Classement des pires patrons : "Capital" épargne Bolloré
Depuis le rachat par Vincent Bolloré du groupe Prisma en mai 2021, le magazine d'actualité économique "Capital", titre phare du groupe, s'abstient de taper sur l'actionnaire principal. Le classement des patrons préférés et détestés des Français n'a pas été publié cette année, pour épargner l'actionnaire principal du groupe, qui figure systématiquement... en queue de peloton.
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Commentaires préférés des abonnés
Autre sondage de même nature et d'intérêt équivalent :
Si on vous laissait le choix, préfèreriez-vous être dévoré par un requin, un tigre ou un crocodile ?
A l'école primaire, on se bat pour savoir qui est le plus fort entre Sangoku et Naruto.
Et puis on grandit...
Au collège, on se bat pour savoir qui est le plus fort entre M'bappé et Haaland.
Et puis on grandit...
Au lycée, on se bat pour savoir qui est l(...)
Derniers commentaires
Pour ne pas être confronté à la censure, on peut aussi ne pas lire (le torchon) Capital .
J'ai de plus en plus de mal à lire ce type d'articles , une sorte de dégoût permanent de la turpitude généralisée , entre "Masérati"/ "Arabelle"/ "Campagne électorale pourrie"/ "Cocaïne maritime" , et le reste , de quoi devenir dépressif incurable .
▶ Marie-Françoise BECHTEL a dirigé l'ENA (l'École nationale d'administration) de 2000 à 2002 et a donc une connaissance approfondie du rôle de la haute fonction publique dans la politique française
Comment les "ÉLITES" ont abandonné la FRANCE
https://www.youtube.com/watch?v=VZpP_Dgv8v4
Citation : "Depuis 2021, point de classement à l'horizon. Selon nos informations, la rédaction de Capital a décidé d'adopter une politique de non-agression envers son nouvel actionnaire principal. "
Donc une politique de "non-agression" = ne pas parler d'éléments "factuels" (même si cet adjectif laisse à désirer quand on parle de sondage). C'est beau ce journalisme neutre.
Le salarié : j'ai un scoop sourcé, mais il porte sur notre actionnaire
Le comité de rédaction (voire juste un collègue) : attend, c'est un scoop positif ou négatif pour son image ?
Le salarié : négatif, tu penses.
Le comité de rédaction (voire juste un collègue) : on a une politique de non-agression pour rappel.
Le salarié : ah... je le sortirai si l'actionnaire vient nous dire quoi publier (variante : si l'actionnaire est méchant)
La direction : voilà, merci. L'actionnaire vous fait des bisous.
Tous ces grands patrons pour moi sont handicapés du vivre ensemble (avec troubles des affectes). Ils ont en commun d'être, fauves, compétiteurs, égocentriques, démesurés, élitistes, narcissiques, fourbes, menteurs, fabulateurs, pervers... Pourquoi aimer ces figures emblématiques irresponsables qui proposent un monde qui crame la planète et sème le chaos ?.
"Vincent Bolloré n'a jamais exercé la moindre pression jusqu'à maintenant, et si ça devait arriver, on ne laisserait pas passer."
Mais si mais si ! Il n'exerce aucune pression et vous faites déjà attention à ne pas lui chatouiller les arpions, à ce grand sensible.
Préférez vous un gros con ou un grand con ?
Je ne comprends pas comment les français peuvent avoir un avis sur des patrons. Les salariés, oui, mais les français? A moins qu'il s"agisse de leur avatar média?
Ultracrépidarianisme?
Autre sondage de même nature et d'intérêt équivalent :
Si on vous laissait le choix, préfèreriez-vous être dévoré par un requin, un tigre ou un crocodile ?
Une question, comme ça, toute bête: pourquoi devrait-on "aimer" ce genre de patrons??
A l'école primaire, on se bat pour savoir qui est le plus fort entre Sangoku et Naruto.
Et puis on grandit...
Au collège, on se bat pour savoir qui est le plus fort entre M'bappé et Haaland.
Et puis on grandit...
Au lycée, on se bat pour savoir qui est le plus fort entre Android et iPhone.
Et puis on grandit...
Enfin arrivé dans le merveilleux monde des grands, on se bat pour savoir qui est le plus génial entre Niel et Leclerc.
Les temps changent, les méthodes restent.