèle français.
.
Quand un historien travaille sur des archives, il ne peux travailler sur des archives en une autre langue quand il ne connait pas cette langue, par exemple (Archive du Conseil Général de Gironde par exemple).
De plus, si l'INA enregistre les archives de la télévision française, elles ne seront qu'en français, or, dès le début de la télévision française plus de 70 % de la population d'Occitanie ne parlait qu'occitan tous les jours, voilà un exemple ; combien de vidéos en occitan à l'INA ? combien d'NIA en régions : AUCUNE !
Les archives sont toujours tendancieuses et objets de manipulation nationaliste d'expansion, nationalisme français ou parisien, pour s'assurer que l'État présent et homogène linguistiquement, comme le pense plus de 85 % des français, actuellement après quasi un siècle de nettoyage linguistique, combien de fois n'ai-je pas entendu : « en France on parle français », cette phrase est un acte politique, guère socio-linguistique, ni même socioligique.
Quand un sujet ne plait pas au xparisiens ou français (madrilène ou espagnol) ils se chargent de l'oublier, ou de le faire oublier (débat à la télévision espagnole, deux partis PP et PSOE seulement, alors que l'on sait que la majorité sera donné par les partis aragonais, basque, catalan ,canarien, andalous, galicien), afin d'avoir un marché pour leurs entreprises, un marché qui ne parlerait que français (ou espagnol) ... Et les populations s'associent benoitement, religieusement, quand elles emploient le mot "patois" ; les populations sont SM.
Dans ce contexte de domination linguistique francophone et française (espagnole), TOUS LES MÉDIATEURS d'INFORMATION -présent ou passé- sont mal placés quand ils ne parlent pas toutes les langues de France ; ils ne peuvent les parler car il n'y a pas de politique linguistique pour TOUTES LES LANGUES DE FRANCE, donc d'enseignement clair des langues de France (ou d'Espagne, le catalan est plus enseigné en Allemagne qu'en Espagne, c'est le même cas dans les université allemande par rapport aux universités en France). Cette absence de politique est un acte de destruction de la diversité linguistique, diversité détruite et acte français mis à mal par les déclarations récentes de l'UNESCO, mais aussi les Chartes de l'ONU ; combien de notes de presse parisienne sur ce thème, alors que l'UNESCO a bien son siège à Paris ?
Il faudra bien un jour que les français se reveille, car un jour Putin a bien raison, ils auront leurs petits Kossovo .... Car lo modèle serbe est bien le modèle français.
.
Je vois que vous êtes attentif aux suites de cette émission sur ce site que je pourrais qualifier (en mon personnel) de site concurrent ! Du reste vous êtes abonné , j'imagine pour des raisons professionnelles, tout comme D.Schneidermann doit être informé de autres sites payants.
la tension entre vous deux était très évidente. C'est pourquoi je me permets de vous dire que question images , manipulation d'images, Daniel Schneidermann ne fera pas ce que vous décrivez. Le mot "astuces" n'est certes pas synonyme dans sa bouche de crapulerie, qu'il passe son temps à dénoncer. Je rassure immédiatement Julot Iglézias, les amateurs d'Arrêt sur images sont friands de ce qui se disait sur le plateau de l'émission sur la 5 , et qui était tourné en toute transparence. Sûrement trop , pisque la direction de la 5 avait supprimé cet après-plateau visible sur Internet.
Monsieur Perraud , dans sa grande érudition, sait bien tout cela , c'est pourquoi j'ai quelques doutes surle caractère anodin de son intervention en double exemplaire ici.
la tension entre vous deux était très évidente. C'est pourquoi je me permets de vous dire que question images , manipulation d'images, Daniel Schneidermann ne fera pas ce que vous décrivez. Le mot "astuces" n'est certes pas synonyme dans sa bouche de crapulerie, qu'il passe son temps à dénoncer. Je rassure immédiatement Julot Iglézias, les amateurs d'Arrêt sur images sont friands de ce qui se disait sur le plateau de l'émission sur la 5 , et qui était tourné en toute transparence. Sûrement trop , pisque la direction de la 5 avait supprimé cet après-plateau visible sur Internet.
Monsieur Perraud , dans sa grande érudition, sait bien tout cela , c'est pourquoi j'ai quelques doutes surle caractère anodin de son intervention en double exemplaire ici.
Cette discussion d'après plateau, je regrette que vous n'y ayiez pas eu droit. On va essayer, dans les semaines qui viennent, de trouver des astuces pour que vous puissiez, aussi, assister à celà.
Attention, Daniel Schneidermann! Si vous avez l'intention de diffuser les propos d'apès débat, il est très important que vous préveniez vos invités qu'ils sont filmés alors que l'émission est terminée.
