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"Classement" des députés" : comment un pseudo rapport a fait le tour des médias
C'est l'histoire d'un nouveau rapport sur l'assiduité des députés à l'Assemblée qui n'a jamais existé, mais qui pourtant a donné lieu à nombre d'articles, comme celui-ci sur le Parisien.fr et à une dépêche AFP reprise un peu partout. Un emballement sans conséquence, mais qui montre comment les médias se copient les uns les autres. Et confirme le pouvoir prescritif du Parisien.
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Derniers commentaires
L'épisode, qui peut paraître bénin, illustre aussi la difficulté pour les medias d'exploiter des données chiffrées, non immédiatement réductibles à un titre, à un "angle", ou à un pitch.
Que l'on pourrait écrire autrement:
"L'épisode, plutôt symptomatique que bénin, illustre bien la difficulté pour les medias de faire autre chose que du copier-coller de dépêches ou de pitcher sur des sujets trash pour aspirer du clic."
Que l'on pourrait écrire autrement:
"L'épisode, plutôt symptomatique que bénin, illustre bien la difficulté pour les medias de faire autre chose que du copier-coller de dépêches ou de pitcher sur des sujets trash pour aspirer du clic."
Je crois que Le Parisien mérite largement son bonnet d’âne.
Les articles de Laure Daussy sont bien plus objectifs quand ils ne parlent pas de Mélenchon!
Classons classons!
Ah bas les classements : classements des pays, des pib, des universités, des députés, notes aux États... Ça n'apporte rien du tout, d'autant que la plupart du temps les critères sont tellement limités, quand ils ne sont pas totalement opaques, que ça a le même intérêt que le tirage du loto (pour les perdants). J'oubliais, il est vrai qu'on est dans la société du mérite, du 1er de la classe, où le contenu de ce mérite, on s'en fout.
Ah bas les classements : classements des pays, des pib, des universités, des députés, notes aux États... Ça n'apporte rien du tout, d'autant que la plupart du temps les critères sont tellement limités, quand ils ne sont pas totalement opaques, que ça a le même intérêt que le tirage du loto (pour les perdants). J'oubliais, il est vrai qu'on est dans la société du mérite, du 1er de la classe, où le contenu de ce mérite, on s'en fout.