Entre-soi : "Avec Macron, la violence des riches ne se cache plus" [Avent2020]
Liberté, égalité, fraternité, oui bien sûr ! Mais chacun dans son quartier, chacun dans son immeuble, dans son école, entouré de barrières invisibles. Comment se développent les stratégies de l’entre-soi ? C’est l’objet de notre émission où nous revenons sur une affaire ultramédiatisée, la révolte des habitants du 16e arrondissement de Paris contre l’implantation d’un centre d’hébergement d’urgence à la lisière du bois de Boulogne, avec deux invités : Monique Pinçon-Charlot, sociologue, auteure du livre Panique dans le 16e (La ville brûle), co-écrit avec son mari Michel Pinçon et le dessinateur Etienne Lécroart, et Ian Brossat, adjoint (PCF) à la Maire de Paris en charge du logement et de l'hébergement d'urgence. Et aussi notre chroniqueuse historienne Mathilde Larrère.
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Rétrospectivement, je me demande si les journalistes ont fait leur boulot d'information (TV, journaux ou autres) en 2016.
Y a-t-il une date et une chaîne d'info (privée ou publique) qui a, à cette époque, montré cette séquence de 20 mn, insolente, virulente, acariatre, revencharde et égoïste (au minimum) avec, au summum un ancien PDG de la Française des Jeux qui traite de salope la sous-préfete de Paris ?
Madame Lise BLOCH-MORHANGE, PORTE PAROLE DU COMITE DES SERRES D'AUTEUIL pourrait utilement réagir non contre la mairie de Paris (dans un premier temps) mais plutôt contre les "très riches" qui veulent la disparition des serres à leur propre bénéfice. Vous avez fait quoi, madame, pour invalider les prétentions de ceux qui veulent les détruire à leur bénéfice ???
Une lutte de classe (d'intérêts, plutôt) à l'intérieur d'une même classe, voilà qui serait "classe" !!
Allez, battez-vous, plutôt que reprocher à des sociologues de faire leur travail.
L'honnêteté intellectuelle, cela existe. Universellement.
Mais ayant lancé la pétition SAUVONS LES SERRES D'AUTEUIL qui en est à 83 000 signataires pour tenter d'empêcher la mairie de Paris de faire bétonner, amputer et dénaturer par la FFT l'un des plus beaux jardins de Paris, le Jardin botanique des Serres d'Auteuil, pourtant triplement protégé, je connais bien le statut de bois de Boulogne, et je connais aussi fort bien comment la maire de Paris bafoue la loi dans le bois.
Parquer des gens dans le bois n'est pVous devriez vous intéresser de près à la politique du logement de madame la mairie, et englober la question des logements sociaux, pour SFD, etc dans ce cadre. Les Algecos ont été construits par dérogation de la mairie NON PAS EN LISIERE DU BOIS comme vous le dites Daniel, mais DANS LE BOIS, tout comme le stade de 5000 places que la FFT édifie dans les Serres d'Auteuil. Tout comme la fondation PINAULT, tout aussi illégale. Or le bois est INCONSTRUCTIBLE. C'est un bien commun, destiné à tous les publics, et pas seulement à ces sales riches qui intéressent tant Mme Charlot qui ne s'intéresse qu'aux logements sociaux DANS LES QUARTIERS RICHES! On croit rêver! C'est son fond de commerce à elle!
Eh bien moi qui suis journaliste, je suis allée voir sur place, on m'a non seulement interdit de m'approcher mais à plus forte raison d'entrer. J'ai donc attendu que quelqu'un sorte, et j'ai discuté avec une femme fort aimable qui est très malheureuse d'habiter là. Elle m'a dit que c'est un repaire de drogués, que la nourriture est affreuse, qu'elle se sent loin de tout. Elle doit aller prendre deux bus pour faire ses achats dans le 13ième, etc, etc, et ne cesse de faire des démarches pour sen aller!
Vous qui êtes journaliste, Daniel, vous n'avez pas eu idée d'aller faire un tour sur place ?
Je dois vous dire que je suis fort déçue, et que vous m'avez rendue madame Charlot ANTIPATHIQUE A TOUT JAMAIS! C'EST UNE STANILISTE, et quant à vous, vous devriez vous garder de faire de l'information primaire!!!!!!!
