Covid à l'école : les médias ont-ils tardé ?
Depuis la semaine dernière, on ne parle plus que du Covid-19 à l'école : protocole plus strict, multiplication des cas contacts, taux d'incidence qui explose... Que se passait-il jusqu'ici ? La progression du Covid-19 dans les établissements scolaires n'a-t-elle été racontée que par la presse régionale, a-t-elle été sous-estimée par les médias nationaux ? Enquête.
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Il y a un autre fléau dont l’article ne parle pas ; ce sont ces chefs d’etablissement parachutés, qui n’écoutent que la voie de leur maître, et s’abstiennent de ne prendre aucune décision de manière un tant soit peu autonome. Petit exemple de cafouil(...)
Mensonge éhonté de Blanquer : affirmer que le virus ne se propage pas plus dans les écoles qu'ailleurs relève de l'imbécilité ou de la malhonnêteté, au choix.
L'école est le noeud du problème ! Quoi de plus compréhensible que les gestes barrières ne p(...)
On commence à parler des contaminations dans les écoles. Peut-être un jour parlera-t-on des contaminations sur les lieux de travail.
Derniers commentaires
C'est marrant ces syndicats qui demandent la fermeture des ecoles alors que Babara Stiegler a fait une tribune pour demander la ré-ouverture des universités.
Ca crie au loup, et en même temps ça dit que tout va bien, quasiment tous les jours, ceci depuis un an, puis certains, certaines dénoncent que les gens n'écoutent pas les consignes, qui, quelque soit le secteur, ne sont pas budgétisées, puisqu'on dépense un pognon de dingue, tout en baissant au maximum toutes les recettes, surtout venant des plus gros possédants de France.
Vraiment, aucunement surpris de la situation, le drôle étant à voir chacun se déresponsabilisant sur l'autre, les soumis dictant n'avoir rien choisi, les dominants prétextant n'avoir rien fait.
Moui, humour noir...
il fallait mettre les moyens pour protéger les enseignants, pour appliquer des solutions de distanciation." En observant les budgets 2021, dit-il, les médias ont pu constater que cela n'a pas été le cas : "Le fait que cela ne suive pas en termes de budgets, ces articles-là ont été écrits, mais c'est un sujet chiant, donc moins lu."
Voilà, tout est dit.
C'es un sujet chiant sauf que c'est bien le coeur du problème
Concernant l'explosion des cas dans les écoles, je crois assez à ce que dit Catherine Hill dans cet interview, autour de 4-5 minutes : https://www.youtube.com/watch?v=Qh_Ofp9JeUM
On teste plus dans les écoles et donc on constate plus de cas.
Plusieurs choses intéressantes d'ailleurs dans cette interview !
Une hypothèse similaire est relevée dans cette étude (qui sera peut-être contredite par une prochaine étude, certes) : https://www.franceinter.fr/selon-une-nouvelle-etude-l-ecole-jouerait-un-role-mineur-dans-la-transmission-du-covid
Les médias se réveillent ces dernières semaines, mais un quotidien national a maintes fois publié (peut-être pas en une) sur les dénis, mensonges de Blanquer et son administration. Dès octobre et novembre, Libération dénonce des chiffres de contamination délibérément minorés d'un facteur 7 à 12. Le mot mensonge est prononcé, ce qui aurait du se propager dans l'ensemble des médias:
Voir aussi par exemple:
https://www.liberation.fr/france/2020/10/26/covid-a-l-ecole-l-omerta-et-le-deni_1803450/
Toujours face au vent notre chroniqueuse.
Et toujours dans l'axe, on ne décolle pas en avion sans être dans l'axe du vent.
On ne sait plus quoi dire, tellement on entend, sous-entend, triche, oublie dans les médias.
Inégalé.
Exemple : Pujadas, hier, qui exhibe des courbes qui engloblent une baisse. Est-ce un bon signe? demande-t-il? personne sur le plateau ne fait attention à un détail : les courbes qui baissent, baissent car ce sont les jours du WE, là où les labos sont fermés, et les décès etc...sont reportés en publication au lundi et au mardi.
Pujadas le sait.
Et tout est ainsi.
Pendant ce temps, nous sommes installés dans un régime de croisière : 300 morts par jour. C'est effroyable.
Mr Fontanet, de Pasteur, que je pensais équilibré, a soutenu par trois fois dans les médias, que le problème n'était pas dans les écoles, puisque Pasteur venait d'achever 3 enquêtes; et que bon, un peu, mais rien. Monsieur Fontanet a menti.
Il a fallu la menace de grève dans l'enseignement, et le droit de réserve lancé, pour stopper l'imbécilité du monsieur chauve qui peut à l'éducation nationale.
On ne sait plus quoi dire.
Alors l'envie de ne plus rien dire. Ce n'est pas le virus qui a gagné, ce sont les politiques qui nous ont fait perdre. Perdre l'espoir, la vie, le moral, nous aïeuls dans les Ehpad.
Dédicace au virus :
"J'arrive, j'arrive
C'est même pas toi qui es en avance
C'est déjà moi qui suis en retard
J'arrive, bien sûr j'arrive
Mais ai-je jamais rien fait d'autre qu'arriver ..."
Le virus a les mêmes qualités que le sytème économique libéral: circulation intense, échange, , silencieux mais monstrueux. Ce qui explique l'aveuglement des gouvernants, ils s'y sont tellement habitués!!!
Basta.
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Il y a un autre fléau dont l’article ne parle pas ; ce sont ces chefs d’etablissement parachutés, qui n’écoutent que la voie de leur maître, et s’abstiennent de ne prendre aucune décision de manière un tant soit peu autonome. Petit exemple de cafouillage : une directrice qui sermonne les enseignants pour n’avoir pas été assez nombreux à se rendre aux test de dépistage antigenique, test organisé.... sur une seule demi-journée pendant les heures de cours !
Il ne faut pas oublier ces tyrans locaux : ce sont un peu les mêmes qui officient à l’hôpital, le soucis de rentabilité en moins (mais le sadisme lui, est intact).
On commence à parler des contaminations dans les écoles. Peut-être un jour parlera-t-on des contaminations sur les lieux de travail.
Mensonge éhonté de Blanquer : affirmer que le virus ne se propage pas plus dans les écoles qu'ailleurs relève de l'imbécilité ou de la malhonnêteté, au choix.
L'école est le noeud du problème ! Quoi de plus compréhensible que les gestes barrières ne peuvent pas être aussi strictement appliqués à l'école qu'en entreprise !
Peut-être que Foutriquet 1er va nous annoncer un grand plan national d'enseignement à domicile, avec le recrutement de milliers d'enseignants, on peut toujours rêver...
Blanquer par-ci, Blanquer par-là.
Évidemment que c'est Blanquer qui apporte la parole, mais ce n'est pas sa parole mais la parole macronienne.
Une telle constance, on est loin de l'avis fugitif d'un ministre quelconque. Nous sommes en pleine ligne droite tracée par Jupiter, et suivie par ses progénitures.