Décodex du Monde : les "labellisés" répliquent
Décodex, nouveau Graal pour vérifier l'info ? Le projet des Décodeurs du Monde, lancé le 1er février et qu'@si vous présentait il y a quelques jours, veut permettre aux internautes de distinguer les sites d'information fiables, de ceux qui ne le sont pas, à l'aide d'une classification couleur, qui va du vert au rouge, selon plusieurs critères. A l’heure où essaiment site d’infaux et fake-news, Le Monde s’attèle à une tâche d’envergure. Mais en statuant sur la fiabilité de pas moins de 600 sites, la classification de Décodex a inévitablement fait des mécontents
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Derniers commentaires
Il serait bien de mettre a minima un lien vers votre article sur la contre attaque d'Olivier Berruyer que vous avez publié démontrant que la citation existait belle et bien.
Ca serait la moindre des choses car vous avez fait le travail de suivre cette polémique et de retrouver une vidéo qui prouve que la citation est réelle et existait.
En l'état votre article reste à charge contre Berruyer laissant juste une réponse de 1 lignes 1/2 de ce dernier contacté par téléphone, et ne permettant pas la défense de Berruyer, ou au moins mettre le lien démontrant qu'il avait raison.
1. « Delin s’implante en Ile-de-France », Profession fromager, n° 68, septembre-octobre 2015, p. 10.
Il n'y a que deux exigences fondamentales, mathématiques : la cohérence et la complétude.
Gödel a montré qu'aucun système formel ne peut être à la fois cohérent et complet.
Comme en sciences, on ne peut déroger à la cohérence, et l'on s'efforce de maximiser la complétude.
• ne jamais fabriquer de faux (cohérence)
• être insensible à la censure (complétude)
De ces exigences, l'on dérive toutes les autres, en particulier :
• conservation et intégrité des preuves (cohérence)
• protection des menaces externes (censure)
Les technologies, en particulier cryptographie et blockchain, seraient presque suffisants pour assurer l'existence d'une entité virtuelle digne de confiance. Par exemple, mis en oeuvre dans le Bitcoin, le blockchain prouve sa solidité, assurant à la fois le secret et l'irréfutabilité. La particularité du problème qui nous intéresse est que la preuve et la sécurité des sources de la preuve sont souvent contradictoires. C'est là qu'intervient le crédit accordé à l'autorité, à qui l'on délègue la vérification.
Mais ce n'est pas insurmontable. Je suis convaincu qu'une bonne recherche théorique permettrait de résoudre, lentement peut-être mais sûrement, tous les écueils.
Ce jour là sera une révolution copernicienne dans l'information. Il n'y a pas besoin de tout prouver, mais que l'extension de la preuve progresse inexorablement, et tout sera différent.
Sur l'Ukraine, Berruyer est un clown et mérite largement sa notation : l'Ukraine est un pays qu'il n'a jamais visité et qu'il ne connait que par l'intermédiaire de RT, de Sputnik ou de l'"agence de presse" de la "Novorossiya".
Il n'aurait jamais dû sortir du seul domaine qu'il maîtrise, l'économie, et le paye désormais de sa crédibilité.
Mais qu'on ne se trompe pas : le Decodex n'est qu'une première étape dans la guerre contre la "réinformation" (faux nez pour la propagande), et je suis sûr que d'autres initiatives verront le jour, qui finiront même par être intégrées aux moteurs de recherche pour pénaliser ceux qui font trop appel à la désinformation massive. Je lance le pari, pour une intégration à moyen terme. Celle-ci sera un des moyens les plus efficaces pour contrer la guerre de l'information que mènent contre nous certains pays et partis…
N'importe quoi, vraiment !
Il y a donc des journalistes qui n'ont jamais réfléchi à ce qu'est l'information ?!
Pour les décodeurs, comme cette info n'est pas reprise par les médias occidentaux, elle n'existe pas. La presse russe ou ukrainienne ne fait pas partie de leur champ journalistique. Moins qu'un blogueur quelconque du Monde en tout cas.
Je ne serais pas étonné qu'ils continuent à avancer qu'ils ont raison et Berruyer tort, même avec la vidéo, tant leur enfermement idéologique semble poussé.
Sur le point 1 : je voudrais signaler cette analyse du GRIP page 5 qui confirme ce qui est écrit par O. Berruyer.
http://www.grip.org/sites/grip.org/files/NOTES_ANALYSE/2014/NA_2014-04-14_FR_F-SANTOPINTO.pdf
Sur le point 2 : Il suffit pour vérifier les dires de OB, d’écouter l’interview du porte-parole de l’OSCE par l’ORF (1° chaine Autrichienne) :
https://www.youtube.com/watch?v=mWeU_4UEAq8
Il ne s’agissait pas de savoir si cette mission était « légale » ou pas, mais de savoir si elle était diligentée par l’OSCE ou pas. Et si elle ne l’était pas, comme l’affirme le porte-parole de l’OSCE, elle pouvait donc s’attendre à rencontrer de très grosses difficultés
Sur le point 3 : A vos auditeurs de se faire un avis.