Lise BLOCH-MORHANGE, PORTE PAROLE DU COMITE DES SERRES D'AUTEUIL
ET C'EST TOUT A FAIT NORMAL (et évident)
A cette époque, il n'y avait pas d'eau courante dans les immeubles.
Le seul moyen d'apporter de l'eau pour ses besoins courants, il fallait porter des litres et des litres d'eau chez soi.
On comprend aisément qu'il était préférable d'avoir un logement le moins haut possible pour se fatiguer le moins possible (c'est logique).
Tout a changé avec l'arrivée des fontaines Wallace qui ont permis d'installer un système de canalisation pour l'eau potable.
Voilà voilou
Cette ordure mérite d'être pendue par ses blondinets cheveux aux côtés de son patron ex-proxo. Au fait, elle faisait apparemment partie des "helpeurs" de la campagne de l'autre zozo, dont Niel savait déjà en 2014 qu'il serait candidat en 2017 (source : Juan Branco). Ah, et cette gonzesse qui sort de l'institut européen des affaires (un nom comme ça), se prétend self-made woman. Comme quoi, non seulement ces gens-là pratiquent la violence ouvertement mais ne prennent même plus la peine d'inventer des histoires vaguement crédibles.
À part ça, la pénibilité, c'est un mot que Zupiter n'aime pas.
Bonne chance à Anne-Sophie, si Ebdo est moitié aussi bien que XXI, ce sera déjà, et de loin, le meilleur hebdo (en même temps, c'est pas difficile, hein).
Mais alors je me pose tout d'un coup une question, un peu stupide il est vrai :
Pourquoi on peut pas faire la meme chose sur les juifs, ah oui c'est de l'antisemitisme.
Pourquoi on peut pas faire de meme chez les arabo-musulmans alors ? Bon c'est un peu moins grave quand meme mais le risque de se faire taxer d'islamophobe est quand meme grand.
Bon bah on va dire les cathos alors, ah oui la j'ai le droit, salop de cathos.
J'en deduit une loi assez basique : l'honnetete intellectuelle ne s'applique pas quand ca concerne des groupes dominants ou qui ont domines en France.
En meme temps c'est le fond de commerce de Monique Pinçon-Charlot, je peux difficilement lui en vouloir de vendre ses theories.
Je suis abonnée depuis quelques mois seulement mais m'étais déjà bien attachée à Anne-Sophie Jacques, son sourire et sa simplicité ajoutant à sa compétence pour présenter l'actualité.
Dommage donc mais beaucoup de réussite dans son nouveau projet!
Daniel Schneidermann trouvera le moyen de continuer à nous passionner...
les riches toujours plus riches et les pauvres toujours plus pauvres, et tout le monde trouve ça normal...
et ça tourne, et ça tourne, et ça tourne......
le discours des riches est le discours type des manipulateurs : ils ne veulent pas dire le fond de leur pensée pour ne pas passer pour les monstres, (et en l’occurrence qu'ils ne veulent pas des pauvres dans leurs quartiers ce qui est immonde !), alors ils disent que c'est pour le bien des pauvres qui risqueraient leur vie à cause des arbres, de la pollution, et de l'âge du capitaine !... c'est énorme mais ça passe et on ne les condamne pas....
et ça tourne, et ça tourne, et ça tourne....
j'ai moins apprécié, la fin, le couplet anti Macron partisan, arrêt toujours fidèle à son encrage .....!!!!
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et voilà ;)
Je me souviens des Veilleurs devant l'assemblée nationale (AN), d'un curé traditionnaliste monté sur un distributeur de boissons en avril (alors que l'AN avait adopté définitivement) et du harcèlement de la ministre Christiane Taubira sur le terrain et sur les réseaux sociaux et des insultes racistes telle que "elle est pour qui la banane" en présence de leurs propres enfants.
Dans ma famille, les personnes proches de ce mouvement font partie de la petite ou grande bourgeoisie de province.
Ce serait super que Madame Poincon-charlot puisse aussi apporter son éclairage :-)
Bonne continuation à Anne Sophie Jacques !
"Il n'y a plus que la Patagonie, la Patagonie qui convienne à mon immense tristesse, "
Blaise Cendras, Prose du Transsibérien.
C'est dit.
