Attal, Zecler, Gallieni : sans commentaires
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Biden a salué le verdict
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Sale temps pour l'autocratie française qui a perdu son paravent
"Quelques minutes après l'émission, ce policier plaisantin, comme ses collègues, raconte Envoyé Spécial, recevait un message de sa hiérarchie directe : "Sachez qu'à mes yeux vous n'avez en rien sali notre bel uniforme". "
Quand le pouvoir n'a plus que(...)
Silence sur l'issue de l'affaire G.Floyd : L'affaire Chouviat n'a pas abouti (pas encore ?) à une condamnation similaire en France...
Derniers commentaires
En lisant les commentaires des lecteurs, je me suis fait la réflexion suivante : " Et si c'était BIDEN qui par ses décisions sur le climat et sur le fonctionnement de la police aux USA allait nous montrer la voie pour se débarrasser du gouvernement et de Macron ?"
Des choix forts venant de la première puissance du monde ça ne laisse jamais un peuple indifférent.
Est-ce que quelqu'un peut me renseigner : quelle a été la question exacte du journaliste à Gabriel Attal ?
Est-ce que ça a été une question très générale ou une question bien précise ?
Parce que la vraie question que j'aimerais vois poser au gouvernement c'est : qu'est-ce que le gouvernement pense de la condamnation du policier Derek Chauvin pour le meurtre de Georges Floyd sachant que cette condamnation a été au moins en grande partie obtenue grâce aux vidéos de ce meurtre et alors que ce même gouvernement a fait voté une loi dont une des mesures phares est de limiter drastiquement voire d'interdire dans les faits la prise de ce genre de vidéos au prétexte de protéger les policiers ?
Voilà ça c'est une question de journaliste qui fait son boulot...
À l'attention de Daniel Schneidermann et de quelques autres : "car" est une conjonction de coordination. On l'emploie donc entre deux mots ou deux groupes de mots de même fonction, et pas systématiquement à la place de "parce que" qu'on a la flemme d'écrire, et qui est une conjonction de subordination.
Donc on ne dit pas, par exemple "peut-être car le gouvernement", mais "peut-être parce que le gouvernement"
wé, je sais, ça fait un peu chieuse chipoteuse.
Vu de l'extérieur, c'est hallucinant, l'effet que donne ce gouvernement.
Je me demande s'ils s'en rendent bien compte, qu'ils passent pour des nuls en se comportant comme ça.
Il y a certainement des électeurs potentiels qui apprécient, mais est-ce-qu'il y a 20% de gens comme ça parmi les votants ?
Et surtout, n'y aura-t-il pas énormément d'électeurs qui voteront uniquement pour éjecter cette honte ?
Du point de vue moral, c'est scandaleux, et du point de vue rationnel, très risqué...
Mais on a les gouvernants qu'on mérite, et une France qui doit en ces temps incertains se tenir debout signe son déclin.
Au fond, Le Pen est déjà là !
"C'est comme se moquer sur les Asiatiques. C'est tout, quoi. Rien de raciste là-dedans, c'est juste de l'humour noir."
Je trouve ça un peu raciste de prêter aux noirs ce genre d'humour raciste sur les asiatiques... ^^ (Il a raté sa vocation lui, fallait qu'il fasse du stand up!)
Des faits , toujours des faits et encore des faits, à mette en lien avec les actes. Les actes, toujours les actes et encore les actes
"J'ai un groupe d'amis où on s'envoie que des conneries, comme tout le monde, explique le policier, filmé en caméra cachée. Des vidéos de chats qui se cassent la gueule […]..
Euh non, déjà là je ne suis pas, je ne regarde pas des vidéos de chats qui chutent. Alors le reste... encore moins.
En terme d’humour, je songe ces derniers temps à celui de Not’ Président.
Je ne me souviens que d’une seule vanne de sa part. Je trouve qu’elle est du même type que l’humour noir de ce monsieur, c’est à dire cynique. Ce qui expliquerait bien leur bonne entente.
