Catalogne : la TV publique espagnole accusée de partialité dans un rapport interne
En pleine crise catalane, les critiques se multiplient à l’encontre de la télévision publique espagnole accusée par ses propres journalistes de rouler pour le gouvernement central. La société des journalistes de la RTVE (l’équivalent espagnol de France Télévisions) publie le 24 octobre un rapport de 72 pages dans lequel elle égrène les cas de censures, manipulations et de manque de pluralisme de la télévision publique sur le dossier catalan.
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20 000 voix pour un siège à Lérida, 30 000 à Gérone, majoritairement indépendantistes.
Majorité des sièges sans majorité des voix. De la Catalogne aux USA, en passant par Madrid ou la France,
c'est la même histoire : la "démocratie" est organisée de telle sorte que la majorité ne peut pas avoir le pouvoir
au parlement.
Gérone et Lérida, le «bunker» nationaliste représentent 15% du recensement de la région et pourtant ils se voient attribuer 17 et 15 sièges, alors qu'ils devraient être 11 et 9 respectivement. De 20 sièges à 32.
Et là, je n'ai plus qu'à attendre de me faire traiter de fachiste et de colporter la propagande fachiste, etc.... Alors que je viens
d'écire que ce système n'est pas propre à la Catalogne mais à de nombreux pays qui se définissent comme démocratiques.
Comme d'hab, quoi.
Il a un côté macronien, genre jeune beau gosse plein d'avenir et sa représentante catalane est son pendant féminin.
Le 23 février 1981, un pseudo coup d'état a permis à Jean Charles ( les espagnols hispanisent tous les noms, y a pas de raison que je ne francise pas le sien), de se faire passer pour le défenseur de la démocratie, au moment où les Espagnols compreanient qu'ils s'étaient fait enfumer par la constitution de 1978 ( si vous votez non, on ressort les chars, dixit les militaires).
Ils avaient sans doute appris que les Italiens avaient eu droit à un référendum sur la monarchie ou la république en 1948 et qu'ils en avaient été privés. Le régime espagnol actuel est un héritage d'un coup d'état militaire illégal et illégitime, ne l'oublions pas.
Bien que les institutions régionales aient été suspendues de 1938 à 1977, les élites bourgeoises catalanes ont affiché des instincts de survie remarquables, concluant des alliances avec les forces de la droite espagnole chaque fois qu'elles jugeaient nécessaire de maintenir l'ordre. Les nationalistes conservateurs catalans ont gouverné la région pendant plus de trois décennies dans la période démocratique. Ces mêmes nationalistes ont voté en faveur d'environ la moitié des budgets nationaux durant cette période. Si des changements doivent être apportés à la structure fédérale de l'Espagne, ils ne devraient pas être fondés sur l'hypothèse erronée que la Catalogne n'a joué aucun rôle dans la politique nationale.
Il convient de rappeler que les Catalans ont joué un rôle dans la politique espagnole. Il a été, à une écrasante majorité, les élites catalanes, ce qui nous amène à un autre détail important: le nationalisme catalan n'est ni inclusif ni progressiste. La Catalogne est habitée par deux communautés culturelles, représentant chacune environ la moitié de la population. Mais en termes de revenu, de statut social et d'influence, la différence est flagrante. La population hispanophone, immigrée ou descendante de migrants économiques arrivés au XXe siècle, est en moyenne moins riche, moins instruite et moins mobilisée politiquement.
Et don't forget, google translate is your friend !
Les auteurs de l'article donné en lien travaillent comme conseillers de Ciudadanos. Ce qui est indiqué par le Guardian, et n'est pas un gage d'objectivité sur la question.
ça peut leur arriver de dire des trucs pas trop cons, même si on n'est pas d'accord avec.