DS : "je suis là pour ça"
Vous êtes sûr d'être là pour empêcher les invités d'aller jusqu'au bout de leur raisonnement ?
Cela dit, c'était une émission intéressante, même si le plaisir a été gâché par l'annonce du départ d'Anne-Sophie :'(
Le mot de la fin
Anne-Sophie Jacques s'en va et nous laisse alors que justement, encore une fois, on trouvait tout cela bien mijoté
ça reste dans le gosier, et pour un peu on oublierait l'appel de Monique Pinçon-Charlot à abattre ce capitalisme qui semble par ailleurs allait de mieux en mieux et se montrait farouchement en bonne forme avec une liberté toute nouvelle de parole, une désinvolture à injurier les moins bien nantis en les traitant de fainéants tandis que tous ces riches dépensent leur énergie sans compter, y compris sur les courts de tennis,
bien que tout doit être relativiser, il leur faut bien compter leurs sous
Monique Pinçon-Charlot a aussi dit une chose évidente mais que je n'avais pas entrevu jusqu'aujourd'hui avec sa radicalité "Les riches s'en foutent de la bonne foi" et cela explique tous ces moments d'étonnement devant des cas où l'on s'étonne que certains puissent vivre sans conscience, oui c'est évident, la bonne foi est le seul luxe des pauvres dont les riches sont en général démunis
Mais je reviens sur cette tristesse soudaine, Anne Sophie Jacques s'en va
Il ne reste plus que les mots d'usage "Bonne chance, tous nos vœux" mais en fait on ne s'en fait pas pour elle, c'est à nous qu'on pense aussi
On l'embrasse fraternellement
"Il existe un endroit, à la périphérie de Montmartre, peu connu du touriste hébété ou même du parisien pressé; cet endroit, c’est le pont que forme la rue Caulaincourt au-dessus du cimetière Montmartre, un peu comme qui dirait à l’entre fesse entre la Butte Montmartre et la Place Clichy… Ce pont avait été baptisé le pont de la Butte, par les antillais à casquette, qui zonaient dans le coin dans les années 70, avec toujours de la bonne ganja du pays, et parfois, aussi, des petites loutes qui tapinaient dépoitraillées, mini jupe orange et cuissardes en vinyle blanc, du côté de la rue Lepic… Ce patronyme singulier, le pont de la Butte, figurait, en une contrepèterie puissante, la promotion sociale qui permettait à des jeunes filles plus très jeunes de passer du rang peu enviable de putains à celui de modèles nus pour artistes montmartrois sur le déclin. "
"La rue Polonceau, pour ceux qui connaîtraient pas la Capitale, c’était une des rues les plus ripoux de la Goutte d’Or. Pour dire, à l’époque, au début des 80’s, on y trouvait de la dope, surtout de la mexican brown, à toutes les portes cochères, qui avaient l’avantage de donner sur des cours intérieures communicant avec les rues voisines, Richomme et Poissonniers…."
O tempora, o mores ...
* Lavis Noir de Briscard et STP, publié sur Bakchich, introuvable, je pense, aujourd'hui
Belle émission par ailleurs
Tout d’abord, voilà dix ans – dix ans ! – que je suis embarquée sur le bateau Arrêt sur images. C’est beau, dix ans. J’adore mon boulot. J’ai beaucoup appris, beaucoup donné aussi. J’adore mon boulot mais je suis fatiguée du flux. De l’info bouillie. De l’info déconnectée de ce que l’on vit, dans nos petites villes, dans nos foyers, dans nos boulots, nous les "feignasses", les oubliés. Certes : nous prenons soin ici de faire systématiquement le pas de côté. Mais ce souci de recul nécessite tout de même de passer son temps dans le chaudron médiatique qui se remplit d’acide de jour en jour. Alors quand j’ai eu vent du projet d’hebdomadaire créé par XXI et 6 mois, un magazine uniquement sur papier, sans pub, indépendant, et loin du flux si fatigant, j’ai frappé à leur porte, qu’ils m’ont ouverte en grand.
