Commentaires
Bern, Louis XIV, et les invisibles parmi les invisibles
Il faut bien regarder cette image. Je l'ai arrêtée pour vous
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Derniers commentaires
Pour ce qui est du tendancieux révisionnisme actuel, Mr Bern a su trouver un allié "prestigieux" (?) en la personne du dénommé Laurent (Lorànt?) Deutsch.
A eux deux, ils vont nous mitonner une "Restauration Macronienne"...Je ne vous dis que ça....
A eux deux, ils vont nous mitonner une "Restauration Macronienne"...Je ne vous dis que ça....
il y a un autre arrêt sur image à faire sur l'extrait vidéo donné en lien, avec Corbières :
Quand Bern reçoit en cadeau une statuette de Robespierre, il a soudain un accent bizarre : Au lieu de dire "merci beaucoup", il dit "merci beau con" !
(Je l'ai repassé trois fois)
C'est sans doute comme ça qu'on marque sa perfidie chez les empoudrés : le jeu de mots, à demi exprimé, tel un pet fuyant à l'attention de ses cul-serrés de con-génères.
Ou alors j'ai l'esprit mal placé et ce n'était qu'un hommage respectueux aux cir-con-volutions intimes de la gente féminine, mais diantre je ne vois foutre pas ce que ça foutait là !
Quand Bern reçoit en cadeau une statuette de Robespierre, il a soudain un accent bizarre : Au lieu de dire "merci beaucoup", il dit "merci beau con" !
(Je l'ai repassé trois fois)
C'est sans doute comme ça qu'on marque sa perfidie chez les empoudrés : le jeu de mots, à demi exprimé, tel un pet fuyant à l'attention de ses cul-serrés de con-génères.
Ou alors j'ai l'esprit mal placé et ce n'était qu'un hommage respectueux aux cir-con-volutions intimes de la gente féminine, mais diantre je ne vois foutre pas ce que ça foutait là !
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Je n'arrive pas à mettre la main sur ce dessin humoristique de mon enfance.
On voyait une suite de vignettes. Sur la première le Roi soleil dans toute sa magnificence et dessous le logo "Louis XIV Sun King" puis une autre vignette où le roi perdait une part de son attirail et son logo se réduisait jusqu"à la dernière avec un "Louis" sans perruque, sans cheveux, et tout malingre
Le problème avec Bern et Macron, c'est que ça va marcher dans les chaumières et chez les manants. ça vous bouffe de la royauté le soir à tous les soupers et ça se jette dessus les magazines spécial têtes couronnées dans la salle d'attente des docteurs
ça va marcher comme le retour à l'enjolivement de l'ère Victorienne a fonctionné en Grande Bretagne, on entendait plus que de la Pomp and Circumstance March jusqu'à épuisement
Corbière disait à sa seigneurie Bern que l'histoire du peuple ne concerne que 1% des musées, le reste ne parle que de la magnificence royale
Je n'ai jamais compris pourquoi les révolutions française et russe n'ont pas réussi à vendre leur légitimité de meilleure façon
On voyait une suite de vignettes. Sur la première le Roi soleil dans toute sa magnificence et dessous le logo "Louis XIV Sun King" puis une autre vignette où le roi perdait une part de son attirail et son logo se réduisait jusqu"à la dernière avec un "Louis" sans perruque, sans cheveux, et tout malingre
Le problème avec Bern et Macron, c'est que ça va marcher dans les chaumières et chez les manants. ça vous bouffe de la royauté le soir à tous les soupers et ça se jette dessus les magazines spécial têtes couronnées dans la salle d'attente des docteurs
ça va marcher comme le retour à l'enjolivement de l'ère Victorienne a fonctionné en Grande Bretagne, on entendait plus que de la Pomp and Circumstance March jusqu'à épuisement
Corbière disait à sa seigneurie Bern que l'histoire du peuple ne concerne que 1% des musées, le reste ne parle que de la magnificence royale
Je n'ai jamais compris pourquoi les révolutions française et russe n'ont pas réussi à vendre leur légitimité de meilleure façon
Et puis, on pourrait être perfide et sournois (oui, ça m'arrive) :
en attirant le regard sur Bern, même au motif qu'il invisibilise certains, DS n'en invisibilise-t-il pas d'autres ?