Les elections ont montré que la "majorité silencieuse serait contre l'independance" est une fable, un mensonge. L'independantisme est majoritaire. Certes ciutadanos (LREM local, le parti des oligarques, de droite et d'extreme droite allié aux fachistes du PP) est le parti qui a le plus de députés (de peu, 37 deputes 25,37% des voix), mais ça vient juste du fait que les independantistes etaient représentés par 3 partis: junts per Catalunya (centre, 34 députés, 21,5%), esquerre republicana de catalunya (ERC, gauche republicaine, 32 d. 21,39%) et la CUP (candidature d'unite populaire, extreme gauche, 4d. 4.45% ). Au final, la propagande pro Ciutadanos a échoué et les partis independantistes ont 70 deputes sur 135. La majorité (relative) du peuple est independantiste sans contestation possible. Et c'est un independantisme largement a gauche, progressiste. Quand le PP et Ciutadanos sont clairement ultra liberaux et anti sociaux (comme Macron).
Maintenant reste a savoir si l'Espagne reconnaitra sa defaite et respectera la democratie. On peut en douter, vu le fachisme latent qui gouverne. Les prisonniers politiques doivent etre liberes. Leur emprisonnement (pour leurs idées politiques) est indéfendable. A moins de ne pas etre democrate, donc fachiste, il faut dire ce qui est.
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http://www.enbata.info/articles/independance-ou-pas-la-catalogne-a-mauvaise-presse/#sthash.bVqqzLXq.gbpl
"Juli Gutiérrez Deulofeu, petit-fils du mathématicien Alexandre Deulofeu a donné une conférence à l'ANC à Valls pour l'indépendance de la Catalogne, dans laquelle, selon ses dires, la Catalogne sera celle qui dominera le monde occidental pour les 1700 prochaines années. et Rome, qui l'a fait au cours des années 2000 ". Il n'en reste pas là et finit par assurer que "l'Europe est catalane".
En même temps, c'est l'ANC...
https://www.ouest-france.fr/europe/russie/selon-l-otan-moscou-interfere-en-catalogne-et-en-europe-5367419
http://www.europe1.fr/international/catalogne-madrid-alerte-lue-sur-des-manipulations-depuis-la-russie-3491459
C'est vrai que RT et les médias du même genre sont bien engagés là-dedans...
La Catalogne a profité du chaos du 1-O pour réduire les droits aux employés du monde de la santé. Alors que les catalans sont "amusés", ils continuent à faire leurs manigances. Et non, le coupable n'est pas l'état espagnol*:"Parmi les droits que les travailleurs vont perdre sont la baisse générale des salaires, l'augmentation du nombre d'heures qui composent la journée annuelle et l'abolition des primes pour la mobilité de la main-d'œuvre le même jour, ce qui signifie l'élimination de 70 euros convenu dans le cas où un travailleur doit travailler dans un centre le matin et un autre dans l'après-midi, par exemple. "
* qui n'a pourtant rien à envier en la matière
Pour celui qui suit l’actualité de la crise catalane, ce qualificatif se répète, on l’entend, on le lit quotidiennement. Franquiste est celui qui critique le « Proces » (le processus indépendantise). Franquistes sont les institutions qui ne permettent pas la sécession d’une région sans que l’ensemble du pays ne puisse se prononcer. Franquistes sont aussi ceux qui nient le qualificatif de « prisonniers politiques » aux leaders indépendantistes emprisonnées. Amnesty International est ainsi aussi franquiste, voire fasciste, lit-on dans les messages haineux diffusés dans les réseaux sociaux.
Franquistes sont aussi ces anciens opposants à Franco, qui avaient été emprisonnés, poussés à l’exil ou torturés.
Le philosophe basque Fernándo Savater a connu les prisons franquistes pendant quelques semaines, alors qu’il était étudiant à la fin des années 60. Il s’exila un certain temps en France. Plus tard, ses prises de position contre l’ETA, et les nationalismes sous toutes leurs formes, lui avaient valu des menaces de mort et il vécu 10 ans sous escorte.
Dernièrement il est allé prononcer une conférence à l’Université de Barcelone, invité par une association estudiantine hostile à l’indépendance, JSCC (la section jeunesse de la Société Civile Catalane). Un gros graffiti l’attendait : « Attention : présence possible de fascistes à l’Université en raison de la conférence organisée par la JSCC ».
