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Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit le ministre...
Il y a des mots utilisés pour se débarrasser de l’embarrassant mais qui ne résistent pas à la machine à laver de la chroniqueuse sur les dents.
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Derniers commentaires
Coucou,
C'est le titre, le mieux des jeux de mots et personne n'en parle dans le forum : alors quoi y'a que la cyrrhose qui vous branche..
Des gens qui ont un "tas de prénoms" pour identité qui se prêtent une phrase, l'un à l'autre, par delà les âges, à travers les technologies et tout, c'est cool.
Le wifi à l'office de tourisme : je garde un vélo, je réponds au pif à une touriste, et je fais l'air de rien pour pas qu'on m'embête, je lis le forum et j'écoute les dames qui sont pour de vrai pour informer qui papotent. "je me sers" me dit à l'instant une dame en prenant un papier sur ma table... "ok" je lui réponds.
C'est le titre, le mieux des jeux de mots et personne n'en parle dans le forum : alors quoi y'a que la cyrrhose qui vous branche..
Des gens qui ont un "tas de prénoms" pour identité qui se prêtent une phrase, l'un à l'autre, par delà les âges, à travers les technologies et tout, c'est cool.
Le wifi à l'office de tourisme : je garde un vélo, je réponds au pif à une touriste, et je fais l'air de rien pour pas qu'on m'embête, je lis le forum et j'écoute les dames qui sont pour de vrai pour informer qui papotent. "je me sers" me dit à l'instant une dame en prenant un papier sur ma table... "ok" je lui réponds.
je voulais te ressortir la chronique d'Alain qui cite ta photo et je m'aperçois que tonton AK avait déjà utilisé dans sa chro- l'affiche ultra-brite. C'est fou, je ne m'en souvenais pas.
(ouahhhhhh la pirouette pour espliquer que j'ai pas copié...)
(ouahhhhhh la pirouette pour espliquer que j'ai pas copié...)
Ha, la chronique d'anne-sophie...
Le petit plaisir de retour de ouacances trop courtes.
Puisque je vois la ré-utilisation du sourire Ultra-Brite, je ne peux manquer d'en placer une autre, l'image étant fort connue, l'inspiration peut-être moins...
Et puis, tant qu'à parler d'albus, pourquoi l'oublier ?
sinon, ouais, à fond, pour d'autres scie rose, j'adore... Et vive San-A !
"La foi, c'est prier un doute pour qu'il protège des réalités", c'est pas magnifique, ça ?
Le petit plaisir de retour de ouacances trop courtes.
Puisque je vois la ré-utilisation du sourire Ultra-Brite, je ne peux manquer d'en placer une autre, l'image étant fort connue, l'inspiration peut-être moins...
Et puis, tant qu'à parler d'albus, pourquoi l'oublier ?
sinon, ouais, à fond, pour d'autres scie rose, j'adore... Et vive San-A !
"La foi, c'est prier un doute pour qu'il protège des réalités", c'est pas magnifique, ça ?
Excellent, et merci à Conall pour son sublime texte de Baudelaire !
***
***
...et du très grand Francis Blanche, ce poème:
[large]Ils ont une affaire de plastique, gérée avec calme et raison.
Esther fait la vente en boutique et Mika fait les livraisons.
Lui costaud, elle pas fière, font dire aux esprits délicats:
Mon Dieu, qu’elle est polie, Esther ; Mon Dieu, qu’il est fort, Mika.[/large]
[large]Ils ont une affaire de plastique, gérée avec calme et raison.
Esther fait la vente en boutique et Mika fait les livraisons.
Lui costaud, elle pas fière, font dire aux esprits délicats:
Mon Dieu, qu’elle est polie, Esther ; Mon Dieu, qu’il est fort, Mika.[/large]
« La Page Blanche » de Jean Dornac http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article14170
Un mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La Peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom)
Capable d'enrichir en un jour l'Achéron,
Faisait aux animaux la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés :
On n'en voyait point d'occupés
A chercher le soutien d'une mourante vie ;
Nul mets n'excitait leur envie ;
Ni Loups ni Renards n'épiaient
La douce et l'innocente proie.
Les Tourterelles se fuyaient :
Plus d'amour, partant plus de joie.
Le Lion tint conseil, et dit : Mes chers amis,
Je crois que le Ciel a permis
Pour nos péchés cette infortune ;
Que le plus coupable de nous
Se sacrifie aux traits du céleste courroux,
Peut-être il obtiendra la guérison commune.
L'histoire nous apprend qu'en de tels accidents
On fait de pareils dévouements :
Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence
L'état de notre conscience.
Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons
J'ai dévoré force moutons.
Que m'avaient-ils fait ? Nulle offense :
Même il m'est arrivé quelquefois de manger
Le Berger.
Je me dévouerai donc, s'il le faut ; mais je pense
Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi :
Car on doit souhaiter selon toute justice
Que le plus coupable périsse.
- Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ;
Vos scrupules font voir trop de délicatesse ;
Et bien, manger moutons, canaille, sotte espèce,
Est-ce un péché ? Non, non. Vous leur fîtes Seigneur
En les croquant beaucoup d'honneur.
Et quant au Berger l'on peut dire
Qu'il était digne de tous maux,
Etant de ces gens-là qui sur les animaux
Se font un chimérique empire.
Ainsi dit le Renard, et flatteurs d'applaudir.
On n'osa trop approfondir
Du Tigre, ni de l'Ours, ni des autres puissances,
Les moins pardonnables offenses.
Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins,
Au dire de chacun, étaient de petits saints.
L'Ane vint à son tour et dit : J'ai souvenance
Qu'en un pré de Moines passant,
La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et je pense
Quelque diable aussi me poussant,
Je tondis de ce pré la largeur de ma langue.
Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
A ces mots on cria haro sur le baudet.
Un Loup quelque peu clerc prouva par sa harangue
Qu'il fallait dévouer ce maudit animal,
Ce pelé, ce galeux, d'où venait tout leur mal.
Sa peccadille fut jugée un cas pendable.
Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable !
Rien que la mort n'était capable
D'expier son forfait : on le lui fit bien voir.
Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La Peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom)
Capable d'enrichir en un jour l'Achéron,
Faisait aux animaux la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés :
On n'en voyait point d'occupés
A chercher le soutien d'une mourante vie ;
Nul mets n'excitait leur envie ;
Ni Loups ni Renards n'épiaient
La douce et l'innocente proie.
Les Tourterelles se fuyaient :
Plus d'amour, partant plus de joie.
Le Lion tint conseil, et dit : Mes chers amis,
Je crois que le Ciel a permis
Pour nos péchés cette infortune ;
Que le plus coupable de nous
Se sacrifie aux traits du céleste courroux,
Peut-être il obtiendra la guérison commune.
