Double nationalité : "Il y a assez de place dans un coeur humain pour deux pays"
C’est l’histoire d’un grand bateau qui fait la traversée entre Marseille et Alger, emportant à chaque voyage sa cargaison d’immigrés algériens qui rentrent au pays, d’adolescents qui vont le découvrir, ou d’expulsés qui partent de France contraints et forcés. Mais ce documentaire, La traversée, c’est aussi la peinture magistrale d’un monde suspendu entre deux cultures, entre deux nationalités, entre deux identités. Pour cette deuxième émission en partenariat avec Tënk, nous recevons l’écrivaine Nina Yargekov qui vient de publier aux éditions P.O.L. le livre Double nationalité.
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Derniers commentaires
Un passage magique dans le film: une fillette faisant des bulles de savon, tout entière absorbée dans ce petit ballet merveilleux.
Autre ambiance: un jeune couple va arriver à Marseille; le jeune homme connaît manifestement déjà bien la France; il parle à la jeune femme de la vie qui les attend; celle-ci a l'air complètement perdue, elle ne répond pas ou très peu, manifestement la transition va être brutale et elle semble peu armée pour y faire face. Aura-t-il toujours la patience de l'aider? Je me suis demandé si elle n'était pas schizophrène. Si c'est le cas, va-t-il le comprendre et se faire aider?
A pekin dans les ruines du palais d'ete de l' imperatrice cixi detruit par les troupes franco britannique lors de la guerre de l'opium se trouve gravé dans la pierre une page de victor hugo qui appelle à ne pas rendre responsable les peuples de ce que font leur dirigeant.
Tout est passionnant; un passage particulièrement marquant: trois hommes( il me semble qu'ils sont trois) discutent tranquillement, gaiement, l'atmosphère est cordiale; deux d'entre eux donnent des conseils au plus jeune, qui a l'air légèrement angoissé, c'est peut-être sa première traversée; ils arrivent à le détendre; surgit alors un autre homme, descendant un escalier derrière eux; il a entendu leur conversation et leur dit abruptement que leur souci premier doit être la religion. Aussitôt l'atmosphère devient glaciale; les deux hommes les plus âgés ne disent plus rien, l'un d'eux semble atterré. Le plus jeune avait l'air un peu perdu avant; ses deux premiers compagnons l'avait entouré de leur gentillesse; il est maintenant tout ouïe aux propos du nouvel arrivant, qui lui apparaîtra peut-être comme un guide.
Dès lors elle est un problème avec les pays du Magreb
sans problème avec les pays de l'UE (je suis belgo-français et ça ne fait chier personne)
tabou avec Israel ... (exemple : on voudrait empêcher un français d'aller combattre sous un autre drapeau à l'étranger, mais on ne peut pas parler des avocats franco israeliens qui on fait leur service militaire en Judée Samarie)
Merci pour vos émissions de grande qualité ………
Mais aujourd’hui, je suis déçue, et je me permets de vous faire part de ma réflexion …………après avoir visionné cette émission sur la « bi – nationalité ; y a-t-il assez de place dans un cœur humain pour deux pays » ………. J’ai fait un arrêt sur image pour comprendre ce qui me décevait à ce point (vous l’aurez bien cherché, vous nous y avez bien entraîné !!!!) …..
Plusieurs questions émergent :
Comment une femme franco – hongroise peut elle décrypter, appréhender de cette traversée ? …
Si, bien sûr, les sacs Tati !!!!!!!!!!! …………….. Un pincement au cœur pour celui qui connait l’exil !!!!!!!! …… Et bien d’autres choses encore !!!!! (c’est un magnifique documentaire, très fort)
En proposant son intervention pour annoter ou commenter ce documentaire, c’est comme si vous ignoriez les différences de tailles qui existent entre les immigrés il y a une hiérarchie des immigrés (qui a à voir avec l’histoire et le temps)…… Tous les immigrés ne se valent pas dans notre société …….. Toutes les cultures ne se valent pas …. Les immigrés sont catégorisés, c’est vrai depuis longtemps mais ça l’est encore plus aujourd’hui …….. D’ailleurs Daniel en parle au moment où il parle de colonisation …évidemment ça change tout, d’avoir ou non été colonisé …….. Et la géographie intervient aussi dans cette histoire là …….. Etre de l’Est, du Nord ou du Sud ce n’est pas du tout la même chose ….. Je trouve que cet aspect là est gommé dans cette émission ……. On sait bien que la France ne regarde pas de la même façon un immigré anglais qu’un immigré algérien ou malien …….. et ceci ne s’arrête pas à l’immigré lui – même………….cela se poursuit avec sa propre descende (cf : le rapport du CNESCO) …….