On ne saura jamais qui ont été les auteurs de ce graffiti. Ce qui est à peu près sûr, c’est qu’ils n’ont jamais connu autre chose que le confort d’un état de droit démocratique, très perfectible certes, donnant manière à critiques, mais bien éloigné de ce qu’était vraiment le fascisme.
Paco Frutos ancien militant communiste, qui contribua à mettre sur pied en Catalogne le syndicat clandestin Comisiones Obreras au début des années 60, connu lui aussi les prisons de la dictature. Aujourd’hui, ses prises de positions hostiles aux thèses des nationalistes catalans lui valent régulièrement l’insulte dégradante de franquiste. Il ne se laisse néanmoins pas impressionner et prononça un discours très dur lors d’une manifestation récente contre l’indépendantisme, le 29 octobre, à Barcelone. Il se qualifie lui-même de « botifler », un terme aujourd’hui infamant, synonyme de « traître » dans les milieux nationalistes catalans :
Permettez que j’utilise un peu le langage de l’adversaire : je suis un « botifler ». Je suis un traître à des mensonges, à des histoires que vous inventez tous les jours, depuis 1714. Je suis un botifler au racisme que vous êtes en train de créer, le racisme identitaire. Je suis un botifler au dogmatisme sectaire que vous préconisez, que vous appliquez ou que vous essayez d’appliquer dans toute la société catalane. Et en plus je suis un botifler parce que je ne justifierai jamais les petites et grandes magouilles, ni celles d’ici ni celles de là-bas ; peu m’importe le qui, je n’en justifie aucune.
Que puis-je dire au sujet de ces gens qui envoient manifester à travers Barcelone des gosses de 17 ans, voire moins, avec une pancarte sur laquelle on lit « contre le franquisme », avec un photo de tout le monde et de Franco ? C’est quelque chose de misérable. Misérable. En revenant à ce terme de « botiflers », les vrais botiflers, c’est vous. Parce que vous trahissez les travailleurs, vous poussez les gens à la confrontation sans aucun motif, vous détruisez la liberté, la démocratie et la parole de ceux qui ne pensent pas comme vous.
« Moi, j’ai vraiment été un prisonnier politique » écrit dans un journal Justiano Martínez Medina, un ex dirigeant du Parti Communiste Espagnol. Lui, qui souffrit dans sa chair toute la brutalité de la répression franquiste, rajoute :
« J’ai été guerrillero, je traversais La Muga en portant sur mes épaules les planches du “Mundo Obrero” (“Monde Ouvrier”), interdit; j’ai été responsable du PCE de Murcie; j’ai été arrêté et j’ai été torturé, comme en témoignent mes vertèbres; j’ai passé 6 années en prison; j’ai crié amnistie; j’ai pardonné à mon tortionnaire. Que ceux qui n’ont fait que profiter de la liberté ne viennent pas me donner des leçons de liberté.
Tout ça n’importe pas, on me traite de fasciste. Mais le fascisme tue, et le franquisme tuait, que ces misérables sachent qu’en mentant, ils insultent la mémoire de nos morts et de nos mortes. »
« Franquiste », « franquiste », « franquiste »…
...On appelle ça la « Révolution des Sourires ».
Mais c'est que je dois décrire une réalité débile.
Amnesty International a critiqué le recours à la force excessif de la police espagnole lors du "référendum" du 1er octobre. Amnesty International a critiqué l'emprisonnement Jordi Sanchez et Jordi Cuixart, les dirigeants d'Omnium et de l'ANC. Amnesty International a critiqué les charges retenues contre eux, car il s'agirait de délits à la fois vagues dans leur définition et lourds dans leurs conséquences potentielles.
Mais Amnesty International est désormais fasciste.
Pourquoi ?
Parce qu'Amnesty International a refusé d'appliquer les qualificatifs de "prisonniers politiques" ou de "prisonniers de conscience" aux dirigeants indépendantistes emprisonnés (les deux Jordis cités plus haut plus les ex-ministres régionaux de la Generalitat). Amnesty subit donc désormais un lynchage en règle, notamment dans les réseaux sociaux.