L'aveuglement des grands médias sur leurs parti-pris flagrants a désormais un nom.
Quelle bande d'imbéciles.
- J'ai ajouté une colonne "statut" qui pourra être utilisée par celles et ceux qui souhaitent utiliser ce document sur un logiciel de feuilles de calcul.
- J'ai mis en place une sauvegarde automatique journalière du fichier que publient les décodeurs (et qui je le rappelle, ne nous dit rien de leur méthodologie).
Pour
- le Monde, on a : Le groupe est détenu depuis 2010 par les hommes d'affaires Xavier Niel, Pierre Bergé et Matthieu Pigasse
- Le Parisien : dirigé par le milliardaire Bernard Arnault
- Le Point : appartient au milliardaire François Pinault via la holding Artémis
- Les Inrockuptibles : propriété du milliardaire Matthieu Pigasse (également actionnaire à titre personnel du Monde)
- Libération : appartient au groupe SFR Médias du milliardaire Patrick Drahi
- L'Express : propriété du milliardaire Patrick Drahi depuis 2015, via le groupe SFR Médias
- iTélé : filiale du groupe Vivendi, dirigé par le milliardaire Vincent Bolloré
Liste de ceux indiqués comme étant du groupe Le Monde sans précision "détenu par les hommes d'affaires..." : La Vie, Télérama, Courrier international.
Après vérification Niel serait bien milliardaire, par contre, Bergé n'est que multimillionnaire, avec seulement 180 millions, c'est peut-être pour ça que ce sont "les hommes d'affaires" et pas les milliardaires, y'a un pauvre parmi eux, faut être précis.
P.S. : faudrait garder trace des mises à jour de la base de donnée pour voir comment ils évoluent dans leurs indications
Pour ceux qui savent lire/debugger du code, se demandent ce que fait exactement l'outil et ont un peu de temps devant eux:
En accédant à la page du module Firefox, on peut constater qu'il est distribué sous Mozilla Public License Version 2.0. Je ne suis pas spécialiste en droit des licences, mais je crois comprendre que cette licence implique la publication du code source complet (ou en partie).
Du coup j'ai cherché sur le site des décodeurs, mais je n'ai rien trouvé. Alors j'ai tapé "decodex github" dans un moteur de recherche et je suis tombé sur les sources de l'extension Chrome et les sources du module Firefox (elles doivent être similaires, au code de construction de l'extension/du module près).
On a évidemment pas accès à la (aux) base(s) de données utilisée(s), mais on doit déjà pouvoir voir les actions sur la(les)dite(s) bases.
De plus, on peut remonter d'un cran et voir l'ensemble du travail publié par les décodeurs sur github.
Il y a un projet "data" mais a priori rien concernant les données utilisées pour construire/enrichir la(les) bdd(s) du décodex.
Bonne journée,
Ca commence par : "les sondages en tout genre fleurissent pour tenter de deviner qui en sera le vainqueur. Mais attention : tous les sondages ne se valent pas et, de façon générale, il est bon de les prendre avec des pincettes.". Des pincettes mais "Si l’on veut estimer combien d’électeurs vont voter pour tel ou tel candidat, il faut..." et puis, on a quand même du vrai, "une photographie à un instant T de l’opinion"
C'est sûr qu'ils vont en causer des sondages si pour eux on peut sans souci estimer les votes futurs, que c'est une photographie de "l'Opinion", qu'ils ne semblent pas avoir conscience que prolonger une ligne "d'instants T" pour dire "ah, ça va donner ça" est le degré zéro de l'intelligence. Ca rejoint ce que disait Lordon sur la bêtise d'un journalisme de "fait" qui ne s'interroge même pas sur ce dont on parle, comment on construit le "fait", ce qu'est une analyse politique quand on est censé faire du journalisme politique.
Quand on interroge sur "Fillon", on interroge sur une image de Fillon, et on change d'objet avant et après un événement significatif touchant cette image (personnelle), un sondage n'interroge plus sur le même objet politique.
Et si ils faisaient plutôt des sondages sur les attentes réellement politiques, les choses à changer, les actions voulues, les qualités personnelles attendues d'un candidat etc., plutôt que des noms dont on ne sait ce que les gens mettent derrière ?
Il y aurait au moins quelque raison de croire qu'on a là des objets stables, les éléments constitutif d'un désir conditionnant ensuite le vote.
Mais peut-être ne veulent-ils pas trop savoir : ils pourraient constater que ça ne colle pas à ce que vendent leurs "experts" dans leurs journaux, ces gens qui garantissent/vendent le "sérieux", le "réaliste", le "réel" d'où on a autorité à dire le vrai, le désirable, à noter le crédible et qui se méfient d'une "Opinion" assez folle pour ne pas les suivre.