L'histoire nous apprend qu'en de tels accidents
On fait de pareils dévouements :
Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence
L'état de notre conscience.
Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons
J'ai dévoré force moutons.
Que m'avaient-ils fait ? Nulle offense :
Même il m'est arrivé quelquefois de manger
Le Berger.
Je me dévouerai donc, s'il le faut ; mais je pense
Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi :
Car on doit souhaiter selon toute justice
Que le plus coupable périsse.
- Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ;
Vos scrupules font voir trop de délicatesse ;
Et bien, manger moutons, canaille, sotte espèce,
Est-ce un péché ? Non, non. Vous leur fîtes Seigneur
En les croquant beaucoup d'honneur.
Et quant au Berger l'on peut dire
Qu'il était digne de tous maux,
Etant de ces gens-là qui sur les animaux
Se font un chimérique empire.
Ainsi dit le Renard, et flatteurs d'applaudir.
On n'osa trop approfondir
Du Tigre, ni de l'Ours, ni des autres puissances,
Les moins pardonnables offenses.
Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins,
Au dire de chacun, étaient de petits saints.
L'Ane vint à son tour et dit : J'ai souvenance
Qu'en un pré de Moines passant,
La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et je pense
Quelque diable aussi me poussant,
Je tondis de ce pré la largeur de ma langue.
Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
A ces mots on cria haro sur le baudet.
Un Loup quelque peu clerc prouva par sa harangue
Qu'il fallait dévouer ce maudit animal,
Ce pelé, ce galeux, d'où venait tout leur mal.
Sa peccadille fut jugée un cas pendable.
Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable !
Rien que la mort n'était capable
D'expier son forfait : on le lui fit bien voir.
Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
C'est dur d'arriver après 95 messages. On peut pas placer le moindre jeu de mot pourri, c'est déjà fait.
Y'aurait pas un assistant «commentaire dans forum», quelqu'un pour aider à placer un truc intéressant ?
En attendant :
Merci Anne-Sophie !
Y'aurait pas un assistant «commentaire dans forum», quelqu'un pour aider à placer un truc intéressant ?
En attendant :
Merci Anne-Sophie !
Ben c'est Anne-Sophie qui l'avait mis, je viens juste de le voir, pardon !
***
***
Si personne ne l'a mis (pas encore eu le temps de tout lire)
Pour le désagréable qui m'envoie Michel (que j'ai connu, contrairement à lui) dans les incisives...
C'est incontournable dans le cas qui nous occupe !
Anne-Sophie, très fort cette fois encore ! Mon problème c'est que je n'ai que des parcelles de temps because Maman malade beaucoup. Mais je reviens, c'est promis ! pow wow trop bien, une fois encore !
***
Pour le désagréable qui m'envoie Michel (que j'ai connu, contrairement à lui) dans les incisives...
C'est incontournable dans le cas qui nous occupe !
Anne-Sophie, très fort cette fois encore ! Mon problème c'est que je n'ai que des parcelles de temps because Maman malade beaucoup. Mais je reviens, c'est promis ! pow wow trop bien, une fois encore !
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De leur col blanc courbant les lignes,
On voit dans les contes du Nord,
Sur le vieux Rhin, des femmes-cygnes
Nager en chantant près du bord,
Ou, suspendant à quelque branche
Le plumage qui les revêt,
Faire luire leur peau plus blanche
Que la neige de leur duvet.
De ces femmes il en est une,
Qui chez nous descend quelquefois,
Blanche comme le clair de lune
Sur les glaciers dans les cieux froids ;
Conviant la vue enivrée
De sa boréale fraîcheur
A des régals de chair nacrée,
A des débauches de blancheur !
Son sein, neige moulée en globe,
Contre les camélias blancs
Et le blanc satin de sa robe
Soutient des combats insolents.
Dans ces grandes batailles blanches,
Satins et fleurs ont le dessous,
Et, sans demander leurs revanches,
Jaunissent comme des jaloux.
Sur les blancheurs de son épaule,
Paros au grain éblouissant,
Comme dans une nuit du pôle,
Un givre invisible descend.
De quel mica de neige vierge,
De quelle moelle de roseau,
De quelle hostie et de quel cierge
A-t-on fait le blanc de sa peau ?
A-t-on pris la goutte lactée
Tachant l'azur du ciel d'hiver,
Le lis à la pulpe argentée,
La blanche écume de la mer ;
Le marbre blanc, chair froide et pâle,
Où vivent les divinités ;
L'argent mat, la laiteuse opale
Qu'irisent de vagues clartés ;
L'ivoire, où ses mains ont des ailes,
Et, comme des papillons blancs,
Sur la pointe des notes frêles
Suspendent leurs baisers tremblants ;
L'hermine vierge de souillure,
Qui pour abriter leurs frissons,
Ouate de sa blanche fourrure
Les épaules et les blasons ;
Le vif-argent aux fleurs fantasques
Dont les vitraux sont ramagés ;
Les blanches dentelles des vasques,
Pleurs de l'ondine en l'air figés ;
L'aubépine de mai qui plie
Sous les blancs frimas de ses fleurs ;
L'albâtre où la mélancolie
Aime à retrouver ses pâleurs ;
Le duvet blanc de la colombe,
Neigeant sur les toits du manoir,
Et la stalactite qui tombe,
Larme blanche de l'antre noir ?
Des Groenlands et des Norvèges
Vient-elle avec Séraphita ?
Est-ce la Madone des neiges,
Un sphinx blanc que l'hiver sculpta,
Sphinx enterré par l'avalanche,
Gardien des glaciers étoilés,
Et qui, sous sa poitrine blanche,
Cache de blancs secrets gelés ?
Sous la glace où calme il repose,
Oh ! qui pourra fondre ce coeur !
Oh ! qui pourra mettre un ton rose
Dans cette implacable blancheur !
Théophile GAUTIER (1811-1872)
On voit dans les contes du Nord,
Sur le vieux Rhin, des femmes-cygnes
Nager en chantant près du bord,
Ou, suspendant à quelque branche
Le plumage qui les revêt,
Faire luire leur peau plus blanche
Que la neige de leur duvet.
De ces femmes il en est une,
Qui chez nous descend quelquefois,
Blanche comme le clair de lune
Sur les glaciers dans les cieux froids ;
Conviant la vue enivrée
De sa boréale fraîcheur
A des régals de chair nacrée,
A des débauches de blancheur !
Son sein, neige moulée en globe,
Contre les camélias blancs
Et le blanc satin de sa robe
Soutient des combats insolents.