Voté.
Vous me l’ôtez de la bouche.
Il n'est que de lire le titres qui s'affichent sur la page d'accueil.
Perfidement et sournoisement, je suggère que l'on aurait pu s'inquiéter du traitement médiatique des projets du ministère de l'éducation et de celui de la culture par exemple.
Parce que les aventures d'Akéna-thon dans les tréfonds du peuple solvable et télégénique, comment dire...
en attirant le regard sur Bern, même au motif qu'il invisibilise certains, DS n'en invisibilise-t-il pas d'autres ?
Voté.
Vous me l’ôtez de la bouche.
Il n'est que de lire le titres qui s'affichent sur la page d'accueil.
Perfidement et sournoisement, je suggère que l'on aurait pu s'inquiéter du traitement médiatique des projets du ministère de l'éducation et de celui de la culture par exemple.
Parce que les aventures d'Akéna-thon dans les tréfonds du peuple solvable et télégénique, comment dire...
Pfff ... ouais, bien sûr ... mais regarder Bern qui parle de Louis XIV, ...
Et puis, on pourrait être perfide et sournois (oui, ça m'arrive) :
en attirant le regard sur Bern, même au motif qu'il invisibilise certains, DS n'en invisibilise-t-il pas d'autres ?
Bern choisit ses sujets, ... sans surprise, on voit le résultat.
DS choisit les siens... on a été habitués à mieux.
En plus, je sais pas pour les autres abonnés, mais moi j'ai le plus grand mal à imaginer que DS peut VRAIMENT, en rentrant du bureau, s'installer devant son écran dans son salon (oui, j'imagine qu'il a un grand écran dans son salon, mais peut-être qu'il regarde sur un écran plus petit ou sur l'ordi sur un bureau voire même sur une tablette en prenant un bain, en fait, j'en sais rien !), pour regarder Bern toute la soirée.
Je ne m'y fais pas, ça colle pas.
Et puis il devrait pas s'infliger des trucs comme ça.
Faut qu'on lui dise.
Alors je vous le dis Daniel : en fait, on sait déjà pour Bern.
Vous pouvez disposer de vos soirées.
Et puis, on pourrait être perfide et sournois (oui, ça m'arrive) :
en attirant le regard sur Bern, même au motif qu'il invisibilise certains, DS n'en invisibilise-t-il pas d'autres ?
Bern choisit ses sujets, ... sans surprise, on voit le résultat.
DS choisit les siens... on a été habitués à mieux.
En plus, je sais pas pour les autres abonnés, mais moi j'ai le plus grand mal à imaginer que DS peut VRAIMENT, en rentrant du bureau, s'installer devant son écran dans son salon (oui, j'imagine qu'il a un grand écran dans son salon, mais peut-être qu'il regarde sur un écran plus petit ou sur l'ordi sur un bureau voire même sur une tablette en prenant un bain, en fait, j'en sais rien !), pour regarder Bern toute la soirée.
Je ne m'y fais pas, ça colle pas.
Et puis il devrait pas s'infliger des trucs comme ça.
Faut qu'on lui dise.
Alors je vous le dis Daniel : en fait, on sait déjà pour Bern.
Vous pouvez disposer de vos soirées.
À trop se la jouer Royal, Bern va finir par y perdre la tête...
Très beau arrêt image sur les "invisibles" de 1715!
Regardez bien la photo sélectionnée par Bern et chopée au vol par Daniel: 302 ans plus tard, on retrouve EXACTEMENT les mêmes!
Jeunes précarisés, enfants en déshérence, femmes seules ou exploitées, émigré·e·s, migrant·e·s...
Le peuple toujours aussi invisible et plus que jamais craint et haï.
