Commentaires
De quelques effondrements
Et sortit Gérard Larcher. Et c'est à lui qu'il revint, martial
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Derniers commentaires
Très joli texte indeed! :)
SCOOP : François Fillon est en passe de rater sa campagne.
A tout malheur, il y a une bonne chose comme maintenant avec les deux jurisprudences Fillon et Le Pen
Proche du châtelain, il y a Retailleau, un ancien sbire de De Villiers. C'est dire...
Continuez avec ce bel humour cette belle ironie,mais rien pour l'analyse des deux chefs de bande (des factieux ?) qui disent parler au nom du peuple(?),que l'on dit irremplaçables (CF cimetières) et seuls capables,et qui se placent au dessus des lois,viscéralement antirépublicains.Que va faire le pouvoir? On attend et on le remercie de nous donner des armes pour expliquer au enfants ce qu'est la morale.
A l'heure où j'écris, le même Larcher, au micro de Patrick Cohen, tente de justifier l'expression, la veille, par le directeur de campagne démissionnaire de Fillon, Patrick Stefanini, de "complément de rémunération", pour désigner l'enveloppe des assistants parlementaires. Cette enveloppe, un "complément de rémunération" ? Un petit quelque chose au black, à serrer dans les boîtes de biscuits en fer blanc ? "Jusqu'à il y a quelques années, à l'Assemblée Nationale..." commence Larcher
De facto le principe même de l'embauche d'assistants parlementaires - par contrat de droit privé, sur une enveloppe d'argent public; sans le moindre contrôle - est effarant. Et ce n'est pas les quelques rustines apposées a ce statut, en encadrant la rémunération d'un membre de la famille, qui y change quoi que ce soit.
Par ailleurs il suffit de demander a un ami parlementaire d'embaucher un proche (à charge de revanche) pour que cette "limitation" saute. (ce qui fait qu'il y a sans doute bien plus que les 10-15% souvent evoqués de collaborateurs parlementaires 'familiaux').
Et les quelques parlementaires qui ont voulu changer ce statut se sont heurté à un tir de barrage en règle, dépassant tous les clivages politiques pour le coup ...
Suffit de voir le numéro de duetistes Dray/Debré à C à vous il y a 1 mois pour constater (s'il en était besoin) qu'en ce qui concerne leurs avantages ces hommes politiques que soit-disant "tout oppose" sont entièrement d'accord pour défendre leur pré-carré ...
http://www.huffingtonpost.fr/2017/01/30/julien-dray-francois-fillon-pourrait-dire-elle-ne-faisait-que/
De facto le principe même de l'embauche d'assistants parlementaires - par contrat de droit privé, sur une enveloppe d'argent public; sans le moindre contrôle - est effarant. Et ce n'est pas les quelques rustines apposées a ce statut, en encadrant la rémunération d'un membre de la famille, qui y change quoi que ce soit.
Par ailleurs il suffit de demander a un ami parlementaire d'embaucher un proche (à charge de revanche) pour que cette "limitation" saute. (ce qui fait qu'il y a sans doute bien plus que les 10-15% souvent evoqués de collaborateurs parlementaires 'familiaux').
Et les quelques parlementaires qui ont voulu changer ce statut se sont heurté à un tir de barrage en règle, dépassant tous les clivages politiques pour le coup ...
Suffit de voir le numéro de duetistes Dray/Debré à C à vous il y a 1 mois pour constater (s'il en était besoin) qu'en ce qui concerne leurs avantages ces hommes politiques que soit-disant "tout oppose" sont entièrement d'accord pour défendre leur pré-carré ...
http://www.huffingtonpost.fr/2017/01/30/julien-dray-francois-fillon-pourrait-dire-elle-ne-faisait-que/
Même si on n'a jamais voté à droite (sauf en 2002 pour Chirac ),on est en colère. Tout ce cirque, tous ces mensonges, cette acceptation du manquement à la loi, toute cette pourriture! Cette omniprésence, ce scénario envahissant, ces beuglements du prochain mis en examen!!!
Et savoir sans aucun doute possible qu'ils ne feront jamais une loi pour interdire à tout mis en examen d'accéder à un quelconque
rôle dans l'ensemble des assemblées de notre république!
