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Commentaires préférés des abonnés
J'ai voulu faire un voeu, mais l'étoile était trop filante!
Philippe Pétel. Il y a des homophonies qui interpellent, quelque part.
Il semble heureux que les étudiants se rebellent contre un algorithme supposé leur tracer la voie royale.
Ce qui est angoissant c’est que de plus en plus et partout, les «&nbs(...)
" Abolition de l'aliénation " graffiti 1968
L'espoir, en 2018, est pourtant toujours présent, un réveil, un sursaut, une bastonnade de trop.
Merci à Jean-Luc Coronel de Boissezon et à Phillippe Pétel (fichés GC comme Grand Co ...)
Soyons optimistes, env(...)
Derniers commentaires
Ce qui serait intéressant de savoir, c'est concrètement, comment les universités vont faire pour traiter les demandes d'inscription.
Le problème, ce n'est pas Parcoursup, parcoursup c'est une gare de triage .
D'un côté les futurs étudiants peuvent envoyer jusqu'à 20 voeux ( 10 voeux plus les sous-voeux mais pas plus de 20..)
D'autre part ils sont 890 000 à vouloir s'inscrire . Donc potentiellement "Parcoursup" peut recevoir jusqu'à 17 800 000 voeux qu'il faut tous examiner .
Parcoursup ne fait qu'envoyer les voeux aux universités .
Combien de dossiers chaque unité de formation va-t-elle recevoir ? 20 000 ? plus ? moins ?
Supposons une faculté très prisée qui recevrait 50 000 dossiers d'inscription .
Qui va se charger de lire ces dossiers ? de faire le tri ? Comment les 3 piles vont-elles se former ( les admis, les refusés, et ceux pour lesquels les enseignants pensent qu'il leur faudrait une année de préparation ?)
Les universités ont-elles prévu d'organiser cette année de préparation ou vont-elle in fine proposer à ces étudiants de passer la première année sur 2 ans ?
La vraie question, c'est comment on fait pour examiner - par exemple - 50 000 dossiers ?
Comment cela va-t-il se passer très concrètement ?
A Strasbourg le doyen lui fait appel aux CRS contrairement à la coutume de tout temps, même du temps où l'Alsace était Allemande à l'exception du temps des nazis
Quand une personne est mise en cause dans une affaire, l'administration recourt souvent à une "suspension à titre conservatoire". Il ne s'agit pas alors de préjuger mais de protéger les différents protagonistes.
" Abolition de l'aliénation " graffiti 1968
L'espoir, en 2018, est pourtant toujours présent, un réveil, un sursaut, une bastonnade de trop.
Merci à Jean-Luc Coronel de Boissezon et à Phillippe Pétel (fichés GC comme Grand Co ...)
Soyons optimistes, envisageons le pire !
Philippe Pétel. Il y a des homophonies qui interpellent, quelque part.
Il semble heureux que les étudiants se rebellent contre un algorithme supposé leur tracer la voie royale.
Ce qui est angoissant c’est que de plus en plus et partout, les « décideurs » décident de confier la décision à des machines supposées avoir l’intelligence et l’autorité auxquelles ils ont eux-même renoncé.
J'ai voulu faire un voeu, mais l'étoile était trop filante!
Les « jeunes » ne regardent/lisent plus du tout les médias traditionnels (Télé / journaux quotidiens) alors pourquoi en parler!
Les médias classiques préfèrent conforter son audience vieillissante (dont je fais partie) mais en se coupant totalement de son plus jeune public potentiel. Entendu lors d’une réunion (dans une chaîne de télévision) : « les 15-20 ans, on a abandonné ! »