Enfants et écrans : "Un fait clinique n'est pas un fait scientifique"
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Houla.
Je viens de regarder une émission. Et, une fois n'est pas coutume, je vais être assez critique.
Je ne comprends pas bien où on veut en venir.
Si le but est de critiquer Zone Interdite, OK mais ce n'est pas nouveau que c'est devenu de la télé poub(...)
J'ai été assez énervée en écoutant l'émission, ce qui est la première fois. J'ai l'impression que la docteure Sylvie Dieu-Osika ne connaissait pas ASI. Elle est restée arc-boutée sur son travail et celui de sa collègue et non sur les critiques qui po(...)
La pédiatre Sylvie Dieu-Osika est assez pénible dans la discussion ; merci à Nassira El Moaddem d'avoir essayé de faire parler tous les intervenants.
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Dans mes cauchemars, j'entends encore Mme Sylvie Dieu-Osika couper la parole de tout le monde pour dire qu'elle elle est dans la vraie vie et que ça c'est la vraie vie et la vraie vie la vraie vie. Au secours !
Plus sérieusement j'ai l'impression que Mme Dieu Osika ne comprend pas que les témoignages qu'elle entend ne sont pas égaux à une enquête scientifique en bonne et due forme. Pour elle, on peut bidonner un reportage s'il ressemble à son expérience ressentie et ses constats personnels au quotidien. Elle décide de la conclusion et ensuite elle tord les arguments pour que ça colle, omettant au passage tous les facteurs sociaux ("cette femme n'est pas débordée vous exagérez"... euh ok).
Elle me gonfle avec "sa vraie vie"...
Y'en a une qui fait de la science et qui relativise, et y'en a une qui fait son travail et tire des conclusions de ses observations... Perso, je fais plus confiance dans la première
C'est un sujet important et qui mérite qu'on y réfléchisse. Je dirais qu'il est même urgent de le faire tant les conséquences sur la concentration, la socialisation, l'ouverture pour les enfants semble questionnées du fait de la présence des écrans. Aussi bien celui de le télévision (qui s'impose à toute heure) dans beaucoup de familles, que celui du téléphone ou de la tablette. Les professionnels de la petite enfance, médecins, psychologues, instits, travailleurs sociaux le constatent.
Bien sûr ce n'est pas le seul élément qui contribue au retard éventuel pour un enfant, le cadre social, le milieu économique et l'exercice de la parentalité ce sont aussi des facteurs éclairants.
L'observation scientifique de ces comportements est finalement très partagée entre professionnels dont l'observation me paraît nécessaire et mériter qu'on en tienne compte. De même que les chercheurs ou chercheuses, je pense s'y intéressent.
L'émission d'Arrêt sur Image (je n'ai pas vu M6) ne m'a pas semblé nous aider à y voir plus clair tant l'opposition (conflit? diatribes?territoire?compétence?) entre les invités m'ont paru difficiles à suivre. Peut-être que pour ASI le sujet intéressant serait de comprendre et connaître comment l'émission a été pensée, pour mieux comprendre le résultat.
Bonjour,
J'ai compris de ce débat qu'M6 adoptait le point de vu partagé par les pédiatres et que les chercheuses du plateau regrettaient le manque de point de vue scientifiques exprimé dans ce type d'émission. Il aurait du y avoir en effet dans le reportage un passage pour expliquer où en est la recherche à ce sujet. Cependant, quand on manque de chiffres et d'analyses scientifiques sur un sujet on a deux attitudes: soit soutenir les lanceurs d'alertent sur le terrain qui certes se trompent peut-être en partie, soit ne rien faire et attendre patiemment le temps nécessaire à la recherche, au risque de se rendre compte trop tard que les alertes étaient fondées. Pour ma part, je suis prudente, et me fient aux avis du terrain, faute de mieux. J'apprécie qu'Asi donne la parole aux chercheuses, ça rééquilibre, mais je ne comprend pas pourquoi le dialogue a été si compliqué avec la pédiatre qui ne fait que dire ce qu'elle voit. Que lui reproche-t-on?
Pénible à regarder , on ne demande un combat des coqs mais une émission qui nous apprend des choses; là c'est la bagarre et on comprend en 2 minutes celle qui va se faire lyncher. ASI tombe dans le wokisme surtout avec Nassira El Moaddem .
