Baltimore : la presse (re) découvre les "balades" mortelles de la police
Négligences policières ou violences volontaires ? Après une nuit de heurts entre la population noire de Baltimore et les forces de police, la mort de Freddie Gray, jeune Noir de 25 ans, des suites de son arrestation le 12 avril dernier, continue de faire débat. En cause, sa blessure mortelle à la moelle épinière, causée par une fracture des vertèbres cervicales. Là où la police reconnaissait d’abord des négligences, l’hypothèse de violences volontaires - voire d’une pratique courante, les "rough rides" - est désormais évoquée. Une pratique particulièrement dangereuse qui consiste à placer les suspects à l’arrière des fourgons sans les attacher et à volontairement conduire de façon brutale.
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Derniers commentaires
Cordialement.
C'est toujours le même schéma : au minimum 4 agents pour un suspect, plaquage au sol, tutoiement de rigueur et la rangers sur la tête...
Une amie qui un soir a été embarquée dans le fourgon (elle protestait contre une arrestation groupée) s'est pris un coup de matraque à la tête et s'est réveillée avec un trauma crânien et en état d'amnésie... aucun avis médical n'a été sollicité par la police, on l'a larguée dans la nature au petit matin sans se préoccuper de son état.
J'ai l'air de généraliser mais honnêtement... lorsque je dois les appeler (et ça arrive forcément dans un bar qui ferme à 4h) j'y réfléchis à deux fois tant les moyens mis en oeuvre me semblent d'une violence disproportionnée.
Toujours pas d'enquête réelle sur ce meurtre (le juge d'instruction fait trainer et refuse toutes les demandes des avocats de la famille)
Alors la responsabilité des brutes qui ont tué le 06 mars qui a déjà été enterrée pendant deux mois, n'est pas en voie d'être établie et jugée.
De plus, en 2010, selon le NCVS (National Crime Victimisation Survey), établi par le Bureau juridique des statistiques du Département de la justice US :
-62.593 noirs ont été victimes de violence par des blancs
-320.082 blancs ont été victimes de violence par des noirs, soit 5 fois plus.
Ces émeutes sont juste une grosse hypocrisie, et une bonne opportunité pour les racailles noirs de mettre à sac la ville.
Dire que les Etats-Unis sont le modèle de la France depuis 40 ans, ça promet de chouettes lendemains.
Toujours la bonne focale pour dire ce qui vous arrange, évitez de critiquer les médias mainstream après ce genre de messages.
Les dérives policières existent, mais comment appeler ce qui est arrivé ensuite si ce n'est des émeutes raciales : 100% de noirs qui démolissent tout, pillent les magasins, agressent les blancs qu'ils croisent... Est-ce que ces émeutes en soi ne sont pas plus graves que 10 ans de "bavures policières" ?
Non. Des morts d'un côté, aucun de l'autre.
De plus, en 2010, selon le NCVS (National Crime Victimisation Survey), établi par le Bureau juridique des statistiques du Département de la justice US :
-62.593 noirs ont été victimes de violence par des blancs
-320.082 blancs ont été victimes de violence par des noirs, soit 5 fois plus.
Le roi, comme le bon petit militant fasciste qu'il est, affabule sur des données qui n'existent pas. Le NCVS ne pose pas la question de la race des personnes ayant commis les violences : lire le questionnaire suffit à le constater.
Par contre, dommage pour lui, il recense effectivement la "race" (à l'américaine) des victimes, et, dommage pour le roi, il apparaît que les Noirs sont nettement plus souvent victimes de violences que les blancs. Par exemple, 16 agressions pour 1000 Noirs, contre 11 agressions pour 1000 Blancs, comme l'indique le tableau 9 du rapport du Department of Justice.
Ces émeutes sont juste une grosse hypocrisie, et une bonne opportunité pour les racailles noirs de mettre à sac la ville.
