Correspondant·es en régimes autoritaires : la grande galère
Partout dans le monde, les correspondant·es à l'étranger dans des pays en dérive autoritaire font face à des refus de visas, des difficultés d'accès au terrain, des règles toujours plus strictes et des accusations "d'influence étrangère". Le but, avoué ou non : restreindre et contrôler l'information. Enquête.
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Commentaires préférés des abonnés
Lapsus/coquille dans le premier paragraphe traitant d'Israël : on aimerait que la correspondante "se soustraie au contrôle" comme écrit dans ce très bon article, mais elle est bel et bien obligée de s'y soumettre...
Ici, pas besoin de faire le tri. Les milliardaires ont promu les plus lèches bottes. Et si un journaliste d'une chaîne d'info se permet de parler d'otages Palestiniens au lieu de prisonniers, il est vite sanctionné.
Les humoristes irrévére(...)
Le récit d'Elena Volochine est très à propos, ça montre bien la galère des journalistes et la propagande en Russie ; très intéressant. Propagande. L'arme de guerre de Vladimir Poutine
(...)Derniers commentaires
Plus on demande de la liberté , plus ils nous offrent des chaînes , jusqu’à devenir schizophrénique comme une trumpette ou un musc.
Merci Pauline pour ce tour d'horizon, je me disais qu'en ce moment ASI faisait super bien son travail, mais un peu trop France-only à mon goût.
Pour suivre Trump qui influence hélas énormément l'Europe, je sais qu'il faudrait un media à soi tout seul. Mais un spécial presse américaine, ce serait pas de refus...
En tous cas merci de tenir le coup.
Et si ASI peut aussi faire un zoom sur la presse résistante au nazisme, en France ou ailleurs (tiens, un prochain sujet pour DS ???), ce serait pas de refus... Je sais bien que le contexte est 100% différent, mais y a peut être quand même un peu à glaner ???
Ici, pas besoin de faire le tri. Les milliardaires ont promu les plus lèches bottes. Et si un journaliste d'une chaîne d'info se permet de parler d'otages Palestiniens au lieu de prisonniers, il est vite sanctionné.
Les humoristes irrévérencieux sont virés. On ferme des chaînes comme RT. On ne donne pas d'agrément au Media pour diffuser sur la TNT.
De plus en plus difficile de voir la différence entre les régimes autoritaires et nos belles démocraties.
Le récit d'Elena Volochine est très à propos, ça montre bien la galère des journalistes et la propagande en Russie ; très intéressant. Propagande. L'arme de guerre de Vladimir Poutine
Lapsus/coquille dans le premier paragraphe traitant d'Israël : on aimerait que la correspondante "se soustraie au contrôle" comme écrit dans ce très bon article, mais elle est bel et bien obligée de s'y soumettre...