Commentaires
"Avec Cécilia, parfois la frontière explose..."
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Derniers commentaires
un évènement de taille aujourd'hui :
le forum sur le 11septembre a disparu de la première page du forum des émissions.
le forum sur le 11septembre a disparu de la première page du forum des émissions.
Cécilia , reviens ! Bruni est vraiment indigente ; au moins ton grand-père savait ce que c'était la musique !
Ha , Cécilia , c'était le bon vieux temps...
Et avec Lagarde , la frontière de Gala ,elle où?
Et avec Lagarde , la frontière de Gala ,elle où?
Une interview essentielle puisque c'est l'aveu en "live" du comportement de notre cher président vis à vis des médias en particulier, mais aussi de la liberté de parole en général.
Le sujet dont il est question ici n'est certes pas très important. Mais il illustre ce qu'il doit se passer pour tous les sujets.
C'est clair, nous sommes en train de sortir du comportement démocratique.
Ce que j'ai entendu sur le site est à relier selon moi à la perte de l'indépendance des Echos, racheté par l'"ami" Bernard Arnault, et à la chute attendue du Monde dans les mains de l'autre "ami" Arnaud Lagardère.
Triste pays !
Le sujet dont il est question ici n'est certes pas très important. Mais il illustre ce qu'il doit se passer pour tous les sujets.
C'est clair, nous sommes en train de sortir du comportement démocratique.
Ce que j'ai entendu sur le site est à relier selon moi à la perte de l'indépendance des Echos, racheté par l'"ami" Bernard Arnault, et à la chute attendue du Monde dans les mains de l'autre "ami" Arnaud Lagardère.
Triste pays !
qu'il soit pingre, tu m'etonne. en tout cas il est malin. il a sollicité une augmentation, soit mais pas avant que son divorce ait été prononcé. malin coin-coin.
la lecture des vidéo est hachée, problème que je n'ai pas avec les sites en général.
Par ailleurs, les sujets sont trop long, on est pas à la télé, on est sur Internet.
Par ailleurs, les sujets sont trop long, on est pas à la télé, on est sur Internet.
ASI devient people.
Les drames de Gala et consorts c'est vraiment bouleversant.
J'espère que la semaine prochaine nous aurons droit aux affres des papparazis
qui ont ratés des photos.
Après le camenbert polémique surfait, nous ne sommes pas gâtés.
Les drames de Gala et consorts c'est vraiment bouleversant.
J'espère que la semaine prochaine nous aurons droit aux affres des papparazis
qui ont ratés des photos.
Après le camenbert polémique surfait, nous ne sommes pas gâtés.
Voilà une rescapée de l'enfer (sic) comme on en souhaite beaucoup! Sans nul doute, la chaire de cette nouvelle science, la "cécilialogie", que ne manquera d'ouvir très prochainement le collège de France, ne devrait pas lui échapper, à moins que sa consoeur Anna Bitton ne fasse valoir de meilleurs titres... Le journalisme aux petits soins de la rancoeur conjugale, en quelques mois, depuis le fameux livre sur Ségolène "la femme fatale", devient cet univers en expansion qui nous donne un aperçu de l'infini...
Les conditions de l'interdiction de ce livre sont une preuve supplémentaire de la façon dont est gérée la sarkozye - et qui n'est pas sans rappeler des méthodes que certains esprits obtus et chagrins se feront un malin plaisir de comparer à celles utilisées par une certaine organisation tentaculaire transalpine. Bref.
Une question me vient en vous écoutant :
Il semble que NOMBRE de journalistes étaient au courant des problèmes du couple AU MOMENT MEME où ils nous vendaient, en pleine campagne électorale, le "couple Kennedy-pour-la-France".