Ne filmez pas les gens à leur insu, comme vous le faisiez dans la version non montée d'Asi-TV pour sa diffusion sur internet, ce qui était incorrect et inadmissible, quelles que fussent les informations qu'on pouvait y récolter.
J'ai beaucoup aimé votre émission, tant pour l'opposition sur la forme du docu-fiction, que pour les éclairages historiques. Mais je n'ai pas bien saisi quelle était exactement la légitimité du critique ou celle du réalisateur à nous exposer les faits historiques, quand un historien que vous nous présentiez comme incontesté dans son domaine était présent et pouvait le faire. Autrement dit, j'ai trouvé que, quand il s'agissait de comprendre l'Histoire, le réalisateur s'exprimait largement, alors que l'historien n'avait que peu d'espace pour parler.
Dans le même esprit, je n'ai pas compris exactement quelle a été l'implication du réalisateur dans le travail de recherches, quelle a été celle des quatre historiens qui l'ont conseillé ou celle d'autres journalistes. Quelles étaient ses sources ? Si le réalisateur relaie les recherches de ces quatre historiens, d'accord avec la présentation thématique de cette histoire de la résistance, a-t-on affaire à une querelle d'historiens ?
Au fait, je n'ai pas vu le docu-fiction, je n'ai plus la télé (je n'en vois plus l'utilité depuis qu'asi a émigré sur internet), mais votre émission m'a donné envie de le voir.
Dans le même esprit, je n'ai pas compris exactement quelle a été l'implication du réalisateur dans le travail de recherches, quelle a été celle des quatre historiens qui l'ont conseillé ou celle d'autres journalistes. Quelles étaient ses sources ? Si le réalisateur relaie les recherches de ces quatre historiens, d'accord avec la présentation thématique de cette histoire de la résistance, a-t-on affaire à une querelle d'historiens ?
Au fait, je n'ai pas vu le docu-fiction, je n'ai plus la télé (je n'en vois plus l'utilité depuis qu'asi a émigré sur internet), mais votre émission m'a donné envie de le voir.
Je dois être le millième @sinaute à déclarer que je suis en adoration devant ce concept génial d'émission sans durée fixe (depuis le temps que j'en rêvais), et à dire que les journalistes d'@si font un travail exemplaire.
Mais si je post aujourd'hui (et c'est assez rare), c'est pour parler du dernier plateau. Plusieurs choses m'ont dérangé, et principalement la manière dont les médias considèrent et "utilisent" les historiens. Etant moi-même étudiant en Histoire depuis plus de 5 ans, cet aspect m'a beaucoup fait tiquer.
Tout commence par les rôles attribués aux invités : Christophe Nick, défenseur de son œuvre; Antoine Perraud, son détracteur; et, au "milieu", place éminemment symbolique, Jean-Pierre Azéma, l'historien. Mais pas seulement l'historien, il incarne également l'arbitre de la rencontre, le juge, la caution. Or, il faut arrêter, messieurs les journalistes, de considérer les historiens comme les juges de la vérité, détenteur du savoir unique. J'aimerai citer un extrait de l'émission, très révélateur, dans lequel M. Schneidermann répond à M. Azéma : "c'est terrible un historien qui dit peut-être". Or, c'est là justement le propre des historiens. Dire "peut-être" n'a rien de honteux.
L'Histoire est une science, certes, mais pas une science exacte. L'historien, comme le journaliste, travaille sur des sources. Mais ces sources, il les interprète ensuite pour produire une analyse. Et comme pour le journaliste, il ne faut pas croire au mythe de l'objectivité totale de l'historien. Sur des mêmes faits, il existe de multiples interprétations, et je ne trouve pas judicieux de n'inviter qu'un seul historien, aussi prestigieux et talentueux soit-il, si l'on veut vraiment prendre l'historien pour ce qu'il est : un partisan du débat.
Cependant, je conçois que pour une émission de télé (enfin de web), on n'ait pas envie d'inviter plusieurs historiens, ce qui pourrait sembler redondant. Mais sur un sujet aussi épineux que la résistance française, je pense que cela aurait pu être intéressant.
En tout cas, cela n'a pas empêché le débat d'être très intéressant. Continuez à faire du si bon travail.
Mais si je post aujourd'hui (et c'est assez rare), c'est pour parler du dernier plateau. Plusieurs choses m'ont dérangé, et principalement la manière dont les médias considèrent et "utilisent" les historiens. Etant moi-même étudiant en Histoire depuis plus de 5 ans, cet aspect m'a beaucoup fait tiquer.