Mais tout à fait ! La preuve, c'est que les gangs se sont même réconciliés pour lancer un appel au calme. Les "racailles", comme les gouvernants, n'ont jamais intérêt à ce que les gens qui sont sous leur coupe fassent l'expérience de la révolte...Les "racailles" ne pillent pas les magasins pour prendre... des rouleaux de PQ.
Il se trouve que votre lien pointe vers le rapport public du NCVS, qui n'est qu'une présentation officielle qui montre ce que le gouvernement a choisi de montrer.
Le ministère de la Justice US a justement retiré des données publiques les statistiques de la criminalité interraciale du Bureau of Justice Statistics (BJS) depuis 2008, année où Obama est entré en fonction.
De 1996 à 2008, le BJS a fournit de grandes et nombreuses tables statistiques très complètes. Vous les trouverez ici : Bureau of Justice Statistics.
L'une des tables les plus utilisés, "Table 42 : Personal crimes of violence" recense les violences interraciales ("race victim" d'un côté, et "perceveid race of offender" de l'autre". Exemple : table 42 de l'année 2006 (chapitre "victims and offenders" tables 26 à 49)
Or devinez quoi ?
En 2008, la table 42 fut disponible uniquement en ligne sur le site de BJS (elle y est toujours).
En 2010, la table 42 a été publiée sur le site BJS et plus tard enlevée. Seuls ceux qui ont pu la télécharger initialement, ou ceux qui demandent une copie au BJS y ont donc accès.
Vous avez de la chance : la voici au format xls.
Voilà donc selon cette table quelques données dérangeantes que l'admnistration Obama ne souhaite plus voir publiées.
Selon les données de l'Enquête sur la victimisation criminelle nationale (NCVS), on estime que 320 082 Blancs étaient victimes de violence noire en 2010, tandis que 62 593 Noirs ont été victimes de violence blanches. Cette même année, selon le Bureau du recensement, les populations blanches et noires aux Etats-Unis étaient 196.817.552 et 37.685.848, respectivement. Les Blancs ont donc commis des actes de violence interraciale à un taux de 32 pour 100 000, tandis que le taux noire était 849 pour 100.000. En d'autres termes, le noir «moyen» était statistiquement 26,5 fois plus susceptibles de commettre des violences criminelles contre un blanc, que l'inverse. En outre, les Noirs qui ont commis des crimes violents ont choisi victimes blanches 47,7% du temps, alors que les Blancs qui ont commis des crimes violents ciblées victimes noires seulement 3,9% du temps.
Mais il y a mieux. En 2012, le BJS remplacé la publication annuelle des tableaux statistiques NCVS avec un nouvel outil d'analyse en ligne appelé le NVAT qui ne prévoit pas l'accès aux données de la criminalité inter-ethniques. La seule option est maintenant de récupérer cette information est par la manipulation des données de l'enquête brut qui nécessite une investigation étendue.
"Le roi, comme le bon petit militant fasciste qu'il est, affabule sur des données qui n'existent pas".
Vous m'avez offert une millième fois la preuve de démontrer que vos insultes conditionnées ne peuvent s'adresser qu'à vous-mêmes.
Pour le reste, la manipulation continue, comme d'habitude.
Je n'ai pas le temps de vous faire un cours de probabilités ou de statistiques, mais calculer des odd-ratios sans tenir compte de la structure de la population, c'est du grand n'importe quoi. En faisant l'hypothèse qu'un criminel tire sa victime de façon purement aléatoire (ce qui n'est pas le cas, il fait en général au plus court, et j'y reviendrai), et dans la mesure où les blancs sont plus nombreux dans la population que les noirs, il est normal que les victimes des agresseurs noirs soient plus souvent blanches que l'inverse.
En fait, si ils tiraient purement au hasard, les proportions de victimes seraient exactement conforme à la structure de la population, c'est-à-dire que 67% (à peu près) des victimes d'agresseurs Noirs seraient blanches. En vérité, comme vous le dites vous-même, elles ne sont que 47,7%, soit largement moins. Pourquoi ? Parce que les agresseurs vont au plus court, et dans une socitété qui ne se remet toujours pas de la ségrégation, les Noirs vivent entre eux et les blancs entre eux.
