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Carte de presse supprimée pour l'intermittente Pascale Clark
"Ce soir, je vais vous parler de ma vie." Ce n'était pas un auditeur intervenant lors d'une libre-antenne qui s'exprimait ainsi, lundi 9 mars à 21h sur l'antenne de France Inter, mais bien la journaliste Pascale Clark. Ou ex-journaliste ? Une lettre adressée par la Commission de la carte d'identité des journalistes professionnels (CCIJP) lui a notifié, samedi, que sa carte de presse ne lui serait pas renouvelée en 2015.
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Derniers commentaires
Pauvre choute !
Quand elle aura fini de pleurer dans les médias qui lui ouvrent complaisamment leur porte, elle aura peut-être un peu de temps pour ouvrir un dico et regarder le sens du mot "décence"... Combien de chômeurs a-t-elle invités dans ses émissions, et surtout laissés parler ? A combien de réelles victimes d'injustices a-t-elle donné la parole ? Ah ben non, c'était juste pas possible parce que madame ne fait pas dans le populisme qu'elle nous ressort dès qu'on parle justice sociale...
Geindre à France Inter, couiner sur Canal, qui est le prochain ? Qui croit-elle émouvoir ? Au cas où elle ne le saurait pas, il y a des problèmes plus criants en France que le renouvellement de sa carte de presse. A force de tourner en milieu fermé, (avec exception notable pour le monde politique qu'il aime à côtoyer) le monde médiatique ne s'est toujours pas rendu compte que le mépris dont il fait preuve à l'égard des auditeurs, lecteurs ou spectateurs est aussi grandement responsable de ce qui va se passer dimanche prochain. Feront-ils, à cette occasion, preuve d'une once d'autocritique ? J'aimerais bien, mais force est de constater que ce n'est pas vraiment leur genre.
Quand elle aura fini de pleurer dans les médias qui lui ouvrent complaisamment leur porte, elle aura peut-être un peu de temps pour ouvrir un dico et regarder le sens du mot "décence"... Combien de chômeurs a-t-elle invités dans ses émissions, et surtout laissés parler ? A combien de réelles victimes d'injustices a-t-elle donné la parole ? Ah ben non, c'était juste pas possible parce que madame ne fait pas dans le populisme qu'elle nous ressort dès qu'on parle justice sociale...
Geindre à France Inter, couiner sur Canal, qui est le prochain ? Qui croit-elle émouvoir ? Au cas où elle ne le saurait pas, il y a des problèmes plus criants en France que le renouvellement de sa carte de presse. A force de tourner en milieu fermé, (avec exception notable pour le monde politique qu'il aime à côtoyer) le monde médiatique ne s'est toujours pas rendu compte que le mépris dont il fait preuve à l'égard des auditeurs, lecteurs ou spectateurs est aussi grandement responsable de ce qui va se passer dimanche prochain. Feront-ils, à cette occasion, preuve d'une once d'autocritique ? J'aimerais bien, mais force est de constater que ce n'est pas vraiment leur genre.
C'est parfaitement scandaleux et injuste de retirer sa carte de Presse à Pascale Clark.
C'est à une journaliste exemplaire qu'on s'en prend, qui, chaque fois que l'occasion se présente, ne manque jamais de faire du Mélenchon-bashing à l'antenne de France-Inter.
Ce geste fort de solidarité avec ses collègues de la Presse, sans arrêt injustement attaqués de la manière veule qui lui est propre par l'éructant Mélenchon, n'est-il pas la plus évidente des preuves d'attachement à son état de journaliste?
RENDEZ SA CARTE DE PRESSE A PASCALE CLARK!
C'est à une journaliste exemplaire qu'on s'en prend, qui, chaque fois que l'occasion se présente, ne manque jamais de faire du Mélenchon-bashing à l'antenne de France-Inter.
Ce geste fort de solidarité avec ses collègues de la Presse, sans arrêt injustement attaqués de la manière veule qui lui est propre par l'éructant Mélenchon, n'est-il pas la plus évidente des preuves d'attachement à son état de journaliste?
RENDEZ SA CARTE DE PRESSE A PASCALE CLARK!
Depuis le temps qu'elles n'ont pas du servir leurs cartes à ces deux là...
L'intermittence n'est pas un statut, ni un métier, c'est un régime spécifique qui concerne un certain nombre de professions qui alternent cdd et allocations chômage. Le journalisme est un métier qui ne nécessite pas la possession d'une carte de presse, il suffit d'avoir la qualification "journaliste" inscrite sur le bulletin de paye.
