ASI en public : "Les médias n'ont pas qualifié les abus de pouvoir de Macron"
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Juste une petite parenthèse qui cependant en dit long sur cette notion de pouvoir.
Un mot entendu au début de l'émission. Un mot maintenant que l'on retrouve un peu partout
, mais qui cependant devrait poser problème. Le mot Chef de l’État (...)
Excellent débat. J’en recommandé l’écoute. Ça déboise intelligemment et de façon argumentée. Belle déconstruction de l’hystérisation macronienne de la vie politique par le menteur et semeur de zizanie qui pontife depuis l’Élysée.
le mythe du journalisme "indépendant"... de qui ? Dans une société injuste la seule indépendance possible est d'être clairement du côté des exploités et de dénoncer leurs exploiteurs. Les capitalistes tiennent tous les médias grand public. Quel(...)
Derniers commentaires
Très bon débat, comme souvent avec M. Endeweld et S. Bourmaud; merci Mme El Moaddem.
Notamment, la notion de congruence entre les milieux politiques parisiens et les journalistes - eux-aussi parisiens - éclaire assez bien - me semble-t'il - le suivisme de ces derniers vis-à-vis des premiers.
Excellent débat merci!!
La dissolution de l'Assemblée annoncée au soir du 9 juin, a coûté plus de 28 millions d'Euros, ce chiffre faramineux s'expliquant essentiellement par les licenciements des collaborateurs parlementaires.
Trois mois et demi plus tard, le temps d'un délai raisonnable de réflexion, un gouvernement est nommé. Un gouvernement de droite dure avec de gros morceaux d'extrême-droite dedans.
Mais pas de panique. Gabriel Attal va déjà demander à Michel Barnier d'assurer "qu’il n'y aura pas de retour en arrière sur la PMA, le droit à l'IVG, les droits LGBT". A croire que la présence de membres de "la manif pour tous" au sein de la nouvelle équipe l'a rendu suspicieux.
Dommage que personne dans cette émission ne parle d'Acrimed. Surtout lorsque un invité parle de critique méliorative. Ou lorsque il est question de solutions à l'indigence actuelle...
le mythe du journalisme "indépendant"... de qui ? Dans une société injuste la seule indépendance possible est d'être clairement du côté des exploités et de dénoncer leurs exploiteurs. Les capitalistes tiennent tous les médias grand public. Quelle indépendance en faisant une balance égale entre oppresseurs et opprimés ??
Ben au moins c'est clair maintenant , si on veut être respecté reste plus qu' a voter front , LFI ,vert (sans jabot), tout autre est susceptible d’être corrompu . Et front républicain est mort . Faure monte ton mouv' et vire les droitards avant 2027
Excellent débat. J’en recommandé l’écoute. Ça déboise intelligemment et de façon argumentée. Belle déconstruction de l’hystérisation macronienne de la vie politique par le menteur et semeur de zizanie qui pontife depuis l’Élysée.
Juste une petite parenthèse qui cependant en dit long sur cette notion de pouvoir.
Un mot entendu au début de l'émission. Un mot maintenant que l'on retrouve un peu partout
, mais qui cependant devrait poser problème. Le mot Chef de l’État Voilà une expression « qui n’étonne plus personne aujourd’hui » écrivait récemment le regretté Jean-Jacques Goblot ; elle est pourtant bien horrible quand on y réfléchit.
Le chef, on le sait, c’est en premier lieu la tète, sens dont on a trace avec quelques mots anciens comme « couvre-chef ». Le sens a toutefois vite glissé dans un sens d’autorité et Prévert peut ainsi s’en amuser dans son poème La lessive : « L'horloge sonne une heure et demie / Et le chef de famille et de bureau / Met son couvre-chef sur son chef »
Être le chef, c’est être à la tête, c’est commander et... comme chacun sait, c’est commander seul car on n’a pas deux têtes. La notion proprement patriarcale de chef de famille a été légitimement dynamitée par les féministes. Nous reste toutefois encore chef de l’État. Cette expression, on le voit, a pourtant un sens selon le grand historien Jacques Godechot. Qu’y découvre-t-on ? Que l’expression n’apparaît jamais dans nos textes constitutionnels : même dans la Constitution présidentialiste de 1848 ni même dans celle de De Gaulle et Debré. Il n’existe, en plus de deux siècles d’histoire nationale riches en textes constitutionnels, que deux exceptions qui devraient faire réfléchir : la Constitution de janvier 1852 élaborée au lendemain du coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte et le projet constitutionnel du maréchal Pétain consécutif à la loi constitutionnelle du 10 juillet 1940. L’emploi récurrent et naturel de cette expression ne laisse pas d’interroger l’état de notre démocratie qui fait donc coexister un chef de l’État et soixante millions de « citoyens déchus » selon la juste expression de Manuel Coito, auteur du livre Le pacte social expliqué aux citoyens déchus éd. L’Harmattan 2012.
Au fait BHL encore patron d'ARTE france , malgré les statuts , un petit article ?
...pour être précis "prez du conseil de surveillance".
BHL ?
Bazar de l'Hôtel de Lille ?
Encore et toujours ce cornichon de Sylvain Bourmeau...