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Chut ! La clé de voûte de l'euro s'est effondrée
Le saviez-vous ? Le pacte de stabilité est mort.
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Derniers commentaires
Les 3 % ont été pulvérisés depuis longtemps par de nombreux pays (seuls 7 pays sur 19 étaient en dessous en 2014, ), quant au plafond de 60 % pour la dette, c'est une sacrée rigolade ; même l'Allemagne qui martèle "les règles, les règles, les règles ...!" est à 72 %.
Les règles, c'est bon pour les "salauds de grecs".
Les règles, c'est bon pour les "salauds de grecs".
Oui, c'est très juste de rappeler que l'on sait depuis au moins 5 ans que la sacro-sainte règle des 3 % ne repose sur rien, l'autre élément est une étude universitaire US, dont il s'est révélé que la feuille de calcul du tableur qui donnait ce même chiffre était fausse et qu'elle n'était qu'une statistique, que de très nombreuses citations attribuées aux uns ou aux autres qualifient d'une des formes du mensonge.
Un modèle mathématique de la théorie des jeux montre qu'il faut que 80 % d'une population admette qu'un paradigme de la structure sociale est faux pour que les règles sur lequel elles sont fondées soit retirées.
Il est donc important de ne pas faire savoir trop vite que notre économie est dirigée sur la base de principes d'ordre théologique sans aucune réalité afin de ne pas se priver trop vite des beaux instruments de contrainte (torture?) qu'ils permettent de mettre en œuvre.
Un modèle mathématique de la théorie des jeux montre qu'il faut que 80 % d'une population admette qu'un paradigme de la structure sociale est faux pour que les règles sur lequel elles sont fondées soit retirées.
Il est donc important de ne pas faire savoir trop vite que notre économie est dirigée sur la base de principes d'ordre théologique sans aucune réalité afin de ne pas se priver trop vite des beaux instruments de contrainte (torture?) qu'ils permettent de mettre en œuvre.
et pas un mot pour la Grece , vous parlez de l'Espagne, du Portugal , rien sur la Gréce et sur nous, et l'obligation qui nous est faites par les oligarques du monde d'assouplir notre droit du travail en mettant les plus pauvres au tapis, a cause de ses 3% debile de ce bourgeois incapable de Mitterrand, que seul le cul et le pouvoir intéressait, comme beaucoup de ses intellos . Tous a la manif du 14 mars #loitravailnonmerci.
Ah, on va peut-être s'apercevoir que finalement l'U.E. n'impose pas grand chose, que c'est surtout le prétexte pour des politiques voulues par les gouvernements.
" L'Espagne et le Portugal ayant allègrement dépassé l'objectif, l'UE ne prendra aucune sanction."
...
Euh ... pendant des années un nombre incalculable de pays (dont la France et l'Allemagne) ont "enfreint" cette 'règle' pseudo-économique sans encourir la moindre sanction ... je ne vois donc pas le scoop ?! (la France ne respecte aucun des critères de l'UE depuis 10 ans ...)
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Euh ... pendant des années un nombre incalculable de pays (dont la France et l'Allemagne) ont "enfreint" cette 'règle' pseudo-économique sans encourir la moindre sanction ... je ne vois donc pas le scoop ?! (la France ne respecte aucun des critères de l'UE depuis 10 ans ...)
Le monétarisme a ceci de formidable qu'il détient en son sein le germe de son autodestruction.
Plus sur le sujet http://www.pauljorion.com/blog/2016/06/06/les-derives-politiques-europeennes-saccentuent-par-francois-leclerc/#more-86460
Et pas seulement à propos de l'Espagne et du Portugal, mais aussi de l'Italie et la France, qui sont dans des situations similaires.
Et pas seulement à propos de l'Espagne et du Portugal, mais aussi de l'Italie et la France, qui sont dans des situations similaires.
...enfin une bonne nouvelle (provisoire peut être) , cette horreur née un "soir de cuite" vacille ! Qu'en dit Lagarde ?
...et l'on voudrait faire passer la science "économique" pour une science exacte bien qu'étant une religion !