Heureusement, on n'a pas retirée la carte de presse à Jean-Marc MORANDINI ...
Comme quoi la CCIPJ sait reconnaître les vrais journalistes.
CQFD.
PatriceNoDRM
Comme quoi la CCIPJ sait reconnaître les vrais journalistes.
CQFD.
PatriceNoDRM
Le fonctionnement de l'essentiel des médias est strictement répugnant :
L'ensemble du système est entre les mains d'oligarques (je ne donne pas les noms, tout le monde les connaît), barons du régime au fonctionnement mafieux, qui imposent leurs choix, squattent les antennes, se remplissent les poches à en crever (sur le dos du contribuable, s'agissant du service prétendu public) et maintiennent une piétaille pléthorique, corvéable à merci dans dans la plus totale précarité et dans une quasi-misère.
C'est très facile, ce monde de paillettes et de fausses stars fait rêver des milliers d'ahuris, prêts à tout pour s'approcher de l'autel. Et surtout aux pires compromissions.
Naturellement tout ce petit monde ne cesse de donner des leçons de morale et d'éthique : quand on est spécialiste il est normal de faire partager son savoir et son expérience.
Accessoirement on fait appel à la charité publique, pour bien montrer une générosité qui ne coûte rien à ceux qui la prônent, mais leur rapporte beaucoup en terme d'image (et de présence à l'antenne pour les seconds couteaux sur le retour)
Naturellement la moindre émission emploie une armée de gens : la star (moule solidement accrochée à son rocher), quelques sous-fifres privilégiés chargés de faire gratter la valetaille des intermittents, et enfin les esclaves modernes, corvéables à merci, qui ont suffisamment la trouille de ne rien avoir à bouffer le mois prochain pour faire ce qu'on leur dit, vite fait sur le gaz et sans rouspéter.
Ce tableau hideux est encore en dessous de la réalité, je peux l'affirmer et tout ceux qui ont approché les feux de cette rampe le savent aussi bien que moi !
Restent lémédias privés, fournisseurs de jeux du cirque au rabais, d'abrutissement général et d'assassinats par négligence. Qui peut croire que les hélicoptères et les pilotes de "Dropped" n'étaient pas au rabais, afin de limiter les frais et de maximiser les profits du nécessiteux Martin Bouygues. Pas moi en tout cas !
Et je viens d'apprendre le fond de l'ignominie : les trois sportifs, dont Florence Artaud avaient les yeux bandés dans l'hélicoptère, comme les condamnés attachés au poteau d'exécution. Ils sont morts comme du bétail conduit à l'abattoir. Un détail dans le palmarès mortifère du bétonneur multi-milliardaire !
J'y pense soudain : il y a trente ans que je ne regarde plus TF1. Par principe. Si tout le monde faisait comme moi cette abjecte officine fermerait ses portes dans la semaine, non ? Vous commencez quand ?
PG
L'ensemble du système est entre les mains d'oligarques (je ne donne pas les noms, tout le monde les connaît), barons du régime au fonctionnement mafieux, qui imposent leurs choix, squattent les antennes, se remplissent les poches à en crever (sur le dos du contribuable, s'agissant du service prétendu public) et maintiennent une piétaille pléthorique, corvéable à merci dans dans la plus totale précarité et dans une quasi-misère.
C'est très facile, ce monde de paillettes et de fausses stars fait rêver des milliers d'ahuris, prêts à tout pour s'approcher de l'autel. Et surtout aux pires compromissions.
Naturellement tout ce petit monde ne cesse de donner des leçons de morale et d'éthique : quand on est spécialiste il est normal de faire partager son savoir et son expérience.
Accessoirement on fait appel à la charité publique, pour bien montrer une générosité qui ne coûte rien à ceux qui la prônent, mais leur rapporte beaucoup en terme d'image (et de présence à l'antenne pour les seconds couteaux sur le retour)
Naturellement la moindre émission emploie une armée de gens : la star (moule solidement accrochée à son rocher), quelques sous-fifres privilégiés chargés de faire gratter la valetaille des intermittents, et enfin les esclaves modernes, corvéables à merci, qui ont suffisamment la trouille de ne rien avoir à bouffer le mois prochain pour faire ce qu'on leur dit, vite fait sur le gaz et sans rouspéter.
Ce tableau hideux est encore en dessous de la réalité, je peux l'affirmer et tout ceux qui ont approché les feux de cette rampe le savent aussi bien que moi !
Restent lémédias privés, fournisseurs de jeux du cirque au rabais, d'abrutissement général et d'assassinats par négligence. Qui peut croire que les hélicoptères et les pilotes de "Dropped" n'étaient pas au rabais, afin de limiter les frais et de maximiser les profits du nécessiteux Martin Bouygues. Pas moi en tout cas !