Entendons-nous bien : il n'est pas question de reprocher aux médias leur silence sur une "histoire privée" qui tourne mal. Mais là, ils ont vendu à grands cris exactement LE CONTRAIRE de ce qui était. Ils ont tous joué le jeu. Tous dupes de la supercherie, les médias ? Tous complètement fleur-bleue, les médias ? Quand je repense à toutes leurs couv' alors qu'ils savaient !
Et quand je dis "vendre", je ne parle pas de vendre du papier ou autre, car même si le couple idéal faisait vendre, le scoop contraire aurait rapporté plus. Non, quand je dis vendre, c'est du produit sarkozy dont je parle. Produit dont l'élection aurait peut-être pu être compromise sans son "plus-produit", la fameuse Cécilia-Jackie.
De l'influence du pipole sur la politique et la transparence...
Une question me vient en vous écoutant :
Il semble que NOMBRE de journalistes étaient au courant des problèmes du couple AU MOMENT MEME où ils nous vendaient, en pleine campagne électorale, le "couple Kennedy-pour-la-France".
Entendons-nous bien : il n'est pas question de reprocher aux médias leur silence sur une "histoire privée" qui tourne mal. Mais là, ils ont vendu à grands cris exactement LE CONTRAIRE de ce qui était. Ils ont tous joué le jeu. Tous dupes de la supercherie, les médias ? Tous complètement fleur-bleue, les médias ? Quand je repense à toutes leurs couv' alors qu'ils savaient !
Et quand je dis "vendre", je ne parle pas de vendre du papier ou autre, car même si le couple idéal faisait vendre, le scoop contraire aurait rapporté plus. Non, quand je dis vendre, c'est du produit sarkozy dont je parle. Produit dont l'élection aurait peut-être pu être compromise sans son "plus-produit", la fameuse Cécilia-Jackie.
De l'influence du pipole sur la politique et la transparence...
Voilà une forme de censure totalement insidieuse :
La pression s'exerce non pas sur les journalistes directement, à la Poutine Style, mais sur les acteurs financiers, ou alors par les acteurs financiers.
Dans le cas de la bio autorisée puis interdite (en raccourci ) de Cécilia , c'est l'éditeur qui est menacé par le ministre de l'intérieur.
Dans le cas de la TV publique, c'est en devenant le seul apport d'argent et donc avoir l'équation suivante :
Etat seul actionnaire + état ultra-présidentiel + CSA en panne face au temps de parole présidentiel = un président qui va faire des élections municipales une OPA sur Paris.
Le chrono CSA doit-il attribuer le temps de parole du président à l'UMP ?
On parie que non.
Quand le vide juridique est dû à un comportement courtois des anciens présidents en vertu d'un code tacite, et que surgit un personnage comme celui d'aujourd'hui qui fait de la transgression sa ligne de conduite, c'est la porte ouverte à tous les abus.
Et c'est là qu'on se met à penser Monarchie...
Comme si inconsciemment on avait gardé une vision royale du rôle présidentiel, une sorte de tenue dans la présentation.
Et c'est là aussi qu'on constate que le sort réservé aux journalistes "rebelles" :
- Joffrin l'égratigneur ? Taclé avec un coup bas devant 599 pairs.
- Les fouineurs d'Arte ? T'avais qu'à pas aller foutre ton nez là où ne t'as pas dit d'aller, démerde toi !
- La journaliste de France3 au Tchad? Gonzesse + service public... c'est passé.
Ben vive le Net et les blogs !
@si est juste le premier ex-service public devenu privé pour rester libre... !
Et si c'est une mission, on a bien raison de la partager en partie avec les internautes de passage.
La pression s'exerce non pas sur les journalistes directement, à la Poutine Style, mais sur les acteurs financiers, ou alors par les acteurs financiers.
Dans le cas de la bio autorisée puis interdite (en raccourci ) de Cécilia , c'est l'éditeur qui est menacé par le ministre de l'intérieur.
Dans le cas de la TV publique, c'est en devenant le seul apport d'argent et donc avoir l'équation suivante :
Etat seul actionnaire + état ultra-présidentiel + CSA en panne face au temps de parole présidentiel = un président qui va faire des élections municipales une OPA sur Paris.