Dans l'hypothèse d'un duel Le Pen-Fillon, je reste chez moi. Ecoeurement!
Et savoir sans aucun doute possible qu'ils ne feront jamais une loi pour interdire à tout mis en examen d'accéder à un quelconque
rôle dans l'ensemble des assemblées de notre république!
Dans l'hypothèse d'un duel Le Pen-Fillon, je reste chez moi. Ecoeurement!
le pire : cette foule au Trocadero. Ces gens, nos compatriotes, nos contemporains, ont intégré la corruption comme une donnée naturelle, c'est la France des orléanistes et des légitimistes qui émerge des limbes, toujours vivante, toujours rampant vers le pouvoir et l'inégalité porteuse de privilèges, élitiste, anti républicaine. La France de la Restauration, la France de l'Empire. Ad nauseam.
Je n'ai pas d'opinion sur ce Larcher, mais à voir la photo de l'article, la description du maître de ces lieux est juste. Il y a du bourgeois peint par Balzac mais surtout à la moindre parole du consensus qui n'en finit pas de se relever.
Un miraculé si on en croit une indiscrétion de Marianne "Le président du Sénat, relativement discret dans les médias depuis quinze jours, est "tombé du 12e étage" en apprenant l'affaire Fillon, selon un de ses proches"
Peu de gens se remettrait d'une pareille chute. En tous les cas, pas moi qui ne suit même pas tombé d'aussi haut, bien que pour dire la vérité, je n'aurai pas cru Fillon capable d'engraisser son ménage par un "tel "complément de rémunération"". Un complément qui, en comparaison, ferait paraître le salaire de beaucoup de citoyens comme un pourboire. Au maximum, je suis tombé de quelques centimètres et Fillon lui dans le puits de mon infinie déconsidération d'autant qu'il a ajouté le parjure. N'ai-je donc tant vécu que pour VOIR cette infamie ? dixit le Sid Vicious
Bon maintenant soyons sérieux : la bananeraie organise des élections
à ma droite Macron, à ma droite Fillon, à mon extrême droite la fille du cyclope, tous les trois avec un bel handicap de casseroles
Quoi ! dites-vous, pas Macron ! et voilà la casserole de Macron sur le feu
La bananeraie est remplie de casseroles.
Ne serait-il pas temps de dire stop aux élections et de les remettre à plus tard, juste le temps que la Justice délibère. On pourrait même faire juger la chose par des hommes de justice d'un autre pays Européen comme la Suède, ceux qui ont fait démissionner un ministre pour une peccadille qui ferait éclater de rire tous les comptoirs de France vu que beaucoup de citoyens Français pensent qu'il faut garder raison et que "qui vole un œuf, vole une bœuf", c'est bon pour les cons.
Un miraculé si on en croit une indiscrétion de Marianne "Le président du Sénat, relativement discret dans les médias depuis quinze jours, est "tombé du 12e étage" en apprenant l'affaire Fillon, selon un de ses proches"
Peu de gens se remettrait d'une pareille chute. En tous les cas, pas moi qui ne suit même pas tombé d'aussi haut, bien que pour dire la vérité, je n'aurai pas cru Fillon capable d'engraisser son ménage par un "tel "complément de rémunération"". Un complément qui, en comparaison, ferait paraître le salaire de beaucoup de citoyens comme un pourboire. Au maximum, je suis tombé de quelques centimètres et Fillon lui dans le puits de mon infinie déconsidération d'autant qu'il a ajouté le parjure. N'ai-je donc tant vécu que pour VOIR cette infamie ? dixit le Sid Vicious
Bon maintenant soyons sérieux : la bananeraie organise des élections
à ma droite Macron, à ma droite Fillon, à mon extrême droite la fille du cyclope, tous les trois avec un bel handicap de casseroles
Quoi ! dites-vous, pas Macron ! et voilà la casserole de Macron sur le feu
La bananeraie est remplie de casseroles.
Ne serait-il pas temps de dire stop aux élections et de les remettre à plus tard, juste le temps que la Justice délibère. On pourrait même faire juger la chose par des hommes de justice d'un autre pays Européen comme la Suède, ceux qui ont fait démissionner un ministre pour une peccadille qui ferait éclater de rire tous les comptoirs de France vu que beaucoup de citoyens Français pensent qu'il faut garder raison et que "qui vole un œuf, vole une bœuf", c'est bon pour les cons.