Sur la forme,je ne sais pas ce qu'il s'est passé hors plateau mais pour ma part,j'ai trouvé Nassira El Moadden assez agressive et cassante envers la pédiatre, et ressenti à contrario une certaine connivence avec les deux autres invitées.
Au détriment de la qualité du débat et du message d'alerte qui me semble nécessaire à propos du sujet traité.
Par ailleurs sur le fond du sujet,j'estime que les preuves scientifiques sur la surexposition aux écrans viendront sans doute une fois que les dégâts sur nos enfants seront irréversibles pour plusieurs générations. Les constatations multiples de terrain devraient suffirent en attendant.
Merci à Vous profondément, Madame EL MOADDEM pour avoir animé cette émission.
Il s'agissait d'un vrai débat dans le sens où les invitées étaient d'accord à 70%.
Pour commencer, M6 est vraiment dégoutante. La séquence chez la Docteur DUCANDA faisait penser à une mise en scène. L'angle était déjà choisi. Cela a été souligné pertinemment par Madame Anne CORDIER.
La séquence avec la mère seule pouvait constituer du dénigrement et du sexisme. M6 ne s'est pas demandée comment aider cette maman pour l'aider dans sa vie quotidienne et trouver un moyen pour que ses enfants ne soient plus devant ses écrans.
Ensuite, en toute humilité, je pense que Madame La Docteure DIEU-OSAKA s'est beaucoup affirmée dans l'émission. Elle ne devait pas avoir la même Liberté de ton chez Brut et chez France 5. Ces deux médias ont dû, malheureusement, beaucoup lui manquer de respect. Vous avez eu la Délicatesse et la Prévenance de prendre beaucoup de recul - comme tout ASI - pour traiter le sujet et aborder les éléments qui le composent.
Il pouvait aussi y avoir de l'angoisse chez Elle d'où mon petit message de soutien à l'intégralité du plateau.
Madame Béatrice KAMMERER mène aussi des investigations pour préserver les enfants de tout ceci.
Cela est profondément respectable.
D'ailleurs, ne faudrait-il pas montrer aux enfants, dans le cadre de leur éducation aux écrans, en plus d'ASI, l'excellente newsletter Féministe #Règle30 publiée sur Numérama ?
La pédiatre est en colère, ce qui la rend parfois maladroite et cassante. Mais en tant qu'enseignante confrontée quotidiennement à la surdose de mes élèves, je comprends et partage sa colère,
Au final, la question initiale était bien posée : "Faut-il forcément faire peur pour alerter sur le danger des écrans?". J'en reste avec l'impression que la médecin répond plutôt "oui, car la situation est tellement dramatique que tout est bon à prendre", et que les deux autres répondent "non, la vérité scientifique ne peut pas se dire avec des raccourcis".
Mais ces positions auraient largement pu être creusées, et les questions de la présentatrice elle-même ont largement contribué à faire dévier le sujet. Dommage...
Le Docteur en médecine à un peu de mal que la chercheuse en information- mette en doute la fiabilité du niveau d'alerte qu'elle émet. Ce qu'elle défend habilement, et, je trouve, à raison.
Elle semble trouver que le reportage résume bien des évènements cliniques qu'elle observe régulièrement.
On lui oppose que le reportage n'est pas une source scientifique et de diagnostique fiable. Ben heu… oui, mais il ne me semble pas que le contraire ai été prétendu ? Juste que la situation est alarmante et que celle qui soigne les gens est ptetre bien placé pour voir qu'il se passe un truc.
Une question qui me manque, et qui me semble centrale : existe-il des enfants passant 10h chaque jours devant un écran passif et qui sont tout à fait normaux dans leur développement ? Je veux bien qu'on m'explique comment ça serait possible.
Car dès lors, la question devient : Quels accident font qu'un parent est amené à délaissé ainsi son enfant ? Le docteur parle visiblement des effets de la prédation attentionnelle sur l'ensemble de la cellule familiale. C'est évident. La question de la responsabilité des gafam impliqué doit être posée frontalement.
juste une remarque : un "fait statistique" n'est pas non plus un "fait scientifique"...
3 contre 1
3 contre le Réel.
