Bygmalion : "Avec Internet, ce n'est plus possible de déprogrammer"
Les dépassements des frais de campagne présidentielle, les conditions de travail dans les plantations africaines de Vincent Bolloré, les conditions de fabrication de bottines de luxe, autant de sujets sur lesquels il est déjà difficile d'enquêter quand on est journaliste de presse écrite. Mais avec une caméra, la difficulté est encore plus grande. Et pourtant, c'est possible, comme en témoigne depuis plusieurs années un petit nombre d'enquêteurs télé. A l'exemple de Tristan Waleckx, notre invité d'aujourd'hui, journaliste à Envoyé Spécial.
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Derniers commentaires
Rappel twitté de Tristan Waleckx : Pour la diffusion d'un reportage sur F2, ce même Bolloré estime sont préjudice à 50 000 000 €.
Encore plus inutile et hors cadre la présence de la chroniqueuse humoriste dans la suite de l'émission. Je préfère les absences de confusion entre chronique humoristique et travail journalistique
En suite je sais que c'est à la mode sur les médias, mais doit-on mettre un humoriste partout et à toute la sauce : j'en doute sans être un pisse-froid toutefois !
Oceane... bof, ce qui m'a fait rigoler: les yeux rieurs de Tristan Waleckx
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PS. Et que devient donc Didier Porte ?
Giangi
A-t-on des nouvelles de ce procès ?
(Bolloré, la grenouille de bénitier qui met le sulfureux Morandini à i-Télé. Les sentiments c'est un truc, les affaires c'est autre chose)