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Fabius, comme un dimanche
En ce pluvieux début de semaine
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Derniers commentaires
En fait Fafa veut damer le pion à Ségolène Royal qui pense que c'est aux Etrangers de payer pour la France. C'est les premiers à venir chez nous et uniquement les troisièmes à claquer leurs sous ici! Ce n'est pas juste. Ce n'est pas normal.
Mince, mais comment on va créer nos 100.000 emplois de la transition énergétique, les centaines de milliers d'emplois du secteur du tourisme, et aussi préserver chaque jour nos millions d'emplois grâce à Rebsamen, si les Etrangers ne mettent pas la main à la poche!
Hein, quoi, du populisme? A quelques semaines des élections européennes? Mais vous n'y pensez pas mon cher! Fabius, Royal, Rebsamen, c'est le nouveau visage du PS, l'espoir!
Mince, mais comment on va créer nos 100.000 emplois de la transition énergétique, les centaines de milliers d'emplois du secteur du tourisme, et aussi préserver chaque jour nos millions d'emplois grâce à Rebsamen, si les Etrangers ne mettent pas la main à la poche!
Hein, quoi, du populisme? A quelques semaines des élections européennes? Mais vous n'y pensez pas mon cher! Fabius, Royal, Rebsamen, c'est le nouveau visage du PS, l'espoir!
Autrement, dans l'actualité, il y a çà aussi : En Egypte, près de 700 pro-Morsi condamnés à mort (après 500 il y a peu). Mais Lolo ne peut pas être partout : à Roissy pour accueillir les touristes, en Ukraine et en Syrie pour faire la guerre, ... L'Egypte, ce sera pour plus tard.
Curieusement, notre Presse (ASI compris) a le même agenda.
Curieusement, notre Presse (ASI compris) a le même agenda.
Comme la majorité des sujets politiques, le travail du dimanche n'est qu'une affaire de buzz de la part de vieux routiers souhaitant envoyer des signaux à telle ou telle catégorie de la population, ici manifestement les patrons et les employés qui croient que l'on peut faire du dimanche un jour travaillé en conservant l'idée d'une prime exceptionnelle ce jour là.
Le travail du dimanche pourrait être une vraie remise en question du fonctionnement de notre société, toujours organisée autour de rituelles plus ou moins cathos et basée sur une idée de la famille prout prout papa maman les enfants qui vont pique niquer dans les champs de blés en buvant leur ricoré du matin la Sainte-Journée. Il est d'ailleurs fascinant de voir dans ce débat la négation de toutes les personnes qui travaillent effectivement le dimanche (resto, ciné, musées, hôtellerie, permanence diverses, astreintes, artisans, voire même certaines usines, etc...), dont on aimerait parfois connaître les proportions au passage, et dont le cauchemar est fabuleusement ignorée par ceux-là même qui prédisent une apocalypse en cas de libéralisation minimale des horaires de travail.
Et bien sûr, l'avenir touristique de notre pays nous reléguant au rang de pays du tiers monde, comme le souligne si bien MATL, puisqu'il est bien connu qu'il vaut mieux se focaliser sur les usines d'acier et la production d'objets volumineux qu'on peut toucher que ça c'est du vrai, du réel, et qu'on peut pas vivre qu'avec des services enfin voyons que donc, ne devrait jamais être mis en avant dans ce genre de débat. Oh, je suis sûr qu'il est amusant pour un touriste américain ou anglais, au final (à son retour), de raconter ses anecdotes sur nos commerces si pittoresques avec leurs employés désagréables dignes d'un pays de l'ex union soviétique, et qu'expliquer la stupeur du Paris vide et désert post samedi est un formidable atout pour agrémenter la soirée diapo (et pis quand on a le melon moyen d'un français parti vivre à l'étranger, ça permet de faire de l'auto dérision à peu de frais, donc c'est sympa). Mais il m'arrive de me demander si cette particularité est vraiment plus vendeuse qu'un accueil normal des touristes.