Je crois qu'il y a un problème de fond quand des journaux prétendant au vrai se gardent bien de regarder ce qui s'exprime vraiment dans l'adhésion aux "fake news", à quelles attentes ça répond, quels désirs ça satisfait, qu'ils se refusent notamment à affronter ce que Mélenchon appelle le "dégagisme" et qui les concerne, une envie de faire exploser le "réel" dès lors que le "être réaliste" qu'ils défendent à longueur de page est celui de la perpétuation d'une souffrance, d'une violence, d'une rigueur fatale prônée par leurs "experts", leurs gens "sérieux" au service du "y'a pas d'alternative".
Sont-ils hypocrites ou croient-ils vraiment que, par exemple, quand ils interrogent sur le vote "Macron" après une campagne de presse apologétique ils interrogent sur autre chose qu'un objet médiatique, une image, une construction qu'ils consolident avec leurs sondages en lui donnant une fausse identité, celle d'un Macron président alors qu'il n'est qu'un Macron Paris-match ?
En marche ou crève...
Et dans le genre, rions un peu avec Sondages : critique de la critique, par Brice Teinturier, 7/11/2011, où il défend que les sondages ça marche, c'est prédictif, et puis que oui, peut-être que ça influe sur "'l'Opinion" mais, hein, bon, "Si les sondages avaient réellement de l'influence sur le comportement électoral, en quoi cela serait-il un problème ?".
C'est vrai quoi, quand on croit qu'un sondage indique un simple fait, pourquoi s'inquiéter qu'on en soit informé ?
Je pense que je vais recommencer à lire ce journal.
Pendant des années cette phrase attribuée au dirigeant iranien prétendant vouloir "rayer Israël de la carte" fut reprise en boucle un peu partout, y compris dans l'ex-quotidien de référence (2005).
En 2012, surprise, Le Point:
"Iran : Ahmadinejad n'a jamais appelé à "rayer Israël de la carte"
Le ministre israélien du Renseignement admet que le président iranien n'a pas appelé à la destruction de l'État hébreu."
Il s'agirait d'une bête erreur de traduction …
Il faudrait remonter l'itinéraire planétaire de cette fake news…
Bon, alors, qui a fait ça ? Ah, tiens, le monde...
18 mois plus tard, l'article est toujours en ligne, commentaires géopoolitiques inclus.
Par exemple, sur l'affaire d'urophilie poutinienne, le Monde a repris l'info pendant plusieurs heures, avant de changer le papier par une version qui se distanciait un peu de et passait de "la source est faible, mais c'est crédible" à "buzzfeed y est allé un peu à la va vite". L'hypocrisie fantastique de ce journal ne cesse de m'émerveiller.
Sur le premier reproche à M. Berruyer, vous écrivez :
« La source de cette citation, reproduite par Berruyer, qu'Einz dénonce comme fausse, n'existe plus aujourd'hui: quand on clique sur le lien donné par le blogueur, on tombe sur une page 404, donc inexistante. »
Tout d'abord, votre lien pointe sur une page sans rapport (https://www.ukrinform.ua/eng/news/world_jewish_congress_calls_svoboda_a_neo_nazi_party_303220), également en 404.
Mais surtout, on retrouve une version archivée de la page sur archive.org (projet ancien qui capture régulièrement les pages web du web).
On trouve bien sur cette page la citation traduite par M. Berruyer :
« [...] One country cannot at the same time be a member of a customs union and be in a deep common free-trade area with the European Union. This is not possible," Barroso said. »
Le reproche fait à M. Berruyer est de n'avoir pas vérifié l'authenticité de cette citation ; le texte de la page (repris sur la page de M. Einz) se termine par "ap", et M. Einz n'a pas retrouvé trace de cette dépêche, ni de cette citation dans le discours de M. Barroso dont il est question.
Ceci dit, on trouve sur la page de M. Einz une contribution intéressante sur la nuance entre véracité des propos de M. Berruyer et l'exactitude de la citation ; apparemment, des commentaires du même auteur aurait été supprimé du billet de M. Einz.
Bien à vous,
- LM
Vite décodeur pastille rouge pour le Spiegel!
http://www.spiegel.de/international/europe/war-in-ukraine-a-result-of-misunderstandings-between-europe-and-russia-a-1004706.html
Indices: "La vie sexuelle d'Emmanuel K.", confusions Taddéi/Taddei, Pierre/Bernard Cassen pour ne citer que les plus comiques.
