Débat à 11 : le débrief des débriefs
"Bon les gars, bien joué pour Mélenchon. Maintenant, on a un débat à préparer. C'est du jamais vu, faut mettre le paquet : filmer les loges, mesurer la taille des pupitres, compter les ampoules et les caméras, on veut tout savoir. Pour l'après-débat, Jean-Michel et Gérard seront à deux caméras sur les parkings. Cathy, pour les montages, t'embête pas, regarde Twitter. Et comme invité sur le plateau, demandez à Collard s'il veut bien venir". C'est en substance ce qui s'est dit dans les conférences de rédaction de France 5, Canal+ et C8 pour couvrir le débat des 11. La preuve en images.
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Derniers commentaires
Seulement, double fail:
Le format est surtout un condensé foireux des pires tares de l'interview politique, ou plutôt pseudo interview, qui consiste à compresser le plus possible les discussions de fond pour n'en tirer que la forme (voir le "débriefing" d'après l'émission avec Bruno Jeudy) en se donnant bonne conscience en invitant les "petits" candidats que l'on s'évertue à invisibiliser par ailleurs (Cheminade, Poutou, Arthaud, Asselineau...) et des intervieweuses, enfin surtout Ruth Elkrief, qui se croient intelligentes en interrompant sans cesse et inutilement leurs interlocuteurs. Avec, comme de bien entendu, une réduction des débats au plus bas niveau possible afin que l'on ne sorte pas trop des clous des préoccupations du patronat et de leurs chiens de garde.
De deux, surtout, "l'histoire" du petit écran a été marqué par la spontanéité d'un Poutou taillant (à juste titre par ailleurs) un costard à Fifi et Fifille. Il ne suffit pas de répéter ad nauseum qu'on "marque l'histoire" pour se faire, le côté totalement superficiel de la manoeuvre ayant alors tendance à ressurgir avec insistance, cela ressemblant plus à du racolage qu'à de la spontanéité.
D'autant plus qu'au-delà de la prise à parti, il n'y avait pas grand chose à tirer d'une cacophonie de casseroles, d'interruptions grossières des propos des candidats et des banalités maintes fois rebattues (ce qui est, je vous l'accorde, un gros pléonasme, mais il est à l'image de l''émission, quoi).
bon sinon je n'aime pas Eldin mais si on devait faire une soirée électorale avec juste les journalistes (si tant est qu'on puisse donner ce titre a Eldin) que j’apprécie il faudrait probablement la réaliser en partie dans une langue étrangère. (je plaisante je suis snob mais pas a ce point).
ah ça m'épate ça m'épate ! :)
sur le sujet, perso le pire que j'ai eu à voir ces derniers temps (je vous laisse l'entertainment c'est injouable pour moi !) c'est Salamé !
face à Ruffin elle a été autoritaire, péremptoire, voire méprisante, et sans un argument à apporter au débat !...
il faudrait plus de Ruffin, de Poutou, pour faire comprendre à cette caste de petits journaleux, que ce ne sont pas eux qui intéressent les français mais a priori ceux qu'ils invitent !...
petit cadeau pour vos vacances, vous l'avez bien mérité non ? : Moi Président....
Message pour Anne-Sophie (j’écris en semi-SylvN) : c’est dommage d’avoir raté tout ça. Fou-rires assurés !
Et bon courage à Anne-So, y'a de la lecture en retard.
1 Ma
2 cr
3 on
Grave Eldin, très grave.
Vu son âge et le mien, je devrais me le taper, par échos, jusqu'à ma mort !
PS Juste déçu par la madame Hôtesse de loges. Je la croyais partie du "Petit Journal" faire journaliste pour de vrai.
1- La laine de sa toison particulièrement fine est utilisée pour fabriquer des vêtements de luxe.
2- son saint patron se fête en août si l'on en croit saint Wiki
3- selon mon opinion son saint patron se fête en décembre et en juin et est membre du comité de parrainage du Collège des Bernardins