Comment, on me dit que la Tour de Pise va choir sous la poussée conjuguée des juges et amis félons?
Qui peut me rassurer?
Vite.
Merci.
(dernières strophes du Bal Des Pendus d' Arthur Rimbaud)
..
Oh ! voilà qu'au milieu de la danse macabre
Bondit dans le ciel rouge un grand squelette fou
Emporté par l'élan, comme un cheval se cabre :
Et, se sentant encor la corde raide au cou,
Crispe ses petits doigts sur son fémur qui craque
Avec des cris pareils à des ricanements,
Et, comme un baladin rentre dans la baraque,
Rebondit dans le bal au chant des ossements.
Au gibet noir, manchot aimable,
Dansent, dansent les paladins,
Les maigres paladins du diable,
Les squelettes de Saladins.
Qui peut me rassurer?
Vite.
Merci.
(dernières strophes du Bal Des Pendus d' Arthur Rimbaud)
..
Oh ! voilà qu'au milieu de la danse macabre
Bondit dans le ciel rouge un grand squelette fou
Emporté par l'élan, comme un cheval se cabre :
Et, se sentant encor la corde raide au cou,
Crispe ses petits doigts sur son fémur qui craque
Avec des cris pareils à des ricanements,
Et, comme un baladin rentre dans la baraque,
Rebondit dans le bal au chant des ossements.
Au gibet noir, manchot aimable,
Dansent, dansent les paladins,
Les maigres paladins du diable,
Les squelettes de Saladins.
« Gérard Larcher. Sa posture. Sa bedaine …. Son double menton… le président du Sénat incarne le finissant, le crépusculaire, le déjà effondré » Sûr que Emmanuel Macron (par exemple) , ça a une autre allure ! N’hésite pas non plus à taper dans la caisse à l’occasion et reste très discret sur le financement de sa campagne, mais tellement sympa… et moderne ! Ah, çà, avec lui on est loin des années 40 ! et de Trump ! Quoique…
Je vous aime bien DS, mais il est de facilités que vous pourriez nous épargner ;o)
Je vous aime bien DS, mais il est de facilités que vous pourriez nous épargner ;o)
Vous avez oublié les parties de chasse, la pêche et les ballades dans la forêt de Rambouillet.
C'en est finie de la démocratie en France si la République s'effondre.
C'en est finie de la démocratie en France si la République s'effondre.
L'effondrement politique vient de la sclérose des partis.
A quoi servent les partis en théorie? A animer le débat d'idée, à faire des propositions en vue d'arriver au pouvoir pour les appliquer. L'arrivée au pouvoir n'étant théoriquement pas un but, mais un moyen. Or la logique majoritaire de nos institutions a fait que la vie politique française depuis au moins le congrès d'Epinay de 1972 a tourné autour de deux partis, le PS et le RPR-UMP-LR, autour desquels gravitaient des forces qui ne pouvaient être que d'appoint dans la logique institutionnelle (les centres pour la droite, le PCF pour la gauche).