Par ailleurs comment une femme qui s’appelle Nina (on connait l’importance de la consonnace des prénoms) et dont on imagine à sa façon de parler qu’elle n’a pas dû connaitre beaucoup de moments difficiles (même si elle est bi – nationale) peut elle se faire la commentatrice, le porte parole d’un tel documentaire ??? !!!!!! J’avoue que je suis perplexe …….
Quand à la lecture d’un passage de son texte …….. Je ne comprends pas bien ce que la « fellation » vient faire dans cette thématique, parce qu’on pourrait aussi parler de « sodomie » ……….. Est – ce pour la promo du livre ?
Pourquoi ne pas avoir invité une personne qui aurait été plus près du documentaire (c’est vraiment dommage qu’on ait été privé de la présence de Mme Lieutrey et Mr Levy)…. Magyd CHERFI a aussi écrit un livre que je n’ai pas encore lu, mais il aurait peut – être pu nous délivrer un peu plus de choses, ou un peu mieux les choses ………ou un ou une illustre inconnu(e) ……. J’ai beaucoup trop de choses à dire ……… mais voilà, je crois que l’essentiel est là ….
J’espère que ce message sera lu (en tout cas par l’équipe d’ASI)
M.I.
Question: les enfants algériens allaient-il à l'école, au collège au lycée.
J'y suis né, j'y ai vécu jusqu'à l'âge de 16 ans, je n’en ai rencontré que 4 ou 5 en 1961/62...
et c'était parce que De Gaulle souhaitait arrondir les angles. D'ailleurs dans cette même période,
j'étais en 4ème et 3ème et j'y ai appris l'arabe dans le même esprit et pour faire bonne mesure .
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Pour tout avouer, je n'ai pas regardé ni écouté cette émission.
Pour tout avouer, c'est le titre qui m'en a dissuadé.
Il y a assez de place dans mon coeur pour tous les pays qui voudraient s'y nicher et encore plus de place pour tous les habitants de ces pays.
Et quand je parle de place dans mon coeur, c'est de mon coeur dont je parle.
Et quand je parle de mon coeur, c'est de ce pourquoi je suis prêt à me battre dont je parle.
Perso, j'ai bien aimé l'émission même si miss Yargekov déroule son argumentaire avec une délectation non-dissimulée sans trop d'encombre, mis à part quelques froncements de sourcil de Daniel sur la prévalence de la culture française en Hongrie. Espérons qu'elle ne se soit pas fait mordre par un vampire lors du voyage en Transylvanie qui l'a inspiré pour son dernier livre.
A propos du thème en partance / de retour au bercail, quelqu'un se souvient-il du groupe Zebda ? Paroles du titre double peine ici.
J'ai également regretté l'absence de la réalisatrice, dont l'exposé du motif ne m'a pas convaincu de son bien-fondé. Néanmoins j'ai trouvé que l'émission était de bonne facture et incitait à découvrir le film documentaire.
Petit point négatif, si je peux me permettre, de mon point de vue l'humoriste a un peu cédé à la facilité dans son billet, ce qui surprend car ce n'est pas son habitude sur scène.
Une dernière chose, sous forme de question suggestive. Ce genre d'émission a peut-être du mal à trouver sa place dans le travail général de critique des médias, ne pensez-vous pas qu'il faille renouveler votre charte éditoriale, pour y inclure d'autres thématiques comme celle-ci ? (hmm.. à y réfléchir cela risque de supposer un changement de nom à terme^^)
Cordialement, Pascal
L'était-t-il déjà ?
Donc, si je comprends bien, c'est un documentaire qui emploie un comédien pour faire "plus vrai" quoi, hein ? Enfin, je ne voudrais pas être médisant inutilement, mais pour moi, des "documentaires" qui emploient des comédiens, ça s'appelle des films de fiction, non ? Peut-être est-ce ce point qui a précisément provoqué la subite crise de gastro aiguë chez la réalisatrice ?
Enfin bon, JDCJDR...
Votre partenariat avec Tënk ne m'intéresse pas, rendez-moi mes émissions habituelles
Kenavo
Le point de vue de la réalisatrice manque terriblement et les minauderies de la romancière agacent...
pas encore regardé l'émission mais je me faisais une joie d'écouter la réalisatrice parler de son excellent film...