On pourrait aussi se rappeler que le travail du dimanche n'est pas le problème en soi dans les conséquences néfastes qu'aurait son application. Si les patrons profitent de cette réforme pour imposer à des mères et pères de famille de sacrifier l'enfance de leur mioche, c'est bien parce que l'employé français est prisonnier de son travail, qu'il n'a aucun moyen de pression. Et qu'on en revient au véritable problème de base que sont nos 10% de chômage, notre durée moyenne du chômage et l'existence de véritables exclus du marché de l'emploi, la perte du travail étant un vrai cauchemar pour une personne peu qualifiée, condamnée à errer pendant un an en moyenne, mais souvent 2 ou 3 avant de retrouver du boulot, ou de jeter l'éponge. Le travail du dimanche ne changera finalement pas grand chose à ce problème que personne ne veut attaquer réellement, mais on s'en fout. Dans un monde normal, l'employé qui travaille le dimanche serait un jeune célibataire sans enfant, mais pas en France, pour les raisons précédentes, le jeune célibataire sans enfant devant plutôt passer son temps à envoyer des CVs qui ne seront pas lus pour arriver dans la case de l'employé terrorisé à l'idée de perdre son boulot.
Le débat est compliqué, peut sans doute être intéressant, et participer à la réforme de la société française que ce soit dans ses moeurs ou son rapport au chômage. Il ne sera pas posé ou grossièrement résumé à "le travail du dimanche, c'est une idée de droite alors c'est bien/pas bien parce que je suis de droite/gauche", comme souvent, permettant de diviser bêtement la société en deux factions supposément opposées, ce qui satisfait globalement la classe politique française.
Le travail du dimanche pourrait être une vraie remise en question du fonctionnement de notre société, toujours organisée autour de rituelles plus ou moins cathos et basée sur une idée de la famille prout prout papa maman les enfants qui vont pique niquer dans les champs de blés en buvant leur ricoré du matin la Sainte-Journée. Il est d'ailleurs fascinant de voir dans ce débat la négation de toutes les personnes qui travaillent effectivement le dimanche (resto, ciné, musées, hôtellerie, permanence diverses, astreintes, artisans, voire même certaines usines, etc...), dont on aimerait parfois connaître les proportions au passage, et dont le cauchemar est fabuleusement ignorée par ceux-là même qui prédisent une apocalypse en cas de libéralisation minimale des horaires de travail.
Et bien sûr, l'avenir touristique de notre pays nous reléguant au rang de pays du tiers monde, comme le souligne si bien MATL, puisqu'il est bien connu qu'il vaut mieux se focaliser sur les usines d'acier et la production d'objets volumineux qu'on peut toucher que ça c'est du vrai, du réel, et qu'on peut pas vivre qu'avec des services enfin voyons que donc, ne devrait jamais être mis en avant dans ce genre de débat. Oh, je suis sûr qu'il est amusant pour un touriste américain ou anglais, au final (à son retour), de raconter ses anecdotes sur nos commerces si pittoresques avec leurs employés désagréables dignes d'un pays de l'ex union soviétique, et qu'expliquer la stupeur du Paris vide et désert post samedi est un formidable atout pour agrémenter la soirée diapo (et pis quand on a le melon moyen d'un français parti vivre à l'étranger, ça permet de faire de l'auto dérision à peu de frais, donc c'est sympa). Mais il m'arrive de me demander si cette particularité est vraiment plus vendeuse qu'un accueil normal des touristes.
On pourrait aussi se rappeler que le travail du dimanche n'est pas le problème en soi dans les conséquences néfastes qu'aurait son application. Si les patrons profitent de cette réforme pour imposer à des mères et pères de famille de sacrifier l'enfance de leur mioche, c'est bien parce que l'employé français est prisonnier de son travail, qu'il n'a aucun moyen de pression. Et qu'on en revient au véritable problème de base que sont nos 10% de chômage, notre durée moyenne du chômage et l'existence de véritables exclus du marché de l'emploi, la perte du travail étant un vrai cauchemar pour une personne peu qualifiée, condamnée à errer pendant un an en moyenne, mais souvent 2 ou 3 avant de retrouver du boulot, ou de jeter l'éponge. Le travail du dimanche ne changera finalement pas grand chose à ce problème que personne ne veut attaquer réellement, mais on s'en fout. Dans un monde normal, l'employé qui travaille le dimanche serait un jeune célibataire sans enfant, mais pas en France, pour les raisons précédentes, le jeune célibataire sans enfant devant plutôt passer son temps à envoyer des CVs qui ne seront pas lus pour arriver dans la case de l'employé terrorisé à l'idée de perdre son boulot.
