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Ce père Noël en chocolat sauvera-t-il la presse britannique ?
Pendant que se poursuivent en France les débats théologiques sur le déclin de la presse
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Derniers commentaires
Vous reprendrez bien un peu d'anguille en gelée cher Daniel ? (ne pas confondre avec l'anguille de calbard, chère à San Antonio)
Ces British bouffent vraiment n'importe quoi, et en plus ils ont le culot de nous traiter de "froggies" sous prétexte que nous dégustons avec délice des cuisses de grenouilles (Dieu sait combien c'est exquis, avec du beurre, de l'ail et du persil !)
Par ailleurs, comme je l'ai déjà écrit sur un autre fil évoquant cette histoire, les Grands Bretons jouent vraiment très petit bras : ils se font rembourser des boîtes de César (Avec du poulet et de la dinde - tendre)...
J'aimerais beaucoup que nos hommes politiques mangeurs de grenouille aient cette naïve et touchante simplicité.
Hélas ! Ils en sont loin ! Par exemple Henri Emmanuelli a meublé le Conseil Général des Landes avec de modestes objets comme des canapés de cuir - au pluriel - hyper haut de gamme à 15.000 €uros pièce (Vous avez bien lu : quinze mille € ! Eh ! Oui ça existe, il n'y a pas que des paysans, il y a aussi des gens qui ont la main dans la poche du contribuable !)
De son côté Rachida Dati achète 500 € de journaux par jour (vous avez bien lu !) Comme ce n'est pas pour lire je suppose que c'est pour emballer la vaisselle et la verrerie de la place Vendôme quand elle va vider les lieux !
Sans parler de ses collants et de ses voyages incessants (le plus souvent pour son son simple plaisir, mais à nos frais bien entendu)
Et tout est à "lavement", en France, comme dirait, cette fois, Alexandre-Benoît Berurier, le célèbre complice de San A.
Les Grand Bretons ont donc beaucoup de chance par rapport à nous (sauf pour les anguilles à la gelée, naturellement !)
***
Ces British bouffent vraiment n'importe quoi, et en plus ils ont le culot de nous traiter de "froggies" sous prétexte que nous dégustons avec délice des cuisses de grenouilles (Dieu sait combien c'est exquis, avec du beurre, de l'ail et du persil !)
Par ailleurs, comme je l'ai déjà écrit sur un autre fil évoquant cette histoire, les Grands Bretons jouent vraiment très petit bras : ils se font rembourser des boîtes de César (Avec du poulet et de la dinde - tendre)...
J'aimerais beaucoup que nos hommes politiques mangeurs de grenouille aient cette naïve et touchante simplicité.
Hélas ! Ils en sont loin ! Par exemple Henri Emmanuelli a meublé le Conseil Général des Landes avec de modestes objets comme des canapés de cuir - au pluriel - hyper haut de gamme à 15.000 €uros pièce (Vous avez bien lu : quinze mille € ! Eh ! Oui ça existe, il n'y a pas que des paysans, il y a aussi des gens qui ont la main dans la poche du contribuable !)
De son côté Rachida Dati achète 500 € de journaux par jour (vous avez bien lu !) Comme ce n'est pas pour lire je suppose que c'est pour emballer la vaisselle et la verrerie de la place Vendôme quand elle va vider les lieux !
Sans parler de ses collants et de ses voyages incessants (le plus souvent pour son son simple plaisir, mais à nos frais bien entendu)
Et tout est à "lavement", en France, comme dirait, cette fois, Alexandre-Benoît Berurier, le célèbre complice de San A.
Les Grand Bretons ont donc beaucoup de chance par rapport à nous (sauf pour les anguilles à la gelée, naturellement !)
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On annonce J.-L. Hees au Fou du Roi après Porte, chez Mermet, après la chronique de Guillon, etc.
Non ?
Ah bon, j'avais cru qu'il passait en bagnole autour de la Maison (comme il dit) à ces horaires-là...
Quand je repense au plaisir qu'était l'écoute de Synergie.
"on va vous laisser aboyer", sa phrase de conclusion.
Ouch !
