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De De Gaulle à Bayrou, mythologie française de la "magie du verbe"
A la décharge de Ruth Elkrief, il apparait qu'elle n'était pas la seule,
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Derniers commentaires
Belle défense de la langue française par Christiane Taubira, hier sur France-Culture.. Une langue qu'elle aime et maîtrise infiniment mieux que Hollande et surtout Sarkozy.
https://www.franceculture.fr/emissions/linvite-des-matins/christiane-taubira-quest-ce-qui-nous-rassemble-encore
https://www.franceculture.fr/emissions/linvite-des-matins/christiane-taubira-quest-ce-qui-nous-rassemble-encore
Je me souviens que les Guignols avaient faire dire à leur marionnette Chirac :
À l’origine, je souhaitais dissoudre l'Assemblée Nationale et j’ai dissous le RPR.
À l’origine, je souhaitais dissoudre l'Assemblée Nationale et j’ai dissous le RPR.
Sinon, il y a ça:
Le parlement facilite la vie des fraudeurs financiers
Mais bon, Bayrou, c'est sympa aussi.
Le parlement facilite la vie des fraudeurs financiers
Mais bon, Bayrou, c'est sympa aussi.
Jean-Vincent Placé : "J'ai décidé de soutenir Benoît Hamon".
Eh oui, Benoît, c'est le genre de ralliement qui vous plombe un candidat. Et en plus, tu lui avais rien demandé.
Mais dis-toi bien qu'en deux mois il a largement le temps de changer d'avis. Et même plusieurs fois.
Eh oui, Benoît, c'est le genre de ralliement qui vous plombe un candidat. Et en plus, tu lui avais rien demandé.
Mais dis-toi bien qu'en deux mois il a largement le temps de changer d'avis. Et même plusieurs fois.
"Je vous hais. Compris ?" plutôt que "Je vous ai compris".
Du coup cela expliquerai les mesures que De Gaulle a pris par la suite et l'impression d'avoir été trahi que les pieds-noirs ont ressenti lors de l'application de celles-ci
...M'enfin j'dis çà, j'dis rien...
Du coup cela expliquerai les mesures que De Gaulle a pris par la suite et l'impression d'avoir été trahi que les pieds-noirs ont ressenti lors de l'application de celles-ci
...M'enfin j'dis çà, j'dis rien...
moi non plus j'ai pas tout compris mais arriver à introduire De Gaulle dans un sujet sur Bayrou, faut pas avoir peur du ridicule !
moi non plus !
Chose assez rare, je n'ai absolument pas compris la chronique du matinaute. Je ne comprends pas de quoi il est question.
Il y a quand même une phrase, prononcée par le nouveau chef des relations internationales du groupe Accor, qui a marqué son époque et manque à mon avis dans ce florilège, c'est "si tu reviens, j'annule tout".
Ce théâtre d'ombres mortes s'évanouissant dans leur propre inexistence me conforte dans ma position.
Ce spectacle est pitoyable.
Seul, Mélenchon, appuyé par les Insoumis tente de...
Le brouillard de ce matin alimente mon pessimisme.
Fatigué des mots creux.
Ce spectacle est pitoyable.
Seul, Mélenchon, appuyé par les Insoumis tente de...
Le brouillard de ce matin alimente mon pessimisme.
Fatigué des mots creux.
Bien sûr qu'il peut y avoir des arrières pensées et même du dépit. N'empêche que ça fait du bien et que ça apporte une bonne bouffée d'air frais dans l'atmosphère pourrie de cette campagne. Merci et bravo à F. B. !
Mort aux cons. Vaste programme.
" au commencement des temps, les mots et la magie étaient une seule et même chose " (S. Freud )
A présent, Emmanuel et François, faites-nous rêver.
"Il y a une mythologie française, de cette "magie du verbe" qui renverse la table"
Voilà premier coup d’œil avant de lire à fond la chronique de Daniel Schneidermann.
C'est incroyable comme cette magie marque la vie Française. Moi-même qui ne l'a subi que depuis peu, j'y suis sensible.
Tenez par exemple, même Mélenchon a parfois des intonations Gaulliennes et je ne pense pas exagérer.
Je ne sais pas si cette magie du verbe Mélenchonien va renverser les tables, elle fait en tous les cas des adeptes.
J'eusse pour ma part espérer qu'elle se fasse Européenne car les Frexit, Brexit, Bzhxit, Elsassxit, ça a un côté enclos à cochons d'un autre siècle
Je viens de lire la chronique en entier sur un autre onglet et je n'ai pas trop vu le le côté "mythologie française, ... cette "magie du verbe"" dans ce qu'a dit Bayrou. Bayrou c'est de la gelée flasque, et la gelée ce n'est pas une spécialité française. ça a des mouvements aléatoires et ça colle ensuite à tout.