Quand je les ai vus la première fois, ils m’ont demandé de décrire le journal de mes rêves. J’ai répondu : un journal qui me parle, qui parle à ma sœur, à ma mère, au voisin de ma mère, etc. Un journal qui renoue le lien. Sans nos lecteurs, nous ne sommes rien. Et il ne suffit pas de se rendre dans les villages pour voir la façon dont vivent les gens en vrai, comme le font parfois nos grandes rédactions parisiennes, geste quasi évangéliste du journaliste sachant vers le commun des mortels a priori ignorant. Pas du tout. L’idée est de chercher la rencontre, l’échange, le partage, avec l’envie de se nourrir les uns les autres, et de rendre compte de cette richesse. Et puis raconter, tout raconter, y compris la façon dont se construit le journal. Nous étions en phase. Ils m’ont proposé le poste de rédactrice en chef adjointe chargée des relations avec les lecteurs. J’ai immédiatement accepté.
Je quitte donc mon bateau bien aimé, son capitaine intransigeant qui m’a tant appris, mes adorables collègues qui vont me manquer, et vous, abonnés de la première heure ou tout juste arrivés, vous qui me souhaitez bon vent et dont les messages sont comme des bouffées d’air chaud, pour une autre grande aventure qui s’appelle Ebdo.
Je vous embrasse.
Anne-Sophie
Anne-Sophie s'en va...............................................................
Un issu de la SF
Surpris de ses propres soupçons, Laing fit une nouvelle fois le tour du bassin. Quelque chose lui affirmait que la noyade du chien avait été une provocation délibérée, l’invite à de nouvelles mesures de rétorsion. La présence d’une cinquantaine de chiens dans la tour était depuis longtemps une pomme de discorde. Presque tous les animaux appartenaient aux occupants des dix étages les plus élevés ; la plupart des enfants vivaient dans les dix étages inférieurs. Les chiens formaient une coterie de favoris à pedigree, bichonnés par des maîtres assez peu soucieux du bien-être des autres copropriétaires. Ils aboyaient autour des parkings pendant leurs promenades du soir et souillaient les allées entre les voitures comme s’ils cherchaient désespérément à évaluer les dimensions de cet immense territoire de béton. À maintes reprises, les habitants avaient trouvé les portes des ascenseurs aspergées d’urine. Helen Wilder s’était plainte devant Laing que les propriétaires des chiens, qui disposaient d’ascenseurs ultra-rapides avec entrée séparée pour se rendre directement aux étages supérieurs, utilisaient de préférence les ascenseurs ordinaires et encourageaient leurs bêtes à les transformer en latrines. Cette rivalité entre habitants à chiens et petits enfants avait d’une certaine manière contribué à la bipolarisation de la vie de l’immeuble. La masse des appartements entre les plus hauts et les plus bas niveaux – en gros, du dixième au trentième étage – formait un état tampon. Pendant le bref interrègne qui suivit la noyade du chien, une espèce de calme prégnant s’établit dans la portion médiane de la tour, comme si les habitants avaient déjà compris ce qui se tramait dans leurs murs.
J.G. BALLARD. IGH (1975)
Et l'autre de Bourdieu
Sous peine de s’y sentir déplacés, ceux qui pénètrent dans un espace doivent remplir les conditions qu’il exige tacitement de ses occupants. Ce peut être la possession d’un certain capital culturel, dont l’absence peut interdire l’appropriation réelle des biens dits publics ou l’intention même de se les approprier. On pense évidemment aux musées, mais cela vaut aussi de services que l’on tient spontanément pour plus universellement nécessaires, comme ceux des institutions médicales et juridiques. On a le Paris de son capital économique, mais aussi de son capital culturel et de son capital social (il ne suffit pas d’entrer à Beaubourg pour s’approprier le musée d’art moderne).
PIERRE BOURDIEU. « Effets de lieu », La Misère du monde (1993)
J'ai vu ici que vous vous lanciez dans quelque chose de vraiment innovant, impulsé par les revues XXI et 6mois.
Que les grands vents du large et de la liberté vous emportent vers d'encore meilleurs territoires !
Je vous suivrai des yeux sur les pages encore blanches de vos reportages !
Adishatz jeune femme. Merci à toi.
Bonne continuation à Anne-Sophie et merci !
un tout petit mot sur ses projeeeeeeeeeeeeeeeeeeeets par exemple ? ;-)
quoi qu'il en soit, merci Anne Sophie de nous avoir prêté quelque fois ton forum pour nos délires dignes d'ados, et aussi pour tes coups de gueule brut de décoffrage quand on se laissait aller à critiquer le capitaine ! :)
mais surtout merci pour la rigueur (tu ne serais pas alsacienne dès fois ?? :)) dans la présentation de tes sujets !