Cette place centrale de ces deux partis majoritaires et le tournant libéral du PS en 1983 ont fait que ces partis en sont venus non plus à défendre des idées, des principes, des objectifs de société, mais à être des organismes de gestion de carrière pour les élus. Il y a quelques jours par exemple sur France Inter, Najat Vallaud Belkacem expliquaient très benoitement qu'elle soutenait Benoit Hamon car il était le représentant du parti politique auquel elle appartient et grâce auquel elle a acquis des positions de pouvoir, c'est-à-dire une position sociale. Elle aurait donc soutenu indifféremment n'importe quel autre candidat issu de son parti par légitimisme de parti conférant investitures et possibilités de postes. Mais du reste, de la Politique avec un P, rien. (Ou si dans son cas, l'illusionisme d'avoir réformé l'éducation nationale, alors qu'elle n'a fait qu'un peu plus la mettre à mal en poursuivant une logique discursive de réforme totalement déconnectée de ce qui se fait dans les établissements et contribuant à fragiliser un peu plus les équipes, mais c'est un autre discours...) Mais ce qui vaut pour le PS est également vrai à droite. Les partis majoritaires étaient tellement sûr de leurs postes, de leur inamovibilité qu'ils en ont fini par se comporter de manière totalement rapace. Le cas Fillon est exemplaire à ce titre: il ne voit pas où est le mal dans l'emploi de sa femme, ne reconnaît aucune faute, même pas morale, mais s'en veut juste de ne pas avoir compris ce qu'était l'attente nouvelle de la société. Le sentiment de l'inamovibilité, du bon droit a totalement déconnecté nos dirigeants des réalités et de leur but, à savoir oeuvrer théoriquement pour le bien-être collectif. Du coup pour ces partis, tant que le FN était là comme un épouvantail, il constituait pour eux la garantie d'une rente de situation: voter pour nous, pour ne pas avoir eux. Mais le fait est qu'à ne plus du tout se soucier du réel, du peuple on finit par semer la révolte à l'égard du système. L'effondrement du PS et des Républicains, au-delà de l'anecdotique mais révélatrice affaire Fillon, est le révélateur d'un ras-le-bol à l'égard de partis majoritaires à la chambre mais minoritaires dans la réalité et imposant une violence sociale, symbolique, culturelle devenue insupportable.
Et du coup, l'avancée du FN et de Macron est logique, même si déprimante, quelque soit ce qu'on pense de leurs programmes respectifs: ils ne sont pas "hors système", mais "hors partis" traditionnels, et dégommer les partis traditionnels est devenu une nécessité démocratique, car ils font obstacles en l'état au fonctionnement démocratique et à la représentation des populations (comment par exemple croire le PS hamonien lorsqu'il parle de changement des pratiques quand on voit dans la circonscription où j'habite que l'investiture aux prochaines législative est donnée au député sortant, âgé de 74 ans, en poste depuis plus de 30 ans, absentéiste quand il était maire d'une ville qu'il a laissé à l'abandon, mais dont le mérite est d'appartenir au parti radical de gauche... la belle affaire!!!!)
Déprime, déprime, déprime. Mais comme disait Gramsci "il faut savoir allier le pessimisme de la conscience à l'optimisme de la volonté!!!!"
A quoi servent les partis en théorie? A animer le débat d'idée, à faire des propositions en vue d'arriver au pouvoir pour les appliquer. L'arrivée au pouvoir n'étant théoriquement pas un but, mais un moyen. Or la logique majoritaire de nos institutions a fait que la vie politique française depuis au moins le congrès d'Epinay de 1972 a tourné autour de deux partis, le PS et le RPR-UMP-LR, autour desquels gravitaient des forces qui ne pouvaient être que d'appoint dans la logique institutionnelle (les centres pour la droite, le PCF pour la gauche).
Cette place centrale de ces deux partis majoritaires et le tournant libéral du PS en 1983 ont fait que ces partis en sont venus non plus à défendre des idées, des principes, des objectifs de société, mais à être des organismes de gestion de carrière pour les élus. Il y a quelques jours par exemple sur France Inter, Najat Vallaud Belkacem expliquaient très benoitement qu'elle soutenait Benoit Hamon car il était le représentant du parti politique auquel elle appartient et grâce auquel elle a acquis des positions de pouvoir, c'est-à-dire une position sociale. Elle aurait donc soutenu indifféremment n'importe quel autre candidat issu de son parti par légitimisme de parti conférant investitures et possibilités de postes. Mais du reste, de la Politique avec un P, rien. (Ou si dans son cas, l'illusionisme d'avoir réformé l'éducation nationale, alors qu'elle n'a fait qu'un peu plus la mettre à mal en poursuivant une logique discursive de réforme totalement déconnectée de ce qui se fait dans les établissements et contribuant à fragiliser un peu plus les équipes, mais c'est un autre discours...) Mais ce qui vaut pour le PS est également vrai à droite. Les partis majoritaires étaient tellement sûr de leurs postes, de leur inamovibilité qu'ils en ont fini par se comporter de manière totalement rapace. Le cas Fillon est exemplaire à ce titre: il ne voit pas où est le mal dans l'emploi de sa femme, ne reconnaît aucune faute, même pas morale, mais s'en veut juste de ne pas avoir compris ce qu'était l'attente nouvelle de la société. Le sentiment de l'inamovibilité, du bon droit a totalement déconnecté nos dirigeants des réalités et de leur but, à savoir oeuvrer théoriquement pour le bien-être collectif. Du coup pour ces partis, tant que le FN était là comme un épouvantail, il constituait pour eux la garantie d'une rente de situation: voter pour nous, pour ne pas avoir eux. Mais le fait est qu'à ne plus du tout se soucier du réel, du peuple on finit par semer la révolte à l'égard du système. L'effondrement du PS et des Républicains, au-delà de l'anecdotique mais révélatrice affaire Fillon, est le révélateur d'un ras-le-bol à l'égard de partis majoritaires à la chambre mais minoritaires dans la réalité et imposant une violence sociale, symbolique, culturelle devenue insupportable.
