Comment protéger l'indépendance d'un mensuel de vulgarisation scientifique ?
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J'étais abonné à Episloon mais, à 2 reprises , mon abonnement a été suspendu sans prévenir, du fait d'un changement de carte bancaire pour l'un, et fin d'abonnement pour l'autre. Il a fallu appeler pour en connaitre la raison. J'ai donc a(...)
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J’ai quitté Science-et-Vie après 40 ans d’abonnement pour suivre Epsiloon dès le tout début, depuis la souscription Ulule.
La démarche d’indépendance, similaire à celle d’ASI en son temps, me paraissait d’évidence.
Je suis toujours sur ASI, mais après 3 ans, je n’ai pas renouvelé mon abonnement à Epsiloon.
La qualité de fond des articles n’est toujours pas au rendez-vous.
Je comprends (ou crois comprendre) les intentions :
« …On fait beaucoup d’effort pour ne pas parler de science… » (26:50)
« … On essaie de parler du monde avec un angle scientifique… » (26:56)
Sauf que ça ne peut pas fonctionner, tout simplement parce qu’il est des sujets que la science ne sait pas, ne peut pas et ne doit pas traiter, parce qu’elle n’en n’a pas compétence.
Ce qu’en revanche Epsiloon pourrait faire, c’est expliquer pourquoi tel ou tel sujet n’est pas scientifique.
Exemples, « l’Intelligent design » en opposition à Darwin, ou bien la pornographie, relevant de la morale, du politique ou de la philosophie, mais sur laquelle la science ne peut pas dire grand-chose.
Plus ennuyeux, les efforts de vulgarisation ne sont pas non plus à la hauteur. Dans bien des situations, ChatGpt est plus clair, simple et précis, notamment en des domaines qui ne sont pas les miens, à savoir les mathématiques ou la physique.
Tout ceci est assez dommage ; le « capital sympathie » ne suffit pas à maintenir une dynamique à flot. Il faut davantage.
À propos de la présence des syndicats dans la presse, dans l'interview de Rue89Lyon il y a un comparatif qui est fait entre les médias qui par manque de moyens ou de temps vont se contenter des communiqués syndicaux officiels, et d'autres qui vont avoir le temps et la volonté (et la connaissance du terrain) pour avoir directement la parole des syndicalistes localement. C'est intéressant, mais il y a un troisième lien possible qui m'intrigue depuis longtemps et j'en profite pour poser la question.
Le SNJ est le syndicat majoritaire chez les journalistes. Or le SNJ est affilié à l'Union Syndicale Solidaires. On pourrait donc imaginer que des liens privilégiés pourraient exister entre des fédérations affiliées à l'Union Syndicale Solidaires (SUD Commerce, SUD Industrie, Solidaires Fonction Publique, etc.) et que les informations pourraient aussi circuler par ce biais.
Or j'ai l'impression qu'il n'en est rien. J'ai plutôt l'impression que les fédérations affiliées à l'Union Syndicale Solidaires sont même moins présentes dans les média, même comparativement à leurs scores (parfois très faibles dans certains secteurs certes, mais pour d'autres c'est moins compréhensible) dans les élections professionnelles. Est-ce le cas ? Si oui, comment expliquer ce phénomène ?
Et ça marche dans les deux sens. En tant que syndicaliste d'une fédération affiliée à l'Union Syndicale Solidaires, je suis plus souvent informé des mouvements sociaux dans les médias par Arrêt sur Images (comme ceux évoqués dans cette émission) que par mon Union Syndicale, c'est quand même tordu.
J'ai souvent entendu par des camarades "mais que fait le SNJ dans l'Union Syndicale Solidaires ?", j'avoue que je me pose de plus en plus la question.
J'étais abonné à Episloon mais, à 2 reprises , mon abonnement a été suspendu sans prévenir, du fait d'un changement de carte bancaire pour l'un, et fin d'abonnement pour l'autre. Il a fallu appeler pour en connaitre la raison. J'ai donc arrêté l'abonnement. ASI prévient toujours dans les mêmes cas, donnez-leur des conseils.