Que ne fait-on pas pour s'en protéger! Un état d'urgence n'y suffit pas...
Et à coup de torsion sémantique, on diabolise sans fin, sur tous les medias, le populaire plus que jamais travesti en "populisme"!
Toujours cette "part maudite" décrite par g. Agamben dans "homo sacer" qui peine à le faire émerger en sujet historique...
Il est temps d'accélérer et de changer d'imaginaire social, trouvez pas?
Regardez bien la photo sélectionnée par Bern et chopée au vol par Daniel: 302 ans plus tard, on retrouve EXACTEMENT les mêmes!
Jeunes précarisés, enfants en déshérence, femmes seules ou exploitées, émigré·e·s, migrant·e·s...
Le peuple toujours aussi invisible et plus que jamais craint et haï.
Que ne fait-on pas pour s'en protéger! Un état d'urgence n'y suffit pas...
Et à coup de torsion sémantique, on diabolise sans fin, sur tous les medias, le populaire plus que jamais travesti en "populisme"!
Toujours cette "part maudite" décrite par g. Agamben dans "homo sacer" qui peine à le faire émerger en sujet historique...
Il est temps d'accélérer et de changer d'imaginaire social, trouvez pas?
Ce n’est pas un noir ou un métis sur la première photo avec ses cheveux gris?
Merci pour cette chronique. Puisqu'il y est question d'esclavage, difficile de ne pas mentionner les images récentes de CNN de migrants mis en esclavage en Libye, dont la presse se fait largement écho ce matin.
Et puisqu'il s'agit ici de réfléchir aux images, on pourrait se demander pourquoi ce sont les images de CNN qui déclenchent un début de prise de conscience, alors que la presse écrite en a parlé depuis plusieurs mois, avec des détails terrifiants (ici par exemple)
Visibilité, invisibilité, hiérarchie...
Et puisqu'il s'agit ici de réfléchir aux images, on pourrait se demander pourquoi ce sont les images de CNN qui déclenchent un début de prise de conscience, alors que la presse écrite en a parlé depuis plusieurs mois, avec des détails terrifiants (ici par exemple)
Visibilité, invisibilité, hiérarchie...
Et pendant ce temps là......Valls et Charlie déraillent complètement sur Plenel,la république en marche piétine le CNR....etc etc etc.
Et on nous parle de Bern ..... AIE AIE AIE AIE!!!!!!
Et on nous parle de Bern ..... AIE AIE AIE AIE!!!!!!
a quoi sers cette phrase 'Une miette, comme cette visite surréaliste de Sa Bernitude au musée de l'Histoire vivante de Montreuil, au milieu des portraits de Lénine et des bustes de Robespierre, sous le haut patronage prolétarien du député local, Alexis Corbière.' a part parler de Corbiere en bourgeois (haut patronage ..) et moqueur (prolétarien) , vraiment Daniel l' anti FI de votre équipe deviens débile. Vous ne dite rien de l'émission avec Alexis, juste un soupçon de mépris, comme si JLM ou des insoumis avions besoin de prendre des cours d'histoire chez Bern/Deutch , franchement y a mieux aux Insoumis.
Il fut du "grand dîner" à la Rotonde, le luxembourgeois. Dès le départ, il soutint son grand ami Macron. Le voilà récompensé! L'émission d'hier soir était conforme à ses habitudes...Comment l'imaginer en train de dénoncer l'énorme injustice de l'époque? Plein de componction, d'admiration béate, de bêtise en somme.
la plupart des reportages "historiques" sur "nos" rois nous indiquent quels châteaux ils ont construits. Avec leurs petites mains? Ce genre d'expressions contribue à l'invisibilité. Et ça continue de me gonfler menu menu.
"Berner est le premier échelon de la perfidie "
Puisqu'on parle de roitelet, E. Macron a fait un discours sur la politique de la ville, hier à Tourcoing. Il y a dit notamment : "Je traiterai toujours les habitants de la ville comme des habitants de la République, des citoyens à part entière. Je veux que nous réussissions, j'ai besoin de vous."