La haine de M6 semble largement prédominer sur le fond du sujet.
La journaliste ASI veut se faire M6 à charge,
Les deux autres - on se demande pourquoi - veulent minimiser l'effet évidemment des écrans
Décidemment, quelque soit le sujet, la gauche préfèrera toujours etre les alliés utiles des du capitalisme degueu que de se convaincre du Réel.
La pauvre Sylvie Dieu-Osika à 2 doigts d'etre traitée d'extreme droite, le va-tout de reserve...
Marrant, je n'ai pas vu de grandes emissions consacrées au traitement médiatique es conséquences des vaccins et des mesures sanitaires.
Les révolutionnaires de salon de ASI semblent avoir adoré la séquence piquage de masse ; le grand ex-chef en premier lieu.
Ayant été absent, comment se positionnent le forum sur ce sujet ?
Une emission qui aurait pu être passionnante, mais qui se révèle très vite pénible à regarder en raison de l'antagonisme entre vos invitées qui semble pré-exister à l'enregistrement. Du coup, on a le sentiment d'assister à un règlement de compte, qui ne concerne en rien l'information au grand public. Il me semble aussi qu'un aspect important n'a pas été du tout discuté avec vos invitées : y'a-t-il un lien de causalité entre classe sociale et durée d'exposition des jeunes enfants aux écrans ? Pour le dire autrement (et périodes de confinement mises à part), est-ce que la durée d'exposition aux écrans se révèlent plus importante chez des enfants des classes populaires, qui sont également ceux qui sont privés d'un accès précoce à la culture ? Autant d'activités culturelles qui sont coûteuses à plusieurs titres : argent, temps, organisation. Dans le reportage de M6, la jeune mère qui élève seule ses deux enfants parlent de "nounou numérique". Numérique certes, mais aussi "gratuite", une fois l'abonnement à internet et la tablette payés. Est-ce que l'écran ne serait pas le seul accès à la culture pour ceux qui sont en privés en raison de leur classe social et de leur pouvoir d'achat ? Est-ce que les parents des classes populaires croyant bien faire, s'équipent de tablettes en espérant palier la difficulté d'un accès non discriminant à la culture ? Docteure Dieu-Osika plaide pour un bannissement des écrans. Mais comment des parents qui n'ont ni temps ni argent peuvent organiser des interactions qui incluent l'achat de jouets, de livres, des sorties culturelles, et encore une fois du temps ? Si l'on tient compte de la question de la classe, et si tant est que l'exposition aux écrans soit plus importante parmi les enfants des classes populaires, alors le problème serait celui d'une hyper-digitalisation des vies humaines imposée par les conditions matérielles d'existence.
La pédiatre Sylvie Dieu-Osika a fait des commentaires très intéressants sur le rôle de la société sur les temps d'écran des enfants. Il est dommage que le point n'est pas été davantage développé (mais peut-être ferait-il l'objet d'une émission à lui tout seul !). Par contre, il faut que les médecins acceptent l'idée qu'ils n'ont aucune compétence scientifique, et que voir des milliers d'enfants ne donne pas la capacité de faire une analyse scientifique de ce que l'on observe. D'ailleurs le niveau scientifique minable de la revue The Lancet, supposée être la meilleure revue scientifique médicale mondiale, où la moitié des articles montre une incompréhension totale de l'utilisation des statistiques et ne serait acceptée dans aucune autre discipline, montre qu'il y a un gros problème à ce niveau-là...
Une preuve de plus qu'on peut être intelligent et con à la fois ! Je n'ai pas pu aller au bout de cette émission où les intervenantes ne parlent pas de la même chose ... Désolée car l'animatrice était au niveau mais la pédiatre n'y était pas.
L'absence de capacité remise en question de Sylvie Dieu-Osika est hallucinant, elle prend tout les arguments comme des attaques envers sa compétence, un melon pareil ça passe pas les portes.
L'émission souligne, sans le vouloir, un problème majeur dans ce sujet : on parle toujours des ECRANS, mais jamais des SERVICES.
Parce que les écrans, c'est inoffensif, tandis que des réseaux sociaux ou des freemiums, ça ce sont des dangers publics. Et Anne Cordier rappelle justement qu'il faut aussi mettre en lien le milieu socio-culturel qui est une autre composante des retards de développement.