...et l'on voudrait faire passer la science "économique" pour une science exacte bien qu'étant une religion !
Heu... C'est pas juste qu'ils attendent que le référendum soit passé et après on va voir ce qu'on va voir ?
RIP 3% !
Puisque vous publiez son avis de décès, il n'est pas inutile de rappeler sa naissance, fruit de calculs savants, de modélisations prospectives, de macro-économie théorique de haut vol, de.... hein? ... comment? ... on me souffle dans l'oreillette qu'en fait non...
3% de déficit : «Le chiffre est né sur un coin de table»
Le Parisien - Boris Cassel | Publié le 28.09.2012
C'est en 1981 et en moins d'une heure que Guy Abeille, alors haut fonctionnaire de la direction du Budget, a inventé le fameux chiffre de 3%.
Monsieur « 3% », c’est lui. Pull en cachemire bleu et petites lunettes, Guy Abeille est l’inventeur d’un concept martelé par tous les gouvernements de droite comme de gauche depuis trois décennies : « Le déficit public ne doit pas dépasser les 3% de la richesse nationale (PIB). » Une règle du 3% qui justifie toutes les hausses d’impôts et toutes les réformes depuis trente ans.
Alors, lorsque l’on croise cet économiste dans un café de la rive gauche on s’attend à ce que cet ancien haut fonctionnaire de la direction du Budget sorte d’étranges graphiques. Mais, surprise, il lâche : « On a imaginé ce chiffre de 3% en moins d’une heure, il est né sur un coin de table, sans aucune réflexion théorique. » On peine à le croire, alors il raconte : « C’était un soir de mai 1981. Pierre Bilger, le directeur du Budget de l’époque, nous a convoqués avec Roland de Villepin (NDLR : cousin de Dominique). Il nous a dit : Mitterrand veut qu’on lui fournisse rapidement une règle facile, qui sonne économiste et puisse être opposée aux ministres qui défilaient dans son bureau pour lui réclamer de l’argent. »
Dans son bureau du Louvre, siège à l’époque du ministère des Finances, ce jeune diplômé de l’Ecole nationale de la statistique et de l’administration se gratte la tête. « On avait besoin de quelque chose de simple », raconte-t-il. Ils choisissent le produit intérieur brut, le PIB, parce qu’en « économie, tout le monde se réfère au PIB ».
Va donc aussi pour un chiffre de déficit entier, sans virgule? « On allait vers les 100 milliards de francs de déficit, ça représentait plus de 2% de déficit. 1%? On a éliminé ce chiffre, impossible à atteindre. 2% ? Cela nous mettait trop sous pression. 3%? C’est un bon chiffre, un chiffre qui a traversé les époques, cela faisait penser à la Trinité. » Va donc pour 3% de déficit public. « Mitterrand voulait une norme, on la lui a donnée. On ne pensait pas que ça allait déborder au-delà de 1981 », raconte-il. Mais ce « 3% » a ensuite fait son bout de chemin. Selon lui, c’est Laurent Fabius, alors ministre des Finances, qui le premier parlera du déficit en pourcentage. « 100 milliards de francs, c’était énorme, il a préféré parler de 2,6% », avance Guy Abeille. Quant aux 3% ? « C’est Mitterrand qui le reprendra à son compte, lui donnant sa légitimité. Plus tard, cette référence sera théorisée par des économistes et reprise dans le traité de Maastricht, devenant un des critères pour pouvoir intégrer la zone euro. »
Trente ans après, ce « 3% » rythme nos vies quotidiennes. De lui découle le choix de construire — ou non — des écoles, des hôpitaux, des crèches ou d’augmenter les impôts. Guy Abeille a en a-t-il conscience? « Nous sommes à l’origine de ça, mais nous avons eu beaucoup de complices. Et s’il n’y avait pas eu ces 3%, il y aurait eu un autre seuil pour les comptes publics. » Cet « homme au foyer » de 62 ans enchaîne les métaphores pour se justifier : « La petite graine est devenue un champ, mais c’était peut-être un champ d’OGM », ou encore : « A l’époque, c’était quelque chose d’anodin. Mais la bête est sortie de sa boîte et ça nous a échappé. » « Anodin », il martèle ce mot, pour se dédouaner.
