Comment la "moitié de la presse" française a perdu ses abonnés
Une panne technique et pas de sauvegarde : dimanche 19 juin 2016, le prestataire d’abonnements du Figaro, de Libération, des Echos, du Point, de Marianne, de l'Express ou de Valeurs Actuelles, Groupe GLI, a "perdu" les bases contenant les coordonnées de leurs abonnés. Si les causes de cette panne ne sont pas encore connues, ses conséquences le sont : impossibilité pour les titres concernés de facturer les abonnés… ou d’en recruter de nouveaux.
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Derniers commentaires
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Autre point : mauvaise analyse des risques : vous avez une faible probabilité que le prestataire perde vos données, mais les conséquences de cette perte seraient catastrophique. Conclusion : vous payez le prix de la redondance. Difficulté : le faire comprendre à vos supérieurs.
De plus la plupart de ces sites pourris interdisent l'accès à ceux qui, comme moi, utilisent un bloqueur de publicité !
Je leur souhaite une mort rapide et sans douleur : ces gens ne servent strictement à rien ni à personne ! Qu'ils aillent travailler pour de vrai à l'usine, ils seront enfin utiles à quelque chose !
PG
ça aurait pu leur donner des idées ...
Selon mes sources-augures, nous ne somme pas le 1er avril, même peut-être en calendrier nuirdeboutiste.
Si c'est sérieux, c'est sérieux, tendance grave. Dans ce cas, merci d'approfondir !
Et pas seulement pour l'informatique ; pour les soins, pour le btp, pour l'industrie, etc
A force de vouloir externaliser pour des clopinettes auprès du moins-disant, voilà ce qui arrive.
L'informatique n'est pas un boulot d'amateurs, ça a un prix si on veut un service sérieux.
Pour une fois qu'elle touche des patrons, on va faire des économies de kle.nex.
* Moindre coût qui conduit des médias comme Libé toujours plus bas, voir cet article :
http://misentrop2.canalblog.com/archives/2016/06/11/33946334.html
Quand je pense que toutes les conneries que j'ai pu écrire sur les forums sont "irrémédiablement conservées", ça me fout le noir !
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La redondance, c'est bien, mais il faut savoir aussi que ça augmente la complexité et qu'à la fin c'est un type mal payé (pour la plupart) et surchargé qui met la main dans le cambouis tous les jours pour que le bouzin tienne...
Saluons tous ces Héros inconnus qui tous les jours font que les métros fonctionnent, les trains arrivent à l'heure, les flux financiers et alimentaires s'écoulent et ainsi de suite, pour qu'au final de la nourriture se retrouve au bon moment dans nos assiettes...
Parce qu'au final, tout ça n'est que pour ça!
N'est ce pas?
Cette perte marque un grand tournant dans l'histoire de la presse libre, dans un pays libre.
Il faudra des années pour tout reconstruire, des passes difficiles pour l'indépendance et la pluralité de la presse se profilent.
Et en attendant ce regain de #ID et de RIB, ils vont devoir se contenter (hihi) de leur audience artificielle de « portail pluri-média météo emploi trafic afp conjugaison programme tv politique shopping ».
Attentions à ne pas perdre maintenant les contacts suggérés, lors de la prochaine migration Outlook, et attention aux mails que vous ouvrez, ils pourraient, avec un peu de chance, crypter vos contrats publicitaires. Si tout disparaissait (c'est le moment où jamais!), les confrères que vous citez pourraient s'unir, fermer leurs portails publicitaires construits autour d'articles « AFPréfectoraux » et d'éditos-réac, et monter un portail unique de dépêches AFP.
Ils peuvent essayer de retrouver leur crédibilité en puisant dans les clichés instantanés des cinquante dernières années. Pour certains du moins.
Pleurons tous ensemble pour la presse bourgeoise qui a perdu ses petits bourgeons!
1) Ils n'en n'ont de toute façon rien à [s]foutre[/s] faire. Seul compte le nombre de numéros accrédité par l'OJD et qui fera marcher le moulin à brozoufs de la publicité. On va donc repartir sur ce qui était compté hier.
2) Il s'agit sûrement d'un forfait de la cinquième colonne. Celle qui est frustrée chaque fois qu'un article est sur quatre colonnes.