Et du coup, l'avancée du FN et de Macron est logique, même si déprimante, quelque soit ce qu'on pense de leurs programmes respectifs: ils ne sont pas "hors système", mais "hors partis" traditionnels, et dégommer les partis traditionnels est devenu une nécessité démocratique, car ils font obstacles en l'état au fonctionnement démocratique et à la représentation des populations (comment par exemple croire le PS hamonien lorsqu'il parle de changement des pratiques quand on voit dans la circonscription où j'habite que l'investiture aux prochaines législative est donnée au député sortant, âgé de 74 ans, en poste depuis plus de 30 ans, absentéiste quand il était maire d'une ville qu'il a laissé à l'abandon, mais dont le mérite est d'appartenir au parti radical de gauche... la belle affaire!!!!)
Déprime, déprime, déprime. Mais comme disait Gramsci "il faut savoir allier le pessimisme de la conscience à l'optimisme de la volonté!!!!"
Daniel Schneidermann : le président du Sénat incarne le finissant, le crépusculaire, le déjà effondré
Emmanuel Todd : « En France, nous vivons l’arrivée à maturité du vide » (repéré via l'indispensable blog d'Olivier Berruyer).
Emmanuel Todd : « En France, nous vivons l’arrivée à maturité du vide » (repéré via l'indispensable blog d'Olivier Berruyer).
J'en connais une qui doit être contente même si elle aussi responsable des mêmes travers.
et les médias qui s'emploient avec gourmandise à nous pousser dans l'abime. En ne mettant pas en valeur JLM, en le critiquant juste sur son caractère, mais rien sur sa probité, sur son programme, sur le fait que lui donne de la place aux femmes. A force d'aimer la catastrophe pour faire le buzz, même les Plenel, les Schnedermann nous envoie dans le mur. C'est vrai que pour les journalistes éditorialiste et autres zintellos, payer un loyer n'est pas un problème, si y'a du grabuge ils sauront où aller, c'est nous les femmes sans dents qui resterons pour supporter tout ça , avec les jeunes, mais les classe moyenne hautes seront protégés toujours, les tourments des sociétés ne touchent souvent que les plus pauvres, 80% des smicardEs sont des femmes, nous payons le capitalisme ou les bourgeois profitent tout en nous méprisants, nous les sauvages.
Tant que la corruption reste confinée aux dominants, elle reste socialement acceptable, voire utile. Le monopole seigneurial de la chasse légitime la répression du braconnage, la consanguinité de la noblesse consolide la prohibition de l'inceste ( l'incestueux de l'Egypte antique est mis à mort pour crime de lèse-pharaon), le droit de cuissage criminalise le viol, etc. La vraie leçon de l'affaire Fillon comme de tout vote populaire à droite est à chercher du côté de cette habitude-seconde nature immémoriale qui fonde la servitude volontaire.
C'est vrai que Larcher ce n'est pas une flèche...
. Il donne l'exemple aux français ; il faudra se serrer la ceinture ;;( sauf pour certains )
Tout cela serait risible, si çà ne donnait envie de pleurer
. Il donne l'exemple aux français ; il faudra se serrer la ceinture ;;( sauf pour certains )
Tout cela serait risible, si çà ne donnait envie de pleurer