Connaissez-vous des vannes de Not’ Président qui m’échapperaient ?
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
C´est intéressant cette volonté de criminaliser les videos des forces de l´ordre filmés par des quidams et dans le même temps d´introduire des caméras dans les procès judiciaires avec le nouveau projet de loi sur la justice.
"Quelques minutes après l'émission, ce policier plaisantin, comme ses collègues, raconte Envoyé Spécial, recevait un message de sa hiérarchie directe : "Sachez qu'à mes yeux vous n'avez en rien sali notre bel uniforme". "
Quand le pouvoir n'a plus que les flics pour le protéger, ce sont les flics qui ont le pouvoir.
On peut exposer des faits et avoir le courage de ses opinions.
Vous auriez pu rajouter à votre sans commentaires l’annonce de Macron et Darmanin :
Chaque Français verra plus de bleu sur le terrain en 2022 qu’en 2017.
(Darmanin a écrit bleu au singulier, histoire qu’on ne confonde pas avec des bleus dans la figure.)
Cher DéLecteurdeVraiThé,
Un monde de gauche sépare "L’Obs" de son prédécesseur "France-Observateur"
Une déchéance lamentable à l'image du PS.
Le racisme n'a jamais disparu il était juste illégitime. Aujourd'hui il est légitimé par les medias mainstream où l'extrême droite à son rond de serviette. Et ceux qui en sont victimes ont une voix plus forte . Télescopage
Quelques commentaires au passage :
J'apprends de ce jeune homme Attal (mon d ieu, est ce possible qu'il y ait des gens au gouvernement faisant encore plus jeune séminariste que notre Roy), j'apprends donc que la France n'est pas les USA
J'apprends que le bel uniforme des policiers est toujours comme la sainte Vierge, immaculé
J'apprends que la France n'a pas de leçon à recevoir de Pékin ou Moscou
et ce matin, à la radio, j'apprends d'une journaliste de l'Obs que notre Roy vise le peuple de droite après avoir ravi le peuple de gauche, et cela dit avec un naturel d'une naïveté extraordinaire par une représentante d'un média qui a aidé Macron à monter au sommet
Il est jeune, il est vrai, mais...
Quand ils sont tout neufs,
Qu'ils sortent de l'oeuf
Du cocon
Tous les jeun's blancs-becs
Prennent les vieux mecs
Pour des cons
oui oui mais...
ceux qui ne sont plus neufs
avec leur crane d’œuf
et pas coton
disent que ces jeunes mecs
et leurs salamalecs
sont dans le coton
tie-break en direct
(merci au dico de rime et au Larousse illustré)
Je vous conseille de lire le livre de Branco, Crepuscule (gratos sur le net), qui l'a bien connu à l'Ecole Alsacienne, et vous aurez une idée de l'élite française et comment on donne la prime à la médiocrité.
Merci à vous Yanne
En fait j'ai déjà lu ce livre en format numérique en 2018 lorsque ce n'était qu'un opuscule d'une centaines de pages. Il n'a fait que me confirmer les vagues sentiments que j'avais tout en me dévoilant la mécanique perfide
J'ai vu d'ailleurs qu'il y a une version lue par l'auteur dont j'ai gardé le lien. Mais je pense que c'est la lecture du livre paru après
:-)
L'inconvénient, c'est que ça vous expose aux délires complotistes et aux références d'extrême droite de Branco, à longueur de pages. Perso, ça me suffit pour rendre la référence moisie...
Je ne me suis pas aperçu des références extrême droite en lisant cet opuscule qui est une version préliminaire au livre et moins étoffée.
Il n'empêche que j'ai certaines réticences à son égard surtout dans les derniers interviews
Pour la dénonciation de Branco comme auteur fasciste/fascisant, lire notamment les deux articles sur Crepuscule de Rebellyon (le premier, le second) et la recension par Geoffroy de Lagasnerie.