On annonce J.-L. Hees au Fou du Roi après Porte, chez Mermet, après la chronique de Guillon, etc.
Non ?
Ah bon, j'avais cru qu'il passait en bagnole autour de la Maison (comme il dit) à ces horaires-là...
Quand je repense au plaisir qu'était l'écoute de Synergie.
"on va vous laisser aboyer", sa phrase de conclusion.
Ouch !
C'est bien ça. Ce sont des anguilles en gelées. C'est absolument délicieux. Ca a un peu un goût de rollmops.
J'attendais votre chronique matinale avec un peu d'excitation ce matin, Daniel. Curieusement, vous évoquez bien le passage à l'antenne de France Inter de Edwy Plenel pour y débattre théologie mais vous ne parlez pas de ce coup journalistique formidable auquel on a eu droit.
Notre apôtre du journalisme d'investigation à moustache se lance dans une grande tirade sur la nomination du Président de Radio France, sur l'indépendance de la presse, le service public qui a été inventé pour ça (l'ORTF ?!), le grand capital incarné par Alain Minc et patati et patata. Passent les questions des auditeurs. Et là qu'entend-je ? Qu'ouï-je ?
"Jean-Luc Hees vient de nous rejoindre dans le studio de France Inter".
Ouahhh !
Le taulier "était en voiture et il écoutait l'émission" et puis comme il "passait par là", il est venu faire une mise au point à l'antenne. Non, France Inter n'est pas à la botte du pouvoir. Dit-il.
Ouf ! On est soulagé de l'apprendre.
Et Edwy big moustache Plenel de rétorquer un truc du genre : non mais moi je suis juste venu aboyer très fort pour être bien sûr que la radio de service public reste bien indépendante.
Passons sur les "aboiements" (dixit Plenel) de ce qu'il convient d'appeler l'un des Nouveaux Chiens de Garde. J'ai quand même noté que Edwy Plenel s'est quasiment excusé de sa tirade en nous expliquant qu'il alerte pour rien et qu'il a décidé de faire profession d'enfant qui crie au loup. L'investigateur à moustache n'a pas poussé l'audace jusqu'à demander à Hees ce qu'il pense de son mode de désignation. Tant pis.
Ce qui est frappant, c'est d'entendre en live un patron de groupe de média s'immiscer dans la conduite de l'interview d'un journaliste. Là, y a ligne jaune, comme dirait Birenbaum. Que le chef donne la ligne directrice, fournisse les grandes orientations, procède aux arbitrages, voilà qui est son rôle. Le rôle d'Hélène Jouan, qui est la directrice de la rédaction de France Inter, il me semble que ça consiste par exemple à recadrer Demorand dans la conduite de ses interviews si celui-ci est trop ceci ou pas assez cela.
Est-ce que Jean-Luc Hees a l'intention d'assumer les fonctions d'Hélène Jouan comme Sarkozy assume celles de François Fillon (qui est le Premier Ministre de la France) ?
J'ai souvent lu les protestations de journalistes, rappelant que l'indépendance de la rédaction du Monde, de Libé ou du Figaro par rapport à la direction du groupe Rothschild, Lagardère ou Dassault était la garantie offerte aux lecteurs de l'indépendance du journal. Est-ce que Demorand a invité Hees à prendre la parole ? Quid de cette indépendance si l'animateur de la matinale de France Inter ne maîtrise pas son antenne, la conduite de son émission ?
Le nouveau taulier de Radio-France, en venant prendre la parole ce matin au micro de France Inter afin d'assurer Plenel de l'indépendance de la radio publique, vient de faire la démonstration du contraire.
J'attendais votre chronique matinale avec un peu d'excitation ce matin, Daniel. Curieusement, vous évoquez bien le passage à l'antenne de France Inter de Edwy Plenel pour y débattre théologie mais vous ne parlez pas de ce coup journalistique formidable auquel on a eu droit.
Notre apôtre du journalisme d'investigation à moustache se lance dans une grande tirade sur la nomination du Président de Radio France, sur l'indépendance de la presse, le service public qui a été inventé pour ça (l'ORTF ?!), le grand capital incarné par Alain Minc et patati et patata. Passent les questions des auditeurs. Et là qu'entend-je ? Qu'ouï-je ?