Sur le compte Twitter d'Amnesty Espagne, c'est un torrent d'insultes et d'accusations gratuites qui s'abat désormais.
- "Vous avez fait dans votre culotte, vous craignez pour vos subventions"
- "Organisation gouvernementale fasciste"
- "Vous êtes une m... absolue (...) Vous êtes du côté des oppresseurs, avec ceux qui vous paient les subventions"
- "Accusés par un tribunal franquistes, sans garantie juridique. Vous êtes complices. Quelle indignité"
- "Vous êtes une p... de honte misérable. Et menteurs."
Voilà, comme tout ce qui se permet d'avoir le moindre désaccord avec la doctrine des nationalistes catalans, Amnesty doit dorénavant être considérée comme fasciste.
Extraits :
Le rapport évoque les pressions répétées du gouvernement catalan indépendantiste envers la presse étrangère et locale, le harcèlement des « hooligans » du mouvement indépendantiste sur les réseaux sociaux contre les journalistes critiques, les tentatives d’intimidation des foules de manifestants contre les reporters de télévision et dénonce l’atmosphère toxique qui règne autour de la liberté de la presse.
Face à la multitude de témoignages recueillis par RSF de plusieurs journalistes catalans, espagnols ou étrangers, tous victimes de harcèlement sur les réseaux sociaux initié par des proches du pouvoir, l’organisation a choisi de publier certains d’entre eux . Notre rapport souligne les pressions que subissent les médias qui ne sont pas en accord avec la ligne indépendantiste et l’hostilité à laquelle ils font face sur les réseaux sociaux.
RSF a recueilli des témoignages de correspondants étrangers en Espagne -notamment à Barcelone- qui confirment l’intérêt que portent les indépendantistes à la presse internationale et les pressions qu’ils exercent sur elle, clé de leur stratégie de visibilité.
On piétine la démocratie et tout ce qu'ils trouvent à dire c'est: "regardez comme ils sont sympa, ils donnent des gestes d'apaisement: ils emprisonnent mais avec caution de 150 000 euros à peine, vraiment trop sympa ces espagnols, c'est pas comme ces egoistes de catalans".
C'est révoltant, incroyablement scandaleux ! Ils n'ont vraiment honte de rien.
Pouf, pouf, passée comme une lettre à la poste.
On y lit, entre autres choses, que selon un ancien diplomate britannique, le parti des Ciudadanos a été financé et organisé par les services de renseignement allemands pour contrer la montée de Podemos et de l'opposition à l'austérité.
En gros, pour putschdement, c'est un retour au pays.
Lui qui rêve d'être suisse, c'est déjà ça. ( paraît qu'un Suisse est un Belge qui a fait des études). Ok, je sors
Une ou deux brèves "neutres" (5minutes pour les juifs, 5minutes pour Hitler) histoire de dire "qu'on en a parlé",
Le référendum du 21 decembre, sera-t-il une farce ? parce que des élections il y en a deja eu. Ils ont meme essayé d'empecher le referendum du 1 octobre, en grands démocrates qu'ils sont. Et à chaque fois, le camps indépendantiste sort renforcé. Là, ils veulent carrément interdire les partis indépendantistes, et faire un référendum entre eux, histoire de faire perdurer la fable de la "démocratie".
Il faut vraiment arreter de croire les gens sur parole quand ils parlent de "notre démocratie", "nos valeurs", etc. Ils se foutent de notre gueule, mais à un point.... les médias de l'oligarchie vous manipulent, comment ne pas le voir ? Pourquoi aucun e réaction ? Ce qu'il se passe en Catalogne est purement scandaleux. Tout démocrate devrait etre scandalisé et solidaire des catalans. NON aux prisonniers politiques en Europe.
