Commentaires
Berlusconi, grand maitre des télés : et si c'était plus compliqué ?
Encore une victoire pour Berlusconi !
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Derniers commentaires
Ce que j'ai compris, c'est qu'un leader n'obtient pas le pouvoir par son impact sur les médias, il l'obtient par le développement de ses réseaux, la mise en place d'une stratégie en tenaille, où le verbatim médiatique rejoint le bouche-à-oreille local, le bénéfice qu'on retire de son vote pour Berlusconi.
http://anthropia.blogg.org
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Ce que j'ai compris, c'est qu'un leader n'obtient pas le pouvoir par son impact sur les médias, il l'obtient par le développement de ses réseaux, la mise en place d'une stratégie en tenaille, où le verbatim médiatique rejoint le bouche-à-oreille local, le bénéfice qu'on retire de son vote pour Berlusconi.
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Ce que j'ai compris, c'est qu'un leader n'obtient pas le pouvoir par son impact sur les médias, il l'obtient par le développement de ses réseaux, la mise en place d'une stratégie en tenaille, où le verbatim médiatique rejoint le bouche-à-oreille local, le bénéfice qu'on retire de son vote pour Berlusconi.
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il es tl´image de la politique moderne, à l´instar de notre nabot national, nous amuser pendant que la vie quotidienne devient de plus en plus difficile
il parait que les français ont un sujet de discussion pour le lundi matin, et les italiens ?
il parait que les français ont un sujet de discussion pour le lundi matin, et les italiens ?
et c´est reparti pour un tour de grand guignol abject, machiste, négation de la politique
http://www.canalplus.fr/c-infos-documentaires/pid1830-c-zapping.html?
http://www.canalplus.fr/c-infos-documentaires/pid1830-c-zapping.html?
Bonjoir,
Melenchon l'explique très bien (encore hier sur France inter aux info): quand la gauche tente de gouverner avec la droite ou le centre, en oubliant qui elle est, elle se plante méchant.
(et J. Dray qui donnait l'exemple de social démocratie qui fonctionnait dans se type de coalition... voir vidéos débat avec Melenchon)
http://www.dailymotion.com/relevance/search/melenchon/video/x3u3n0_draymelenchon1ere-partie_politics
http://www.dailymotion.com/pantuana/video/x3u3z9_draymelenchon2_politics (dans cette vidéo vers la fin? ou la derniere?)
http://www.dailymotion.com/pantuana/video/x3u4yr_draymelenchon3_politics
Melenchon l'explique très bien (encore hier sur France inter aux info): quand la gauche tente de gouverner avec la droite ou le centre, en oubliant qui elle est, elle se plante méchant.
(et J. Dray qui donnait l'exemple de social démocratie qui fonctionnait dans se type de coalition... voir vidéos débat avec Melenchon)
http://www.dailymotion.com/relevance/search/melenchon/video/x3u3n0_draymelenchon1ere-partie_politics
http://www.dailymotion.com/pantuana/video/x3u3z9_draymelenchon2_politics (dans cette vidéo vers la fin? ou la derniere?)
http://www.dailymotion.com/pantuana/video/x3u4yr_draymelenchon3_politics
Augmenter le son de vos vidéos s'il vous plait, il est vraiment trop faible !
Merci pour cette enquête - rétrospective.
L'attitude des médias aujourd'hui est assez consternante ; je veux parler de Libération et de sa couverture "Au secours, Berlusconi revient !" s'il n'y avait que le titre (qui à mon avis participe de la même dynamique que l'antisarkozisme primaire qui fit élire notre président l'an dernier), mais les articles sont nuls : petites phrases et compagnie.
Aucune analyse sur les raisons de la défaite de la gauche, rien. Juste l'éternel "Berlusconi, roi des médias", etc.
Pourtant à y regarder de plus près (l'édito de Rue89 mais c'est un peu léger aussi) il apparaît que les raisons de la défaite de Veltroni sont dans son positionnement de centre-gauche excessif, son refus / incapacité de faire une coalition. quelle en est la cause : problème structurel de la gauche italienne ? échec patent du centrisme ? (à mon souvenir les déclarations de Veltroni sur les Roumains récemment ne valaient pas mieux que les "sauvageons" de Chevénement en son temps...)