Le chrono CSA doit-il attribuer le temps de parole du président à l'UMP ?
On parie que non.
Quand le vide juridique est dû à un comportement courtois des anciens présidents en vertu d'un code tacite, et que surgit un personnage comme celui d'aujourd'hui qui fait de la transgression sa ligne de conduite, c'est la porte ouverte à tous les abus.
Et c'est là qu'on se met à penser Monarchie...
Comme si inconsciemment on avait gardé une vision royale du rôle présidentiel, une sorte de tenue dans la présentation.
Et c'est là aussi qu'on constate que le sort réservé aux journalistes "rebelles" :
- Joffrin l'égratigneur ? Taclé avec un coup bas devant 599 pairs.
- Les fouineurs d'Arte ? T'avais qu'à pas aller foutre ton nez là où ne t'as pas dit d'aller, démerde toi !
- La journaliste de France3 au Tchad? Gonzesse + service public... c'est passé.
Ben vive le Net et les blogs !
@si est juste le premier ex-service public devenu privé pour rester libre... !
Et si c'est une mission, on a bien raison de la partager en partie avec les internautes de passage.
Les propos sont en effet effrayants, et montrent quand même une grande injustice. Cette journaliste a été un peu flouée dans l'histoire... Elle n'a finalement pas fait les ventes qu'elle pensait faire (et là n'est pas la question de la "peopolisation" de la politique, car elle l'a écrit en accord avec Cécilia, il était donc en quelque sorte légitime ce livre), et en plus, comme le remarque Tom, il y a eu des menaces diffuses ici et là, des interviews coupés au montage, et un grand vide dans les médias, même ensuite concernant son roman.
Comme le précise France 3, je pense que Nicolas Sarkozy n'aurait pas dû avoir le droit de le faire interdire "administrativement", dans la mesure où il était à la fois le principal concerné du livre finalement (car à cette époque -et peut-être encore maintenant- Cécilia ne parlant pas de son mari, cela n'aurait intéressé personne !), et l'unique détenteur de l'autorité pouvant faire interdire sa diffusion... Il y a donc eu un amalgame entre ces deux rôles, et c'est Valérie Domain qui en a fait les frais, seule.
Comme le précise France 3, je pense que Nicolas Sarkozy n'aurait pas dû avoir le droit de le faire interdire "administrativement", dans la mesure où il était à la fois le principal concerné du livre finalement (car à cette époque -et peut-être encore maintenant- Cécilia ne parlant pas de son mari, cela n'aurait intéressé personne !), et l'unique détenteur de l'autorité pouvant faire interdire sa diffusion... Il y a donc eu un amalgame entre ces deux rôles, et c'est Valérie Domain qui en a fait les frais, seule.
Et du coup, moi aussi, j'ai peur. ;-)
Sous le verni people, la deuxième partie de l'émission consacrée au livre de Valérie Domain est horriblement anxiogène. "On" dit que Sarkozy a menacé d'un contrôle fiscal Monsieur Barbar, "on" dit que Editis étant candidate au rachat de First édition, son directeur n'a pas osé publié le livre, "on" a trappé des sujets, des interviews...
Qui ??? Qui dit tout ça, qui menace ? Comment peuvent-ils faire une chose pareille ?
Peut-être que j'ai raison de ressentir cette anxiété. Je me met à la place d'un journaliste qui souhaite faire son travail, et effectivement, ça doit être terrible. Ca doit être d'autant plus terrible que les menaces sont diffuses, pas identifiées. La peur est un ressort puissant et utile si je suis capable d'expliquer rationnellement d'où vient le danger pour le circonvenir. Par contre, si j'en reste là, la peur est tout simplement paralysante. Sans même que la menace ne s'exprime, sans même que la coercition ne s'exerce réellement. C'est le mécanisme des régimes totalitaires.