....dommage pour le site mais bon vent à toi....
Déjà l'invitée: autant je rie de bon cœur lorsque @si s'amuse à comparer les "experts" récurrents d'Yves Calvi, autant, j'ai quand même l'impression d'avoir déjà entendu Monique Pinçon-Charlot quelques fois sur @si. Mais bon, admettons, elle est toujours aussi intéressante et grinçante.
L'élu politique: peut-être peut-on quand même regretter de n'avoir que le son de cloche d'un élu communiste. Quand le quatrième mot du titre de l'émission c'est "Macron", il serait intéressant au moins de proposer un contradicteur à M. Brossat, pas trop mis en danger pendant l'émission.
Mathilde Larrère; là aussi j'ai du mal. Je suis friand d'avoir un point de vue historique un peu iconoclaste sur les sujets traités, mais je trouve que trop souvent, son militantisme prend le pas - ça a été mon ressenti tant lors de l'émission évoquant l'avortement où les deux invités ne suivaient pas son raisonnement, ou encore sur l'émission où elle regrettait l'absence de moyen des conseillers prud’hommes savamment orchestré par "on" qui les aurait obligé à " se partager des robes" (les prud'homme n'ont justement pas de robe, mais une médaille, ça aurait été intéressant qu'elle se penche sur ce détail).
Et enfin Anne-Sophie ben... Je constate d'une manière générale c'est pas ma préférée. Rien que le "stalinien si tant est que ça soit une insulte" me glace le sang. Mais bon c'est pas grave, des journalistes d'@si y en a eu que j'ai adoré (Maja!!) d'autres moins. Je suis curieux de voir la suite! Sans rancune Anne-Sophie, je vous souhaite sincèrement de belles nouvelles aventures.
Bref, ce que j'aime par dessus tout chez @si, c'est l’honnêteté intellectuelle. Là je me suis senti un peu floué: dès le début, (en dehors de Daniel qui est obligé de se faire l'avocat du diable un peu par défaut), on avait compris ce qui allait être dit...
Mais je vous aime quand même, hein! Juste un peu moins, disons, "mono-orientés".
(edit: fautes de frappe, dsl)
Je ne sais pourquoi , mais à l'évocation des cartes scolaires contournées , j'ai tout de suite pensé aux "Catho-zombies"...
Moi je dis ca, je dis rien.
Pour ce qui est de la question de la bonne foi ou non de ceux qui entendent conserver leurs privilèges, il existe en anglais un concept très utile, celui du "entitlement", qui se traduit en français par "droit", mais qui correspond à une attitude générale qui explique bien ces postures.
Monique Pinçon-Charlot toujours extraordinaire...j irai me promener près du lac..je lutterai pour être à l aise ,je penserai à elle..
Une suggestion :un picnic avec les amis d' ASI,dans ce bel endroit qui nous appartient...
Bon, sinon, je noierais volontiers ma tristesse avec vous au bois.
Vous me ferez toujours rire, Oblivion.
Pour le coup, c'est nous qui le sommes, attachés !
Comme le chante Clarika :
Attache moi
Attache moi encore
Resserre les liens
Serre les fort !
Une soirée bondage au bois de Boulogne, ça aurait pas de la gueule ?
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La série sur la politique du logement américaine de David Simon.
Il y a énormément de parallèles avec les arguments avancées et les situations.
Il y aurait tant à dire sur la politique du logement à Paris.
Juste une petite anecdote, je suis sur Twitter M.Brossat depuis quelques années, j'ai "liké" certains de ses tweets que je trouvait juste, retweeté ses prises de positions courageuses (les "unitayyyyyy").
Puis vint la fête de l'huma, j'ai osé répondre à un de ses coups de sang, dans lequel il insultait ouvertement la FI dans un pur objectif politicien.
J'ai été bloqué instantanément sans procès ni réponse. Et c'est nous les sectaires hein.
Et je ne dirais rien sur sa campagne législative...
Dans un sens, cette partie de la gôche, qui bosse avec Hidalgo, honore les JO et ne font que de la co-gestion de la misère à Paris a bien besoin de ces droitards bourgeois du 16eme pour encore apparaître de gauche.