"Jean-Luc Hees vient de nous rejoindre dans le studio de France Inter".
Ouahhh !
Le taulier "était en voiture et il écoutait l'émission" et puis comme il "passait par là", il est venu faire une mise au point à l'antenne. Non, France Inter n'est pas à la botte du pouvoir. Dit-il.
Ouf ! On est soulagé de l'apprendre.
Et Edwy big moustache Plenel de rétorquer un truc du genre : non mais moi je suis juste venu aboyer très fort pour être bien sûr que la radio de service public reste bien indépendante.
Passons sur les "aboiements" (dixit Plenel) de ce qu'il convient d'appeler l'un des Nouveaux Chiens de Garde. J'ai quand même noté que Edwy Plenel s'est quasiment excusé de sa tirade en nous expliquant qu'il alerte pour rien et qu'il a décidé de faire profession d'enfant qui crie au loup. L'investigateur à moustache n'a pas poussé l'audace jusqu'à demander à Hees ce qu'il pense de son mode de désignation. Tant pis.
Ce qui est frappant, c'est d'entendre en live un patron de groupe de média s'immiscer dans la conduite de l'interview d'un journaliste. Là, y a ligne jaune, comme dirait Birenbaum. Que le chef donne la ligne directrice, fournisse les grandes orientations, procède aux arbitrages, voilà qui est son rôle. Le rôle d'Hélène Jouan, qui est la directrice de la rédaction de France Inter, il me semble que ça consiste par exemple à recadrer Demorand dans la conduite de ses interviews si celui-ci est trop ceci ou pas assez cela.
Est-ce que Jean-Luc Hees a l'intention d'assumer les fonctions d'Hélène Jouan comme Sarkozy assume celles de François Fillon (qui est le Premier Ministre de la France) ?
J'ai souvent lu les protestations de journalistes, rappelant que l'indépendance de la rédaction du Monde, de Libé ou du Figaro par rapport à la direction du groupe Rothschild, Lagardère ou Dassault était la garantie offerte aux lecteurs de l'indépendance du journal. Est-ce que Demorand a invité Hees à prendre la parole ? Quid de cette indépendance si l'animateur de la matinale de France Inter ne maîtrise pas son antenne, la conduite de son émission ?
Le nouveau taulier de Radio-France, en venant prendre la parole ce matin au micro de France Inter afin d'assurer Plenel de l'indépendance de la radio publique, vient de faire la démonstration du contraire.
Oui, les jellied eels sont littéralement des anguilles en gelée, spécialité de l'East End (traditionnellement les quartiers ouvriers et populaires). Vu les qualités gastronomiques de ce produit (qui laissent à désirer selon moi) et sa valeur culturelle (impensable de se faire élire dans cette partie de Londres sans passer par une 'Eel and pie house'), je comprend tout à fait pourquoi Andrew Rosindell, parlementaire de Romford (au nord est de Londres) a voulu se faire rembourser £1,31. En plus ça fait marcher l'économie de la pêche dans la Tamise...
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Bonjour;
Question qui n'a rien à voir avec le sujet.
Où sont passés Sébastien Bolher et David Abiker ? On est est à plusieurs semaines/mois d'absence. Leur nom a disparu des chroniques.
S'ils ont quitté ASI, ce qui est fort probable, ne croyez vous pas que cela pourrait être annoncé officiellement sur le site, en indiquant éventuellement les raisons de la fin de leur collaboration ? Le même phénomène s'était produit au moment du départ de la piquante Maya (la brève collaboration d'Elisabeth Lévy est un autre exemple).
Le contenu des articles, enquêtes, émissions etc... est me semble-t-il largement dépendant des personnes qui les conçoivent, les animent, les écrivent (cf. ligne jaune sur la question de savoir d'où on parle). Si l'équipe d'ASI change, il faudrait peut être l'annoncer dans le making of.