Et puis, « Mitterrand aurait pu faire sa demande à l’Insee, par exemple, réputé plus indépendant. Non, il a choisi la direction du Budget », explique-t-il. Un service administratif qui sait composer avec l’air du temps. Un exemple? « Moi, j’étais chargé, au ministère de l’Economie, d’établir le chiffre du déficit au début des années 1980. On travaillait sans ordinateur à l’époque. Je ne trichais pas. Mais il fallait parfois comprendre les contraintes politiques. A l’approche des échéances électorales, de façon informelle, il n’y avait jamais rien d’écrit bien sûr, on me demandait parfois de bien vouloir faire le ménage dans les comptes. » Que pense « Monsieur 3% » du nouveau seuil de 0,5% de « déficit structurel » qu’impose le nouveau traité européen ? « C’est vrai que le chiffre 0, ça a des avantages. Mais si on avait mis 0,7%, les gens se seraient posé des questions : pourquoi ce chiffre? Alors que 0,5%, c’est une moitié, c’est pas mal, c’est un chiffre confortable.» En partant, il nous rattrape : « Ah sinon, j’ai une autre idée pour faire baisser la dette… » Rendez-vous dans trente ans!
D'autres détails ici
Puisque vous publiez son avis de décès, il n'est pas inutile de rappeler sa naissance, fruit de calculs savants, de modélisations prospectives, de macro-économie théorique de haut vol, de.... hein? ... comment? ... on me souffle dans l'oreillette qu'en fait non...
3% de déficit : «Le chiffre est né sur un coin de table»
Le Parisien - Boris Cassel | Publié le 28.09.2012
C'est en 1981 et en moins d'une heure que Guy Abeille, alors haut fonctionnaire de la direction du Budget, a inventé le fameux chiffre de 3%.
Monsieur « 3% », c’est lui. Pull en cachemire bleu et petites lunettes, Guy Abeille est l’inventeur d’un concept martelé par tous les gouvernements de droite comme de gauche depuis trois décennies : « Le déficit public ne doit pas dépasser les 3% de la richesse nationale (PIB). » Une règle du 3% qui justifie toutes les hausses d’impôts et toutes les réformes depuis trente ans.
Alors, lorsque l’on croise cet économiste dans un café de la rive gauche on s’attend à ce que cet ancien haut fonctionnaire de la direction du Budget sorte d’étranges graphiques. Mais, surprise, il lâche : « On a imaginé ce chiffre de 3% en moins d’une heure, il est né sur un coin de table, sans aucune réflexion théorique. » On peine à le croire, alors il raconte : « C’était un soir de mai 1981. Pierre Bilger, le directeur du Budget de l’époque, nous a convoqués avec Roland de Villepin (NDLR : cousin de Dominique). Il nous a dit : Mitterrand veut qu’on lui fournisse rapidement une règle facile, qui sonne économiste et puisse être opposée aux ministres qui défilaient dans son bureau pour lui réclamer de l’argent. »
Dans son bureau du Louvre, siège à l’époque du ministère des Finances, ce jeune diplômé de l’Ecole nationale de la statistique et de l’administration se gratte la tête. « On avait besoin de quelque chose de simple », raconte-t-il. Ils choisissent le produit intérieur brut, le PIB, parce qu’en « économie, tout le monde se réfère au PIB ».