Dans ces grandes batailles blanches,
Satins et fleurs ont le dessous,
Et, sans demander leurs revanches,
Jaunissent comme des jaloux.
Sur les blancheurs de son épaule,
Paros au grain éblouissant,
Comme dans une nuit du pôle,
Un givre invisible descend.
De quel mica de neige vierge,
De quelle moelle de roseau,
De quelle hostie et de quel cierge
A-t-on fait le blanc de sa peau ?
A-t-on pris la goutte lactée
Tachant l'azur du ciel d'hiver,
Le lis à la pulpe argentée,
La blanche écume de la mer ;
Le marbre blanc, chair froide et pâle,
Où vivent les divinités ;
L'argent mat, la laiteuse opale
Qu'irisent de vagues clartés ;
L'ivoire, où ses mains ont des ailes,
Et, comme des papillons blancs,
Sur la pointe des notes frêles
Suspendent leurs baisers tremblants ;
L'hermine vierge de souillure,
Qui pour abriter leurs frissons,
Ouate de sa blanche fourrure
Les épaules et les blasons ;
Le vif-argent aux fleurs fantasques
Dont les vitraux sont ramagés ;
Les blanches dentelles des vasques,
Pleurs de l'ondine en l'air figés ;
L'aubépine de mai qui plie
Sous les blancs frimas de ses fleurs ;
L'albâtre où la mélancolie
Aime à retrouver ses pâleurs ;
Le duvet blanc de la colombe,
Neigeant sur les toits du manoir,
Et la stalactite qui tombe,
Larme blanche de l'antre noir ?
Des Groenlands et des Norvèges
Vient-elle avec Séraphita ?
Est-ce la Madone des neiges,
Un sphinx blanc que l'hiver sculpta,
Sphinx enterré par l'avalanche,
Gardien des glaciers étoilés,
Et qui, sous sa poitrine blanche,
Cache de blancs secrets gelés ?
Sous la glace où calme il repose,
Oh ! qui pourra fondre ce coeur !
Oh ! qui pourra mettre un ton rose
Dans cette implacable blancheur !
Théophile GAUTIER (1811-1872)
(..)
Le rapport ne répond donc qu'à une partie du problème et ne pourrait, du fait même de la mission qui lui a été donnée, « blanchir » M. WOERTH que sur une partie des questions posées dans toutes ces affaires.
(...)
Le rapport de l'IGF, malgré toutes les précautions qui ont pu être prises, démontre qu'il y a bien eu une intervention sanctionnable. J'utilise le mot sanctionnable car c'est le terme que l'on pourrait utiliser pour tout agent de l'Etat qui aurait pratiqué ce qui est expliqué au paragraphe 2.1.3.2 du rapport de l'IGF.
(...)
Ces faits rapportés par l'IGF sont qualifiables de manquement à l'obligation de neutralité et d'abus de fonction pour tout agent de l'administration fiscale. Il s'agit de règles déontologiques qui font l'objet de sanctions chaque année.
(...)
N'en déplaise au gouvernement, le rapport de l'IGF commandé pour « blanchir » M. WOERTH n'y est parvenu que partiellement. Ce rapport démontre bien qu'il y a eu au moins une fois utilisation des services et des pouvoirs du ministre pour des raisons personnelles ce qui est qualifié de manquement à l'obligation de neutralité et d'abus de fonction pour tout fonctionnaire. Evidemment, le ministre n'est pas un fonctionnaire. Mais serait-il normal que les règles déontologiques qu'il devait faire appliquer dans ses services, lui-même ne se les soit pas appliquées ?
Source : « Le rapport de l’IGF accuse Eric Woerth », par Thomas PETIT, sur le club Mediapart, 16 juillet 2010 ( accès libre ) http://www.mediapart.fr/club/blog/thomas-petit/160710/le-rapport-de-l-igf-accuse-eric-woerth
Le rapport ne répond donc qu'à une partie du problème et ne pourrait, du fait même de la mission qui lui a été donnée, « blanchir » M. WOERTH que sur une partie des questions posées dans toutes ces affaires.
(...)
Le rapport de l'IGF, malgré toutes les précautions qui ont pu être prises, démontre qu'il y a bien eu une intervention sanctionnable. J'utilise le mot sanctionnable car c'est le terme que l'on pourrait utiliser pour tout agent de l'Etat qui aurait pratiqué ce qui est expliqué au paragraphe 2.1.3.2 du rapport de l'IGF.
(...)
Ces faits rapportés par l'IGF sont qualifiables de manquement à l'obligation de neutralité et d'abus de fonction pour tout agent de l'administration fiscale. Il s'agit de règles déontologiques qui font l'objet de sanctions chaque année.
(...)
N'en déplaise au gouvernement, le rapport de l'IGF commandé pour « blanchir » M. WOERTH n'y est parvenu que partiellement. Ce rapport démontre bien qu'il y a eu au moins une fois utilisation des services et des pouvoirs du ministre pour des raisons personnelles ce qui est qualifié de manquement à l'obligation de neutralité et d'abus de fonction pour tout fonctionnaire. Evidemment, le ministre n'est pas un fonctionnaire. Mais serait-il normal que les règles déontologiques qu'il devait faire appliquer dans ses services, lui-même ne se les soit pas appliquées ?
Source : « Le rapport de l’IGF accuse Eric Woerth », par Thomas PETIT, sur le club Mediapart, 16 juillet 2010 ( accès libre ) http://www.mediapart.fr/club/blog/thomas-petit/160710/le-rapport-de-l-igf-accuse-eric-woerth
Bravo! j'en ai bu du petit en lisant la chronique http://www.ac-grenoble.fr/svt/log/1_l/alimentation/lait.jpg
« La scie blanche à la cirrhose », c'était excellent. N'écoute pas les rabat-joie jaloux.
Mais n'écoute pas non plus ceux qui te disent que l'élève va dépasser le maître, faut pas déconner, on n'arrivera jamais à dépasser San-A, le vrai maître, on n'est que des petits scarabées.
bon franchement pas le temps de lire tous les messages, mais merci pour la chronique, c'etait vraiment tres interessant.
Vous etes a 2 doigts (enfin plus qu'un, voir un demi meme), a ce que j'offre un abonnement a ma mere (prof de francais, qui je suis sur qu'elle aimera votre travail, et le reste du site d'ASI)...
vraiment merci.
PS: j'ai le sentiment qu'Alain vous a aide pour les illustrations, en tout cas on dirait du AK par moment. Dans tous les cas, c'est vraiment tres reussi ! Bravo !
Vous etes a 2 doigts (enfin plus qu'un, voir un demi meme), a ce que j'offre un abonnement a ma mere (prof de francais, qui je suis sur qu'elle aimera votre travail, et le reste du site d'ASI)...
vraiment merci.