Arrêtons de parler des écrans, et demandons des comptes à ces milliardaires qui nous vendent ces gouffres à capacité d'attention, ce sera infiniment plus productif.
Bonne émission au demeurant, bravo à Nassira pour sa gestion sans faille du débat :) !
Hallelujah : je suis sur la fin de l'émission et Béatrice Kammerer insiste sur le fait d'arrêter de stigmatiser les écrans et les classes populaires.
Merci Madame ! C'est ce discours qu'il faut porter !
Docteur Dieu-Osika était antipathique mais je la rejoins sur le fond. Même s'il n'y a pas (encore) eu d'étude scientifique prouvant de façon éclatante que les écrans sont nuisibles dans le développement de l'enfant, rien n'empêche d'appliquer le principe de précaution et de les bannir de la vie du jeune enfant (ce n'est pas comme si l'humanité n'avait jamais grandi sans écran). Je trouve ça un peu suspect au contraire de vouloir à tout prix empêcher la condamnation des écrans sur le principe qu'aucune étude n'a prouvé leur dangerosité par A+B. Dans le principe, cela me rappelle une des émissions de l'été où l'on voyait que les grands groupes/entreprises dégradant notre environnement s'arrangeaient bien des failles ou des non-conclusions des études scientifiques qui étaient menés. Parfois le principe de précaution et le bon sens devraient peut-être orienter nos actions sans attendre les résultats formels d'une éventuelle future étude scientifique qui n'arrivera peut-être jamais ou trop tard.
Et bon vent à Louison, à qui je souhaite de trouver un CDI après deux ans d'alternance.
"Deux virgule dix millions" de spectateurs, c'est beaucoup. Imaginez si cela avait été "deux virgule cent millions" !
J'impose ma science mais dès qu'on tente d'y apporter de la nuance, on cherche la petite bête, ce n'est pas intéressant ou autre. On voit vite de quel côté est la rigueur. C'est quelque chose qui m'impressionne toujours de voir à quel point moins on en sait, plus on est sûr de soit. Malheureusement, ça rend toute cette discussion difficile à suivre et baisse drastiquement la qualité du débat.
Franchement, je ne comprends pas les critiques de certains commentaires à l'encontre du docteur Sylvie Dieu-Osika.
C'est, parmi les 3 invitées, celle dont les propos m'ont paru avoir le plus de profondeur, sans doute grâce à son expérience de terrain.
D'autre part, face à un problème aussi grave de la surexposition aux écrans, le propos d'ASI de se limiter à une critique de Zone Interdite, apparait comme bien futile. S'il y a un sujet qu'il aurait été bien plus intéressant d'aborder, c'est celui des algorithmes et de la "captologie" que justement le Dr Sylvie Dieu-Osika a vainement essayé d'aborder à plusieurs reprises.
Enfin, il aurait peut-être été intéressant de faire la distinction entre l'écran lui-même et les contenus affichés, si tant est que cela soit pertinent et que des études existent sur ce sujet.
Les grands créateurs de cette technologie moderne (tels Bil Gates,Steve Jobs, etc.)se sont donné pour mission d'éloigner leurs enfants des écrans: pas d'écran avant l'âge de 4 ans, pas de smartphone avant l'âge de 14 ans qui, de plus, est interdit à table. Les employés de la Silicon Valley mettent leurs enfants dans la Waldorf School qui n'utilise que papier, crayons et livres.
Sur ce, mon fils et son épouse avaient décidé d'appliquer ces règles lorsque la COVID est arrivée, et donc le travail à la maison a tout mis par terre. Le petit,à 3 ans, s'est retrouvé devant les écrans pour que les parents puissent travailler.
Mon petit fils est autiste, ce ne sont pas les écrans qui ont créé cet état de fait, il avait 9 mois lorsque le médecin a diagnostiqué cette maladie. Les parents avaient pris la décision de l'éloigner des écrans avant sa naissance, donc ignorant tout de sa maladie.
Voilà un témoignage, sans plus, je ne donne pas mon opinion car, je ne sais trop...vu mon grand âge, je puis confirmer qu'il était dit la même chose sur la télévision...
C'est un plaisir de retrouver Anne Cordier, après Savoirs Médiatiques.
