Elkabbach, reporter de pouvoir
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Je pense que M. Guémart, Loris de son prénom n'oubliera plus de citer le prénom de M. Schneidermann, Daniel a l'avenir ;)
L'hommage de Salamé à Elkabbach se comprend tout à fait. Elle non plus n'a pas la dent aussi dure selon qu'elle interviewe Arnault ou Sarkozy d'une part, ou Mélenchon ou Poutou d'autre part... Elle a bien appris la leçon de celui qui lui a mis le pie(...)
La relève est prête. La famille Duhamel, Salamé, et tant d'autres.
Longue vie à obsessions.
Comme celle d'Elkabach
Derniers commentaires
Puisqu'on en est au souvenir...
Le soir de l'élection de Mitterand. C'était la liesse dans les rues, dans les transports.
Il faut croire qu'il n"y avait que ceux qui avaient voté Mitterand qui étaient de sortie.
Je me souviens que des cris : "Elkhabach démission" résonnaient dans les couloirs du métro.
Beaucoup de spectateurs de gauche le détestait.
Il était le précurseur d'un journalisme de cours tout à fait détestable.
Ils veulent baptiser france television , du nom de ce type ...Quel symbole ! La télé devient une niche !
Votre "obsession" sur les "prénoms" (aujourd'hui : "notre ami Guémart, Loris de son prénom") gagnerait peut-être à être laissée de côté. D'abord, c'est cryptique si on ne vous lit pas à la loupe tous les jours (cf ci-dessous). Ensuite, c'est bon, on a compris que la chronique du médiateur vous avait vexé. Mais ne vous en déplaise, l'habitude du site est de nommer les intéressés par leur nom de famille, et le titre où vous êtes cité sans prénom faisait de même avec "Roussel". Dans le corps de la chronique, votre prénom est bien là à la première occurrence, comme dans tous les articles d'@si.
Donc non, contrairement à ce que vous avez écrit ensuite ( "cette chronique du médiateur qui a oublié mon prénom"), votre prénom n'avait pas été oublié, c'est aussi factuellement faux qu'une vidéo tronquée de F. Roussel (hum). Sauf à ce que, dans une chronique qui rappelle le "privilège" (légitime à mon sens) qu'était le Matinaute non relu, vous en revendiquiez un autre, concernant la manière de vous nommer. Dans le cas contraire, il y a peut-être un ou deux petit réglages à faire pour recommencer à coller aux faits, ca rendra vos obsessions plus intéressantes.
Et chacun ayant les siennes, j'espère que vous nous concèderez celle d'attendre de vous de l'exigence plutôt que de l'acrimonie.
J'aime beaucoup la délicatesse, la réserve et la haute diplomatie de la harangue finale : " pas de relecture pour notre D.S.
( notre DS à nous ! ).
" Telle est la nature des choses que la démesure est très souvent préférable à la relecture, ou du moins que le bien qui est établi est toujours préférable au mieux qui ne l'est pas "
reporter ou " petit télégraphiste " des puissants ?
Formidable portrait. Et je ris de voir ce "blog" dans la même catégorie que les autres chroniques, simplement amendé d'un bloc gris en fin de chronique. Tant mieux ! Et vive les obsessions
Je ne comprends rien à cette tempête autour de la chronique de Daniel sur Roussel. Dire qu'il peut finir comme Doriot c'est juste dire attention il sent mauvais. Une crainte sans doute pas aussi absurde qu'il y paraît. Ce qui me semble absurde par contre c'est demander des excuses. De quoi ? D'une mise en garde ?
Longue vie à Obsessions, Schneidermann
Bonjour,
J'ai un peu l'impression qu'avec cette pseudo-transformation en « blog », on se moque de nous. Là ça ressemble plus à une manière pour la rédaction de sauver la face, en donnant l'impression que le privilège de Daniel n'est plus.
Pourtant, qu'est-ce qui a concrètement changé à part le nom ? Un timide bandeau à la fin de l'article (pardon, du billet de blog). Je ne vous ferai pas l'offense de vous rappeler l'effet de ce type de signalement, tant vous le savez à la rédaction.
Mais concrètement que voit-on ? Chronique écrit à trois reprises en haut de page avec la même charte graphique que pour toutes vos publications relues par la rédaction en chef.
Bref, si c'est un blog, c'est en dehors du site, à une autre adresse (type blog.arretsurimages.net ou obsessions.arretsurimages.net). Peut-être que ce sont des chantiers techniques en cours, mais dans ce cas pourquoi ne pas le signaler et pourquoi se précipiter ? Et si rien de tout ça n'est en cours, vous nous prenez vraiment pour des #### avec ces pseudo-changements.