Ce serait utile et important de le savoir, pour l'avenir de la gauche en France aussi...
L'attitude des médias aujourd'hui est assez consternante ; je veux parler de Libération et de sa couverture "Au secours, Berlusconi revient !" s'il n'y avait que le titre (qui à mon avis participe de la même dynamique que l'antisarkozisme primaire qui fit élire notre président l'an dernier), mais les articles sont nuls : petites phrases et compagnie.
Aucune analyse sur les raisons de la défaite de la gauche, rien. Juste l'éternel "Berlusconi, roi des médias", etc.
Pourtant à y regarder de plus près (l'édito de Rue89 mais c'est un peu léger aussi) il apparaît que les raisons de la défaite de Veltroni sont dans son positionnement de centre-gauche excessif, son refus / incapacité de faire une coalition. quelle en est la cause : problème structurel de la gauche italienne ? échec patent du centrisme ? (à mon souvenir les déclarations de Veltroni sur les Roumains récemment ne valaient pas mieux que les "sauvageons" de Chevénement en son temps...)
Ce serait utile et important de le savoir, pour l'avenir de la gauche en France aussi...
"L'emetteur ( Berlusconi ) serait tout puissant et le telespectateur electeur serait ulta passif" : Pierre Musso conteste cette vision ; N'empêche qu'il leur a bien manqué Beerlusconi , aux Italiens. Sinon , dans la fin de son interview , il parle des méthodes médiatiques de Berlusconi : on croirait qu'il parle de Sarkozy , mais on a en même temps le sentiment que ce dernier a raté quelquechose , et qu'il ne lui arrivera pas à la cheville , ce dont je me réjouis !
Quelle joie de revoir encore une fois Maja, même si ce n'est (encore) qu'à l'occasion d'un revisonnage d'archives. De fait, nonobstant la puissance télévisuelle de l'individu, il est difficile d'établir un lien de cause à effet direct et mécanique entre la domination médiatique et l'élection de Berlusconi; de même qu'on ne peut faire un lien de causalité imédiate entre la proximité du candidat UMP avec les grands patrons des médias (Bouygues, Lagardère et Bolloré, notamment) et le résultat de l'élection présidentielle de 2007.
Cependant, comme le fait d'ailleurs remarquer Pierre Musso à la fin de votre extrait, il y a néanmoins des rapprochements à faire avec la télé: Berlusconi amènerait une autre façon sur le mode de l'émotion de la dramatisation, de la fictionnalisation du réel. Cela rappelle le storytelling récemment analysé par Christian Salmon. Surtout, cela renvoie à un discours proprement télévisuel, dans lequel l'émotion et la narration fictionnelle priment sur l'aridité de l'information; toute médiatisation d'un fait (surtout un fait divers) a besoin de ses personnages télégéniques, donc binaires: le bon et le méchant. Or je pense que l'on retrouve cette pensée binaire dans le discours berlusconnard, et que ce n'est pas sans rappeler la rhétorique du mari de Carla Bruni.
Hurluberlu
Cependant, comme le fait d'ailleurs remarquer Pierre Musso à la fin de votre extrait, il y a néanmoins des rapprochements à faire avec la télé: Berlusconi amènerait une autre façon sur le mode de l'émotion de la dramatisation, de la fictionnalisation du réel. Cela rappelle le storytelling récemment analysé par Christian Salmon. Surtout, cela renvoie à un discours proprement télévisuel, dans lequel l'émotion et la narration fictionnelle priment sur l'aridité de l'information; toute médiatisation d'un fait (surtout un fait divers) a besoin de ses personnages télégéniques, donc binaires: le bon et le méchant. Or je pense que l'on retrouve cette pensée binaire dans le discours berlusconnard, et que ce n'est pas sans rappeler la rhétorique du mari de Carla Bruni.
Hurluberlu