Bidonnages du Spiegel : mises à pied et nouveaux soupçons
L'affaire n'en finit pas. Un peu plus de deux semaines après avoir révélé que l'un de ses reporters stars, Claas Relotius, avait bidonné plusieurs de ses reportages, le Spiegel a mis à pied deux rédacteurs en chef. Et se demande si Relotius n'aurait pas détourné des dons à l'intention d'orphelins syriens.
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Commentaires préférés des abonnés
Un sujet très peu médiatisé malgré son importance. C'est donc bien que ASI en parle.
Mais parler de "bidonnages" est un doux euphémisme. Si vous n'employez pas le terme de fake news (terme qui est sur toutes les lèvres des journalistes mainstream(...)
je crois qu'@si préfère le mot bidonnage parce que le terme "Fake news" a tendance a s'appliquer a l’actualité plutôt qu'a un reportage de fond.
il s'agit bien de fake news en soit mais l'objet il me semble ici n'est pas la man(...)
Derniers commentaires
Un complément intéressant: c'est vrai parce que c'est beau; où comment la pensée du publicitaire change la pensée du journaliste.
c'est quoi cette phrase bateau ?'écrit l'hebdomadaire, rajoutant une pierre à cette histoire qui n'en finit plus.' un élément de langage ?? il a grugé et volé, en quoi ca fini pas ? que ceux qui se sont planté en l'embauchant soient virés, normale vu leur paye, ils peuvent assumer leurs erreurs, quand, quand un GJ se trompe d'un mot, n'a pas toute les infos pour reagir 'correctement', il devient qq a abattre. Alors que des chroniquer.se se moquent ouvertement des 'gens' abstentionnistes .. ca n'en fini pas n'ont plus la liste de vos excactions, et maintenant on a droit a de l'ecriture bateau, ca fait plusieurs mois que je remarque ces phrases, bientot on aura les dictions .. ca vole haut @SI.
Un sujet très peu médiatisé malgré son importance. C'est donc bien que ASI en parle.
Mais parler de "bidonnages" est un doux euphémisme. Si vous n'employez pas le terme de fake news (terme qui est sur toutes les lèvres des journalistes mainstream), alors il y a de quoi se poser des questions.
Ce "journaliste" était soutenu par tout le monde, a reçu des récompenses. Et après on va nous parler des Russes...