Mefiez-vous, les catalans n'ont pas dit leur dernier mot, et c'est l'UE libérale, capitaliste, où les fascistes sont déguisés en démocrates, qui peut s'écrouler, sous l'effet révélateur des réactions à l'indépendance du peuple Catalan. Ca commence a etre trop flagrant.
N'oublie pas mon petit soulier...
Pendant les fêtes, les affaires continuent.
Pendant que nous croupions la dinde, les gros patrons du monde ouvraient leurs cadeaux au raout de l'OMC.
L'Organisation Mondiale du Commerce planche actuellement sur la libéralisation des services (publics) en Europe et ailleurs, soit plus de 140 partenaires commerciaux. Et l'un des secteurs les plus visés est l'éducation, qui dépense deux mille milliards d'euros, lesquels doivent tomber dans une poche: selon le précepte libéral, "toute activité humaine doit être créatrice de richesse" – privée.
"Je ne peux pas faire ça en public."
L'Accord Général sur le Commerce des Services (AGCS) se rédige actuellement à Bruxelles (Union Européenne) et Genève (OMC), dans le plus grand secret: dixit Pascal Lamy (des riches et bien portants), commissaire européen au Commerce, "je ne peux pas faire ça en public" (interview dans Les Échos).
Et l'accord devrait être valide et en marche le 31 mars 2003.
À partir de cette date, les états ne se conformant pas à l'accord seront sanctionnés d'amendes, comme ce fut déjà le cas pour les délais à la privatisation de l'énergie, par exemple. Ce qui signifie que ces secteurs échapperont à nos lois.
Dans le même temps, le gouvernement s'engage dans une décentralisation plus complète (en gros, tout sera régionalisé, sauf l'armée et les affaires étrangères). Ce qui évitera à l'état de faire face à cette perte de "souveraineté", et surtout reportera le poids des décisions et/ou des amendes sur les collectivités locales.
Impossible (secret très secret!, voir plus haut) de savoir si l'éducation est comprise dans la première vague de libéralisation, ou si le dépeçage est prévu pour (un peu) plus tard. Mais quelle région (presque toutes à droite) résistera aux sirènes (ou aux amendes) libérales?
Pour le réveillon, nous nous sommes fait fourrer.
https://www.humanite.fr/politique/un-pas-vers-l-europe-des-regions-519525
Casser les États, émietter les peuples, c’est le programme des régionalistes européens.
l’Europe des régions avance masquée
Il y a comme souvent les manipulateurs et les idiots utiles.
Pourquoi tout ce redécoupage a-t-il été fait?https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_relative_%C3%A0_la_d%C3%A9limitation_des_r%C3%A9gions,_aux_%C3%A9lections_r%C3%A9gionales_et_d%C3%A9partementales_et_modifiant_le_calendrier_%C3%A9lectoral
Les catalans veulent une république, très bien. C'est la monarchie espagnole, héritière du franquisme qui est illégitime. Les espagnols ont approuvé la constitution en 78 avec un pistolet sur la tempe.
Un référendum en Espagne ? oui, pour remettre en cause la monarchie, comme l'ont fait les Italiens en 1948.
Les journalistes qui s'offusquent aujourd'hui ne disaient rien quand leur chaîne servait de machine à propagande.
C'est comme l'administration catalane. Quand les bâtiments publics sont réauisistionnés pour organiser les référendums, les fonctionnaires qui y travaillent ont ils le droit de réprouver ? non. Ils ont plutôt intérêt à être d'accord pour garder leur poste.
Visca terra lliure ! Visca Catalunya !
les problèmes espagnols en Catalogne fabriquent tellement d'images médiatiques, que je m'étonne que l'on écrive peu sur le thème, voir rien.
Et pour le problème espagnol, du post-franquisme, il est très utile pour les tous citoyens de cette planète, et même des républiques qui se disent démocratiques dans l'ancienne Europe de l'Est comme de l'Ouest.
Dernière phrase d'un jacobin pour poursuivre la tradition des Philippe Pétain : c'est de l'humour !
"Quand fusille-t-on Carles Puigdemont ?" dixit l'humoriste Manolito Valse
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