Reste le point que vous allez, je suis sûr, adorer développer, du taux de criminalité, sur le mode zemmourien du "tous les prisonniers sont noirs ou arabes". Je sais par avance que toutes les démonstrations de l'influence de la pauvreté et du contexte social ne perceront pas le mur de votre idéologie qui vous fait voir de la violence "interraciale" partout, je m'arrête donc là.
J'attends toujours vos réponses sur les autres points, sinon. Je suis bêtement tombé dans votre piège sur les données, ce qui vous a permis de détourner habilement la conversation, mais pas de pot, je suis un peu têtu.
Quant aux "insultes conditionnées", je préfère les utiliser à bon escient plutôt que de la façon infâme dont vous l'avez fait avant-hier.
Répondre à quoi d'autre ? Votre photo avec un pilleur qui porte des rouleaux de PQ, ça signifie quelque chose ? Quelle démonstration ! Moi aussi j'ai des vidéos des émeutes : attaques de banques, de magasins, agressions de blancs...
https://www.youtube.com/watch?v=85nkCk-UDto
https://www.youtube.com/watch?v=NTW96gz984A
Vous auriez aussi pu faire l'effort d'essayer de comprendre la phrase, mais manifestement chacun a ses limites...
La tableau dit que 70% des victimes blanches sont causés par des blancs et 14,5% par des noirs. Alors que 72.3% des victimes noires sont dues a des assaillants noirs et 12.9 à des assaillants blancs. Pas de différence notable, donc (le taux d'inconnu est donné à 10 %). De plus, on ne compare pas des nombres absolus, mais des nombres relatifs (à leur population totale) quand il s'agit de comparer deux communautés, sinon ça n'a pas de sens.
à un taux de 32 pour 100 000, tandis que le taux noire était 849 pour 100.000.
C'est complètement faux: ceci est un mensonge.
D'où provient donc votre propagande ?
Je n'en suis pas persuadé ...
Attention à ne pas franchir le pas !
Mon pauvre ami !
Allez au bout de votre raisonnement, pour voir ? Que vouliez vous dire ? je vous aide un peu : attention, ce n'est pas parce qu'il existe un racisme anti-blanc que cela justifie d'etre raciste envers les noirs.
Par contre, je ne suis pas votre ami. S'il vous plait ne m'appelez plus jamais comme ça.
https://www.youtube.com/watch?v=ojJxGRgU0KE
ici une version avec sous titres français:
https://www.youtube.com/watch?v=DO-GM1ObW3s
C'est un grand pas pour vous déjà.
Mais les nombres absolus sont justement encore plus éloquents :
[quote=Ignatus]à un taux de 32 pour 100 000, tandis que le taux noire était 848 pour 100.000.
C'est complètement faux: ceci est un mensonge.
Comme je vois que vous avez besoin de soutien scolaire, je vous fais la démonstration une fois.
Je reprend les mêmes chiffres officiels du NCVS du Bureau de la Justice US que vous avez déjà:
Population blanche : 196.817.552
Population noire : 37.685.848
Victimes blanches : 2.207.460 dont : 14,5% par agresseur noir soit : 320.082 agressions
Victimes noires : 485.200 dont : 12,9% par agresseur blanc soit : 62.593 agressions
On a donc :
population blanche /nbre d'agresseurs blancs = 196.817.552 /62.597 = 3144 soit : 1 blanc sur 3144 agresse un noir
population noire /nbre d'agresseurs noirs = 37.685.848 /320.082 = 118 soit : 1 noir sur 118 agresse un blanc
Il suffit de ramener sur 100.000 :
1 /3144 = 32 /100.000
1 /118 = 848 /100.000
Je réitère donc : les Blancs ont donc commis des actes de violence interraciale à un taux de 32 pour 100 000, tandis que le taux noir était de 848 pour 100.000.
On comprend mieux pourquoi Obama a stoppé la diffusion publique de ces chiffres.
