Censures multiples au "Quotidien de la Réunion"
Des journalistes du "Quotidien de la Réunion" accusent leur nouvelle direction de plusieurs cas de censure pour protéger les intérêts du Conseil régional et des acteurs économiques influents, en contrepartie de subventions ou de campagnes publicitaires. Plusieurs journalistes témoignent.
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Commentaires préférés des abonnés
Sans vouloir jouer le type un peu blasé, mais j'ai vraiment l'impression que là on se réveille un peu tard. Ça a toujours été comme ça. J'ai eu "la chance" d'être journaliste au JIR 3 ans pendant les années 2000, et c'était déjà comme ça, peut-être u(...)
En effet, mais les journalistes interrogés disent que c'est pire depuis le changement de direction.
Derniers commentaires
Sans vouloir jouer le type un peu blasé, mais j'ai vraiment l'impression que là on se réveille un peu tard. Ça a toujours été comme ça. J'ai eu "la chance" d'être journaliste au JIR 3 ans pendant les années 2000, et c'était déjà comme ça, peut-être un peu moins flagrant mais sur le fond c'était la même dynamique.
La PQR outremer n'a pas grand chose à voir dans les motifs qui la sous tende avec la PQR hexagonal, elle est là avant tout pour justifier, expliquer et soutenir la présence de l'État et des capitalistes français dans ces anciennes colonies jamais décolonisées.
"Le syndicat est responsable des faits qu'il avance"
ces gens sont fous en fait, faut juste les interner et les traiter...on peut pas être bien dans sa tête à rétorquer des trucs pareils...
Oui, effectivement, c'est la bérezina au Quotidien, mais ce n'est pas mieux côté JIR. Sur leur site numérique, j'ai halluciné l'autre jour, en lisant un article sur la dernière chute de pierres sur la route du littoral. Un monument de parti pris pro-région, alors que le pb des roches est un vrai problème. Accuser les associations écologiques d'irresponsabilité, à ce sujet, c'est faire preuve d'une mauvaise foi évidente. Les roches, dans la version digue de la NRL (nouvelle route du littoral), c'est le talon d'achile : il en faudra tout le temps, et l'approvisionnement est loin d'être assuré. C'est s'entêter dans cette voie incertaine qui fait prendre du retard à cette route. Elle est là l'irresponsabilité. Bref, il y a là, matière à enquêter si asi le souhaite :)
Belle journée !
A propos de presse au service du groupe GBH, on peut citer l'interview à charge le 20 decembre 2019 (jour ferié de la celebration de l'abolition de l'esclavage) au journal televisé de Reunion Premiere (Christelle Floricourt) d'un syndicaliste de la CGTR sur le travail du dimanche alors que ce meme syndicat venait d'avoir gain de cause 2 fois au tribunal sur ce sujet.
Toutes les questions portaient sur les salariés "volontaires" et les clients "pris en otage" alors que les études de l'insee ont montré que les étudiants qui cumulait un travail salariés avaient moins de reussite.