Ces articles sont, selon moi, convaincants dans leur propos.
Je viens de lire les articles sur lesquels pointent vos liens, et pour moi ils n'ont rien de convaincant.
Pas dans le sens où ils ne démontrerait pas que ce qu'il décrivent serait fascisant, juste parce que ce qu'ils dénoncent est une construction qu'ils ont fantasmée. Tout dépend en fait de la manière de recevoir le texte. Visiblement pour les auteurs ce serait reçu comme un ouvrage politique écrit par un penseur de gauche. Ils s'emploient à démontrer que ce n'est pas cela. Oui. C'est vrai.
Je l'ai reçu comme le témoignage d'un gamin mi-vexé, mi-contestataire qui nous décrit (avec un style d'une lourdeur de marbre) l'une des méthodes qui permet de filtrer ceux qui auront accès aux marches du pouvoir et à un certain cercle bourgeois. En ce sens c'est intéressant. Alors quand Lagasnerie dit qu'il n'y a trouvé que l'évidence et donc que le propos n'aurait pas d'intérêt, il joue d'un paternalisme bon teint mais occulte l'essentiel. Je me doutais que la frange "podium" (le film) de la bourgeoisie n'allait pas interrompre ses agapes au nom du confinement, mais à cause de Chalançon maintenant je le sais.
Quant au reste des articles que vous citez, c'est souvent tiré par les cheveux et surtout cela semble disproportionné par rapport à la valeur réelle du texte initial. C'est le témoignage d'un petit bourgeois qui n'a pas trouvé sa place, par accident de parcours ou inadéquation intellectuel, dans la société dans laquelle il était destiné à entrer. Sa formation politique est faible. Malgré cela un Lagasnerie va reprocher à l'auteur de ne pas faire des analyses structurelles de domination et rejeter le tout en bloc, y compris le témoignage sous des prétextes plutôt fumeux.
Homophobie parce qu'il est sujet d'homosexuels. Dans le premier article, déshonneur par association (Branco parle avec Chouard nom d'un petit bonhomme !), extrême-droite car champ lexical du pourrissement.
Du calme les gars (je parle aux auteurs, c'est pour l'effet). C'est quoi la peur là ? Celle du fascisme ou celle du petit arriviste qui par malentendu risquerait de marcher sur vos brisées ?
Il eut été bien plus judicieux de prendre dans Crépuscule ce qu'il y a à y prendre sans vouloir discréditer l'auteur à toute force. Rappeler ses limites suffisait. Et ensuite un Lagasnerie aurait pu faire le lien entre l'expérience du jeune homme et les mécanismes structurels de domination. Mais là, comment dire, un Lagasnerie que je ne connaissais que par quelques passages dont j'apprécie les conclusions plutôt râpeuses vient de démontrer, à la fois qu'il peut se conduire comme un con (je m'en doutais, nous en sommes tous là, j'espérais juste qu'il aurait l'intelligence de s'en rendre compte avant de l'exposer au public) mais qu'en plus il y a dans ces articles de la malfaisance suintante et de la bassesse qui me rebutent d'une manière assez instinctive. Le texte de Branco, tout dérangeant qu'il puisse être à certains endroits, a des excuses que ces articles n'ont pas. Au nom d'un peuple et d'une nation fantasmée un petit Branco veut dénoncer des puissants, au nom d'un idéal de gauche fantasmé un Lagasnerie veut dénoncer un petit Branco.
Entre les deux j'ai ma préférence idéologique, et ce n'est pas Branco, mais je sais reconnaitre du méprisable quand j'en vois.
Merci pour votre long retour argumenté sur les références que je proposais.
Pour être honnête, j'ai lu les articles cités au moment où ils ont été publiés et je ne les ai plus bien en tête. Je sais en tout cas qu'ils ont eu une influence sur mon jugement sur Branco.