Si David et Sébastien (quelle familiarité) ont quitté ASI, je tiens à les remercier sincèrement pour l'ensemble des éclairages qu'ils ont apportés dans les différents débats auxquels ils ont participés. Je n'oublierai jamais la phrase culte de David, prononcée à la Télé, au sujet des formules d'un ex-premier ministre : la route est droite mais le platane est cruel.
Question qui n'a rien à voir avec le sujet.
Où sont passés Sébastien Bolher et David Abiker ? On est est à plusieurs semaines/mois d'absence. Leur nom a disparu des chroniques.
S'ils ont quitté ASI, ce qui est fort probable, ne croyez vous pas que cela pourrait être annoncé officiellement sur le site, en indiquant éventuellement les raisons de la fin de leur collaboration ? Le même phénomène s'était produit au moment du départ de la piquante Maya (la brève collaboration d'Elisabeth Lévy est un autre exemple).
Le contenu des articles, enquêtes, émissions etc... est me semble-t-il largement dépendant des personnes qui les conçoivent, les animent, les écrivent (cf. ligne jaune sur la question de savoir d'où on parle). Si l'équipe d'ASI change, il faudrait peut être l'annoncer dans le making of.
Si David et Sébastien (quelle familiarité) ont quitté ASI, je tiens à les remercier sincèrement pour l'ensemble des éclairages qu'ils ont apportés dans les différents débats auxquels ils ont participés. Je n'oublierai jamais la phrase culte de David, prononcée à la Télé, au sujet des formules d'un ex-premier ministre : la route est droite mais le platane est cruel.
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Et la classe politique digne de ce nom sera celle qui démissionnera en cas de scandale,
ce qui rappelons-le ne se fait plus en France, tel président se fait payer par une société privée une escorte à la montagne, par un entrepreneur interlope son hôtel, par un fournisseur de l'état son yacht de vacances, tel haut fonctionnaire pantouflard accepte un poste dans le privé, tel nominé à la tête d'une entreprise de média publique ne se donne même pas la peine de faire semblant,
tel adjoint de cabinet ministériel fait licencier un cadre d'un groupe privé, révélant la confusion des genres,
et tout ça sans avoir à démissionner.
En France, quand on est président ou ami du président, tous les abus sont permis.
Ce qui n'est pas le cas en Angleterre.
http://anthropia.blogg.org
ce qui rappelons-le ne se fait plus en France, tel président se fait payer par une société privée une escorte à la montagne, par un entrepreneur interlope son hôtel, par un fournisseur de l'état son yacht de vacances, tel haut fonctionnaire pantouflard accepte un poste dans le privé, tel nominé à la tête d'une entreprise de média publique ne se donne même pas la peine de faire semblant,
tel adjoint de cabinet ministériel fait licencier un cadre d'un groupe privé, révélant la confusion des genres,
et tout ça sans avoir à démissionner.
En France, quand on est président ou ami du président, tous les abus sont permis.
Ce qui n'est pas le cas en Angleterre.
http://anthropia.blogg.org
Je pensais trouver une petite remarque sur l'irruption de J-L Hees (vers 8h55) en plateau dans le 7/10 dont E. Plenel était l'invité, pour bien rappeler à tout le monde que l'antenne était LIBRE ! Oui, LIBRE ! Plenel est libre "d'aboyer" comme bon lui semble.
Cet empressement de le répéter en long en large sur l'antenne (sans rien dire de plus fondamentalement) me semble révélatrice d'une certaine gêne de sa part. Gêne qui va sans doute durer un bon bout de temps...
(Pardon du hors-sujet donc !)
Cet empressement de le répéter en long en large sur l'antenne (sans rien dire de plus fondamentalement) me semble révélatrice d'une certaine gêne de sa part. Gêne qui va sans doute durer un bon bout de temps...
(Pardon du hors-sujet donc !)
"...et produira des analyses et des opinions originales sur Abou Ghraïb et la pâtée (au poulet et à la dinde). Est-ce inimaginable ?"
Nop, chicken, c'est poulet pas jambon.
Nop, chicken, c'est poulet pas jambon.
Je n'arrives pas bien à lire ce qui il y a écrit, mais je dirais "jelied eels", "anguilles en gelée" ?