Tout commence par les rôles attribués aux invités : Christophe Nick, défenseur de son œuvre; Antoine Perraud, son détracteur; et, au "milieu", place éminemment symbolique, Jean-Pierre Azéma, l'historien. Mais pas seulement l'historien, il incarne également l'arbitre de la rencontre, le juge, la caution. Or, il faut arrêter, messieurs les journalistes, de considérer les historiens comme les juges de la vérité, détenteur du savoir unique. J'aimerai citer un extrait de l'émission, très révélateur, dans lequel M. Schneidermann répond à M. Azéma : "c'est terrible un historien qui dit peut-être". Or, c'est là justement le propre des historiens. Dire "peut-être" n'a rien de honteux.
L'Histoire est une science, certes, mais pas une science exacte. L'historien, comme le journaliste, travaille sur des sources. Mais ces sources, il les interprète ensuite pour produire une analyse. Et comme pour le journaliste, il ne faut pas croire au mythe de l'objectivité totale de l'historien. Sur des mêmes faits, il existe de multiples interprétations, et je ne trouve pas judicieux de n'inviter qu'un seul historien, aussi prestigieux et talentueux soit-il, si l'on veut vraiment prendre l'historien pour ce qu'il est : un partisan du débat.
Cependant, je conçois que pour une émission de télé (enfin de web), on n'ait pas envie d'inviter plusieurs historiens, ce qui pourrait sembler redondant. Mais sur un sujet aussi épineux que la résistance française, je pense que cela aurait pu être intéressant.
En tout cas, cela n'a pas empêché le débat d'être très intéressant. Continuez à faire du si bon travail.
Jean-François Kahn a eu un mauvais après-plateau une fois, à une émision d'Arrêt sur images (c'est certainement encore sur dailymotion). Il a sorti un truc hypercontestable, il s'est emballé.
Personne pour creuser vraiment et pointer les limites de sa démonstration, à part une question molle de David Abiker, l'émission était close, à quoi bon continuer à jouer le jeu, à donner le change, la scène est jouée, la comédie est finie.
Ça laisse une sensation désagréable soit de piège révélateur si l'on s'attache au images "off "(éclairées par les "on"), soit de mensonge, de déguisement des opinions pour les rendre plus présentables, c'est à dire une impression de fausseté, si l'on s'attache aux images "on" vues à la lumière des déclarations "off", après-plateau .
On ne sait plus à quoi croire quand on est téléspectateur, le off ou le on, qui ont l'air de se contrarier l'un l'autre?
Personne pour creuser vraiment et pointer les limites de sa démonstration, à part une question molle de David Abiker, l'émission était close, à quoi bon continuer à jouer le jeu, à donner le change, la scène est jouée, la comédie est finie.
Ça laisse une sensation désagréable soit de piège révélateur si l'on s'attache au images "off "(éclairées par les "on"), soit de mensonge, de déguisement des opinions pour les rendre plus présentables, c'est à dire une impression de fausseté, si l'on s'attache aux images "on" vues à la lumière des déclarations "off", après-plateau .
On ne sait plus à quoi croire quand on est téléspectateur, le off ou le on, qui ont l'air de se contrarier l'un l'autre?
Vous dites que cette émission est sans durée fixe. Mais on peut remarquer que de temps en temps, l'un à rendez-vous ou il faut laisser la place à un prochain plateau. Ce qui fixe tout de même un peu la durée.
Simple remarque.
Simple remarque.
"Cette discussion d'après plateau, je regrette que vous n'y ayiez pas eu droit. On va essayer, dans les semaines qui viennent, de trouver des astuces pour que vous puissiez, aussi, assister à celà."
Pour cela (le mien n'a pas d'accent), il suffit juste de prolonger le débat, non ?
En revanche, pourrions-nous, s.v.p., assister en direct au plateau ?
Y'a de la place dans les étagères de l'armoire. Un @sinaute par casier, et hop, le tour est joué.
Pour cela (le mien n'a pas d'accent), il suffit juste de prolonger le débat, non ?
En revanche, pourrions-nous, s.v.p., assister en direct au plateau ?
Y'a de la place dans les étagères de l'armoire. Un @sinaute par casier, et hop, le tour est joué.
astuce : je propose une webcam en direct et en continu des studios d'@si,
et les @sinautes pourraient voter par SMS pour éliminer les candidats, heu les journalistes
et les @sinautes pourraient voter par SMS pour éliminer les candidats, heu les journalistes
Merci Daniel pour ces coulisses, ça me touche beaucoup.
Pour ce qui est de la fin de la chronique : Savez-vous combien de téléspectateurs ont regardé ces 2 émissions ?
Madeleine
Pour ce qui est de la fin de la chronique : Savez-vous combien de téléspectateurs ont regardé ces 2 émissions ?
Madeleine