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Elkabbach et Péchenard, ou l'art de la fausse provocation
Comment éviter soigneusement toute question gênante à son interviewé, tout en lui tendant de grosses perches faussement provocatrices ? Exemple criant ce matin sur Europe 1 avec le dialogue entre Jean-Pierre Elkabbach et Frédéric Péchenard, le directeur général de la police nationale (DGPN).
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Derniers commentaires
On commence à le voir partout ce Pechenard... Ca sent la promotion, ça, non ?
Y'aurait pas comme du remaniement dans l'air ?
On va juste attendre un petit peu un truc qui ressemblerait à un vague semblant d'attentat (une femme en noir portant double slip qui aurait laissé tomber une caisse à savon sur un catener), on filera à Tarnac ou dans n'importe quelle autre bonne épicerie embastiller quelques suspects, on trouvera bien un truc pour non-lieusifier la plainte du Monde et l'affaire de fiston, et zou... L'est pas beau notre nouveau ministre de l'intérieur ?
Y'aurait pas comme du remaniement dans l'air ?
On va juste attendre un petit peu un truc qui ressemblerait à un vague semblant d'attentat (une femme en noir portant double slip qui aurait laissé tomber une caisse à savon sur un catener), on filera à Tarnac ou dans n'importe quelle autre bonne épicerie embastiller quelques suspects, on trouvera bien un truc pour non-lieusifier la plainte du Monde et l'affaire de fiston, et zou... L'est pas beau notre nouveau ministre de l'intérieur ?
Brandir une menace terroriste parfaitement calibrée (Paris, transports, rassemblements)
quelques jours avant une forte journée de mobilisation... Prière de vomir ici ---> [o]
quelques jours avant une forte journée de mobilisation... Prière de vomir ici ---> [o]
De toute façon, M. Péchenard n'avait même pas besoin d'intervenir, j'imagine mal un gardien de la paix porter plainte contre le fils du patron. Je verrais plutôt la scène suivante :
"Ce n'est pas grave patron, il faut bien que jeunesse se passe. Allez, on en parle plus. Et puis il ne le fera plus ce grand garçon, hein ? Sinon papa va le gronder la prochaine fois." "Comment ? Je n'irai pas à la circulation ! A ben merci patron, vous êtes bien sympa."
"Ce n'est pas grave patron, il faut bien que jeunesse se passe. Allez, on en parle plus. Et puis il ne le fera plus ce grand garçon, hein ? Sinon papa va le gronder la prochaine fois." "Comment ? Je n'irai pas à la circulation ! A ben merci patron, vous êtes bien sympa."
je connais quelqu'un qui, pour les mêmes faits que ceux reprochés à ce fils, qui rend ce père malheureux, est resté 1 an en prison. en vérité, la personne que je connais n'avais même pas insulté les policiers, elle était offusquée d'être arrétée sur le parking de son immeuble, après avoir garé son véhicule et juste avant de rentrer chez elle...
Elkabbach qui joue son Apathie ! El Pathie ! Ah lala ! Quelles interviewers couillus ! Quand est-ce qu'il prend sa retraite, d'ailleurs, il a un âge canonique il me semble...
Quand je lis ce genre d'articles je me dis quelle chance j'ai de ne pas écouter Europe ou RTL, de ne pas regarder France 2 ou TF1... J'en ai ici la substantifique moelle...
(et je commence à regretter qu'Inter suive la même voie)
(et je commence à regretter qu'Inter suive la même voie)
F. Péchenard, qui restera dans l'histoire comme l'inventeur du rouge plus rouge que rouge.
Personnellement je garde quand même une préférence pour le plus blanc que blanc de Coluche
Personnellement je garde quand même une préférence pour le plus blanc que blanc de Coluche
L'épisode du fiston, caler en fin d'interview avec Fogiel qui speede son monde.
"Mais qu'on se rassure, ce grand écart n'est pas dû au policier lui-même, ou aux politiques. Si on effraye les Français tout en leur sussurant de ne pas s'inquiéter, c'est la faute des médias. C 'est vous qui m'avez invité", pointe Péchenard, comme si le patron de la police se précipitait au micro à chaque demande d'interview."
Un peu le même genre d'excuses que Sarkozy avait utilisé lors de sa conférence de presse à Bruxelles et concernant son discours de Grenoble, style, " c'est vous (la presse) qui me poussez à m'exprimer, et quand je parle, vous me tomber dessus".
- Comment la légende Elkabbach, meilleur interviewer de France, est elle née ?
Un peu le même genre d'excuses que Sarkozy avait utilisé lors de sa conférence de presse à Bruxelles et concernant son discours de Grenoble, style, " c'est vous (la presse) qui me poussez à m'exprimer, et quand je parle, vous me tomber dessus".
- Comment la légende Elkabbach, meilleur interviewer de France, est elle née ?
Ici, vous supposez que le journaliste est compétent et pose sciemment des questions faussement piégeuses.
Il ne pour vous être ni incompétent, ni trop vieux, ni mal préparé à son interview. C'est gentil..
Ou pas, finalement, je ne sais que penser.
Il ne pour vous être ni incompétent, ni trop vieux, ni mal préparé à son interview. C'est gentil..
Ou pas, finalement, je ne sais que penser.