Cinq fois où les médias sont allés (trop) loin avec Pokémon Go
Avec plus de 6 millions de personnes qui auraient déjà joué à Pokémon Go, le phénomène (dont @si vous parlait ici, pour ceux qui n’y comprennent toujours rien) ne semble toujours pas s’essoufler. Et dans la torpeur du mois d’août, les médias ont bien compris qu’ils tenaient là une source d’audience facile pour leurs sites. Entre exagérations, chiffres bidon et "appats à clic", passage en revue des cinq fois où ils sont allés un peu (trop) loin pour générer du clic.
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Derniers commentaires
Vu l'ampleur du phénomène et ses multiples intervenants, ça pourrait le mériter.
Et ainsi, ceux qui (comme moi) ne veulent pas s'y inscrire pourraient être au fait !
C'est vraiment comme ça qu'à BFMTV on obtient des droits de diffusion ?
Et si ce n'était qu'une [s]machination[/s] orchestration d'une agence de Buzz :
Le buzz (rumeur, en anglais) est une technique de marketing consistant à faire du bruit autour d'un nouveau produit ou d'une offre, souvent avant sa sortie, afin de tenter de le promouvoir ou de le condamner.
Le but étant tout d'abord de focaliser l'attention sur une entreprise ou une marque, puis sur le produit. Le buzz est l'une des techniques phare de la communication d'Apple qui attire systématiquement l'attention sur ses keynotes. Les NTIC, en particulier le web (blogs, Usenet...), est le vecteur de diffusion privilégié du buzz, qui repose lui-même sur des buzzwords.
Méthode réussi jusque dans les hautes sphères. comme ici et là
L'article reprend (certes, au conditionnel) l'information selon laquelle 3,4 millions d'utilisateurs de l'application s'en serviraient au volant...
Au lieu de vous réclamer des sous sur des motifs douteux, l'Etat ferait mieux de s'abonner à vos actualités ;-).
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
J'ai entendu à la télé que "1 millions d’automobilistes y jouent en conduisant" !
J'en ai conclu que toutes informations à ce sujet étaient non crédibles (et non pertinentes) et les reportages du domaine de l'anecdotique, style le 13 heures de PERNAUT (que je connais par les Guignols).
à partir d'un premier jeu, gratuit, où les utilisateurs plaçaient eux mêmes des éléments virtuels dans le monde réel,
ce qui petit à petit a permis de construire une base de points géographiques pour ensuite y placer les monstres japonais
c'est un exemple intéressant de construction et réutilisation de base de données
le truc c'est qu'a faire des titres alac au second degré hein. ben, on fait qd même des titres alac au final.
Résultat : hier j'ai fait plus de 360 km pour capturer Miaouss et Chétiflor. Pas rentable.