Je n'ai pas le temps de vous faire un cours de probabilités ou de statistiques, mais calculer des odd-ratios sans tenir compte de la structure de la population, c'est du grand n'importe quoi. En faisant l'hypothèse qu'un criminel tire sa victime de façon purement aléatoire (ce qui n'est pas le cas, il fait en général au plus court, et j'y reviendrai), et dans la mesure où les blancs sont plus nombreux dans la population que les noirs, il est normal que les victimes des agresseurs noirs soient plus souvent blanches que l'inverse.
En fait, si ils tiraient purement au hasard, les proportions de victimes seraient exactement conforme à la structure de la population, c'est-à-dire que 67% (à peu près) des victimes d'agresseurs Noirs seraient blanches. En vérité, comme vous le dites vous-même, elles ne sont que 47,7%, soit largement moins. Pourquoi ? Parce que les agresseurs vont au plus court, et dans une socitété qui ne se remet toujours pas de la ségrégation, les Noirs vivent entre eux et les blancs entre eux.
Reste le point que vous allez, je suis sûr, adorer développer, du taux de criminalité, sur le mode zemmourien du "tous les prisonniers sont noirs ou arabes". Je sais par avance que toutes les démonstrations de l'influence de la pauvreté et du contexte social ne perceront pas le mur de votre idéologie qui vous fait voir de la violence "interraciale" partout, je m'arrête donc là.
Mais comme vous n'avez toujours pas l'air d'avoir compris celui-ci, je me permets d'insister. La pédagogie est l'art de la répétition, dit-on.
Allez à bientôt les manipulateurs.
http://www.fdesouche.com/594107-les-six-policiers-blancs-de-baltimore
Quand je pense que je vous trouvais odieux, alors que j'étais juste mal informé...
Heureusement, le roi est là pour laver les cervelles plus blanc que blanc.
C'est confondant de bêtise et de biais...
- D'une part parce qu'il s'agit de la race "perçue" de l'assaillant (élément assez facilement déformable et peu vérifiable)
- D'autre part et surtout, parce qu'il ne s'agit pas d'une analyse de l'ensemble des cas mais d'un échantillon parfois très réduit. Vous avez vu le nombre de chiffres suivis par un astérisque * ? Vous avez bien vu que ces chiffres sont décrits comme "Estimate is based on 10 or fewer sample cases" ?
Je traduis : "estimation basée sur un échantillon de 10 cas ou moins."
Ben oui, parce que le NCVS ne travaille pas sur les données réelles des crimes commis aux Etats-Unis, mais sur un échantillon représentatif d'une population de 160 000 personnes environ. C'est écrit là : http://www.bjs.gov/index.cfm?ty=dctp&tid=9
Si cette méthodologie se défend globalement, j'imagine, ça prête quand même pas mal à caution pour les crimes dont on a moins de 10 cas recensés, d'où la prudence du rapport.
Résumons avec un cas concret. Prenons les chiffres les plus effrayants en terme de violences inter-raciales de la table 42 de 2006, pour les vols avec violence sur les blancs :
Nombre estimé : 57 680 ; commis par des agresseurs perçus comme blancs : 29,1%* ; par des agresseurs perçus comme noirs : 41,5%* ; par des agresseurs perçus comme "autres" : 21,7%* ; par des agresseurs que la victime n'a pas racialement identifié : 7,7%*
Bon sang, tous ces noirs qui volent des blancs avec violence !!
A part que tous les chiffres, à part le premier, ont le fameux petit astérisque. C'est à dire qu'ils sont extrapolés de moins de 10 cas. Je ne comprends pas trop comment un pourcentage de 7,7 a pu être calculé à partir de moins de 10 cas (un demi-agresseur ?), mais ça veut dire qu'environ dix cas de vols avec violence sur des blancs on été commis sur ces 160 000 personnes et qu'il se trouve que sur ces dix cas l'agresseur était blanc dans 3 cas, noir dans 4 cas, autre dans 2 cas (un asiatique et un latino, peut-être ?) et on ne sait pas trop une fois. Ouais.