Et je viens d'apprendre le fond de l'ignominie : les trois sportifs, dont Florence Artaud avaient les yeux bandés dans l'hélicoptère, comme les condamnés attachés au poteau d'exécution. Ils sont morts comme du bétail conduit à l'abattoir. Un détail dans le palmarès mortifère du bétonneur multi-milliardaire !
J'y pense soudain : il y a trente ans que je ne regarde plus TF1. Par principe. Si tout le monde faisait comme moi cette abjecte officine fermerait ses portes dans la semaine, non ? Vous commencez quand ?
PG
Carte de presse, le sésame de la profession pour se glisser dans les événements mondains, repas du Siècle, cocktails à Cannes etc. pour les mauvaises langues.
En plus bien sûr de servir à couvrir les principaux événements politiques, les mêmes en général où accourent les journalistes mainstream : le groupe de professionnels des medias regroupés dans la charrette derrière Sarko avaient-ils tous leur carte de presse ? Dans ce cas non plus ça ne vaut pas grand'chose.. C'est toute la presse française qui est en crise, malgré quelques initiatives heureuses comme ici. Mais les faiseurs d'opinion, Cohen an Co. ont passé leur temps.
À propos de presse, le journal en ligne Mediapart est en train de subir une bronca de la part ses lecteurs, suite à un article un peu salé sur Mélenchon par deux journalistes, qui du fait du participatif, n'y sont pas les plus plébiscités en ce moment...
Mediapart, Mélenchon et Poutine: quelques mises au point
09 mars 2015 | Par François Bonnet
Deux de nos journalistes auraient donc commis un « parti pris » infâme, dégradant et diffamatoire à l'encontre de Jean-Luc Mélenchon. Suite logique de notre obsession anti-Poutine, de notre soutien subliminal au PS et de notre alignement inconditionnel à « l'Empire états-unien », assurent nos contempteurs. Explications.
http://www.mediapart.fr/journal/international/090315/mediapart-melenchon-et-poutine-quelques-mises-au-point
Plus de 1500 commentaires, du jamais vu ! Le retour de boomerang du Web.2 ??
En plus bien sûr de servir à couvrir les principaux événements politiques, les mêmes en général où accourent les journalistes mainstream : le groupe de professionnels des medias regroupés dans la charrette derrière Sarko avaient-ils tous leur carte de presse ? Dans ce cas non plus ça ne vaut pas grand'chose.. C'est toute la presse française qui est en crise, malgré quelques initiatives heureuses comme ici. Mais les faiseurs d'opinion, Cohen an Co. ont passé leur temps.
À propos de presse, le journal en ligne Mediapart est en train de subir une bronca de la part ses lecteurs, suite à un article un peu salé sur Mélenchon par deux journalistes, qui du fait du participatif, n'y sont pas les plus plébiscités en ce moment...
Mediapart, Mélenchon et Poutine: quelques mises au point
09 mars 2015 | Par François Bonnet
Deux de nos journalistes auraient donc commis un « parti pris » infâme, dégradant et diffamatoire à l'encontre de Jean-Luc Mélenchon. Suite logique de notre obsession anti-Poutine, de notre soutien subliminal au PS et de notre alignement inconditionnel à « l'Empire états-unien », assurent nos contempteurs. Explications.
http://www.mediapart.fr/journal/international/090315/mediapart-melenchon-et-poutine-quelques-mises-au-point
Plus de 1500 commentaires, du jamais vu ! Le retour de boomerang du Web.2 ??
Je regrette le choix de Pascale Clarke de passer des disques plutôt que d'organiser un vrai débat sur la question de l'attribution de la carte de presse...effectivement c'est un hold-up de l'antenne pour sa cause personnelle!
Je suis journaliste et je n'ai pas la carte de presse, je ne m'en considère pas moins comme journaliste. Je n'ai tout simplement pas fait la demande à la commission parce 1) trop de paperasse (pigiste mal payé travaillant aussi sur factures pour des médias parfois reconnus, parfois pas, je rentre difficilement dans leurs cases) 2) car je n'en ai pas réellement besoin... (je vis à l'étranger, et même en France cela a peu d'utilité)
Malgré tout j'aimerais bien que la commission revoit ses conditions. Nous sommes bcp de jeunes journalistes à travailler avec un statut d'auto-entrepreneur ou de pigistes qui avons une activité non journalistique qui nous sert à joindre les deux bouts. Deux conditions qui nous excluent du droit à la carte. Heureusement, celle-ci n'est pas une carte professionnelle qui donne le droit à excercer (comme le sous-entend faussement P. Clarke). Je fais mon métier comme je l'ai toujours fait et on me demande jamais ma carte pour cela.
