Ah les bourgeois... toujours persuadés que, pour eux, c'est pas foutu pareil ; c'est forcément mieux.

Pour des prolos, ça serait un vulgaire détournement de mineur par personne détenant une autorité qui aurait mérité l'intervention de la justice.

Pour (...)

Il faut se réjouir de l'heureuse évolution des moeurs en France.

En 1969, Gabrielle Russier se suicide.

Cinquante ans plus tard, elle aurait un bureau à l'Elysée.

Catherine Nay léchait déjà les bottes de Giscard. Elle aime les puissants, surtout  de droite. 

Quant à Brigitte,  Jupiter et sa cour , heureusement pour eux que la guillotine n'existe plus. 

Les recettes marmiton, ça fait peuple. U(...)

Merci !

Ces medias bien de droite qui se vautrent dans la flagornerie... ca avait commencé avec Carlita et Nico chez Mickey. Les people, encore une diversion et de faux debats entre suppletifs  - voire la cour -  de  ce pouvoir quasi monarchique. Pendant ce temps à Gaza ou à l'est de l'Ukraine on est très loin des embrassades. Le groupe Lagardère, Europe 1, Cnews, bref BolloNews qui fait la promo du couple   Macron... etonnant quand meme vu que ledit Macron est un adversaire politique des aemmouroïdes, enfin en theorie.  Je suis un peu paumé, jai la nausée, mince je viens de regurgiter mon quatre heures... dur à digérer ce glaireux oeuf cru...

Je ne retrouve pas le numéro de Paris match relatant le courage dont avait du faire preuve ,aussi, une autre "première dame" dans sa vie amoureuse, d'avant l'Elysée ..passant du pére au fils ..en oubliant le saint esprit , il est vrai !

Avec tout ça, on ne sait pas le plus intéressant : quelle est la recette des oeufs à la coque de Brigitte ? 

Affligeant... 

Et le gros coup de photoshop à la une de Paris-Match. On a l'impression qu'elle a 15 ans de moins !

Catherine Nay quant à elle est plus liftée qu'un service de Rafael Nadal, c'est dire !

Bref, Paris-Match dégouline une fois de plus de complaisance à l'égard des puissants. Le plus triste c'est de voir tous ses lecteurs qui se font avoir en l'achetant.

"Brigitte ne précise pas si elle beurre ses mouillettes."

S'il beurrait ses mouillettes lui-même ça nous ferait une belle contrepèterie.

Paris match n'est pas Stendhal , il manque la partie parents de macron ...Dommage , un peu d'adversité et cabana lavait le plateau a grandes eaux . Est ce qu'on a le droit de les nourrir ? Ça mange quoi , des cacahouètes ? 

C'est quand je lis ce genre de chose que je suis bien content de ne plus regarder la tv ni de lire la presse autre qu'indépendante (dont ASI bien évidemment :) )... mon coeur de trentenaire (bientôt 40), pourtant en parfait état, ne tiendrait pas...

Je sais pas si c'est si révélateur que ça, depuis 2017 voire avant tout le monde en France sait très bien tout ce qu'il y a à savoir sur leur rencontre et écart d'âge, assez normal que la presse s'adressant à nous ne perde pas son temps à le rappeler sans cesse (m'enfin à ce stade faudrait minimum qu'elle confirme que Brigitte était bien son frère pour parvenir à surprendre quelqu'un), tandis que l'étrangère peut se dire qu'elle peut encore avoir quelques lecteurs qui ne connaissent pas cette information "capitale".

Si il était un bon président, on s'en ficherait. On s'en fiche donc.

La presse française est faux-cul, sauf un journaliste! La presse anglaise n'agit pas par honnêteté, c'est son goût pour tout ce qui est malsain, non?

Déférentielle: ça n'existe pas! Pas grave on devine quoi.

Merci pour ce moment de détente (même si le sujet n'est pas anodin). Ça fait du bien en ce moment.

Un rappel : madame était professeure et monsieur élève chez les jésuites, au lycée La Providence à Amiens. 

Le baratin de Paris Match est un plagiat du roman " Les mal partis " de Sébastien Japrisot.

En 1944, à Marseille, Denis, un adolescent de 14 ans, termine sa classe de 3^e dans un collège de Jésuites. À l'occasion d'une visite aux malades d'un hôpital, il remarque sœur Clotilde, une jeune religieuse qui n'est pas insensible à son charme. Leur amitié grandit jusqu'à ce que la mère supérieure comprenne que leur relation évolue vers un sentiment amoureux. Malgré les conseils de leur entourage respectif et une séparation imposée, les deux jeunes gens cèdent à leur passion ... (Wikipédia)

La réalité dépasse souvent la fiction. Dans Paris Match, elle se finit mieux que dans le livre et le film. Tant mieux pour eux. " Mais cela ne nous regarde pas "

Le plus grave, c'est que la perversité de Macron prend sans doute racine dans cet épisode amoureux et sexuel entamé à son plus jeune âge avec Madame.

Décidément, ce portrait de Brigitte est au moins autant le portrait d'une presse Française bien soumise et déférente envers le pouvoir.

Je ne sais pas lequel de ces deux portraits me navre le plus. Les deux sûrement.

Je ne savais pas que BriBri était une spécialiste de la  mouillette 

Félicitations  !!!!

Cette histoire n'est pas ce qui m'importe concernant Macron. Le sujet est d'abord politique. Mais il faut reconnaitre que c'est bizarre.

Catherine Nay léchait déjà les bottes de Giscard. Elle aime les puissants, surtout  de droite. 

Quant à Brigitte,  Jupiter et sa cour , heureusement pour eux que la guillotine n'existe plus. 

Les recettes marmiton, ça fait peuple. Un peuple qu'ils ne connaissent pas comme l'écrivait Ruffin. 

Eux se font plutôt servir. 

Il faut se réjouir de l'heureuse évolution des moeurs en France.

En 1969, Gabrielle Russier se suicide.

Cinquante ans plus tard, elle aurait un bureau à l'Elysée.

Ah les bourgeois... toujours persuadés que, pour eux, c'est pas foutu pareil ; c'est forcément mieux.

Pour des prolos, ça serait un vulgaire détournement de mineur par personne détenant une autorité qui aurait mérité l'intervention de la justice.

Pour des bourgeois, c'est un déchirante histoire d'amour sans qu'il soit possible d'y voir le moindre mal car ils sont libres et heureux n'est-ce pas ?

Pour les prolos, l'alcool, c'est l'alcoolisme.

Pour les bourgeois, l'alcool, c'est social et mondain.

Pour les prolos, l'argent, ils ne savent pas quoi en faire et l’utilisent mal.

Pour les bourgeois, l'argent c'est juste normal et toujours utilisé à propos, pour le bien commun même.

C'est les gens d'en bas,c'est un détournement de mineur,point barre.