Reste que le paysage est découvert : une fille du père cyclope qui depuis le château s'occupe de diviser les pauvres, des notaires empêtrés dans leurs valeurs de droite qu'ils mettent à mal et soutenus pas la cathosphère, un pur produit bancaire qui se veut au-dessus des mêlées et qui l'est de fait puisqu'il est une abstraction humaine rejoint par un canasson en bout de course, un réveil socialiste dont le mécanisme reste grippé et ne veut pas s'unir pensant qu'il pourra encore avoir de beaux jours à sonner sur les bancs de l'Assemblée, une espérance qui rejoint étrangement le populisme cyclopien au lieu de s'envoler à travers l'Europe et travailler à son renouveau
Va leur en falloir de la "magie du verbe" d'ici mars.
Voilà premier coup d’œil avant de lire à fond la chronique de Daniel Schneidermann.
C'est incroyable comme cette magie marque la vie Française. Moi-même qui ne l'a subi que depuis peu, j'y suis sensible.
Tenez par exemple, même Mélenchon a parfois des intonations Gaulliennes et je ne pense pas exagérer.
Je ne sais pas si cette magie du verbe Mélenchonien va renverser les tables, elle fait en tous les cas des adeptes.
J'eusse pour ma part espérer qu'elle se fasse Européenne car les Frexit, Brexit, Bzhxit, Elsassxit, ça a un côté enclos à cochons d'un autre siècle
Je viens de lire la chronique en entier sur un autre onglet et je n'ai pas trop vu le le côté "mythologie française, ... cette "magie du verbe"" dans ce qu'a dit Bayrou. Bayrou c'est de la gelée flasque, et la gelée ce n'est pas une spécialité française. ça a des mouvements aléatoires et ça colle ensuite à tout.
Reste que le paysage est découvert : une fille du père cyclope qui depuis le château s'occupe de diviser les pauvres, des notaires empêtrés dans leurs valeurs de droite qu'ils mettent à mal et soutenus pas la cathosphère, un pur produit bancaire qui se veut au-dessus des mêlées et qui l'est de fait puisqu'il est une abstraction humaine rejoint par un canasson en bout de course, un réveil socialiste dont le mécanisme reste grippé et ne veut pas s'unir pensant qu'il pourra encore avoir de beaux jours à sonner sur les bancs de l'Assemblée, une espérance qui rejoint étrangement le populisme cyclopien au lieu de s'envoler à travers l'Europe et travailler à son renouveau
Va leur en falloir de la "magie du verbe" d'ici mars.
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Pourquoi systématiquement dévaloriser le discours de Bayrou hier ?
Cela vous embête tant que ça, vous, gens des media, qu’il cesse de jouer à la course des prêtes chevaux car il fait gros temps dans le pays ?
Doit-on en conclure qu’à tout prendre, vous souhaitez, les uns et les autres, dans votre for intérieur ou non, une arrivée intempestive de la Marine au pouvoir, histoire d’avoir du grain à moudre et du papier à pondre au kilomètre ?
Le geste et le mot de Bayrou était effectivement beau, s’il y avait un regret, du moins pour ma part, à exprimer, il serait de le voir épouser la cause de la continuité des politiques menées ayant fait gonfler au fil du temps les scores du Front National, aussi, s’il y a une ambiguïté dans sa démarche, elle est précisément là. Quel futur avec un Macron à l’Élysée ?
Cela vous embête tant que ça, vous, gens des media, qu’il cesse de jouer à la course des prêtes chevaux car il fait gros temps dans le pays ?
Doit-on en conclure qu’à tout prendre, vous souhaitez, les uns et les autres, dans votre for intérieur ou non, une arrivée intempestive de la Marine au pouvoir, histoire d’avoir du grain à moudre et du papier à pondre au kilomètre ?
Le geste et le mot de Bayrou était effectivement beau, s’il y avait un regret, du moins pour ma part, à exprimer, il serait de le voir épouser la cause de la continuité des politiques menées ayant fait gonfler au fil du temps les scores du Front National, aussi, s’il y a une ambiguïté dans sa démarche, elle est précisément là. Quel futur avec un Macron à l’Élysée ?
Le "oui mais", de Giscard c'était bien avant le référendum de 1969.
Au référendum Giscard le rejeta par une litote : "je ne l'approuverai pas".
Au référendum Giscard le rejeta par une litote : "je ne l'approuverai pas".