Va donc aussi pour un chiffre de déficit entier, sans virgule? « On allait vers les 100 milliards de francs de déficit, ça représentait plus de 2% de déficit. 1%? On a éliminé ce chiffre, impossible à atteindre. 2% ? Cela nous mettait trop sous pression. 3%? C’est un bon chiffre, un chiffre qui a traversé les époques, cela faisait penser à la Trinité. » Va donc pour 3% de déficit public. « Mitterrand voulait une norme, on la lui a donnée. On ne pensait pas que ça allait déborder au-delà de 1981 », raconte-il. Mais ce « 3% » a ensuite fait son bout de chemin. Selon lui, c’est Laurent Fabius, alors ministre des Finances, qui le premier parlera du déficit en pourcentage. « 100 milliards de francs, c’était énorme, il a préféré parler de 2,6% », avance Guy Abeille. Quant aux 3% ? « C’est Mitterrand qui le reprendra à son compte, lui donnant sa légitimité. Plus tard, cette référence sera théorisée par des économistes et reprise dans le traité de Maastricht, devenant un des critères pour pouvoir intégrer la zone euro. »
Trente ans après, ce « 3% » rythme nos vies quotidiennes. De lui découle le choix de construire — ou non — des écoles, des hôpitaux, des crèches ou d’augmenter les impôts. Guy Abeille a en a-t-il conscience? « Nous sommes à l’origine de ça, mais nous avons eu beaucoup de complices. Et s’il n’y avait pas eu ces 3%, il y aurait eu un autre seuil pour les comptes publics. » Cet « homme au foyer » de 62 ans enchaîne les métaphores pour se justifier : « La petite graine est devenue un champ, mais c’était peut-être un champ d’OGM », ou encore : « A l’époque, c’était quelque chose d’anodin. Mais la bête est sortie de sa boîte et ça nous a échappé. » « Anodin », il martèle ce mot, pour se dédouaner.
Et puis, « Mitterrand aurait pu faire sa demande à l’Insee, par exemple, réputé plus indépendant. Non, il a choisi la direction du Budget », explique-t-il. Un service administratif qui sait composer avec l’air du temps. Un exemple? « Moi, j’étais chargé, au ministère de l’Economie, d’établir le chiffre du déficit au début des années 1980. On travaillait sans ordinateur à l’époque. Je ne trichais pas. Mais il fallait parfois comprendre les contraintes politiques. A l’approche des échéances électorales, de façon informelle, il n’y avait jamais rien d’écrit bien sûr, on me demandait parfois de bien vouloir faire le ménage dans les comptes. » Que pense « Monsieur 3% » du nouveau seuil de 0,5% de « déficit structurel » qu’impose le nouveau traité européen ? « C’est vrai que le chiffre 0, ça a des avantages. Mais si on avait mis 0,7%, les gens se seraient posé des questions : pourquoi ce chiffre? Alors que 0,5%, c’est une moitié, c’est pas mal, c’est un chiffre confortable.» En partant, il nous rattrape : « Ah sinon, j’ai une autre idée pour faire baisser la dette… » Rendez-vous dans trente ans!
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Pauvre Grèce exsangue, pauvres grecs parfois contraints à fouiller dans les poubelles, pauvre pays antique artisan de notre culture et qui ne bénéficiera pas de cette nouvelle indulgence , pauvres îles merveilleuses soldées au plus offrant...Ce que l'EUROPE a fait de pire.
Et au-delà de cette tristesse, la peur. La peur que notre monde ne soit bientôt livré à Donald Trump, Donald Poutine , Donald Sarkozy et Donald ch'sais pas qui de Chine.
Planète- terrain de jeu des riches qui bouffent tout ,des exploités, des pauvres et des miséreux qui crèvent de faim.
Qu'ils soient laïcs ou religieux, les dirigeants du monde sont nuls.
Et au-delà de cette tristesse, la peur. La peur que notre monde ne soit bientôt livré à Donald Trump, Donald Poutine , Donald Sarkozy et Donald ch'sais pas qui de Chine.
Planète- terrain de jeu des riches qui bouffent tout ,des exploités, des pauvres et des miséreux qui crèvent de faim.
Qu'ils soient laïcs ou religieux, les dirigeants du monde sont nuls.
Bonjour Daniel
Vous auriez aussi pu dire un mot sut les vagues à l'âme du FMI vis à vis de la doxa néolibérale et de sa constatation des ravages démocratiques causés par l'austérité.
Pour que le Financial Time se hérisse contre le FMI, il y a sans doute un doute qui s'est immiscé.
Vous auriez aussi pu dire un mot sut les vagues à l'âme du FMI vis à vis de la doxa néolibérale et de sa constatation des ravages démocratiques causés par l'austérité.