C'est tellement représentatif que dans la sulfureuse table 42 de 2010 que vous nous filez, les proportions ont radicalement changé : on est à 67%* d'agresseurs blancs, 24%* de noirs, et 7%* d'"autres", avec toujours le petit astérisque qui nous indique qu'on a moins de dix cas de référence.
Vous comprendrez que vue la marge d'erreur, faire des calculs et affirmer péremptoirement des chiffres à la personne près, c'est à la fois pédant et faux.
Vous pouvez toujours faire savoir au département de la justice américain que les 36 millions de dollars annuels qu'ils dépensent pour le NCVS ne servent à rien. Enfin qu'ils ne collent pas à votre idéologie surtout. Donc on efface les chiffres.
Et vous n'allez pas me dire qu'il n'y a pas d'idéologie dans votre façon de :
- Ne retenir que la table 42 de toute les études du NCVS et n'analyser la criminalité que selon le critère purement racial. Pour voir l'absurdité de la chose, rejouez au même jeu avec la table 38.
- Vous focaliser uniquement sur les violences inter-raciales alors que le fait ultra-marquant de ces études est que les violences sont majoritairement intra-raciales
- Totalement ignorer l'ensemble du contexte social des Etats-Unis, de ses populations noires et de ses populations blanches.
S'il s'agit simplement de prendre en compte des données statistiques, on peut dire que les noirs sont surreprésentés dans les statistiques de criminalité aux Etats-Unis, comme ils le sont dans les statistiques d'emprisonnement et dans celles de pauvreté ou de précarité. Il y a des tas de sociologues et d'intellectuels américains, blancs et noirs, qui travaillent sur ce sujet et les sujets proches, et qui en analysent les causes sociologiques et culturelles et qui produisent des analyses souvent différentes mais dignes d'être lues.
Mais pour y voir plus clair sur ces questions, ça demande un minimum de prise de recul et de hauteur de vue, alors que, me semble-t-il, vous paraissez plus intéressé par des calculs d'apothicaires visant à prouver que les noirs sont méchants.
Nombre de morts dans les émeutes de Baltimore : 0
CQFD.
Et sinon ? vive l'apartheid ? et a quel % de "sang noir" on est noir ?
De toute façon c'est connu ils ont le vice dessus , sinon comment expliquer ces émeutes juste pour une bavure de plus ? un petit article dans le journal est hop l'affaire aurait du etre réglée , traitée et oubliée ..... as usual quoi , et non y foutent la merd.... c'est pour dire s'ils sont vicieux .
Et puis si le "National Crime Victimisation Survey" le dit c'est que c'est vrai quoi , je sais plus a quelle page , ou si c'est quelqu'un qui me l'a dit ou si j'ai bien tout compris ( pas que ça a foutr..e non plus) mais enfin quoi PAUVRE FRANCE !
heureusement qu'au FHaine on a le temps de penser pour vous , bande de ...
Alors ne me demandez pas à moi de répondre à vos "pourcentages de sang noir", demandez aux américains eux-mêmes.
Pas besoin de chouettes lendemains, aujourd'hui est déjà réjouissant : Mort de Pierre Cayet dans un commissariat de Saint-Denis : la version policière mise à mal. Mais la presse française est trop occupée à Baltimore pour s'y intéresser.
On a le sentiment parfois que l'indignation médiatisée a un effet réparateur. Il se passe un truc horrible, on s'agace tous, puis ça passe, mais on se dit tous que ça ne va pas plus se reproduire. Mais en fait si.
Pas étonnant que les gens soient dingues à Baltimore. C'est horrible et incompréhensible, et ça s'était déjà produit, et tout le monde avait déjà protesté.
Comment des policiers en arrivent-ils à avoir de telles pratiques. On a besoin d'une enquête, d'une grosse enquête de terrain. C'est quoi d'être policier, c'est quoi d'être noir dans ce type d'ambiance.
(Du coup je me dis qu'il faudrait que je regarde The Wire, bien que je ne soit pas trop sûre de ses vertus documentaires)