PS: j'ai le sentiment qu'Alain vous a aide pour les illustrations, en tout cas on dirait du AK par moment. Dans tous les cas, c'est vraiment tres reussi ! Bravo !
Encore une fois Anne-Sophie, vous mettez le doigt sur mon problème de la semaine, et je vous le dis sans ambage, tout ça devient fortement suspect, je commence à vous soupçonner d'écouter mes conversations à distance ou même de plus loin, et j'ai pris la décision de m'enrouler dans du papier alu pour faire cage de Faraday et qu'ainsi vous n'espionniez plus ma vie privée c'est bien fait pour vous, le problème c'est qu'en sortant le chien les gens me remarquent et me prennent pour un saumon géant en papillotte et j'ai peur pour ma vie vu le prix du saumon, sachant en plus que ces jours derniers il y a eu une forte recrudescence de vente d'aneth dans les épiceries alentour, il y a en fait un faisceau d'indices graves et concordants indiquant que ma vie est en danger. Mais on ne m'aura pas facilement je vous prie de le croire, il faut plus qu'un filet de citron ou un trait d'huile d'olive et 20 minutes au four thermostat 7 pour m'avouer vaincu.
Car oui, encore cette semaine, j'ai fait l'objet d'un odieux lynchage, une sinistre cabale a été dirigée de main de maître contre moi, sûrement par les maîtres de l'école du village puisque c'est de leurs mains dont il s'agit comme indiqué précédemment, j'ai fait mon enquête. Bâclée, mais quand même. Pour me venger, je suis rentré nuitamment dans l'école et j'ai grabouillé les tableaux noirs d'insultes. Pour changer des sempiternelles croix gammées ou étoiles de David qui ne font plus rire personne depuis le temps, et étant créatif, j'ai dessiné des lampes de chevet et des accoudoirs de fauteuils anciens, d'après photos. c'est un choix comme un autre, et c'est l'inspiration qui m'est venue sur le moment. En tous cas le message est clair, puisque j'ai écrit quelques slogans racistes bien sentis: "La France aux Saumons en papillotte" "La France tu l'aimes ou bien tu fais un autre métier" "Dehors les étrangers et fermez la porte en partant s'il vous plaît" "Les sans-culotte avec nous mais mettez au moins un string ou sinon un vieux slip au pire" "Le Maire est chauve" "La secrétaire de Mairie fait une collection de napperons",etc. Je me suis lâché grave.
Bon en fait, je ne sais pas s'ils sont responsables, car finalement l'affaire n'est pas sortie de chez moi. Mais ça leur fait les pieds, au moins ils savent ce que je pense puisque j'ai signé. En fait le drame est resté circonscrit à ma maison de chez moi, c'est un drame en interne qui s'est joué, un fait divers qui s'est passé dans l'entrée, l'horreur absolue. Pas l'entrée, quoi que. Le vieux papier peint des années 70 avec des gros ronds marrons et orange psychédéliques, moi je serais pour en changer. Par un papier peint des années 80 flashy. Madame pow wow ne veut pas, madame pow wow est une femme du passé, madame pow wow sera un jour étudiée par des savants russes qui auront retrouvé ses ossements fossilisés dans la toundra. Non, madame pow wow n'est pas un mammouth, mais elle le mériterait.
Ah encore heureux, je n'ai pas eu droit à des rumeurs sur internet sur mon compte, des articles de fachistes à moustache en mal d'audience. Vous avez remarqué, les fachistes ont des moustaches. Ah merde, je me rends compte que ma grand-mère était fachiste du coup. C'est terrible si vous regardez bien, tous les dictateurs ont des moustaches. Hitler, Staline, ma grand-mère, Tom Selleck, Zorro, Saddam, le gars qui fait la pub du roquefort, tous. Oui bon ils ne sont pas tous fachistes stricts aux sangsues, mais ils ont tous des moustaches. Quand on a des poils sous le nez je vous préviens, c'est un signe flagrant qu'on fait partie de la confrérie des moustachus. C'est pas anodin quand on regarde bien. C'est comme une société secrète, une marque distinctive entre frères d'une même loge, et je parle pas de celle de ma concierge, qui est poilue aussi. Pire, il y a ceux qui se cachent, des femmes même, une confrérie aussi, ceux qui ont de la moustache sous les bras. Des fachistes de sous les bras, les pires. Et encore, je ne vous parle pas des fachistes de la raie des fesses. vous allez en croiser cet été en maillot de bain, souvenez-vous de ma mise en garde, et frappez-les allègrement. Bref.
Arrêtons-là les digressions voulez-vous, après on va insinuer insidieusement que je m'éparpille (gustative). Or ça n'est pas mon genre bien évidemment. Vous vous en doutez, ben voyons ben tiens ben allons. Pareil, vous connaissez certainement mon sens de la mesure qui me tient loin de toute exagération. Là par exemple imaginons une exagération. Par exemple je dis "Staline était un saint, et Hitler fut un gentleman". Bon c'est une exagération on est d'accord. Et bien vous voyez, là je suis à l'autre bout de la maison, c'est une loi de la physique, l'exagération et moi on se repousse, comme les deux pôles positifs d'un aimant. Bon ceci dit, j'arrête de gueuler comme une vache et je viens me rassoir. Attendez je fais la gamelle des clébards tant que j'y suis. Tiens puis j'en profite aussi pour boire un grand verre de menthe, je fais c'que j'veux, c'est pas vous qu'allez me commander. Oui c'est ça allez-y protestez, j'en n'ai rien à péter je vous entends pas tralala!
Oui donc, au terme d'une enquête carrément mais rondement menée tout à la fois, j'ai été blanchi de tout soupçon. C'est que lesfaits étaient graves, je le reconnais. Dans un petit panier situé sur un secrétaire sis dans l'entrée, un secrétaire en bois je le précise, genre avec des tiroirs et des papiers et plein de bordel partout, pas un secrétaire en chair et en os, dans ce petit panier donc, aurait dû se trouver à un moment donné un trousseau de clés de la maison, vous savez plein de clés dont on ne sait même plus à quoi servent certaines des fois, enfin bref. Et voilà donc madame pow wow qui cherche les clés, et paf c'est le drame, elles n'y sont pas! Comme je suis dans le coin, c'est moi qui prends. Je me défends, mais que nenni, la bougresse m'accuse. Les gendarmes arrivent, suivis de la police scientifique, le procureur Courroye est prévenu, bref tout s'emballe, et je me retrouve menotté et emmené sous les flashs des meutes de journalistes. Ouais bon d'accord, là j'ai exagéré un petit peu, il n'y avait pas plus de dix journalistes à dire vrai.
Dans la soirée, on a retrouvé les clés, elles étaient dans la voiture. Je suis blanchi et suis un honnête homme. Et je n'ai ni de près ni de loin ni d'encore plus loin des intérêts dans le monde hippique. Eric Woerth hippique dans la caisse à mémé Liliane peut-être, mais pas moi. Je ne connais pas mémé Liliane, c'est bien dommage d'ailleurs. Avec son fric je pourrais me payer du papier peint des années 90 au moins. Et merde.
Car oui, encore cette semaine, j'ai fait l'objet d'un odieux lynchage, une sinistre cabale a été dirigée de main de maître contre moi, sûrement par les maîtres de l'école du village puisque c'est de leurs mains dont il s'agit comme indiqué précédemment, j'ai fait mon enquête. Bâclée, mais quand même. Pour me venger, je suis rentré nuitamment dans l'école et j'ai grabouillé les tableaux noirs d'insultes. Pour changer des sempiternelles croix gammées ou étoiles de David qui ne font plus rire personne depuis le temps, et étant créatif, j'ai dessiné des lampes de chevet et des accoudoirs de fauteuils anciens, d'après photos. c'est un choix comme un autre, et c'est l'inspiration qui m'est venue sur le moment. En tous cas le message est clair, puisque j'ai écrit quelques slogans racistes bien sentis: "La France aux Saumons en papillotte" "La France tu l'aimes ou bien tu fais un autre métier" "Dehors les étrangers et fermez la porte en partant s'il vous plaît" "Les sans-culotte avec nous mais mettez au moins un string ou sinon un vieux slip au pire" "Le Maire est chauve" "La secrétaire de Mairie fait une collection de napperons",etc. Je me suis lâché grave.
Bon en fait, je ne sais pas s'ils sont responsables, car finalement l'affaire n'est pas sortie de chez moi. Mais ça leur fait les pieds, au moins ils savent ce que je pense puisque j'ai signé. En fait le drame est resté circonscrit à ma maison de chez moi, c'est un drame en interne qui s'est joué, un fait divers qui s'est passé dans l'entrée, l'horreur absolue. Pas l'entrée, quoi que. Le vieux papier peint des années 70 avec des gros ronds marrons et orange psychédéliques, moi je serais pour en changer. Par un papier peint des années 80 flashy. Madame pow wow ne veut pas, madame pow wow est une femme du passé, madame pow wow sera un jour étudiée par des savants russes qui auront retrouvé ses ossements fossilisés dans la toundra. Non, madame pow wow n'est pas un mammouth, mais elle le mériterait.
Ah encore heureux, je n'ai pas eu droit à des rumeurs sur internet sur mon compte, des articles de fachistes à moustache en mal d'audience. Vous avez remarqué, les fachistes ont des moustaches. Ah merde, je me rends compte que ma grand-mère était fachiste du coup. C'est terrible si vous regardez bien, tous les dictateurs ont des moustaches. Hitler, Staline, ma grand-mère, Tom Selleck, Zorro, Saddam, le gars qui fait la pub du roquefort, tous. Oui bon ils ne sont pas tous fachistes stricts aux sangsues, mais ils ont tous des moustaches. Quand on a des poils sous le nez je vous préviens, c'est un signe flagrant qu'on fait partie de la confrérie des moustachus. C'est pas anodin quand on regarde bien. C'est comme une société secrète, une marque distinctive entre frères d'une même loge, et je parle pas de celle de ma concierge, qui est poilue aussi. Pire, il y a ceux qui se cachent, des femmes même, une confrérie aussi, ceux qui ont de la moustache sous les bras. Des fachistes de sous les bras, les pires. Et encore, je ne vous parle pas des fachistes de la raie des fesses. vous allez en croiser cet été en maillot de bain, souvenez-vous de ma mise en garde, et frappez-les allègrement. Bref.
Arrêtons-là les digressions voulez-vous, après on va insinuer insidieusement que je m'éparpille (gustative). Or ça n'est pas mon genre bien évidemment. Vous vous en doutez, ben voyons ben tiens ben allons. Pareil, vous connaissez certainement mon sens de la mesure qui me tient loin de toute exagération. Là par exemple imaginons une exagération. Par exemple je dis "Staline était un saint, et Hitler fut un gentleman". Bon c'est une exagération on est d'accord. Et bien vous voyez, là je suis à l'autre bout de la maison, c'est une loi de la physique, l'exagération et moi on se repousse, comme les deux pôles positifs d'un aimant. Bon ceci dit, j'arrête de gueuler comme une vache et je viens me rassoir. Attendez je fais la gamelle des clébards tant que j'y suis. Tiens puis j'en profite aussi pour boire un grand verre de menthe, je fais c'que j'veux, c'est pas vous qu'allez me commander. Oui c'est ça allez-y protestez, j'en n'ai rien à péter je vous entends pas tralala!
Oui donc, au terme d'une enquête carrément mais rondement menée tout à la fois, j'ai été blanchi de tout soupçon. C'est que lesfaits étaient graves, je le reconnais. Dans un petit panier situé sur un secrétaire sis dans l'entrée, un secrétaire en bois je le précise, genre avec des tiroirs et des papiers et plein de bordel partout, pas un secrétaire en chair et en os, dans ce petit panier donc, aurait dû se trouver à un moment donné un trousseau de clés de la maison, vous savez plein de clés dont on ne sait même plus à quoi servent certaines des fois, enfin bref. Et voilà donc madame pow wow qui cherche les clés, et paf c'est le drame, elles n'y sont pas! Comme je suis dans le coin, c'est moi qui prends. Je me défends, mais que nenni, la bougresse m'accuse. Les gendarmes arrivent, suivis de la police scientifique, le procureur Courroye est prévenu, bref tout s'emballe, et je me retrouve menotté et emmené sous les flashs des meutes de journalistes. Ouais bon d'accord, là j'ai exagéré un petit peu, il n'y avait pas plus de dix journalistes à dire vrai.
Dans la soirée, on a retrouvé les clés, elles étaient dans la voiture. Je suis blanchi et suis un honnête homme. Et je n'ai ni de près ni de loin ni d'encore plus loin des intérêts dans le monde hippique. Eric Woerth hippique dans la caisse à mémé Liliane peut-être, mais pas moi. Je ne connais pas mémé Liliane, c'est bien dommage d'ailleurs. Avec son fric je pourrais me payer du papier peint des années 90 au moins. Et merde.
Chère Anne Sophie . Le Blanc n'a pas été toujours la couleur
de la mariée car en effet au début du XXièm siécle les mariée
étaient encore en noir (ma grand mère en Belgique 1920 par
exemple) . Après c'est l'imaculé conception et blabla et blabla
qui a imposé le Blanc Virginal (Vierge de loin et loin d'être Vierge) .
Et vous avez oublié Christian Blanc et ses cigares , Anne Sophie !!!
Et peut être un petit quelque chose sur Michel Blanc ou bien Maurice
White (chanteur de Earth Wind and Fire) ??? Non je déconne .
de la mariée car en effet au début du XXièm siécle les mariée
étaient encore en noir (ma grand mère en Belgique 1920 par
exemple) . Après c'est l'imaculé conception et blabla et blabla
qui a imposé le Blanc Virginal (Vierge de loin et loin d'être Vierge) .
Et vous avez oublié Christian Blanc et ses cigares , Anne Sophie !!!
Et peut être un petit quelque chose sur Michel Blanc ou bien Maurice
White (chanteur de Earth Wind and Fire) ??? Non je déconne .
Oui, on pouvait aussi souligner que la couleur blanche, dans les blasons, était appelée "argent". Blanchir de l'argent, c'est donc redorer un blason.
c'est vrai, c'est un aspect sur lequel je suis passée vite (et c'est pas bien) : le blank germanique signifie à la base brillant. Blanchir l'argenterie c'est donc la faire briller. Le blanchiment de l'argent a pris au fil du temps un autre sens.
Le blank amerlocain signifie (entre autres) vide, comme dans la "blank generation", dont l'équivalent angliche fut "pretty vacant".
Une bonne occase d'écouter un peu de zique en même temps ;)
Une bonne occase d'écouter un peu de zique en même temps ;)
mais le blank originel signifie aussi le vide, c'est écrit ici dans la chro : "Blanc vient du germanique blank, brillant, clair, lui-même construit sur un ancien norrois (une langue scandinave médiévale) signifiant la pâleur, l’absence, le vide"
D'ailleurs, savez-vous pourquoi on dit blank (en code html) pour ouvrir une nouvelle fenêtre ?
ce n'est pas une blague, hein, c'est une vraie question...
D'ailleurs, savez-vous pourquoi on dit blank (en code html) pour ouvrir une nouvelle fenêtre ?
ce n'est pas une blague, hein, c'est une vraie question...
Oui c'est vrai je l'avais vu dans la kro.
Cela signifie vide dans le sens vierge comme a black paper une page blanche comme un document html vierge.
Cela signifie vide dans le sens vierge comme a black paper une page blanche comme un document html vierge.
ahhhh, oki. Merci.
Le target=_blank ?
C'est une commande qui ouvre une page vide, puis utilise la fenêtre ainsi ouverte pour lancer la page du lien.
On retrouve ça avec about:blank .
De toute façon, ce n'est pas très propre de coder avec des ouvertures de page : les lecteurs aveugles, par exemple, ont énormément de problèmes avec ça.
C'est une commande qui ouvre une page vide, puis utilise la fenêtre ainsi ouverte pour lancer la page du lien.
On retrouve ça avec about:blank .
De toute façon, ce n'est pas très propre de coder avec des ouvertures de page : les lecteurs aveugles, par exemple, ont énormément de problèmes avec ça.
merci, mais je ne crois pas que l'on soit dans un forum d'entraide a la programmation HTML
Oui, je sais, je m'exprime mal.
Si c'est blank, c'est parce qu'il y a ouverture d'une page vide.
Je réponds aux questions quand je peux, c'est tout...
Si c'est blank, c'est parce qu'il y a ouverture d'une page vide.
Je réponds aux questions quand je peux, c'est tout...
Pourquoi amerlocain, anglais en général, non? Blank cartridge (balle à blanc), fill in the blanks...
Oui bien sûr, c'était pour mettre en parallèle la chanson amerlocaine et sa petite soeur angliche.
Et Maurice Leblanc, merveilleux créateur d'Arsène Lupin, autrement dit (source Wikipédia) :
Raoul de Limézy, utilisé à partir de 1880 lorsque sa mère reprend son « nom de jeune fille » en même temps qu’elle se fait passer pour veuve
Vicomte d’Andrésy, lors de son mariage avec Clarisse d’Étigues en 1894 (source : La Comtesse de Cagliostro)
Maxime Bermond, architecte, de 1895 à 1905 (source : La Dame blonde, dans Arsène Lupin contre Herlock Sholmès)
Horace Velmont, en 1898 puis en 1900 (nouvelle L’Anneau nuptial), 1903 (nouvelle Herlock Sholmès arrive trop tard) et 1924 (Les Milliards d’Arsène Lupin)
Raoul d’Andrésy, en 1899 (source : La Comtesse de Cagliostro)
Jean Daspry, en 1899 (source : nouvelle Le Sept de cœur)
Comte d’Andrésy en 1900 (source : nouvelle L’Arrestation d’Arsène Lupin)
Désiré Baudru, en 1902 (source : nouvelle L’Évasion d’Arsène Lupin)
Chevalier Floriani, en 1903 (source : nouvelle Le Collier de la Reine)
Capitaine Janniot, en 1903 (source : nouvelle Le Signe de l’ombre)
Guillaume Berlat, en 1903 (source : nouvelle Le Mystérieux Voyageur)
Jacques, duc de Charmerace, en 1903-1904 (source : pièce de théâtre Arsène Lupin)
Michel Beaumont, collectionneur, en 1904-1905 (source : Le Bouchon de cristal)
M. Nicole, licencié ès-lettres, en 1904-1905 (source : Le Bouchon de cristal)
Colonel Sparmiento, riche Brésilien, en 1904-1905 (source : nouvelle Édith au cou de cygne)
C’est en conclusion de cette nouvelle que Lupin se livre à l’une de ses plus célèbres facéties, décernant un « brevet de bonne conduite » à l’inspecteur Ganimard, commençant par cette phrase : « Je soussigné, Arsène Lupin, gentleman-cambrioleur, ex-colonel, ex-larbin, ex-cadavre, certifie que le nommé Ganimard a fait preuve, durant son séjour dans cet hôtel, des qualités les plus remarquables. (...) »
Jacques d’Emboise, en 1905 (source : nouvelle Le Mariage d’Arsène Lupin)
Paul Daubreuil, en 1905 (source : nouvelle L’Écharpe de soie rouge)
M. Lenormand, sous-chef puis chef de la Sûreté, de 1906 à 1912 (source : La Double Vie d’Arsène Lupin, dans 813)
Étienne de Vaudreix, en 1907 (source : L’Aiguille creuse)
Baron Anfredi, en 1908 (source : L’Aiguille creuse)
Louis Valméras, en 1908 (source : L’Aiguille creuse)
Baron Raoul de Limézy, en 1909 (source : La Demoiselle aux yeux verts)
Prince Paul Sernine (anagramme d’Arsène Lupin) de 1910 à 1912 (source : nouvelle La Dame à la hache et 813)
Prince Serge Rénine, identité alternative à Paul Sernine, en 1910 (source : Les Huit Coups de l’horloge)
Don Luis Perenna (anagramme d’Arsène Lupin), Péruvien et Grand d’Espagne, de 1912 à 1919 (sources : Les Dents du Tigre, Le Triangle d’or, L’Île aux trente cercueils) puis en 1925 (source : La Femme aux deux sourires)
Jim Barnett, détective, en 1925-1926 (source : L'Agence Barnett et Cie)
« Les quatre Raoul », en 1927, dans La Cagliostro se venge : Raoul de Limésy, Raoul d’Avenac, Raoul d’Enneris et Raoul d’Averny (seul le dernier étant utilisé tout au long du roman).
Raoul d’Avenac (La Barre y va)
Le baron Jean d'Enneris (La Demeure mystérieuse ; Le Cabochon d'émeraude)
Victor Hautin, inspecteur (Victor de la Brigade mondaine)
Marcos Avisto, de nationalité péruvienne (Victor de la Brigade mondaine)
Le blanc est à la mode en ce moment, c'est marrant, d'habitude c'était en janvier...
***
Raoul de Limézy, utilisé à partir de 1880 lorsque sa mère reprend son « nom de jeune fille » en même temps qu’elle se fait passer pour veuve
Vicomte d’Andrésy, lors de son mariage avec Clarisse d’Étigues en 1894 (source : La Comtesse de Cagliostro)
Maxime Bermond, architecte, de 1895 à 1905 (source : La Dame blonde, dans Arsène Lupin contre Herlock Sholmès)
Horace Velmont, en 1898 puis en 1900 (nouvelle L’Anneau nuptial), 1903 (nouvelle Herlock Sholmès arrive trop tard) et 1924 (Les Milliards d’Arsène Lupin)
Raoul d’Andrésy, en 1899 (source : La Comtesse de Cagliostro)
Jean Daspry, en 1899 (source : nouvelle Le Sept de cœur)
Comte d’Andrésy en 1900 (source : nouvelle L’Arrestation d’Arsène Lupin)
Désiré Baudru, en 1902 (source : nouvelle L’Évasion d’Arsène Lupin)
Chevalier Floriani, en 1903 (source : nouvelle Le Collier de la Reine)
Capitaine Janniot, en 1903 (source : nouvelle Le Signe de l’ombre)
Guillaume Berlat, en 1903 (source : nouvelle Le Mystérieux Voyageur)
Jacques, duc de Charmerace, en 1903-1904 (source : pièce de théâtre Arsène Lupin)
Michel Beaumont, collectionneur, en 1904-1905 (source : Le Bouchon de cristal)
M. Nicole, licencié ès-lettres, en 1904-1905 (source : Le Bouchon de cristal)
Colonel Sparmiento, riche Brésilien, en 1904-1905 (source : nouvelle Édith au cou de cygne)
C’est en conclusion de cette nouvelle que Lupin se livre à l’une de ses plus célèbres facéties, décernant un « brevet de bonne conduite » à l’inspecteur Ganimard, commençant par cette phrase : « Je soussigné, Arsène Lupin, gentleman-cambrioleur, ex-colonel, ex-larbin, ex-cadavre, certifie que le nommé Ganimard a fait preuve, durant son séjour dans cet hôtel, des qualités les plus remarquables. (...) »
Jacques d’Emboise, en 1905 (source : nouvelle Le Mariage d’Arsène Lupin)
Paul Daubreuil, en 1905 (source : nouvelle L’Écharpe de soie rouge)
M. Lenormand, sous-chef puis chef de la Sûreté, de 1906 à 1912 (source : La Double Vie d’Arsène Lupin, dans 813)
Étienne de Vaudreix, en 1907 (source : L’Aiguille creuse)
Baron Anfredi, en 1908 (source : L’Aiguille creuse)
Louis Valméras, en 1908 (source : L’Aiguille creuse)
Baron Raoul de Limézy, en 1909 (source : La Demoiselle aux yeux verts)
Prince Paul Sernine (anagramme d’Arsène Lupin) de 1910 à 1912 (source : nouvelle La Dame à la hache et 813)
Prince Serge Rénine, identité alternative à Paul Sernine, en 1910 (source : Les Huit Coups de l’horloge)
Don Luis Perenna (anagramme d’Arsène Lupin), Péruvien et Grand d’Espagne, de 1912 à 1919 (sources : Les Dents du Tigre, Le Triangle d’or, L’Île aux trente cercueils) puis en 1925 (source : La Femme aux deux sourires)
Jim Barnett, détective, en 1925-1926 (source : L'Agence Barnett et Cie)
« Les quatre Raoul », en 1927, dans La Cagliostro se venge : Raoul de Limésy, Raoul d’Avenac, Raoul d’Enneris et Raoul d’Averny (seul le dernier étant utilisé tout au long du roman).
Raoul d’Avenac (La Barre y va)
Le baron Jean d'Enneris (La Demeure mystérieuse ; Le Cabochon d'émeraude)
Victor Hautin, inspecteur (Victor de la Brigade mondaine)
Marcos Avisto, de nationalité péruvienne (Victor de la Brigade mondaine)
Le blanc est à la mode en ce moment, c'est marrant, d'habitude c'était en janvier...
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"Le Schtroumpf qui schtroumpf du schtroumpf"
Excellent Anne Sophie ! C'est un plaisir renouvelé que de vous lire.
Il y a du "Alain K" dans votre expression et votre rapport à l'image.
Il y a du "Alain K" dans votre expression et votre rapport à l'image.
Le FIGARO : Woerth blanchi
Le figaro de l'Elysée : Sarkozy blanchi.
Poudre aux yeux et aux cheveux ...
Le figaro de l'Elysée : Sarkozy blanchi.
Poudre aux yeux et aux cheveux ...
Bon, woerth c'est fait.
Au tour de ramayade maintenant.
Au tour de ramayade maintenant.
[quote=Anne-Sophie]Et le blanc, les amis, c'est le symbole de pureté.
Allez dire ça à Christian.
Allez dire ça à Christian.
Désormais "blanchi", le ministre pourra retrouver quelque crédibilité dans sa Noire silhouette de Réformateur rigoureux. La pureté au carré. Atroce! (de ater = noir).
Si le sinistre voulait bien blanchir sous le harnais.... ha non pardon, suis-je peuple, c'est Sa Ridiculité (©Clomani) qui a grisé sous le poids de ses [s]énormités[/s] responsabilités.
Mufff.
Merci pour cette kro, Anne-Sophie.
Mufff.
Merci pour cette kro, Anne-Sophie.
Vous finissez en beauté. On voit vraiment se pointer la lumière du soleil des vacances.
Merci pour le beau travail de l'année.
Merci pour le beau travail de l'année.
Ce qui est surtout incroyable, c'est le curseur, sur l'échelle du blanc, quand Woerth nie tout en bloc avec ces mots ânonnés, "j'en ai marre", "des calomnies", presque plus capable d'aligner une phrase entière, on a l'impression qu'il a réellement perdu son surmoi, qu'il n'a pas d'axe vertical, pas de tutoiement de lui-même pour se dire, où en suis-je de moi avec ma morale, que toutes ces choses qu'on dit sur lui ne pénètrent pas sa conscience, qu'il n'en a plus, qu'il ne veut pas en avoir.
Et cela en dit davantage que n'importe quel rapport. Même son acceptation de démissionner de sa fonction de trésorier de l'UMP a été concédée de manière blanche, comme absente à lui-même. Soit ce type est lessivé intérieurement, soit il est sous antidépresseur et ne ressent plus rien.
Je pense que sa résistance peut le casser.
http://anthropia.blogg.org
Et cela en dit davantage que n'importe quel rapport. Même son acceptation de démissionner de sa fonction de trésorier de l'UMP a été concédée de manière blanche, comme absente à lui-même. Soit ce type est lessivé intérieurement, soit il est sous antidépresseur et ne ressent plus rien.
Je pense que sa résistance peut le casser.
http://anthropia.blogg.org
et je lis sur Rue89 que le gestionnaire de l'ile d'Aros a aussi une société de conseil dont le nom est
...
Alba Management !
...
Alba Management !
Ça c'est ben vrai ! le blanc c'est une vraie salop'rie comme couleur !
En lisant la chronique une séquence m'est venue à l'esprit. Imaginez, le ministre Woerth interviewé par tf1 dans sa bonne ville de Compiègne aux abords de l'hippodrome. Il vient juste (lui ou le journaliste peu importe) de déclarer, dans un faux sourire dont il a le secret, "Oui, ouf, enfin je suis soulagé, me voilà désormais blanchi..." et à c'moment-là, voilà des bourrins qui déboulent (sur sa gauche, c'est mieux, sur sa gauche) sur la piste et lui balancent quelques kilos de mottes de terre sur le complet veston et les chaussures en croco.
Ouarf ! Viré, le journaliste, à tous les coups.
Comment ça, c'était sur Groland C+ et pas sur tf1 ?
En lisant la chronique une séquence m'est venue à l'esprit. Imaginez, le ministre Woerth interviewé par tf1 dans sa bonne ville de Compiègne aux abords de l'hippodrome. Il vient juste (lui ou le journaliste peu importe) de déclarer, dans un faux sourire dont il a le secret, "Oui, ouf, enfin je suis soulagé, me voilà désormais blanchi..." et à c'moment-là, voilà des bourrins qui déboulent (sur sa gauche, c'est mieux, sur sa gauche) sur la piste et lui balancent quelques kilos de mottes de terre sur le complet veston et les chaussures en croco.
Ouarf ! Viré, le journaliste, à tous les coups.
Comment ça, c'était sur Groland C+ et pas sur tf1 ?
Blanc, la couleur du drapeau francais jusqu'à la revolution, la marque du roi... Qui s'est entaché de rouge à force de se moquer du peuple...
J'aime beaucoup toute l'analyse sémantique et étymologique autour du blanc. Et puis placer le blanchiment d'argent à la fin, rusée que vous êtes, vous assure d'être lue en entier, chacun attendant ce passage avec impatience.
Il existe une langue latine qui a gardé la trace du mot latin, c'est le roumain :
alb = blanc en roumain...
alb = blanc en roumain...
Excellent, comme toujours !!
un grand merci Anne Sophie
et j'ai adoré :
On s’aperçoit ici que le couple Woerth fait bon ménage avec le blanc : tandis qu’Eric est blanchi, Florence est soupçonnée de blanchiment.
trofor )))
un grand merci Anne Sophie
et j'ai adoré :
On s’aperçoit ici que le couple Woerth fait bon ménage avec le blanc : tandis qu’Eric est blanchi, Florence est soupçonnée de blanchiment.
trofor )))
Je vous vois venir.
Vous allez même nous expliquer qu'il y a blanc et blanc, comme chez Casto, pour finir par nous vendre un gris foncé que vous ferez passer pour un blanc cassé.
Au non du CDEW* je tiens ici à affirmer que Eric Woerth n'est pas blanc.
Non Eric Woerth n'est pas blanc, il n'est pas non plus incolore comme on le croyait, non, Eric est immaculé.
Je voulais d'ailleurs passer sur France Inter, au téléphone sonne, pour affirmer "Eric je t'immacule" mais Philippe Val est intervenu, il a parlé d'insultes etc ...
Aux blanc-bec qui viendraient ici avec la gueule enfarinée pour nous faire croire que Liliane lui aurait fait un chèque en blanc, je dis : arrêtez votre noir dessein avant que je ne vois rouge.
* CDEW : comité de défense d'Eric Woerth
Vous allez même nous expliquer qu'il y a blanc et blanc, comme chez Casto, pour finir par nous vendre un gris foncé que vous ferez passer pour un blanc cassé.
Au non du CDEW* je tiens ici à affirmer que Eric Woerth n'est pas blanc.
Non Eric Woerth n'est pas blanc, il n'est pas non plus incolore comme on le croyait, non, Eric est immaculé.
Je voulais d'ailleurs passer sur France Inter, au téléphone sonne, pour affirmer "Eric je t'immacule" mais Philippe Val est intervenu, il a parlé d'insultes etc ...
Aux blanc-bec qui viendraient ici avec la gueule enfarinée pour nous faire croire que Liliane lui aurait fait un chèque en blanc, je dis : arrêtez votre noir dessein avant que je ne vois rouge.
* CDEW : comité de défense d'Eric Woerth
Et oui, on blanchit l'argent sale, comme on blanchit le ministre "présumé coupable" ( je sais, en France on est présumé innocent... mais comme ici rien ne sera jamais prouvé ni jugé...) d'argent sale dans la campagne présidentielle...
On en a rendu inéligibles pour moins que ça, monsieur le président...
On en a rendu inéligibles pour moins que ça, monsieur le président...
Vite, trouver une photo d'Eric Woerth en aube blanche!