J'avais d'ailleurs lu, dès sa publication en ligne, le manuscrit de Branco. Ce fut une lecture pas déplaisante pour la simple et bonne raison que ça se lisait comme du Voici, et que j'ai une passion coupable pour la presse à scandale et pour la vie privée des stars (merci de ne pas me tenir rigueur, maintenant ou ultérieurement, de cet aveu fait en toute sincérité). Deux sources de désagrément toutefois, au moment où je lisais: le style très très ampoulé (comme vous le soulignez) et puis le côté "je fais monter la sauce constamment, pour ne pas donner grand chose au final", avec toujours les mêmes histoires répétées en boucle et d'ailleurs assez peu scandaleuses. Mais là encore, c'est un souvenir de lecture, je ne me suis jamais replongé dans l'ouvrage après cette première lecture.
Maintenant, je ne vais pas m'acharner à défendre les articles de Rebellyon et de Geoffroy de Lagasnerie. Déjà, je n'ai aucune envie de les relire, l'affaire étant pour moi classée (en ce qui concerne Branco). Ensuite, je tiens à préciser que Rebellyon n'est pas un repaire d'intellos bien installés qui chercheraient à conserver leur pré carré. Et là où Geoffroy de Lagasnerie mérite sans doute davantage ce genre de critiques, je conserve néanmoins un plutôt bon souvenir de sa recension (quand bien même je n'ai aucune sympathie pour Lagasnerie; à vrai dire, j'ai même hésité à citer son article dans mon précédent message, parce que je sentais gros comme une maison que le propos de Lagasnerie allait pâtir de l'antipathie que beaucoup de gens - dont moi - éprouvent pour le personnage; il faut dire que ce type est d'une suffisance à couper le souffle, tout le temps...). Mais tout de même, pour en revenir à Rebellyon (oui mon propos zigzague ^^), moi ça avait percuté dans mon cerveau quand ils pointaient l'omniprésence de la rhétorique de la pourriture, de la corruption, de la décadence, dans la prose de Branco. Un imaginaire pareil, ce n'est pas rien, surtout quand ça suinte de partout du livre de Branco. D'ailleurs, dans mes souvenirs (désolé je parle encore de mémoire, je n'ai vraiment pas envie de me replonger dans toutes ces lectures, merci de votre compréhension), ils développaient une distinction assez intéressante entre la critique du système tel qu'il fonctionne, normalement, et la critique des abus: Branco ne critique que les abus, il ne voit donc pas que le problème vient du coeur du système, et non de mauvais éléments évoluant à sa marge. Mais tout ça c'est de mémoire.
Après, je conçois parfaitement qu'on ne soit pas convaincu aujourd'hui par Rebellyon et de Lagasnerie, comme je l'ai été à l'époque.
Et, en parlant de "à l'époque": il faut se rappeler aussi ce qu'a été Branco au moment de la publication de Crépuscule; le mec était présenté comme le prodige de la gauche, l'avenir de la pensée critique. Bref, ce n'est pas Rebellyon qui a "reçu" Crépuscule comme "un ouvrage politique écrit par un penseur de gauche"; c'est comme ça que le livre a été vendu. Le contre-feu a donc été violent pour Branco, mais il était à la hauteur des louanges antérieurement reçues.