Vous n'avez pas, Daniel, à être embarrassé par cette photo. Qui, à gauche, n'était pas admiratif devant ce Mitterrand de 1987, qui tenait en respect la droite française dans son moment thatchérien ?
C’etait peut etre un bon journaliste au debut. Quand il etait jeune. Il ne l’est pas reste longtemps peut etre. Je crois ne l’avoir connu que de vieux a tres vieux. Je n’en garde pas un souvenir enthousiaste. Je m’interroge sur tous ces hommages. Est-ce pour la personne ou pour s’attirer les bonnes graces de ses relations ?
Nb : il me semble que Mitterrand l’a fait virer de la tele en 81 pour son giscardisme un peu trop militant et qu’il a connu une traversee du desert. Non ? Il y a mieux comme amis...
je n'ai pas serré la pogne des "grands" de ce monde mais c'est non sans une certaine fierté que je peux affirmer que je suis un lecteur assidu de la chronique de DS "obsessions" depuis ses tout débuts.
"Mais vous n'allez pas vous laisser enterrer vivant dans votre mausolée "
Mise en abyme : Moi j'dis que l'écriture astucieuse de Daniel n'a pas de rival(e) ^^
Chouette d'avoir accès à la chronique Obsessions sur le même site sans avoir à s'inscrire ailleurs. Merci
Quant à Jean Pierre Elkabbach, je l'ai découvert uniquement comme présentateur de Bibliothèque Médicis et j'appréciais (mais je n'ai pas tout vu)
Et donc aucune image du reporter de pouvoir
#DeuxFoisDesMoules
Faut pas déconner.
Je viens vérifier si tout a été vérifié.
Veuillez m'excuser de m'excuser
Il n'en est pas moins vrai que
nous vivons une époque formidable.
Vous en parliez aussi ici avec M. Pierre-Louis BASSE.
La relève est prête. La famille Duhamel, Salamé, et tant d'autres.
Longue vie à obsessions.
Comme celle d'Elkabach
Merci pour cette chronique, et merci pour la photo de Solutré ! Quel air de voyou, et quels beaux scratchs ! Toute une époque
Je dois avouer que je me suis pris à deux fois avant de reconnaître le patron sur la photo avec Mitterrand, je pensais naïvement que Daniel avait toujours eu les cheveux gris :)
Il faut voir et revoir le témoignage d'Estrosi hier soir sur Cnews: il avoue que le sieur Elkabbach l'appelait la veille des ses interviews à la radio pour le préparer aux réponses à apporter. Magnifique d'entente avec les puissants (ah flûte Estrosi n'est pas un puissant). bonne bourre Daniel!
Je pense que M. Guémart, Loris de son prénom n'oubliera plus de citer le prénom de M. Schneidermann, Daniel a l'avenir ;)
DS a choisi ses obsessions. Parmi celles-ci cette fixette sur l'absence de son prénom. C'est bon Daniel, on peut peut-être passer à autre chose ?
Pourquoi cette polémique ?
Le prénom est cité 15 fois dans l’article. Et je ne crois pas que ce soit un ajout post-publication.
Il n’y a que dans le titre que ça manque. Mais c’est comprehensible, c’est d’abord de l’homme public qu’il parle, pas du Daniel fondateur.
Polémique inutile.
Boh, je ne voyais pas du tout ça comme une polémique ! Mais j'ai trouvé ça assez drôle pour le relever de façon légère et sans arrière-pensée
Je pense et j'espère qu'il s'agit plus d'une pique amical entre collègue qu'une véritable vexation.
De plus avec Proxy, Loris est blindé contre les mauvais usage de son prénom ;-)
Le paysage médiatique actuel lui doit beaucoup et, non, ce n'est pas du tout un compliment !
L'hommage de Salamé à Elkabbach se comprend tout à fait. Elle non plus n'a pas la dent aussi dure selon qu'elle interviewe Arnault ou Sarkozy d'une part, ou Mélenchon ou Poutou d'autre part... Elle a bien appris la leçon de celui qui lui a mis le pied à l'étrier.
Pugnace, pugnace... pas de la même manière avec tout le monde. Il a presque inauguré cette ère où les journalistes montrent leur partialité en ne posant pas des questions aussi vachardes aux uns et aux autres. Ce n'est pas rien si son livre le plus connu a pour titre une injonction imaginaire que Marchais inventée par un Le Lurron franchement à droite. Titre fictionnel qui montre une relation, disons, compliquée, avec la vérité. Marchais n'a jamais essayé de le faire taire (c'est plutôt Elkabbach qui ne laissait pas Marchais s'exprimer), par contre Elkabbach a très bien appris à se taire de lui-même quand cela servait ses intérêts et ceux de ses amis politiques !
Dites, ami Daniel Schneiderman , nous sommes sur le blog là ?