Découpons cette phrase.
1/ "Je traiterai toujours les habitants de la ville comme des habitants de la République, des citoyens à part entière." Quelle mansuétude de notre [s]miss France[/s] bon roi. Il est contre la discrimination et l'exclusion de certains de ses sujets. Voilà qui méritait d'être précisé. Peut-être même qu'il trouve que la guerre, c'est pas cool (quoique, j'ai un petit doute, Paris vaut bien une messe, et la grandeur nationale vaut bien l'envoi d'un drone).
2/ "Je veux que nous réussissions, j'ai besoin de vous." On remarquera le subtil enchaînement des pronoms personnels et leur place dans les propositions. "Je" est deux fois sujet. "Je" commence par vouloir une réussite collective dans laquelle il s'inclut. Laquelle ? Une remontée de la France aux concours de [s]bi...[/s] PIB ? Possible. Un retour de services publics sous-financés dans les quartiers délaissés ? Certainement pas.
Ce qui est certain, c'est que "Je" est un chef, mais un chef humble. Il est conscient que, sans ceux qui ne sont rien, il n'atteindra pas ses incertains objectifs. "Je" a donc besoin de "vous". Car ces objectifs, ce sont bien les siens, pas ceux des habitants. Dans la plus pure veine [s]pétainiste[/s] gaulliste, ce n'est pas le chef qui se met au service d'une population délaissée, mais une population délaissée qui doit servir la grandeur du chef.
Cette bouillie de phrases résume bien l'essence du macronisme : vide conceptuel, arrogance, focalisation sur des indicateurs pourris, mépris, césarisme autoritaire.
Vive le roi !
Découpons cette phrase.
1/ "Je traiterai toujours les habitants de la ville comme des habitants de la République, des citoyens à part entière." Quelle mansuétude de notre [s]miss France[/s] bon roi. Il est contre la discrimination et l'exclusion de certains de ses sujets. Voilà qui méritait d'être précisé. Peut-être même qu'il trouve que la guerre, c'est pas cool (quoique, j'ai un petit doute, Paris vaut bien une messe, et la grandeur nationale vaut bien l'envoi d'un drone).
2/ "Je veux que nous réussissions, j'ai besoin de vous." On remarquera le subtil enchaînement des pronoms personnels et leur place dans les propositions. "Je" est deux fois sujet. "Je" commence par vouloir une réussite collective dans laquelle il s'inclut. Laquelle ? Une remontée de la France aux concours de [s]bi...[/s] PIB ? Possible. Un retour de services publics sous-financés dans les quartiers délaissés ? Certainement pas.
Ce qui est certain, c'est que "Je" est un chef, mais un chef humble. Il est conscient que, sans ceux qui ne sont rien, il n'atteindra pas ses incertains objectifs. "Je" a donc besoin de "vous". Car ces objectifs, ce sont bien les siens, pas ceux des habitants. Dans la plus pure veine [s]pétainiste[/s] gaulliste, ce n'est pas le chef qui se met au service d'une population délaissée, mais une population délaissée qui doit servir la grandeur du chef.
Cette bouillie de phrases résume bien l'essence du macronisme : vide conceptuel, arrogance, focalisation sur des indicateurs pourris, mépris, césarisme autoritaire.
Vive le roi !
Il est question d'un château, on parle donc du château .
Quel était le statut des travailleurs qui ont participé à la construction du château ?
Au détour d'un article, on relève cette phrase : "Quand débute le chantier du château, au début des années 1660, la plupart des matériaux proviennent de Versailles et de ses environs. Les travailleurs également, réquisitionnés dans les villages et les hameaux voisins. Très vite cependant, compte tenu de l'ampleur du projet, les sources d'approvisionnement en hommes et en matières premières sont, à l'initiative de Colbert, élargies à toute la France. Des bataillons entiers de travailleurs arrivent ainsi du Limousin, de Normandie ou du Massif Central……"
Que signifie "travailleurs réquisitionnés" ?