Pour que le Financial Time se hérisse contre le FMI, il y a sans doute un doute qui s'est immiscé.
Dans pas longtemps un gauchisse pourra même mettre dans son programme de gouvernement le chauffage des harpions de maman Angela sans que 4mer éructe, (avec photo la photo le montrant les babines retroussées :-))
Et oui : tout arrive.
Et oui : tout arrive.
Quelqu'un peut-il expliquer à une(?) non-spécialiste des questions financières européennes le fait que l'Allemagne soit terrorisée par le risque du Brexit ?
Pour moi, sauf erreur, si la GB est plutôt le pays qui profite le plus financièrement de l'UE sans devoir en respecter les règles des traités, comment son départ peut-il être vécu comme "terrifiant" ???
Pour moi, sauf erreur, si la GB est plutôt le pays qui profite le plus financièrement de l'UE sans devoir en respecter les règles des traités, comment son départ peut-il être vécu comme "terrifiant" ???
Peut-être une piste par là : la GB est le troisième partenaire commercial de l'Allemagne
Pour des raisons économiques, comme le signale Gilles, mais aussi pour des raisons politiques et stratégiques : si le brexit a lieu, ça va avoir des conséquences énormes en Europe.
D'autres pays, déjà violemment travaillés par le souverainisme, vont être agités par un désir de se séparer également, en partie ou en entier. Cette déstabilisation va rebattre les cartes entre les pays, et c'est l'Allemagne, qui a tranquillement installé sa domination ces dernières années, et qui a le plus à perdre, entre autres si les pays de l'est de l'UE cherchent à en profiter pour obtenir des avantages importants.
Plus généralement, ces remous aux niveaux nationaux et supranational seront à gérer par l'Allemagne, qui s'est placée en dirigeante, et qui est une naine politique, et un vieux pays protestant à la morale rigoureuse et loin des réalités politiques des autres pays.
Enfin, le rapprochement de la GB et de l'Allemagne a isolé la France, et le couple franco-allemand a éclaté.
L'Allemagne va se retrouver à devoir revenir la queue entre les jambes vers la France, et ça, c'est intolérable.
Oui ! Tout le monde au niveau de l'Europe a les boules.
Mais ne nous en faisons pas pour eux : les dirigeants grand-bretons sont des experts en manipulation de masse, et ils jettent toutes leurs forces dans la bataille.
Ces manœuvres vont marcher !
Ou pas !
D'autres pays, déjà violemment travaillés par le souverainisme, vont être agités par un désir de se séparer également, en partie ou en entier. Cette déstabilisation va rebattre les cartes entre les pays, et c'est l'Allemagne, qui a tranquillement installé sa domination ces dernières années, et qui a le plus à perdre, entre autres si les pays de l'est de l'UE cherchent à en profiter pour obtenir des avantages importants.
Plus généralement, ces remous aux niveaux nationaux et supranational seront à gérer par l'Allemagne, qui s'est placée en dirigeante, et qui est une naine politique, et un vieux pays protestant à la morale rigoureuse et loin des réalités politiques des autres pays.
Enfin, le rapprochement de la GB et de l'Allemagne a isolé la France, et le couple franco-allemand a éclaté.
L'Allemagne va se retrouver à devoir revenir la queue entre les jambes vers la France, et ça, c'est intolérable.
Oui ! Tout le monde au niveau de l'Europe a les boules.
Mais ne nous en faisons pas pour eux : les dirigeants grand-bretons sont des experts en manipulation de masse, et ils jettent toutes leurs forces dans la bataille.
Ces manœuvres vont marcher !
Ou pas !
Les conspirations inconscientes sont en effet les plus dangereuses.
Le côté « On ne fait pas de vague avant le référendum britannique » était connu, un article de La Tribune en avait fait état. Après, que cela soit ferme et définitif, faut attendre car pour ce qui est de la Grèce les foudres sont toujours bien présentes, quoiqu’il y ait du mou de ce côté là aussi avec de vagues promesses pour 2018, mais question austérité, c’est Byzance (pas pour les Grecs) chez les créanciers...