D'ailleurs, j'avais oublié le coup de l'homophobie (ce reproche m'avait pourtant marqué à l'époque, mais je ne l'avais plus à l'esprit au moment de donner les références précitées sur ce forum), j'ai donc rapidement voulu fouiller dans mes archives et je confirme: Branco a déconné sur ce terrain. Voir notamment son interview à L'Incorrect (site d'extrême droite): l'enchainement terrible de la question et de la réponse sur le outing de Gabriel Attal, et le refus, postérieur à son interview, de s'expliquer sur ce point lors de son invitation par une association LGBT (voir la narration de cet épisode sur ce blog). Après, je ne dis pas que Branco est profondément homophobe. Juste qu'il dit quantité de bêtises, qu'il maîtrise mal sa communication, qu'il est prêt à tout pour un peu de lumière, et que ça fait du bien, vraiment du bien, de ne plus l'entendre depuis quelques temps. Un si mauvais communicant, aussi dépourvu de flair politique (critiquer le politiquement correct avec l'extrême droite, seriously?), ne peut que nuire à la gauche, à court, moyen ou long terme. Il y a d'autres penseurs critiques, autrement plus intéressants, plus subtils, plus perspicaces: on arrivera à survivre sans Branco, franchement.
Oh et puis la comparaison Edouard Louis / Attal aussi, j'avais oublié, c'est ça que pointe Lagasnerie. A juste titre selon moi. C'est comme quand les gens qui critiquent Macron n'ont que deux noms à la bouche: Attali et Rotschild. Ben désolé, je déteste Macron, mais j'ai du mal à ne pas sentir de l'antisémitisme quand ce sont les seuls noms d'Attali et Rotschild qui reviennent en boucle. Et d'ailleurs, que ce soit Branco, ou les obsédés d'Attali/Rotschild, je pense bien que tout ceci est inconscient. Je ne dis pas qu'on a affaire à des antisémites/homophobes assumés; je dis qu'on a affaire à un imaginaire antisémite/homophobe, dans lequel un Juif est un Juif, un homo un homo.
Silence sur l'issue de l'affaire G.Floyd : L'affaire Chouviat n'a pas abouti (pas encore ?) à une condamnation similaire en France...
Hermann, dans la Tribune de Genève
Comment dit-on déjà? Ah oui, en actualisant, "quand tous les écoeurés sont partis, restent les écoeurants". Ceci ne voulant pas dire que tous les partis sont respectables, bien sûr!
Des vidéos de chats qui se cassent la gueule. C'est comme se moquer sur (sic) les Asiatiques...
Et le top du top, c'est quand les chats sont siamois.
Encore un policier à qui il manque quelques heures de cuisson.
Entre nous, qu'est-ce qu'ils prennent dans la gueule les Asiatiques en ce moment, pour avoir exporté virus et frelons !
Johnson a salué le verdict
Biden a salué le verdict
Johnson et Biden augmentent l’impôt sur les sociétés
Boden s'engage vraiment sur la réduction du CO2
Sale temps pour l'autocratie française qui a perdu son paravent
La statue de Gallièni est toujours en place.
Le tombeau de Napoléon est toujours aux Invalides.
Et, moi-même, ne finirait pas au Panthéon....
Non mais je ne suis pas raciste. J'ai d'ailleurs un ami noir. Regardez, on avait même Sibeth au gouvernement!
" Mediapart vient de révéler qu'il avait extorqué des aveux à un des jeunes poursuivis, tout en l'estimant apparemment hors de cause. Le jeune homme de 22 ans vient d'être acquitté après avoir passé quatre ans en prison."
Ce n'est pas exactement ce qu'a révélé Mediapart, vous mixez la situation de 2 personnes :
• Un premier jeune de 21 ans au moment des faits dont même les policiers pensaient qu'il n'avait pas fait le coup a été relaxé en 1ère instance et en appel. Il a malgré tout passé 18 mois en détention provisoire.
• Un second jeune, 18 ans au moment des faits, condamné en 1ère instance à 18 ans de prison, a été relaxé en appel, après avoir fait plus de 4 ans de détention. Les enquêteurs et son avocat commis d'office lui suggérant qu'il avait fait un black out, déstabilisé après 3 j de garde à vue, le gardé à vue disait qu'il ne se rappelait plus. Seul propos retranscrit dans le PV.
:)
J'ai du mal à savoir où en est l'interdiction des prises de vidéo, dans les manifestations ....
C'est pourtant un problème de survie !