Il y a là déjà tout un sujet de recherche .
Versailles a été construit dans des marais : ceux qui travaillent sur le chantier contractent le paludisme et les accidents sont nombreux .
Selon un autre article trouvé en ligne : "Tous les matins, le spectacle est hallucinant : ballet de charrettes pour ramasser les morts sur le chantier. »
Sur les 36 000 travailleurs* qui ont participé à la construction du château de Versailles, combien y ont trouvé la mort ?
* Sans oublier tous ceux qui ont oeuvré à la construction des matériaux et à leur transport ....
Quel était le statut des travailleurs qui ont participé à la construction du château ?
Au détour d'un article, on relève cette phrase : "Quand débute le chantier du château, au début des années 1660, la plupart des matériaux proviennent de Versailles et de ses environs. Les travailleurs également, réquisitionnés dans les villages et les hameaux voisins. Très vite cependant, compte tenu de l'ampleur du projet, les sources d'approvisionnement en hommes et en matières premières sont, à l'initiative de Colbert, élargies à toute la France. Des bataillons entiers de travailleurs arrivent ainsi du Limousin, de Normandie ou du Massif Central……"
Que signifie "travailleurs réquisitionnés" ?
Il y a là déjà tout un sujet de recherche .
Versailles a été construit dans des marais : ceux qui travaillent sur le chantier contractent le paludisme et les accidents sont nombreux .
Selon un autre article trouvé en ligne : "Tous les matins, le spectacle est hallucinant : ballet de charrettes pour ramasser les morts sur le chantier. »
Sur les 36 000 travailleurs* qui ont participé à la construction du château de Versailles, combien y ont trouvé la mort ?
* Sans oublier tous ceux qui ont oeuvré à la construction des matériaux et à leur transport ....
Bonjour
Hélas Daniel le bon peuple de l'époque regardait déjà BFM qui leur disait qu'ils n'avaient pas à se plaindre, regardez comme le roi a des malheurs !!!
Hélas Daniel le bon peuple de l'époque regardait déjà BFM qui leur disait qu'ils n'avaient pas à se plaindre, regardez comme le roi a des malheurs !!!
L'Histoire en bern en quelque sorte.
Je sais pas pourquoi je louche sur la corde du premier de cordée.
Je sais pas pourquoi je louche sur la corde du premier de cordée.
Mathilde lui taillera peut-être un costume en peau de peuple...si elle en a l'envie.
Mais, qu'est ce Bern?
Un somnifère jupitérien qui d'après les programmes était opposé à une adrénaline footbalistique.
Les vieux se sont endormis.
Les jeunes buvaient de la bière.
Cette programmation était très "disruptive".
Mais, qu'est ce Bern?
Un somnifère jupitérien qui d'après les programmes était opposé à une adrénaline footbalistique.
Les vieux se sont endormis.
Les jeunes buvaient de la bière.
Cette programmation était très "disruptive".
Une phrase du livre "Racines" éminemment pertinente : Ce ne sont pas des esclaves que l'on emmenait d'Afrique, mais des Hommes. Ils devenaient esclaves à leur arrivée en Amérique.
Et il est tout à fait naturel que Bern soit nommé rédacteur en chef du Nouveau Roman National par le premier de cordée qui ruisselle sur la France d'en bas, celle des jaloux, cyniques et fainéants.
On enseignera que c'est François 1er qui a instauré la langue française comme langue nationale ? Ou cette maudite révolution qui a coupé des têtes de la France d'en haut ?
Et il est tout à fait naturel que Bern soit nommé rédacteur en chef du Nouveau Roman National par le premier de cordée qui ruisselle sur la France d'en bas, celle des jaloux, cyniques et fainéants.
On enseignera que c'est François 1er qui a instauré la langue française comme langue nationale ? Ou cette maudite révolution qui a coupé des têtes de la France d'en haut ?
"On a les politiques qu'on mérite." "On a les journaleux qu'on mérite." On peut bien ajouter "on a les historiens qu'on mérite".
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur