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Démission : le web pleure son "Pauvre Job(s)"
L'américain Steve Jobs vient d'annoncer sa démission de la direction générale d'Apple. Ce symbole du "self-made man", ce "créateur de génie" qui rassemble des cohortes de fans dans le monde entier, est salué dans de nombreux pays, et partout sur le Web. Mais les hommages oublient, à quelques exceptions près, de rappeler certains aspects négatifs de la personnalité du fondateur de la marque à la pomme.
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Derniers commentaires
Dés l'origine quand on branchait un périphérique sur un Apple il fonctionnait sans avoir besoin de charger un driver, de faire une configuration puis de téléphoner à quelqu'un pour se faire aider.
Aujourd'hui quand vous branchez une clé USB sur un PC, Windows la détecte et vous pouvez l'utiliser.(merci Apple)
Deux conceptions opposées
la machine adaptée pour l'homme<------->l'homme qui s'adapte à la machine
L'homme qui s'adapte à la machine Cela permet tous les deux ans de vendre le même système "relooké" dans une version plus conviviale Pas besoin d'innovation.
Aujourd'hui quand vous branchez une clé USB sur un PC, Windows la détecte et vous pouvez l'utiliser.(merci Apple)
Deux conceptions opposées
la machine adaptée pour l'homme<------->l'homme qui s'adapte à la machine
L'homme qui s'adapte à la machine Cela permet tous les deux ans de vendre le même système "relooké" dans une version plus conviviale Pas besoin d'innovation.
Je ne connais pas tous les tenants et les aboutissants des différentes "affaires Jobs", en revanche, en tant qu'utilisateur Mac, je peux affirmer que, bien que le matériel informatique Apple soit onéreux, la qualité des composantes est supérieure à bien d'autres marques. De plus, la stabilité des systèmes d'exploitation (Mac OS) est indéniable. Il est évident que ces systèmes (Unix) ne sont pas les seuls à exister dans le monde de l'informatique (Cf Linux et certainement d'autres que je ne connais pas; je ne suis pas un Geek...); en revanche, étant donné qu'il n'existe pas de virus connus destinés à infecter les machines d'Apple, vous conviendrez qu'il est un tantinet justifié que le patron de Mac ait une place de choix dans le cœur du public... Ceci dit, je reste très frileux quant aux réelles intentions de Mr Jobs... Et je suis incontestablement affligé par son désir de puissance et sa volonté de créer, chez le consommateur, une addiction réelle à la consommation Apple.
Je pense que faire le "procès" de Gates et de Microsoft serait une preuve d'ouverture d'esprit. En effet, quel est l'intérêt de "flinguer" un patron plus qu'autre lorsque l'on sait que les "Fenêtres" de l'informatique sont toutes aussi fermées que la "pomme" est empoisonnée?...
Aujourd'hui que Steve Jobs est décédé, j'espère que la ligne de conduite commerciale d'Apple va évoluer vers moins de profit et plus d'utilité...
Malgré tout, je ne peux m'empêcher, lorsque je pense à Jobs, de me souvenir du sentiment que j'ai eu en regardant "Citizen Kane".
Je pense que faire le "procès" de Gates et de Microsoft serait une preuve d'ouverture d'esprit. En effet, quel est l'intérêt de "flinguer" un patron plus qu'autre lorsque l'on sait que les "Fenêtres" de l'informatique sont toutes aussi fermées que la "pomme" est empoisonnée?...
Aujourd'hui que Steve Jobs est décédé, j'espère que la ligne de conduite commerciale d'Apple va évoluer vers moins de profit et plus d'utilité...
Malgré tout, je ne peux m'empêcher, lorsque je pense à Jobs, de me souvenir du sentiment que j'ai eu en regardant "Citizen Kane".
http://www.marianne2.fr/Steve-Jobs-est-un-dieu-et-Joffrin-est-son-prophete_a209623.html
Apparemment, il n'y a pas que le Web à pleurer...
Apparemment, il n'y a pas que le Web à pleurer...
Apple se retrouve être pauvre comme Job(s).
Je vous ai tous lus. Avec intérêt.
Steve Jobs est un type totalement fascinant à mon avis, et cependant ses premiers MacBooks m'ont pourri la vie à un point impossible à décrire compte tenu de leur quasi-incompatibilité avec les PC.
J'avais banni la marque à la pomme croquée de ma vie depuis quinze ans, admirant (ou m'amusant) des designs stupéfiants de telle ou telle machine.
Besognant des PC, desk ou laptops à l'esthétique assez merdique voire vulgaire (des Dell quand même), comparée à celle des Mac.
De plus je n'ai jamais perdu de vue que - globalement - les Mac étaient les machines des gens de la presse ou de l'édition, sous prétexte qu'il y a très longtemps ils étaient meilleurs pour les sorties en quadrichromie (à condition d'avoir sous la main la machine de 1.500 kg qui fabriquait les films...)
Et que je n'ai nul besoin de faire de la quadri, d'ailleurs aujourd'hui je sors de mes PC des fichiers Illustrator qui permettent des quadri numériques parfaites, ainsi que des photos converties en fichiers TIFF de 120 Mo, après développement de mes RAW, qui permettent des impressions d'une qualité stupéfiante, quelle que soit la dimension.
Seulement je suis tombé sur l'iPhone, comme DS qui raconte qu'il était comme une "midinette". Un engin de génie, la merveille absolue...
Puis sur l'iPad que nous avions un peu dégommé avant de l'avoir vu, DS (en y pensant, lui l'avait vu), moi-même et quelques autres, ici-même. Sauf que j'en ai offert un à Mâme de Saint-Rémy il y a quelque mois, et qu'elle ne jure plus que par cet objet, délaissant le laptop Dell planté sur un bureau avec ses alimentations, souris, etc. pour privilégier l'engin qui circule dans la maison, se pose là où on se pose, et se pilote au doigt...
Des engins pour bobos, sans doute. Nul n'est parfait ! Mais Steve Jobs, quel bonhomme ! Je souhaite au bon Rahan d'avoir le millième de son talent, de sa vision, da sa capacité d'entraînement des hommes, de son exigence dans l'esthétique.
On peut dire, à juste titre qu'il est un suppôt du capitalisme. C'est indiscutable, mais vaut-il mieux être un suppôt du communisme ? Tout se discute.
Ce qui est certain c'est qu'il a un cancer du pancréas, depuis 2004. J'ai une amie qui en est morte en un an et demie (à 50 ans ) il y a quelques années. Sale réputation cette maladie, quand on la découvre en général, elle a déjà foutu des métastases partout. Donc c'est trop tard...
De telle sorte que les procès faits à Jobs sont un peu tardifs (Les morts sont tous de braves types - Georges Brassens)
Capitaliste ? La belle affaire ! Tout le monde est capitaliste sauf les paysans des rizières chinoises ou vietnamiennes. Seulement il a un peu réussi le Steve : sa trésorerie de 76 milliards de $ est bien supérieure à celle des États-Unis (je ne parle pas de la France pour ne pas vous faire rire jaune)
Autoritaire, parano ? Qu'espérez-vous faire dans la vie si vous ne savez pas ce que vous voulez, ni où vous allez et si vous n'avez pas un grain de folie ?
Garçon de plage, marchand de cacahuètes ? Ce n'était pas l'ambition de Monsieur Jobs. Il l'a montré !
Et comme ça a été peu dit (sauf relecture) je rappelle que Jobs a été écarté d'Apple de 1985 à 1996... Date à laquelle les abrutis qui l'avaient éjecté ont compris que sans sa créativité - ou son sens des opportunités - ils courraient à la faillite !
Je laisse chacun mesurer combien ce génie a redressé la barre ! En se contentant d'un salaire de 1 $ (et ça, c'est la vraie classe)
J'ajoute, pour les vrais connaisseurs, qu'il était calligraphe, ce qui lui a permis de faire des apports inestimables dans la chasse des caractères en informatique...
Et pour conclure je souhaite à ceux qui trouvent spirituel de cracher sur lui d'avoir sa classe face à la maladie et la la mort.
Steve Jobs est un type totalement fascinant à mon avis, et cependant ses premiers MacBooks m'ont pourri la vie à un point impossible à décrire compte tenu de leur quasi-incompatibilité avec les PC.
J'avais banni la marque à la pomme croquée de ma vie depuis quinze ans, admirant (ou m'amusant) des designs stupéfiants de telle ou telle machine.
Besognant des PC, desk ou laptops à l'esthétique assez merdique voire vulgaire (des Dell quand même), comparée à celle des Mac.
De plus je n'ai jamais perdu de vue que - globalement - les Mac étaient les machines des gens de la presse ou de l'édition, sous prétexte qu'il y a très longtemps ils étaient meilleurs pour les sorties en quadrichromie (à condition d'avoir sous la main la machine de 1.500 kg qui fabriquait les films...)
Et que je n'ai nul besoin de faire de la quadri, d'ailleurs aujourd'hui je sors de mes PC des fichiers Illustrator qui permettent des quadri numériques parfaites, ainsi que des photos converties en fichiers TIFF de 120 Mo, après développement de mes RAW, qui permettent des impressions d'une qualité stupéfiante, quelle que soit la dimension.
Seulement je suis tombé sur l'iPhone, comme DS qui raconte qu'il était comme une "midinette". Un engin de génie, la merveille absolue...
Puis sur l'iPad que nous avions un peu dégommé avant de l'avoir vu, DS (en y pensant, lui l'avait vu), moi-même et quelques autres, ici-même. Sauf que j'en ai offert un à Mâme de Saint-Rémy il y a quelque mois, et qu'elle ne jure plus que par cet objet, délaissant le laptop Dell planté sur un bureau avec ses alimentations, souris, etc. pour privilégier l'engin qui circule dans la maison, se pose là où on se pose, et se pilote au doigt...
Des engins pour bobos, sans doute. Nul n'est parfait ! Mais Steve Jobs, quel bonhomme ! Je souhaite au bon Rahan d'avoir le millième de son talent, de sa vision, da sa capacité d'entraînement des hommes, de son exigence dans l'esthétique.
On peut dire, à juste titre qu'il est un suppôt du capitalisme. C'est indiscutable, mais vaut-il mieux être un suppôt du communisme ? Tout se discute.
Ce qui est certain c'est qu'il a un cancer du pancréas, depuis 2004. J'ai une amie qui en est morte en un an et demie (à 50 ans ) il y a quelques années. Sale réputation cette maladie, quand on la découvre en général, elle a déjà foutu des métastases partout. Donc c'est trop tard...
De telle sorte que les procès faits à Jobs sont un peu tardifs (Les morts sont tous de braves types - Georges Brassens)
Capitaliste ? La belle affaire ! Tout le monde est capitaliste sauf les paysans des rizières chinoises ou vietnamiennes. Seulement il a un peu réussi le Steve : sa trésorerie de 76 milliards de $ est bien supérieure à celle des États-Unis (je ne parle pas de la France pour ne pas vous faire rire jaune)
Autoritaire, parano ? Qu'espérez-vous faire dans la vie si vous ne savez pas ce que vous voulez, ni où vous allez et si vous n'avez pas un grain de folie ?
Garçon de plage, marchand de cacahuètes ? Ce n'était pas l'ambition de Monsieur Jobs. Il l'a montré !
Et comme ça a été peu dit (sauf relecture) je rappelle que Jobs a été écarté d'Apple de 1985 à 1996... Date à laquelle les abrutis qui l'avaient éjecté ont compris que sans sa créativité - ou son sens des opportunités - ils courraient à la faillite !
Je laisse chacun mesurer combien ce génie a redressé la barre ! En se contentant d'un salaire de 1 $ (et ça, c'est la vraie classe)
J'ajoute, pour les vrais connaisseurs, qu'il était calligraphe, ce qui lui a permis de faire des apports inestimables dans la chasse des caractères en informatique...
Et pour conclure je souhaite à ceux qui trouvent spirituel de cracher sur lui d'avoir sa classe face à la maladie et la la mort.
j'aime bien bosser sur mon mac,… il me le rend bien,… jamais de panne, ou de soucis,
à l'époque du choix, il y a 20 ans, windows me stressait trop.
(au fait linux n'est-il pas créé à partir d'un noyau unix,… tout comme OS X ou Next avant lui ? )
je me tiens toujours au courant des nouvelles versions de windows, j'ai pas mal d'amis qui ne connaissent que windows, je n'en veux pas à Bill Gates. je ne le méprise pas non plus, il doit pourtant avoir une plus grosse fortune que Steve Jobs. il doit même avoir une famille, et je ne vais pas me réjouir le jour de sa mort.
Tous les ordinateurs fonctionnant sous windows ou autre linux sont je pense fabriqués dans le même genre d'usines que les produit Apple, les téléphone aussi…
je pense aussi que ce gars a révolutionné l'idée de l'informatique.
viré de chez apple au milieu des années 80, il est rappelé 10 ans plus tard alors qu'apple est au bord de la faillite… et on connait la suite.
on oblige personne à acheter des produits apple.
à l'époque du choix, il y a 20 ans, windows me stressait trop.
(au fait linux n'est-il pas créé à partir d'un noyau unix,… tout comme OS X ou Next avant lui ? )
je me tiens toujours au courant des nouvelles versions de windows, j'ai pas mal d'amis qui ne connaissent que windows, je n'en veux pas à Bill Gates. je ne le méprise pas non plus, il doit pourtant avoir une plus grosse fortune que Steve Jobs. il doit même avoir une famille, et je ne vais pas me réjouir le jour de sa mort.
Tous les ordinateurs fonctionnant sous windows ou autre linux sont je pense fabriqués dans le même genre d'usines que les produit Apple, les téléphone aussi…
je pense aussi que ce gars a révolutionné l'idée de l'informatique.
viré de chez apple au milieu des années 80, il est rappelé 10 ans plus tard alors qu'apple est au bord de la faillite… et on connait la suite.
on oblige personne à acheter des produits apple.
Bizarrement, ce qui m'interresse le plus à son sujet, c'est sa santé : il me semble qu'il a un cancer de l'oesophage .... ALORS a t il un traitement particulier qui le maintient encore en forme ou est ce la fin? .... CAR face au cancer, le plus grand génie n'est que très peu de chose.
On se souviendra des propos de Steve Jobs à la sortie du iphone 1, en réponse aux critiques fustigeant l'absence de 3G et de MMS. En gros, les MMS et la 3G ça ne servait à rien.
Les dessous de l'histoire c'est qu'Apple était incapable de les proposer à l'époque!
Les dessous de l'histoire c'est qu'Apple était incapable de les proposer à l'époque!
Extrait du livre de Linus Torvalds (Il était une fois Linux - ISBN-13: 978-2746403215).
Ce passage relate la rencontre de Linus Torvalds et de Steve Jobs. Steve Jobs a invité Linus Torvalds pour essayer de le rallier à sa cause et faire alliance avec lui...
Nos visions du monde souffraient de différences fondamentales. Steve était Steve, exactement comme le décrit la presse. Il s'intéressait à ses propres objectifs, et notamment au côté marketing. J'étais intéressé par le côté technique, non par ses objectifs et ses arguments […] Je ne pensais pas qu'il y eût quoi que ce soit d'intéressant dans Apple, et mon but dans la vie n'était pas de prendre le contrôle du marché de l'utilisateur final.[...] Il tenait pour acquis que je serais intéressé, ce en quoi il manquait totalement de perspicacité, incapable qu'il était d'imaginer que des pans entiers de la race humaine n'étaient pas le moins du monde concernés par l'augmentation de la part de marche du Macintosh.
Linus Torvalds est le créateur du système Linux. Associé aux outils GNU créés par Richard Stallman, Linux équipe bon nombre de serveurs sur internet, et est entre autres à la base du système Androïd dont la part de marché (58%) dépasse aujourd'hui largement iOS (26%) qui équipe l'iPhone d'Apple (sources).
Pierre Desproges disait dans l'un de ses sketches ; "le jour de la mort de Brassens, j'ai pleuré comme un môme. J'ai vraiment pas honte de le dire. Alors que - c'est curieux - mais, le jour de la mort de Tino Rossi, j'ai repris deux fois des moules".
La manière dont la presse traite le retrait de Jobs d'Apple laisse augurer une couverture dithyrambique le jour de sa mort.
M'est avis que ce jour-là, je reprendrai moi aussi deux fois des moules (à la marinière, mes préférées).
PatriceNoDRM
P.-S. : j'avais commis ce petit dessin il y a quelques temps.
Ce passage relate la rencontre de Linus Torvalds et de Steve Jobs. Steve Jobs a invité Linus Torvalds pour essayer de le rallier à sa cause et faire alliance avec lui...
Nos visions du monde souffraient de différences fondamentales. Steve était Steve, exactement comme le décrit la presse. Il s'intéressait à ses propres objectifs, et notamment au côté marketing. J'étais intéressé par le côté technique, non par ses objectifs et ses arguments […] Je ne pensais pas qu'il y eût quoi que ce soit d'intéressant dans Apple, et mon but dans la vie n'était pas de prendre le contrôle du marché de l'utilisateur final.[...] Il tenait pour acquis que je serais intéressé, ce en quoi il manquait totalement de perspicacité, incapable qu'il était d'imaginer que des pans entiers de la race humaine n'étaient pas le moins du monde concernés par l'augmentation de la part de marche du Macintosh.
Linus Torvalds est le créateur du système Linux. Associé aux outils GNU créés par Richard Stallman, Linux équipe bon nombre de serveurs sur internet, et est entre autres à la base du système Androïd dont la part de marché (58%) dépasse aujourd'hui largement iOS (26%) qui équipe l'iPhone d'Apple (sources).
Pierre Desproges disait dans l'un de ses sketches ; "le jour de la mort de Brassens, j'ai pleuré comme un môme. J'ai vraiment pas honte de le dire. Alors que - c'est curieux - mais, le jour de la mort de Tino Rossi, j'ai repris deux fois des moules".
La manière dont la presse traite le retrait de Jobs d'Apple laisse augurer une couverture dithyrambique le jour de sa mort.
M'est avis que ce jour-là, je reprendrai moi aussi deux fois des moules (à la marinière, mes préférées).
PatriceNoDRM
P.-S. : j'avais commis ce petit dessin il y a quelques temps.
Ce qui est dingue, c'est que ça fasse les gros titres dans les jités, alors qu'en gros on s'en bat les meules. C'est même plus de la désinformation qu'ils font, mais de la non-information.
Comme quoi le slogan "pour être en bonne santé, mangez au moins une pomme par jour" est très surfait...
(bon, il en fallait bien un de commentaire stupide...c'est fait ! Non, non ne me remerciez pas...)
(bon, il en fallait bien un de commentaire stupide...c'est fait ! Non, non ne me remerciez pas...)
Perso j'ai hâte de voir le cours de l'action Apple chuter en flèche.
Retour de bâton du mégalo qui à force de lier le destin d'Apple au sien, fera chuter sa création en même temps que son départ.
Ce qui m'énerve le plus dans cette idolâtrie, (la même dailleur que pour le créateur de Facebook), c'est qu'on veut nous faire croire que c'est ce mégalo qui a tout fait, tout inventé, tout créé chez Apple, et que ses employés ne sont que des fourmis, des robots exécutant ses ordres de créateur génial.
C'est l'apothéose de l'assimilation d'une entreprise et de son dirigeant. Mais quand même, est ce lui qui a inventé l'ergonomie de l'iPod? est ce lui qui a inventé le MP3? Est ce lui qui a inventé les moyens technologiques de miniaturiser tout ça? Est ce lui qui a inventé la technologie de touchscreen de l'iPhone? etc. etc.
NON bien sûr, il a ACHETE des brevets d'inventions (de créations) d'illustres inconnus!
Son seul mérite est d'avoir su comprendre le potentiel d'un produit et de lui donner les moyens financiers nécessaires, c'est à dire d'avoir fait correctement son boulot ni plus ni moins.
Mais a t'il jamais salué le travail formidable de ses collaborateurs? Je ne crois pas...
Ce qui est écœurant c'est donc d’encenser ce faux créateur de génie, et de laisser dans l'anonymat le plus total les vrais inventeurs technologiques, ou designers des produits qui ont fait le succès d'Apple. Dans ce sens le comparer à Gütemberg est honteux et idiot!
Connaissez vous le nom de ceux qui ont travaillé sur l'ergonomie de l'iPhone?
Sans ses employés, et les créateurs des brevets qu'il a acheté, ce mec n'est rien, et n'a rien accomplit!!
On cherche toujours un héros unique, le cowboy, alors que c'est le collectif qui a tout fait.
Est ce que lorsque vous trouvez une Renault sacrément bien conçue (admettons), vous vous dites, que le Patron de Renault est un génie pour l'avoir créé?
Évidemment que non.
Jobs a réussit à se donner la même image qu'un grand artiste, ou qu'un grand sportif, alors qu'il n'a rien créé lui même!
Il a fait des arbitrages parmi les créations des autres, et s'en ai ensuite attribué le mérite personnellement. (peut être pas directement mais pas loin)
Ne venez pas vous plaindre ensuite, lorsque les structures d'entreprise seront devenues de véritables dictatures, vous l'aurez appelé de vos vœux en idolâtrant Steve Jobs!
De plus où est le génie unique de cet homme lorsque:
- l'iPod n'est que la suite technologique logique du walkman.
- l'iPad n'est qu'un iPod touch agrandi.
- l'iPhone a pour principal avantage sur ses concurrents sous Androïd (même génie créateur non?) est uniquement d'avoir été le premier à sortir, et donc à phagocyter les développements d'applications (aujourd'hui une des raisons principale qui font choisir un iPhone plutôt qu'un autre) C'est donc encore un exemple : le vrai succès de l'iPhone ne vient pas de Jobs mais des développements fait par des tiers.
Steve Jobs a été un patron qui a fait les bons choix technologies au bon moment avec l'iPod et l'iPhone, mais qui était un patron mégalo peu respectueux de ses employés. Et certainement pas un créateur de génie, ni même un génie de quoi que ce soit dailleur.
Retour de bâton du mégalo qui à force de lier le destin d'Apple au sien, fera chuter sa création en même temps que son départ.
Ce qui m'énerve le plus dans cette idolâtrie, (la même dailleur que pour le créateur de Facebook), c'est qu'on veut nous faire croire que c'est ce mégalo qui a tout fait, tout inventé, tout créé chez Apple, et que ses employés ne sont que des fourmis, des robots exécutant ses ordres de créateur génial.
C'est l'apothéose de l'assimilation d'une entreprise et de son dirigeant. Mais quand même, est ce lui qui a inventé l'ergonomie de l'iPod? est ce lui qui a inventé le MP3? Est ce lui qui a inventé les moyens technologiques de miniaturiser tout ça? Est ce lui qui a inventé la technologie de touchscreen de l'iPhone? etc. etc.
NON bien sûr, il a ACHETE des brevets d'inventions (de créations) d'illustres inconnus!
Son seul mérite est d'avoir su comprendre le potentiel d'un produit et de lui donner les moyens financiers nécessaires, c'est à dire d'avoir fait correctement son boulot ni plus ni moins.
Mais a t'il jamais salué le travail formidable de ses collaborateurs? Je ne crois pas...
Ce qui est écœurant c'est donc d’encenser ce faux créateur de génie, et de laisser dans l'anonymat le plus total les vrais inventeurs technologiques, ou designers des produits qui ont fait le succès d'Apple. Dans ce sens le comparer à Gütemberg est honteux et idiot!
Connaissez vous le nom de ceux qui ont travaillé sur l'ergonomie de l'iPhone?
Sans ses employés, et les créateurs des brevets qu'il a acheté, ce mec n'est rien, et n'a rien accomplit!!
On cherche toujours un héros unique, le cowboy, alors que c'est le collectif qui a tout fait.
Est ce que lorsque vous trouvez une Renault sacrément bien conçue (admettons), vous vous dites, que le Patron de Renault est un génie pour l'avoir créé?
Évidemment que non.
Jobs a réussit à se donner la même image qu'un grand artiste, ou qu'un grand sportif, alors qu'il n'a rien créé lui même!
Il a fait des arbitrages parmi les créations des autres, et s'en ai ensuite attribué le mérite personnellement. (peut être pas directement mais pas loin)
Ne venez pas vous plaindre ensuite, lorsque les structures d'entreprise seront devenues de véritables dictatures, vous l'aurez appelé de vos vœux en idolâtrant Steve Jobs!
De plus où est le génie unique de cet homme lorsque:
- l'iPod n'est que la suite technologique logique du walkman.
- l'iPad n'est qu'un iPod touch agrandi.
- l'iPhone a pour principal avantage sur ses concurrents sous Androïd (même génie créateur non?) est uniquement d'avoir été le premier à sortir, et donc à phagocyter les développements d'applications (aujourd'hui une des raisons principale qui font choisir un iPhone plutôt qu'un autre) C'est donc encore un exemple : le vrai succès de l'iPhone ne vient pas de Jobs mais des développements fait par des tiers.
Steve Jobs a été un patron qui a fait les bons choix technologies au bon moment avec l'iPod et l'iPhone, mais qui était un patron mégalo peu respectueux de ses employés. Et certainement pas un créateur de génie, ni même un génie de quoi que ce soit dailleur.
Que voilà un texte inspiré, très bien renseigné et parfaitement documenté (et avec si peu de fautes).
«Sans ses employés, et les créateurs des brevets qu'il a acheté, ce mec n'est rien, et n'a rien accomplit!!» C'est vrai que sans ses employés, un patron de boîte n'est pas grand chose, très très finement observé. Bien sûr, vous avez sans doute des contre-exemples. Quant aux brevets, Apple en a sans doute déposé autant sinon plus que la concurrence. Et les brevets s'achètent rarement, c'est l'inverse de leur objectif: qu'ils rapportent à chaque utilisation de ce qu'ils décrivent.
«Mais a t'il jamais salué le travail formidable de ses collaborateurs? Je ne crois pas...» Quel dommage de ne pas avoir cherché un peu avant de supposer que, parce qu'on ne voyait et qu'on ne parlait que d'un seul gars en jeans et polo noir, il ne saluait pas le travail de ses collaborateurs. Déjà, ils sont dans beaucoup des présentations de produits où Jobs n'apparaît jamais, ce sont toujours les responsables des différentes sections: Johnatan Ive, Greg Joswiak, Scott Forstall, Bob Mansfield par exemple. Et un peu après, il commence avec "I'm so proud of the teams that have made this product [..] and before we end today, I'd just like to say thanks to the teams that have worked their tails off ..." et il appelle Mark Papermaster, fait se lever tous les gens présents dans la salle qui ont travaillé sur le projet en nommant tous les chefs de départements.
Le reste de votre dithyrambe est à l'avenant, aussi bien inspirée. Bravo.
Ce qu'il a créé, c'est une société (deux, même, n'oublions pas Pixar) avec un esprit et insufflé celui-ci dans les appareils qu'elle a produit sous son influence visionnaire. Et mégalo, sans doute, il faut l'être avec ce qu'il a réussi à imposer. Mais pas tant que ça.
On peut reprocher beaucoup de choses à Steve Jobs, j'ai quelques griefs moi-même. Mais ne pas reconnaître le génie du bonhomme est tout simplement de la bêtise.
«Sans ses employés, et les créateurs des brevets qu'il a acheté, ce mec n'est rien, et n'a rien accomplit!!» C'est vrai que sans ses employés, un patron de boîte n'est pas grand chose, très très finement observé. Bien sûr, vous avez sans doute des contre-exemples. Quant aux brevets, Apple en a sans doute déposé autant sinon plus que la concurrence. Et les brevets s'achètent rarement, c'est l'inverse de leur objectif: qu'ils rapportent à chaque utilisation de ce qu'ils décrivent.
«Mais a t'il jamais salué le travail formidable de ses collaborateurs? Je ne crois pas...» Quel dommage de ne pas avoir cherché un peu avant de supposer que, parce qu'on ne voyait et qu'on ne parlait que d'un seul gars en jeans et polo noir, il ne saluait pas le travail de ses collaborateurs. Déjà, ils sont dans beaucoup des présentations de produits où Jobs n'apparaît jamais, ce sont toujours les responsables des différentes sections: Johnatan Ive, Greg Joswiak, Scott Forstall, Bob Mansfield par exemple. Et un peu après, il commence avec "I'm so proud of the teams that have made this product [..] and before we end today, I'd just like to say thanks to the teams that have worked their tails off ..." et il appelle Mark Papermaster, fait se lever tous les gens présents dans la salle qui ont travaillé sur le projet en nommant tous les chefs de départements.
Le reste de votre dithyrambe est à l'avenant, aussi bien inspirée. Bravo.
Ce qu'il a créé, c'est une société (deux, même, n'oublions pas Pixar) avec un esprit et insufflé celui-ci dans les appareils qu'elle a produit sous son influence visionnaire. Et mégalo, sans doute, il faut l'être avec ce qu'il a réussi à imposer. Mais pas tant que ça.
On peut reprocher beaucoup de choses à Steve Jobs, j'ai quelques griefs moi-même. Mais ne pas reconnaître le génie du bonhomme est tout simplement de la bêtise.
Tiens, une petite dernière pour la route: «Il a fait des arbitrages parmi les créations des autres, et s'en ai ensuite attribué le mérite personnellement. (peut être pas directement mais pas loin)» Mais oui.
Faut s'informer un peu, parfois.
Faut s'informer un peu, parfois.
Très bien alors pourquoi tout le monde ne parle que de Jobs comme le Messie de la technologie?
Si Jobs lui même dit que c'est un travail d'équipe, pourquoi lui a le droit au status de génie et les autres restent dans l'ombre?
Pourquoi ne pas saluer le travail des employés d'Apple, au lieu de Steve Jobs???
Je le répète: que je me sois emballé à tord sur la critique du bonhomme importe peu car ce que je critique ce n'est pas tant lui que l’idolâtrie qu'il suscite.
Et le fait que lui même répète qu'il s'agit d'un travaille d'équipe, rend encore plus incompréhensible les réactions StevJobsOCentrées...
Si Jobs lui même dit que c'est un travail d'équipe, pourquoi lui a le droit au status de génie et les autres restent dans l'ombre?
Pourquoi ne pas saluer le travail des employés d'Apple, au lieu de Steve Jobs???
Je le répète: que je me sois emballé à tord sur la critique du bonhomme importe peu car ce que je critique ce n'est pas tant lui que l’idolâtrie qu'il suscite.
Et le fait que lui même répète qu'il s'agit d'un travaille d'équipe, rend encore plus incompréhensible les réactions StevJobsOCentrées...
Les brevets qu'il n'a pas acheté, il les a déposé seul, il est l'inventeur de leur contenu? Ca n'enlève donc rien à mon argument.
"Bien sûr, vous avez sans doute des contre-exemples." Des boites peuvent changer de patron et tourner tout autant. Des boites sont auto gérées: voir certaines SCOP. Une société peut produire des biens sans patron, un patron ne peut rien produire sans exécutants (à moins qu'il soit exécutant lui moi même et là je reconnaitrais un talent créateur).
«Mais a t'il jamais salué le travail formidable de ses collaborateurs? Je ne crois pas...»
Ok je retire, mais je reformule mon propos: Les médias ont ils jamais salué le travail formidable de ses collaborateurs? Je ne crois pas...
Le fond de ma critique ce n'est pas tant le bonhomme que l’idolâtrie qu'il suscite!
Ca n'enlève donc rien à mon argument.
"Ce qu'il a créé, c'est une société (deux, même, n'oublions pas Pixar) avec un esprit et insufflé celui-ci dans les appareils qu'elle a produit sous son influence visionnaire."
Un peu léger là, ça ne veut pas dire grand chose. Il a donc insufflé son influence visionnaire qui a permis la prouesse technologique du touchscreen, le mp3 etc. C'est un discours idolâtre. Il faut m'expliquer ce phénomène mystérieux en détails. Comment il arrive à ce tour de magie?
Pour Pixar c'est amusant, parcequ'on lui colle ça à son Palmarès comme si c'était grâce à lui (encore).
Or quand je lis Wikipedia, je vois qu'il n'a pas fondé Pixar, mais racheté une boite créée en 1979 et changé le nom. "a été acheté en 1986 par Steve Jobs peu de temps après son départ d'Apple"
Et je lis surtout que le virage créatif qu'a prix Pixar vers l'animation 3D vient de John Lasseter! Steve Jobs avait visiblement l'intention de refaire du Apple dont il s'est fait jeté peu de temps avant.
"Initialement, Pixar était une entreprise de matériel informatique haut de gamme dont le produit principal était le Pixar Image Computer, un système essentiellement vendu à des organismes gouvernementaux et au secteur médical."
"Étant donné que les mauvaises ventes des ordinateurs de Pixar menaçaient de mettre la société en faillite, le département animation de Lasseter a commencé la production de publicités animées par ordinateur pour des entreprises extérieures. "
"En mai 1991, après de nombreux licenciements dans le département informatique de la société, Pixar signe un contrat de 26 millions de dollars avec Disney pour produire trois longs métrages d'animation, dont le premier a été Toy Story. Malgré cela, la société coûtait tellement que Steve Jobs a envisagé de la vendre.
C'est seulement après la confirmation que Disney distribuera Toy Story pour les fêtes de fin d'année de 1995 qu'il a décidé de lui donner une autre chance"
On peut raisonnablement conclure que Lasseter a sauvé Pixar de la faillite, et fait de ce studio ce qu'il est maintenant.
Le génie de Steve Jobs dans l'affaire? Avoir laissé sa chance à Toy Story. Bien sûr il lui a insufflé son esprit ensuite vous direz vous.
"Mais ne pas reconnaître le génie du bonhomme est tout simplement de la bêtise."
Lui reconnaitre un génie créatif est tout simplement de l’idolâtrie.
Car dans votre insulte, vous avez oublié de prouver en quoi ma réflexion était fausse (hors mis le détails certe faux mais pas central pour la démonstration), et en quoi il était un génie, à part dans sa magie noire d'insufflement de son esprit dans les produits de son entreprise.
"Bien sûr, vous avez sans doute des contre-exemples." Des boites peuvent changer de patron et tourner tout autant. Des boites sont auto gérées: voir certaines SCOP. Une société peut produire des biens sans patron, un patron ne peut rien produire sans exécutants (à moins qu'il soit exécutant lui moi même et là je reconnaitrais un talent créateur).
«Mais a t'il jamais salué le travail formidable de ses collaborateurs? Je ne crois pas...»
Ok je retire, mais je reformule mon propos: Les médias ont ils jamais salué le travail formidable de ses collaborateurs? Je ne crois pas...
Le fond de ma critique ce n'est pas tant le bonhomme que l’idolâtrie qu'il suscite!
Ca n'enlève donc rien à mon argument.
"Ce qu'il a créé, c'est une société (deux, même, n'oublions pas Pixar) avec un esprit et insufflé celui-ci dans les appareils qu'elle a produit sous son influence visionnaire."
Un peu léger là, ça ne veut pas dire grand chose. Il a donc insufflé son influence visionnaire qui a permis la prouesse technologique du touchscreen, le mp3 etc. C'est un discours idolâtre. Il faut m'expliquer ce phénomène mystérieux en détails. Comment il arrive à ce tour de magie?
Pour Pixar c'est amusant, parcequ'on lui colle ça à son Palmarès comme si c'était grâce à lui (encore).
Or quand je lis Wikipedia, je vois qu'il n'a pas fondé Pixar, mais racheté une boite créée en 1979 et changé le nom. "a été acheté en 1986 par Steve Jobs peu de temps après son départ d'Apple"
Et je lis surtout que le virage créatif qu'a prix Pixar vers l'animation 3D vient de John Lasseter! Steve Jobs avait visiblement l'intention de refaire du Apple dont il s'est fait jeté peu de temps avant.
"Initialement, Pixar était une entreprise de matériel informatique haut de gamme dont le produit principal était le Pixar Image Computer, un système essentiellement vendu à des organismes gouvernementaux et au secteur médical."
"Étant donné que les mauvaises ventes des ordinateurs de Pixar menaçaient de mettre la société en faillite, le département animation de Lasseter a commencé la production de publicités animées par ordinateur pour des entreprises extérieures. "
"En mai 1991, après de nombreux licenciements dans le département informatique de la société, Pixar signe un contrat de 26 millions de dollars avec Disney pour produire trois longs métrages d'animation, dont le premier a été Toy Story. Malgré cela, la société coûtait tellement que Steve Jobs a envisagé de la vendre.
C'est seulement après la confirmation que Disney distribuera Toy Story pour les fêtes de fin d'année de 1995 qu'il a décidé de lui donner une autre chance"
On peut raisonnablement conclure que Lasseter a sauvé Pixar de la faillite, et fait de ce studio ce qu'il est maintenant.
Le génie de Steve Jobs dans l'affaire? Avoir laissé sa chance à Toy Story. Bien sûr il lui a insufflé son esprit ensuite vous direz vous.
"Mais ne pas reconnaître le génie du bonhomme est tout simplement de la bêtise."
Lui reconnaitre un génie créatif est tout simplement de l’idolâtrie.
Car dans votre insulte, vous avez oublié de prouver en quoi ma réflexion était fausse (hors mis le détails certe faux mais pas central pour la démonstration), et en quoi il était un génie, à part dans sa magie noire d'insufflement de son esprit dans les produits de son entreprise.
Génie créatif, peut-être pas, génie visionnaire, un peu quand même. Macintosh, iPod, iPhone sont quand même des objets assez formidables (bien que totalement dispensables).
Né avec la souris d'un Macintosh dans la main, j'ai été très longtemps un grand défenseur de la cause pommesque. C'était, à l'époque, un peu le village de gaulois qui résistait à l'envahisseur Microsoft. Qui était meilleur sur tous les plans, sauf sur celui des prix et du marketing.
Maintenant c'est presque l'inverse, donc bon, les problèmes de santé d'un patron autoritaire et obnubilé par le "toujours plus" (de part de marché et de profit), effectivement, je m'en tamponne le coquillard. L'avait qu'à déstresser un peu, faire des produits qui respectent l'environnement et les travailleurs, et ne gagner "que" quelques centaines de milliers de dollars à la place des dizaines de millions qu'il a maintenant accumulé pour pouvoir se payer autant de séances de rayons et chimio qu'il voudra.
Né avec la souris d'un Macintosh dans la main, j'ai été très longtemps un grand défenseur de la cause pommesque. C'était, à l'époque, un peu le village de gaulois qui résistait à l'envahisseur Microsoft. Qui était meilleur sur tous les plans, sauf sur celui des prix et du marketing.
Maintenant c'est presque l'inverse, donc bon, les problèmes de santé d'un patron autoritaire et obnubilé par le "toujours plus" (de part de marché et de profit), effectivement, je m'en tamponne le coquillard. L'avait qu'à déstresser un peu, faire des produits qui respectent l'environnement et les travailleurs, et ne gagner "que" quelques centaines de milliers de dollars à la place des dizaines de millions qu'il a maintenant accumulé pour pouvoir se payer autant de séances de rayons et chimio qu'il voudra.
Visionnaire dans le sens où il avait sa propre vision d'une concurrence à Microsoft ok, mais de là à en faire un génie boff boff.
Je le répète: quel est la part de responsabilité de Jobs dans la conception de l'iPod et de l'iPhone?
Les baladeurs numériques mp3 existaient déjà avant l'iPod mais n'avaient pas percés dans le grand publique. Est ce du génie que de déceler le potentiel de ces produis et de créer un baladeur mp3 a son tour? boff boff.
Voir le chapitre histoire de la page: http://fr.wikipedia.org/wiki/Baladeur_num%C3%A9rique
De plus est ce vraiment Jobs qui a remarqué le potentiel des baladeurs mp3 chez Apple, où est ce un employé responsable de la veille technologique dans ses labos qui lui a remonté le scoop et suggéré de porter un produit Apple? Si son rôle est de dire oui c'est une bonne idée on fonce, non ça on fait pas, c'est déjà bien car certains ne le font même pas correctement, mais est ce que ça en fait un génie? boff boff.
Pour l'iPhone c'est pareil, Androïd était développé en même temps que l'iPhone, mais ce dernier lui a raflé la priorité de sortie. Où est le génie quand d'autres ont les même idées en même temps et qu'on arrive juste le premier?
Je le répète: quel est la part de responsabilité de Jobs dans la conception de l'iPod et de l'iPhone?
Les baladeurs numériques mp3 existaient déjà avant l'iPod mais n'avaient pas percés dans le grand publique. Est ce du génie que de déceler le potentiel de ces produis et de créer un baladeur mp3 a son tour? boff boff.
Voir le chapitre histoire de la page: http://fr.wikipedia.org/wiki/Baladeur_num%C3%A9rique
De plus est ce vraiment Jobs qui a remarqué le potentiel des baladeurs mp3 chez Apple, où est ce un employé responsable de la veille technologique dans ses labos qui lui a remonté le scoop et suggéré de porter un produit Apple? Si son rôle est de dire oui c'est une bonne idée on fonce, non ça on fait pas, c'est déjà bien car certains ne le font même pas correctement, mais est ce que ça en fait un génie? boff boff.
Pour l'iPhone c'est pareil, Androïd était développé en même temps que l'iPhone, mais ce dernier lui a raflé la priorité de sortie. Où est le génie quand d'autres ont les même idées en même temps et qu'on arrive juste le premier?
J'avais commencé à un truc et j'ai été interrompu, ce qui est heureux, parce qu'il semble qu'une discussion puisse avoir lieu au-delà de l'idolâtrie qui est ridicule.
Vous voulez des points négatifs -- que sous-tend Jules?
- Apple applique consciemment une forme, quoique relativement nouvelle, d'obsolescence programmée -- même deux.
- Apple fait travailler des gens en Asie pour des salaires ridicules et dans des conditions épouvantables.
- Apple continue, quoiqu'ayant fait des efforts, à utiliser des produits toxiques tant en fabrication que dans ses appareils mêmes.
On pourrait sûrement en trouver d'autres, c'est juste ce qui me vient à l'esprit. Et on est parfaitement d'accord que Steve Jobs est -- ou était -- en tant que CEO, responsable de tout ça.
Jobs est un type de marketing, avec une solide culture technique et artistique, agrémentée d'une capacité à déceler les talents et à organiser une force de travail. C'est certainement un mégalo, psycho-rigide et intransigeant. Mais quelqu'un qui poursuit une vision.
Il n'a ni inventé la souris, ni l'interface graphique, ni peut-être pas grand-chose (il les a vus à Xerox Park, pour ceux-ci), il en a juste réalisé le potentiel. Comme il sait s'entourer de collaborateurs qui lui proposent nombre de trucs en permanence et où lui décide -- ben oui, il décide, sinon à quoi ça sert d'être un CEO -- de ce qui va être fait ou non, ou du moins les directions que ça doit prendre.
Sa part de responsabilité dans la conception de tout ce qui sort d'Apple, c'est d'avoir insufflé à l'entreprise un dessein, un esprit, à l'opposé de ses concurrents. Il n'est pas parti du principe "on va faire des ordinateurs", il est parti de l'idéal "on va simplifier la vie des gens". Il ne s'intéresse pas à "quoi faire pour être innovant", il s'intéresse à "pourquoi le faire". Une conférence de TED explique ça très bien (et il y a des sous-titres français, au cas où). Hautement recommandé.
Vous vous arrêtez aux apparences, au matériel. Il y a bien plus que ça. C'est là où le génie prend ses racines.
Vous voulez des points négatifs -- que sous-tend Jules?
- Apple applique consciemment une forme, quoique relativement nouvelle, d'obsolescence programmée -- même deux.
- Apple fait travailler des gens en Asie pour des salaires ridicules et dans des conditions épouvantables.
- Apple continue, quoiqu'ayant fait des efforts, à utiliser des produits toxiques tant en fabrication que dans ses appareils mêmes.
On pourrait sûrement en trouver d'autres, c'est juste ce qui me vient à l'esprit. Et on est parfaitement d'accord que Steve Jobs est -- ou était -- en tant que CEO, responsable de tout ça.
Jobs est un type de marketing, avec une solide culture technique et artistique, agrémentée d'une capacité à déceler les talents et à organiser une force de travail. C'est certainement un mégalo, psycho-rigide et intransigeant. Mais quelqu'un qui poursuit une vision.
Il n'a ni inventé la souris, ni l'interface graphique, ni peut-être pas grand-chose (il les a vus à Xerox Park, pour ceux-ci), il en a juste réalisé le potentiel. Comme il sait s'entourer de collaborateurs qui lui proposent nombre de trucs en permanence et où lui décide -- ben oui, il décide, sinon à quoi ça sert d'être un CEO -- de ce qui va être fait ou non, ou du moins les directions que ça doit prendre.
Sa part de responsabilité dans la conception de tout ce qui sort d'Apple, c'est d'avoir insufflé à l'entreprise un dessein, un esprit, à l'opposé de ses concurrents. Il n'est pas parti du principe "on va faire des ordinateurs", il est parti de l'idéal "on va simplifier la vie des gens". Il ne s'intéresse pas à "quoi faire pour être innovant", il s'intéresse à "pourquoi le faire". Une conférence de TED explique ça très bien (et il y a des sous-titres français, au cas où). Hautement recommandé.
Vous vous arrêtez aux apparences, au matériel. Il y a bien plus que ça. C'est là où le génie prend ses racines.
La plupart des médias ont une place spéciale dans leur petit coeur froid pour les figures qui ressortent et qui sont faciles à raconter ; ça leur fait un point commun avec les commentateurs bougons qui ne sont pas d'accord par principe.
Le sommet de la hiérarchie des grosses multinationales se convertit laborieusement en acteurs d'un bon storytelling. Leur activité est difficile à appréhender, leur contribution individuelle souvent pas si déterminante (encore que certains ressortent occasionnellement assez bien. Sur de gros ratages).
Steve Jobs est bon client ; c'est un vrai entrepreneur, dans une entreprise (assez) jeune, là où il y a beaucoup d'héritiers, et de dirigeants de carrière ayant gravit les échelons managériaux sur 20 ou 30 ans dans des boîtes plus anciennes. C'est un président impliqué dans la conception de ses produits, dans un milieu ou il y a beaucoup de dirigeants de culture financière qui passent leur temps à monter des opérations de fusion-acquisition d'une pertinence parfois discutable et aux résultats plus ou moins probants.
C'est une personnalité particulière, avec des traits de caractères à fois positifs et négatifs, qui permettent d'épicer l'histoire. Qui aurait envie de raconter la vie du patron qui est un type jovial qui raconte des blagues carambar à la cafêt et qui n'a jamais une idée personnelle ?
Enfin c'est l'un des très rares dirigeants dont on peut estimer et partiellement expliquer dans un media généraliste l'apport personnel à l'activité et la santé économique de sa société.
La liste des activités, réussites et échecs de Steve Jobs sur ses 35 années d'activité professionnelle, ne peuvent s'expliquer seulement par des coups de bol ou le parasitisme du génie éventuel de ses collaborateurs.
Le Mac de 1984 n'était pas qu'un clone des protos Xerox, il y a eu un travail ; et d'autres emprunts moins connus.
Ni Apple, ni Android n'ont créé le concept du smartphone ; ils l'ont pourtant changé de génération et ils se sont beaucoup emprunté l'un et l'autre. Il y avait une demi-douzaine d'acteurs significatifs sur le créneau ; le fait que ces deux là aient eu de la réussite ne s'explique pas uniquement par un opportunisme bien placé. Ni le succès de l'ipod et d'itunes. Il y avait d'autres baladeurs numériques avant, il y en a eu d'autres en même temps ; de même pour la commercialisation de la musique en ligne.
En tout cas c'est un changement d'époque ; après la retraite de Bill Gates, celle des fondateurs de Sun et leur premier cercle, des fondateurs d'Adobe, etc ; il n'y a plus beaucoup de monde en activité parmi les entrepreneurs historiques de la refonte de l'industrie informatique autour de la micro et de l'édition logicielle à la fin des années 70-début des années 80 (il reste cependant l'inénarrable Larry Ellison)
Le sommet de la hiérarchie des grosses multinationales se convertit laborieusement en acteurs d'un bon storytelling. Leur activité est difficile à appréhender, leur contribution individuelle souvent pas si déterminante (encore que certains ressortent occasionnellement assez bien. Sur de gros ratages).
Steve Jobs est bon client ; c'est un vrai entrepreneur, dans une entreprise (assez) jeune, là où il y a beaucoup d'héritiers, et de dirigeants de carrière ayant gravit les échelons managériaux sur 20 ou 30 ans dans des boîtes plus anciennes. C'est un président impliqué dans la conception de ses produits, dans un milieu ou il y a beaucoup de dirigeants de culture financière qui passent leur temps à monter des opérations de fusion-acquisition d'une pertinence parfois discutable et aux résultats plus ou moins probants.
C'est une personnalité particulière, avec des traits de caractères à fois positifs et négatifs, qui permettent d'épicer l'histoire. Qui aurait envie de raconter la vie du patron qui est un type jovial qui raconte des blagues carambar à la cafêt et qui n'a jamais une idée personnelle ?
Enfin c'est l'un des très rares dirigeants dont on peut estimer et partiellement expliquer dans un media généraliste l'apport personnel à l'activité et la santé économique de sa société.
La liste des activités, réussites et échecs de Steve Jobs sur ses 35 années d'activité professionnelle, ne peuvent s'expliquer seulement par des coups de bol ou le parasitisme du génie éventuel de ses collaborateurs.
Le Mac de 1984 n'était pas qu'un clone des protos Xerox, il y a eu un travail ; et d'autres emprunts moins connus.
Ni Apple, ni Android n'ont créé le concept du smartphone ; ils l'ont pourtant changé de génération et ils se sont beaucoup emprunté l'un et l'autre. Il y avait une demi-douzaine d'acteurs significatifs sur le créneau ; le fait que ces deux là aient eu de la réussite ne s'explique pas uniquement par un opportunisme bien placé. Ni le succès de l'ipod et d'itunes. Il y avait d'autres baladeurs numériques avant, il y en a eu d'autres en même temps ; de même pour la commercialisation de la musique en ligne.
En tout cas c'est un changement d'époque ; après la retraite de Bill Gates, celle des fondateurs de Sun et leur premier cercle, des fondateurs d'Adobe, etc ; il n'y a plus beaucoup de monde en activité parmi les entrepreneurs historiques de la refonte de l'industrie informatique autour de la micro et de l'édition logicielle à la fin des années 70-début des années 80 (il reste cependant l'inénarrable Larry Ellison)
vous omettez (mais est-ce une omission...) que la souris (voire le mulot !) est un brevet (cédé gratuitement !) de la société Xerox qui n'en voyait pas l'utilité pour ses productions de l'époque et l'a donc donné pour le Mac . Si, si, révisez un peu, ça fait du bien et ça rend les idées claires. :-)
On voit ainsi que toute l'histoire de l'informatique est liée à beaucoup d'innovateurs ... et pas à un seul "génie" , oserai-je dire, du commerce, pardon du "marquetigne", mot moderne et magique et bien entré dans les esprits d'aujourd'hui !
On voit ainsi que toute l'histoire de l'informatique est liée à beaucoup d'innovateurs ... et pas à un seul "génie" , oserai-je dire, du commerce, pardon du "marquetigne", mot moderne et magique et bien entré dans les esprits d'aujourd'hui !
Le véritable inventeur du Mac. Celui à qui Jobs doit tout, c'est lui. Cet homme n'a d'ailleurs pas supporté le manque d'éthique de Jobs et a préféré quitter la firme.
Les véritables inventeurs des ordinateurs Mac ou PC, micro ou cray one, ce sont les
mathématiciens et les physiciens dont les travaux théoriques ont permis tout ça.
mathématiciens et les physiciens dont les travaux théoriques ont permis tout ça.
Ouais on peut remonter loin comme ça. Par d'ordinateur personnel sans transistors. Pas d'interface graphique sans écran. Pas de calculs électroniques sans arithmétique binaire.
La vraie révolution du Macintosh, c'est la démocratisation d'une interface graphique. Et effectivement, il semblerait que ce soit Raskin qui en soit le principal développeur.
La vraie révolution du Macintosh, c'est la démocratisation d'une interface graphique. Et effectivement, il semblerait que ce soit Raskin qui en soit le principal développeur.
"Ce qu'il a créé, c'est une société (deux, même, n'oublions pas Pixar)" gemp.
steve n'a jamais créé PIXAR mais plutôt Edwin Catmull et John Lasseter.
il c'est mêmes fait rouler dans la farine en achetant une machine d'imagerie P.I.X.A.R.
Jobs n'a que le mérite d'avoir de l'argent et les dents longues !
Place de la toile 10~15mn
Génie de Pixar
Pixar Animation Studios
"Steve,pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font" lol
Effectivement faut vérifier ces sources.
steve n'a jamais créé PIXAR mais plutôt Edwin Catmull et John Lasseter.
il c'est mêmes fait rouler dans la farine en achetant une machine d'imagerie P.I.X.A.R.
Jobs n'a que le mérite d'avoir de l'argent et les dents longues !
Place de la toile 10~15mn
Génie de Pixar
Pixar Animation Studios
"Steve,pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font" lol
Effectivement faut vérifier ces sources.
Ahh, merci pour l'émission. Je rectifie pour Pixar, par conséquence. Je m'étais arrêté à la concomitance entre le rachat par Jobs et la sortie de Luxo Jr. et ce qui s'en est suivi. Effectivement un peu léger.
Ce n'est que le fric de Jobs qui est en cause, peut-être aussi son management d'équipe. J'ai vu plusieurs reportages qui montrent un fonctionnement particulier, un peu à l'image de celui d'Apple.
J'achèterai peut-ête le bouquin, merci encore.
Ce n'est que le fric de Jobs qui est en cause, peut-être aussi son management d'équipe. J'ai vu plusieurs reportages qui montrent un fonctionnement particulier, un peu à l'image de celui d'Apple.
J'achèterai peut-ête le bouquin, merci encore.
"Génie", quand même, faut rester calme. Les mots ont un sens. Edison était un génie, De Vinci aussi.
Pour mémoire, le système d'exploitation du macintosh, qui a fait la gloire (et c'était plutôt justifié) de la pomme est fortement inspiré (hem, on rejoint le milieu littéraire ici) du système mis au point par Xérox et qui lui est antérieur.
Jobs est un créatif certes brillantissime et un businessman ô combien charismatique, cependant le qualificatif de génie qui lui est asssocié en permanence est un lieu commun taillé sur-mesure depuis des lustres par une internationale geek en mal de "héros légendaire" et repris tel quel par les médias et le grand public. Un peu de mesure...
Pour mémoire, le système d'exploitation du macintosh, qui a fait la gloire (et c'était plutôt justifié) de la pomme est fortement inspiré (hem, on rejoint le milieu littéraire ici) du système mis au point par Xérox et qui lui est antérieur.
Jobs est un créatif certes brillantissime et un businessman ô combien charismatique, cependant le qualificatif de génie qui lui est asssocié en permanence est un lieu commun taillé sur-mesure depuis des lustres par une internationale geek en mal de "héros légendaire" et repris tel quel par les médias et le grand public. Un peu de mesure...
Cf. ma réponse ci-dessus.
L'erreur a propos de jobs est de le présenter comme un génie de l'informatique ou un inventeur de génie. C'est un génie du marketing comme dit dans cet article.
Le balladeur mp3 existait déja mais c'est le principe de quasiment toutes les inventions de reposer sur quelque chose d'existant. Une forme dégradée d'internet existait avant internet, etc...
Sur le plan technologique et sonore l'ipod n'apporte rien de nouveau mais sur le plan de l'interface, clairement si.
Par contre effectivement Zuckerberg j'ai jamais compris.....
Le balladeur mp3 existait déja mais c'est le principe de quasiment toutes les inventions de reposer sur quelque chose d'existant. Une forme dégradée d'internet existait avant internet, etc...
Sur le plan technologique et sonore l'ipod n'apporte rien de nouveau mais sur le plan de l'interface, clairement si.
Par contre effectivement Zuckerberg j'ai jamais compris.....
Il ne faut pas confondre le génie à faire du fric avec le génie tout court.
+1
On peut reprocher beaucoup de choses à Steve Jobs, j'ai quelques griefs moi-même. Mais ne pas reconnaître le génie du bonhomme est tout simplement de la bêtise.
On n'invente jamais rien. Einstein disait : "le plus grand des génies est un nain, assis sur les épaules de l'humanité".
"Pourtant, certaines critiques peuvent être émises à l'encontre de Jobs et ses méthodes quelques fois controversées. Peu nombreux sont ceux qui ont osé s'y risquer..."
ben faut voir combien il largue d'euros en pub..et à qui ..
sinon,avoir 5862 morceaux de musique sur un ipeaude...m'en fou!
ben faut voir combien il largue d'euros en pub..et à qui ..
sinon,avoir 5862 morceaux de musique sur un ipeaude...m'en fou!
"Steve Jobs, qui a démissionné le 24 août 2011 pour raisons de santé, était-il Gutenberg, ou Raël ?"
Un peu dommage de recourir à un poncif tel que la fausse dichotomie dans l'accroche du dossier...
Dommage aussi de ne pas traiter la façon dont Tim Cook est évoqué dans la presse : j'ai l'impression que bien des articles passent rapidement sur son nom, sans creuser quoi que ce soit, qu'il s'agisse des enjeux futurs ou même d'une simple photo. Quelque part, @si tombe justement, du coup, dans ce travers, en éludant la question.
Pourtant, ce n'est pas si compliqué, même le Figaro a réussi, et propose un article très complet : http://www.lefigaro.fr/societes/2011/08/25/04015-20110825ARTFIG00435-tim-cook-successeur-designe-de-steve-jobs.php
(EDIT : mais apparemment, avec une faute présente concernant Compaq, qui n'a jamais appartenu à IBM)
Un peu dommage de recourir à un poncif tel que la fausse dichotomie dans l'accroche du dossier...
Dommage aussi de ne pas traiter la façon dont Tim Cook est évoqué dans la presse : j'ai l'impression que bien des articles passent rapidement sur son nom, sans creuser quoi que ce soit, qu'il s'agisse des enjeux futurs ou même d'une simple photo. Quelque part, @si tombe justement, du coup, dans ce travers, en éludant la question.
Pourtant, ce n'est pas si compliqué, même le Figaro a réussi, et propose un article très complet : http://www.lefigaro.fr/societes/2011/08/25/04015-20110825ARTFIG00435-tim-cook-successeur-designe-de-steve-jobs.php
(EDIT : mais apparemment, avec une faute présente concernant Compaq, qui n'a jamais appartenu à IBM)
Assez incroyable : ce matin, la nouvelle de la démission de jobs faisait la une des 'grands' sites d'infos. Sur le coup, j'ai cru qu'il était mort, stevie... Comme cela fut déjà écrit sur ce site, on est dans le phénomène religieux. Il faut voir pour le croire les comportement assez hallucinants que j'observe autour de moi à la moindre sortie de la nouvelle version d'un objet estampillé de la pomme de la part de personnes éduquées et intelligentes (des enfants lâchés dans un magasin de bonbons seraient sans doute moins hystériques...).
Et surtout pas moyen d'émettre le moindre embryon de début de critique à propos du Créateur et des ses Indispensables Joujous : la sanction tombe, instantanée et sans appel : grincheux, jaloux, triste sire, hazbine, etc.
Ici à Montpellier l'année dernière, une cinquantaine d'ingénus ont campé devant le Pomme-Magasin toute la nuit précédent son ouverture... Pour être les premiers à acheter des produits... bon déjà c'est moyen; mais des produits déjà disponibles partout depuis des mois! Non mais à ce dégré là, faut en rire ou en pleurer? Perso, j'alterne.
Et surtout pas moyen d'émettre le moindre embryon de début de critique à propos du Créateur et des ses Indispensables Joujous : la sanction tombe, instantanée et sans appel : grincheux, jaloux, triste sire, hazbine, etc.
Ici à Montpellier l'année dernière, une cinquantaine d'ingénus ont campé devant le Pomme-Magasin toute la nuit précédent son ouverture... Pour être les premiers à acheter des produits... bon déjà c'est moyen; mais des produits déjà disponibles partout depuis des mois! Non mais à ce dégré là, faut en rire ou en pleurer? Perso, j'alterne.
Comme quoi on a les saints qu'on mérite...
J'ai eu trois Mac : un Classic II que je garde jalousement, un Performa tout ce qu'il y a de banal, et un IMac tellement mal paramétré que je l'ai gardé un jour.
J'ai eu trois Mac : un Classic II que je garde jalousement, un Performa tout ce qu'il y a de banal, et un IMac tellement mal paramétré que je l'ai gardé un jour.
Elle est où la créativité d'Apple quand la société qui fait des produits pour bobos branchés abuse de sa position dominante envers les fournisseurs pour empêcher les concurrents d'avoir accès aux mêmes composants ?
Apple, c'est tout simplement l'hyper-capitalisme dans toute [s]sa splendeur[/s] son horreur. Imaginez les conséquences sur les salariés lorsqu'un sous-traitant est obligé de vendre à Apple sa camelote 50 % moins cher d'une commande à l'autre ?
Tout ça pour finir bouffé par un crabe. Sur sa tombe je mettrais comme épitaphe : "Steve Jobs, le plus riche [s]du[/s] des cimetières"
Apple, c'est tout simplement l'hyper-capitalisme dans toute [s]sa splendeur[/s] son horreur. Imaginez les conséquences sur les salariés lorsqu'un sous-traitant est obligé de vendre à Apple sa camelote 50 % moins cher d'une commande à l'autre ?
Tout ça pour finir bouffé par un crabe. Sur sa tombe je mettrais comme épitaphe : "Steve Jobs, le plus riche [s]du[/s] des cimetières"