Émission vraiment très pénible. Madame Dieu os au 30 ans de pratique clinicienne écrasante... a porté fièrement son nom. Merci a Nassira Moaddem d'avoir tenu le cadre sans faillir sous les coups de boutoirs. Et dommage pour les deux autres intervenantes qui ont apporte de la nuance à la complexité du sujet, leur point de vu à été parasité par le niveau de tension en permanence présent.
Nassira a dû bien dormir la nuit dernière ! 😄
En tout cas, c'est une grande professionnelle, sa gestion de ce plateau tendu à été remarquable. Respect !
Ces toubibs qui arborent leur titre pour pouvoir dire nawak et prendre tout le monde de haut... Pas une once d'honnêteté, juste prendre les gens pour des cons et leur vendre leurs livres. Celle du plateau, qui ne connaissait manifestement pas ASI et se croyait au magasine de la santé, ne supportait pas de ne pas capter toute l'attention ni d'être mise sur un pied d'égalité avec les autres invitées. Bravo à ces dernières et à Nassira de lui avoir tenu tête. De toute façon, elle se ridiculisait toute seule à chaque fois qu'elle ouvrait la bouche (presque à chaque fois, même une pendule arrêtée donne l'heure deux fois par jour).
À une époque il y avait des chercheurs qui disaient que les études scientifiques ne ditent pas toutes que la clope est mauvaise. Et après on a su que ces études étaient financées par les fabricants de clopes.
À une époque il y avait des climato-sceptiques financés par le pétrole. Je ne dis pas que c'est pareil ici pour les écrans.
SI JE LE DIS CETTE DÉFENSE DES ÉCRANS EST JUSTE AHURISSANTE.
La pédiatre Sylvie Dieu-Osika est assez pénible dans la discussion ; merci à Nassira El Moaddem d'avoir essayé de faire parler tous les intervenants.
J'ai été assez énervée en écoutant l'émission, ce qui est la première fois. J'ai l'impression que la docteure Sylvie Dieu-Osika ne connaissait pas ASI. Elle est restée arc-boutée sur son travail et celui de sa collègue et non sur les critiques qui pouvaient être faites sur l'émission Zone interdite . J'ai apprécié la chercheure Anne Cordier et la journaliste Béatrice Kammerer, qui ont fait part de leurs travaux et recherches toujours avec calme.
Et bravo à Nassira El Moaddem, un plateau pas facile à gérer !
Un grand BRAVO pour la tenue du plateau :
ces trois dames ne sont pas facile du tout à gérer. L'une est vraiment cassante et limite arrogante.
Le plus gros danger de youtube c'est de tomber sur la vidéo de Ducanda
Houla.
Je viens de regarder une émission. Et, une fois n'est pas coutume, je vais être assez critique.
Je ne comprends pas bien où on veut en venir.
Si le but est de critiquer Zone Interdite, OK mais ce n'est pas nouveau que c'est devenu de la télé poubelle (à condition que cela ait été autre chose un jour).
Par contre, même si Sylvie Dieu-Osika m'a parfois agacée par son ton hautain, il faut reconnaitre qu'elle a dû avoir l'impression d'être tombée dans un traquenard avec 3 personnes qui avaient l'air d'être contre elles et ce quasiment depuis le début de l'émission.
Finalement, je n'en retire pas grand chose. Il y a eu quelques paroles intéressantes de part et d'autres "du ring" mais, finalement, j'ai eu l'impression d'un gros bazar qui empêche de se concentrer sur le sujet.
Émission super intéressante!! Et agitée ^^
En tant que parent qui est toujours été inquiet sur ce rapport aux écrans, merci pour cette très saine précision entre médium et contenus (accouchée dans la douleur dans les 20 dernières minutes ^^)
Pourquoi y a-t-il si peu de place dans l'émission sur la question de la captation de l'attention? La médecin l'a timidement amenée une ou deux fois mais elle semblait plus soucieuse de montrer la validité de sa parole de spécialiste médicale, agacée de ne pas se voir reconnue comme toute puissante. Pourquoi l'Europe renonce-t-elle à réglementer alors que le RGPD a montré qu'il est possible de ne pas se soumettre aux législations états-uniennes?
via Amélie Tsaag Valren