Et en plus les « journalistes » ne donnent pas le bon lien, il·elle affirment que « le lien donné par le blogueur » est le suivant :
http://www.ukrinform.ua/eng/news/world_jewish_congress_calls_svoboda_a_neo_nazi_party_303220
alors que c'est ce lien-ci qu'Olivier Berruyer a donné :
http://www.ukrinform.ua/eng/news/barroso_reminds_ukraine_that_customs_union_and_free_trade_with_eu_are_incompatible_299321
Le Monde, 13 décembre 2016
"Un charnier contenant 21 corps a été découvert dans la partie qui était contrôlée par le rébellion dans la ville syrienne d'Alep, rapporte l'agence officielle Sana, imputant la responsabilité aux insurgés."
L'Orient-Le Jour, 27 décembre 2016
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Parce qu'il ne faut pas oublier l'origine et la raison de toutes ces manœuvres.
Suite aux révélations de Snowden sur la surveillance généralisée et l'usage manipulatoire qui en était fait, les humains ont réagit comme d'habitude*, ils ont noyé les réseaux de communications sous des masses d'infos que les robots ont été incapables de décoder pour en sortir une appréciation valable des mouvements d'opinion. Et pire la propagande de masse des Pouvoirs c'est heurté à une mise en abime de tous les moyens de communication.
Panique chez les Autorités : on ne peut plus savoir ce que pense le peuple réellement et on le soupçonne de penser mal.
Toutes ces conneries légales ou technologiques sur "l'inFAUX", la "fake news" et les autres délires et propos de comptoir n'ont que seul but: essayer de reprendre la main sur la propagande et le contrôle des opinions.
Donc apprenez à penser par vous même si vous ne voulez pas que d'autres le fassent à votre place. Decodex on s'en fout !!!
* Comme tous les animaux: la technique du banc de sardines - saturer les senseurs du prédateur par un foule d'informations contradictoires qui rend difficile la définition de la cible.
Un extrait du diplo de ce mois-ci. Un article de P. Rimbert :
"Ceux qui trompaient la Terre entière en décembre 1989 avec les faux charniers de Timi?oara, en Roumanie ; ceux qui diffusaient sans vérification, en octobre 1990, la fable des soldats irakiens détruisant des couveuses à la maternité de Koweït afin de préparer l’opinion à une intervention militaire ; ceux qui révélaient à la « une » du Monde (8 et 10 avril 1999) le plan « Fer à cheval » manigancé par les Serbes pour liquider les Kosovars — une invention des services secrets allemands destinée à légitimer les bombardements sur Belgrade. Sans oublier les éminences du New York Times, du Washington Post ou du Wall Street Journal qui relayèrent en 2003 les preuves imaginaires de la présence d’armes de destruction massive en Irak pour ouvrir la voie à la guerre."
http://www.acrimed.org/Le-Figaro-a-Saint-Denis-Desinformation-sur-Seine
Mince, je rêve ou la "classe ouvrière" est en train reprendre un avantage sur son adversaire de classe !? Incroyable ! ...MAIS ILS ONT VRAIMENT PEUUUUUR !
Ah ben ça alors ! Si on pouvait s'attendre !
Quelle tartufferie !!!
Et une tarte aux truffes pour le tartuffe, une !
Gloup gloup !
Dans ce cas, il faut aussi dégrader les notes des sites suivants:
La Tribune,
Le Figaro,
Marianne ( qui s'appuie sur un rapport des parlementaires britanniques )
Entre autres, je ne vais y passer la nuit, mais cette analyse est très répandue. Mais le Monde prend ses vœux pour des réalités et ( ses lecteurs pour des ânes; HiHan !!! )
On va les noter, ces gueux. On va souligner au trait rouge que le site de gauche sociale ne vaut pas mieux que le site identitaire. Tous les mêmes, tous comploteurs et nous au-dessus de cette infâme mêlée.
Samuel Laurent ne se sent plus. Évoquons pour se marrer un peu Sauron, le personnage imaginé par Tolkien. Si le Decodex est le lointain descendant d'un certain anneau:
"Un Decodex pour les gouverner tous, Un Decodex pour les trouver, Un Decodex pour les amener tous et dans l'infamie les lier, Au Pays de la Raison ou s'étend la vraie information.
Facile, on se demande d'où vient l'idée...https://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me_de_marquage_nazi_des_prisonniers
Il n'a pas non plus répondu aux remarques que nous lui avons adressées quand il s'en est pris à nous l'année dernière :
www.reopen911.info/News/2016/01/10/samuel-laurent-journaliste-au-monde-affabule-sur-le-11-septembre/
Ce qui est grave, c'est que Le Monde se croit objectif (incompétence?) ou ment sur son parti-pris (malhonnête?).
"L'orange pour les sites "militants" ou "insuffisamment précis", et qui "ne vérifient pas" ou "ne précisent pas" leurs sources. "
Vous vous trompez asi, il me semble.
Je tiens à souligner que le militantisme de Fakir n'est aucunement donné comme justification de la note donnée par les décodeurs.