Étonnant le prétexte pris pour ne pas participer à l'émission. Il est légitime de s'interroger pour savoir si le dispositif prévu marchera, non ? Qu'est-ce qui lui a fait peur exactement à la réalisatrice ? Elle sait que les abonnés ne sont pas présents pendant l'enregistrement de l'émission ?
J'ai toujours beaucoup de mal avec les gens qui refusent le dialogue. J'espère qu'elle a de bonnes raisons, même si j'en doute. Elle aurait du refuser dès le départ plutôt que de faire sa mijaurée au dernier moment.
Très décevant tout ça et pas très sympa vis à vis de l'équipe d'@si
La veille du tournage, [...] Fin d’après-midi, Daniel et moi construisons le plan de l’émission. Et plus on le construit, plus on commence à douter de la place du psychanalyste.
Je peux comprendre qu'annoncer un changement du dispositif moins de 24 heures (dont un dodo) avant son enregistrement peut être contrariant pour les invités. Ca peut même paraitre surprenant de la part de personnes qui sont particulièrement au fait de l'importance du dispositif.
Si je suis invité à une émission pour parler de mon travail, d'autant plus s'il est question de longue date ("début septembre") de "solliciter" un ami, il y a des chances que je multiplie les contacts préparatoires avec ce camarade. Et aussi délicieuse que puisse être A.S. Jacques au téléphone, et ses intentions professionnelles et sincères, si elle me dit qu'on fait comme je sens mais que ce serait quand même mieux que je remballe tout dans ma culotte à la veille de l'émission, et que mon pote peut se la coller derrière l'oreille... à priori, il y a des chances que j'aies un minimum les boules. Effectivement.
C'est quoi le changement de dispositif exactement ? L’émission est enregistrée sur la lune ? Le sujet est finalement l'élevage d’orang-outan en Papouasie du Nord ? Non, c'est simplement une question sur la pertinence de faire venir un invité. Il fallait quoi exactement ? Une invitation en recommandée (avec accusé de réception) 15 jours avant ?
Et à votre avis, la pauvre petite chose fragile qui s'angoisse à l'idée que son micro soit à droite et non à gauche comme prévu, elle a déjà eu la possibilité d'expliquer son travail et de se faire connaitre dans combien d'émissions ?
Quant à votre culotte, vous faites ce que vous voulez avec ça ne nous ... regarde pas !
Si t'as l'habitude de venir les mains dans les poches à tes RDV, c'est ton problème. En général, les gens se préparent pour une émission précise, avec un plateau défini, selon un dispositif prévu, visant un auditoire ciblé. Si t'arrives avec ta bite et ton couteau indifféremment au meeting de Tuning de Tourcoing et à un congrès sur Nietzsche à la Sorbonne, tu vas avoir des problèmes. Y'en a qu'ont essayé, ils ont eu des problèmes.
Les 7 premières minutes avec cette "humoriste", c'est le ponpon. Je ne suis pas prêt à renouveler mon abonnement. Je crois même que je vais devoir l'annuler avant son terme tellement c'est juste insupportable et indigne de ce qu'à pu produire @si dans le passé (même récent).
Pitié, n'en jetez plus, j'abandonne ! :-(((
Pour autant la chronique a le mérite d'exister, cependant ne serait-elle pas plus à sa place hors émission dans l'onglet "chroniques" .
C'est une ville de chaleur et de poussière, dans le désert californien. Une ville où passent pour s'entrainer tous les soldats américains envoyés guerroyer dans les déserts lointains; Irak ou Afghanistan. Et puis ils rentrent. Ils rentrent, dans cet improbable chez eux, cette ville qu'il a bien fallu baptiser "29 Palmiers", faute de lui trouver un autre nom, cette ville où ils tuent le temps entre le salon de coiffure, la blanchisserie, et surtout...les salons de tatouage. "Killing time" : ainsi notre invitée, Lydie Wisshaupt-Claudel, a-t-elle baptisé son film documentaire, sur lequel nous nous arrêtons aujourd'hui, dans le cadre de notre partenariat avec la plateforme documentaire Tënk. Après avoir vu ce film, vous ne verrez plus les Marines de la même manière. C'est pour cette raison, qu'il faut regarder des documentaires. Notre émission est ici (1).
et quand je clique sur regardez l'émission, c' était autre chose !!
dommage
C'est "At(h)ome".