Commentaires
Comment Casey Anthony, "monster mom" a été acquittée...
Toute l'Amérique a suivi, la semaine dernière, la fin du procès de Casey Anthony (25 ans), accusée d'avoir, en 2008, tué Caylee, sa fille de deux ans, en Floride. La mère, au comportement étrange, était condamnée d'avance par l'opinion, mais à la surprise générale, les jurés, loin de la pression des médias et des internautes, l'ont déclarée non coupable.
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Derniers commentaires
Dans l'actualité étazunienne, mise à part cette passionnante affaire Casey Anthony, y aurait pas comme une monstrueuse dette de l'état avec menace de dégradation de sa note par les vautours des agences de notation et répercussions sur l'économie mondiale ?
Ce forum est consacré à Murdoch ou à Casey Anthony? J'arrive ici en cliquant sur "discuter sur le forum" au bas de la page Casey Anthony. En cliquant en bas de page sur "discuter sur le forum" de l'article Murdoch, il n'y a qu'une réaction sur un sujet 1000 fois + important?
D'autre part il y a des liens sur le site de conjugaison du Monde dans le 2ème paragraphe assez rigolos (3ème paragraphe si on compte le chapeau en gras).
Ah, le mois de juillet, que voulez-vous...
D'autre part il y a des liens sur le site de conjugaison du Monde dans le 2ème paragraphe assez rigolos (3ème paragraphe si on compte le chapeau en gras).
Ah, le mois de juillet, que voulez-vous...
Encore de la justice par l'opinion, à quoi servent les cours de justice alors. 53 000 guignols estiment qu'une personne est coupable et il faut les croire ? attention à la force du nombre...
Bof. Un article de plus sur un fait divers glauque. La mort d'un enfant va faire causer dans les chaumières.
Les amerlocains sont bizarres. La libération d'une gamine (quand on voit sa photo, on dirait qu'elle n'est pas bien vieille) les mobilise, la crise économique, le chômage, la destruction de la planète, les inégalités, tout ça, ils s'en foutent ...
Un peu comme chez nous, quoi. Ou la religion et "les valeurs" ont remplacé les luttes sociales.
Les amerlocains sont bizarres. La libération d'une gamine (quand on voit sa photo, on dirait qu'elle n'est pas bien vieille) les mobilise, la crise économique, le chômage, la destruction de la planète, les inégalités, tout ça, ils s'en foutent ...
Un peu comme chez nous, quoi. Ou la religion et "les valeurs" ont remplacé les luttes sociales.
J'ai pas encore vu les réactions de BHL ou d'Élisabeth Badinter pour dénoncer fougueusement les atteintes à la présomption d'innocence de cette pauvre femme.
Bon, je reviens ici à la charge car quelque chose m'échappe.
A 350km d'ici, un scandale politico-médiatico-policier est en train d'ébranler des institutions, pas juste de couler un "magnat" antipathique. En effet l'organe d'auto-régulation de la presse anglaise est dissous. Le Parlement envisage de légiférer sur les média.
Je croyais qu'on n'avait pas d'article là-dessus pour cause de jour férié. Et là, je découvre les détails de ce fait-divers, certes analysé sous l'angle de ses répercussions en termes d'audience télé et surtout, j'imagine, par rapport aux si fascinants réseaux sociaux.
Avec l'affaire Murdoch, rien de très moderne, certes, puisqu'au départ il s'agit de journaux papier et de bêtes boîtes vocales. Mais enfin! On découvre aujourd'hui qu'un ancien rédacteur du News of the World a ensuite travaillé pour la police alors même qu'elle enquêtait sur ce journal, Murdoch refuse l'invitation des députés puis se trouve quelques heures plus tard obligé d'accepter de venir s'expliquer, son groupe risque de ne plus pouvoir détenir aucun média anglais (je ne parle pas là d'un choix de sa part, mais des conséquences de la commission d'enquête mise hier en place)...
Les chefs de partis qui allaient tous à la garden-party de Murdoch le mois dernier le piétinent aujourd'hui. Pourquoi? Qu'est-ce qui a déclenché ce lachage généralisé?
Ou alors, si l'équipe d'@si estime que cette lutte d'influence n'est que du tape à l'oeil bidon, je voudrais comprendre aussi, qu'on nous explique pouquoi. Ça relève du décryptage des médias, non?
A 350km d'ici, un scandale politico-médiatico-policier est en train d'ébranler des institutions, pas juste de couler un "magnat" antipathique. En effet l'organe d'auto-régulation de la presse anglaise est dissous. Le Parlement envisage de légiférer sur les média.
Je croyais qu'on n'avait pas d'article là-dessus pour cause de jour férié. Et là, je découvre les détails de ce fait-divers, certes analysé sous l'angle de ses répercussions en termes d'audience télé et surtout, j'imagine, par rapport aux si fascinants réseaux sociaux.
Avec l'affaire Murdoch, rien de très moderne, certes, puisqu'au départ il s'agit de journaux papier et de bêtes boîtes vocales. Mais enfin! On découvre aujourd'hui qu'un ancien rédacteur du News of the World a ensuite travaillé pour la police alors même qu'elle enquêtait sur ce journal, Murdoch refuse l'invitation des députés puis se trouve quelques heures plus tard obligé d'accepter de venir s'expliquer, son groupe risque de ne plus pouvoir détenir aucun média anglais (je ne parle pas là d'un choix de sa part, mais des conséquences de la commission d'enquête mise hier en place)...
Les chefs de partis qui allaient tous à la garden-party de Murdoch le mois dernier le piétinent aujourd'hui. Pourquoi? Qu'est-ce qui a déclenché ce lachage généralisé?
Ou alors, si l'équipe d'@si estime que cette lutte d'influence n'est que du tape à l'oeil bidon, je voudrais comprendre aussi, qu'on nous explique pouquoi. Ça relève du décryptage des médias, non?