Ce que je déplore, c'est que dans l'idée, la carte de presse est une "reconnaissance par les pairs". Dans la situation actuelle, si l'on est précaire, peu importe la qualité du travail que l'on fait, on n'est pas reconnu...
Je suis journaliste et je n'ai pas la carte de presse, je ne m'en considère pas moins comme journaliste. Je n'ai tout simplement pas fait la demande à la commission parce 1) trop de paperasse (pigiste mal payé travaillant aussi sur factures pour des médias parfois reconnus, parfois pas, je rentre difficilement dans leurs cases) 2) car je n'en ai pas réellement besoin... (je vis à l'étranger, et même en France cela a peu d'utilité)
Malgré tout j'aimerais bien que la commission revoit ses conditions. Nous sommes bcp de jeunes journalistes à travailler avec un statut d'auto-entrepreneur ou de pigistes qui avons une activité non journalistique qui nous sert à joindre les deux bouts. Deux conditions qui nous excluent du droit à la carte. Heureusement, celle-ci n'est pas une carte professionnelle qui donne le droit à excercer (comme le sous-entend faussement P. Clarke). Je fais mon métier comme je l'ai toujours fait et on me demande jamais ma carte pour cela.
Ce que je déplore, c'est que dans l'idée, la carte de presse est une "reconnaissance par les pairs". Dans la situation actuelle, si l'on est précaire, peu importe la qualité du travail que l'on fait, on n'est pas reconnu...
Pour avoir de bons chiens de garde, il faut un dispositif cohérent :
des écoles de dressage, de bonnes croquettes, des laisses souples mais solides (les multiples formes de statut précaire) et de bons colliers (les fameuses cartes de presse).
Un élément fait défaut ? L'animal risque de rugir et même parfois de mordre son maître...
S'il en venait à cette extrémité, il reste la fourrière...
des écoles de dressage, de bonnes croquettes, des laisses souples mais solides (les multiples formes de statut précaire) et de bons colliers (les fameuses cartes de presse).
Un élément fait défaut ? L'animal risque de rugir et même parfois de mordre son maître...
S'il en venait à cette extrémité, il reste la fourrière...
Est-ce que l'équipe d'ASI pourrait nous expliquer pourquoi cela semble si important pour les journalistes d'avoir une carte professionnelle ? Après tout, il y a plein de professions qui n'en ont pas et qui n'en sont pas moins reconnues.
Pour la reconversion de Cohen et Clark, je suggère une télé-réalité sur TF1
Si les diffuseurs assurent faire un effort pour requalifier certains postes en CDI, le nombre d'employeurs d'intermittents dans le secteur de l'audiovisuel était, en 2013, en hausse de 6,9%.
Peut-être que les diffuseurs ont besoin qu'on les motive un peu dans leurs "efforts" : quelques visites de l'Inspection du Travail leur feraient le plus grand bien, non ? Pourquoi c'est pas déjà fait, alors que cette fraude généralisée est connue depuis des années ?
Peut-être que les diffuseurs ont besoin qu'on les motive un peu dans leurs "efforts" : quelques visites de l'Inspection du Travail leur feraient le plus grand bien, non ? Pourquoi c'est pas déjà fait, alors que cette fraude généralisée est connue depuis des années ?
S'il est vrai que le statut d'intermittent n'est pas cumulable avec celui de journaliste professionnel, je ne comprends ni P. Clark, ni P. Cohen. Ils se trompent d'adversaire. Ils ne devraient pas critiquer (à l'antenne en plus!) la Commission de la Carte, mais s'opposer à leur employeur. Quitte à faire grève pour faire aboutir leur légitime revendication. Chiche!
Whooooah mais quel rebel ce Patrick Cohen !! Je suis époustouflé par tant d'audace. Il va courageusement défendre sa pauvre collègue - bon qui est pas du tout en conformité mais bon...
Quel injustice! Vraiment. France Inter, avec toi, je lève le poing. Très haut. Je suis colère.
Retirer sa carte à une insoumise. Quel mépris.
Quel injustice! Vraiment. France Inter, avec toi, je lève le poing. Très haut. Je suis colère.
Retirer sa carte à une insoumise. Quel mépris.
Ces deux-là auraient des problèmes d'identité que ça ne m'étonnerait pas. Après tout, ils sont journalistes.
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