Puis un jour, tout s'effondre brutalement et chacun peut se rendre compte que la coercition généralisée à tous n'était pas possible, que l'essentiel du contrôle totalitaire est un auto-contrôle, une auto-censure. Pour une censure dure, brutale, vous avez des milliers de censures douces qui sont l'essentiel du problème.
Bien sûr, on n'en est pas là. Sarkozy n'est pas Big Brother ou Hitler... pas du tout. On est en démocratie, pas vrai ?
Alors est-ce que Bolher ne pourrait pas se pencher avec un historien de la RDA, par exemple sur les ressorts psychologiques de cette dernière partie de l'émission ? Ce serait juste histoire de me rassurer, de me dire que je raconte des bêtises, que je suis bien trop impressionnable, que Daniel Shneidermann fait un peu dans le sensationnel.
Mais si j'ai raison... Si cette angoisse saisit vraiment la profession, que les rédactions sont réellement paralysées sur un certain nombres de sujets, non pas pour des raisons éthiques, mais parce qu'elles craignent une répression féroce, alors, il serait utile que lorsque Daniel interview une victime de censure, il demande à chaque fois qui est ce "on".
Comme ça, nous pourrions dépasser la peur et l'émission serait vraiment utile au lieu d'ajouter de l'anxiété diffuse à la crainte et aux petites lâchetés du quotidien.
____
Je remet ici mon post, puisque c'est là qu'on cause apparement.
Sous le verni people, la deuxième partie de l'émission consacrée au livre de Valérie Domain est horriblement anxiogène. "On" dit que Sarkozy a menacé d'un contrôle fiscal Monsieur Barbar, "on" dit que Editis étant candidate au rachat de First édition, son directeur n'a pas osé publié le livre, "on" a trappé des sujets, des interviews...
Qui ??? Qui dit tout ça, qui menace ? Comment peuvent-ils faire une chose pareille ?
Peut-être que j'ai raison de ressentir cette anxiété. Je me met à la place d'un journaliste qui souhaite faire son travail, et effectivement, ça doit être terrible. Ca doit être d'autant plus terrible que les menaces sont diffuses, pas identifiées. La peur est un ressort puissant et utile si je suis capable d'expliquer rationnellement d'où vient le danger pour le circonvenir. Par contre, si j'en reste là, la peur est tout simplement paralysante. Sans même que la menace ne s'exprime, sans même que la coercition ne s'exerce réellement. C'est le mécanisme des régimes totalitaires.
Puis un jour, tout s'effondre brutalement et chacun peut se rendre compte que la coercition généralisée à tous n'était pas possible, que l'essentiel du contrôle totalitaire est un auto-contrôle, une auto-censure. Pour une censure dure, brutale, vous avez des milliers de censures douces qui sont l'essentiel du problème.
Bien sûr, on n'en est pas là. Sarkozy n'est pas Big Brother ou Hitler... pas du tout. On est en démocratie, pas vrai ?
Alors est-ce que Bolher ne pourrait pas se pencher avec un historien de la RDA, par exemple sur les ressorts psychologiques de cette dernière partie de l'émission ? Ce serait juste histoire de me rassurer, de me dire que je raconte des bêtises, que je suis bien trop impressionnable, que Daniel Shneidermann fait un peu dans le sensationnel.
Mais si j'ai raison... Si cette angoisse saisit vraiment la profession, que les rédactions sont réellement paralysées sur un certain nombres de sujets, non pas pour des raisons éthiques, mais parce qu'elles craignent une répression féroce, alors, il serait utile que lorsque Daniel interview une victime de censure, il demande à chaque fois qui est ce "on".
Comme ça, nous pourrions dépasser la peur et l'émission serait vraiment utile au lieu d'ajouter de l'anxiété diffuse à la crainte et aux petites lâchetés du quotidien.
____
Je remet ici mon post, puisque c'est là qu'on cause apparement.