Le débat est compliqué, peut sans doute être intéressant, et participer à la réforme de la société française que ce soit dans ses moeurs ou son rapport au chômage. Il ne sera pas posé ou grossièrement résumé à "le travail du dimanche, c'est une idée de droite alors c'est bien/pas bien parce que je suis de droite/gauche", comme souvent, permettant de diviser bêtement la société en deux factions supposément opposées, ce qui satisfait globalement la classe politique française.
Il y a du vrai dans ce que vous écrivez (bien que je ne comprenne pas toujours vos liens ; par exemple, j'étais content de lire "c'est bien parce que l'employé français est prisonnier de son travail, qu'il n'a aucun moyen de pression", comme enfin un début de réflexion sur le travail et pas seulement sur l'emploi, mais c'est pour basculer dans la phrase suivante sur le chômage comme "véritable problème de base"... wtf ? comme disent les jeunes)
Le débat est certes très compliqué mais aussi très simple, ce qui peut expliquer les résumés grossiers que vous pointez. Il me semble qu'on est contre le travail le dimanche quand on pense que pour faire société, c'est pas mal d'avoir un jour dans la semaine où théoriquement, "normalement" si je puis dire, on peut se réunir sans trop avoir de risques d'obligations professionnelles de part et d'autre. J'aime bien cette idée d'un jour qui soit consacré au social (et par conséquent au familial) aux dépends de l'économique. On a le droit de trouver ça très symbolique et dépassé dans une société où l'économie est partie prenante dans absolument tout, mais alors ce sont bien deux idéologies assez marquées qui s'affrontent, pas si "supposément opposées" que ça.
Je veux bien entendre tous les arguments pour le travail le dimanche, le seul qui me gêne c'est la saillie ironique par rapport aux racines cathos, qui me semble assez malhonnête. Soyons clairs : c'est bien le pragmatisme qui pousse à dire que le dimanche ne fait plus exception depuis longtemps, or c'est le même pragmatisme qui pousse un athée de gauche à trouver que tant qu'à faire, profitons de ce qui existe déjà pour le garder au lieu de fixer arbitrairement un autre jour. (Sans compter qu'encore une fois, le libéralisme s'amuse à nier des fonds culturels avec le seul argument qu'ils ne doivent plus être, sans qu'on sache précisément ce qui est mal, ce qui commence à être agaçant depuis plus d'un siècle.)
Le débat est certes très compliqué mais aussi très simple, ce qui peut expliquer les résumés grossiers que vous pointez. Il me semble qu'on est contre le travail le dimanche quand on pense que pour faire société, c'est pas mal d'avoir un jour dans la semaine où théoriquement, "normalement" si je puis dire, on peut se réunir sans trop avoir de risques d'obligations professionnelles de part et d'autre. J'aime bien cette idée d'un jour qui soit consacré au social (et par conséquent au familial) aux dépends de l'économique. On a le droit de trouver ça très symbolique et dépassé dans une société où l'économie est partie prenante dans absolument tout, mais alors ce sont bien deux idéologies assez marquées qui s'affrontent, pas si "supposément opposées" que ça.
Je veux bien entendre tous les arguments pour le travail le dimanche, le seul qui me gêne c'est la saillie ironique par rapport aux racines cathos, qui me semble assez malhonnête. Soyons clairs : c'est bien le pragmatisme qui pousse à dire que le dimanche ne fait plus exception depuis longtemps, or c'est le même pragmatisme qui pousse un athée de gauche à trouver que tant qu'à faire, profitons de ce qui existe déjà pour le garder au lieu de fixer arbitrairement un autre jour. (Sans compter qu'encore une fois, le libéralisme s'amuse à nier des fonds culturels avec le seul argument qu'ils ne doivent plus être, sans qu'on sache précisément ce qui est mal, ce qui commence à être agaçant depuis plus d'un siècle.)
bien que je ne comprenne pas toujours vos liens ; par exemple, j'étais content de lire "c'est bien parce que l'employé français est prisonnier de son travail, qu'il n'a aucun moyen de pression", comme enfin un début de réflexion sur le travail et pas seulement sur l'emploi, mais c'est pour basculer dans la phrase suivante sur le chômage comme "véritable problème de base"... wtf ? comme disent les jeune
Alors au temps pour moi, je vais essayer d'être plus clair. Je précise par avance que je suis parfaitement conscient du fait qu'il ne pourra jamais y avoir de relation d'égal à égal entre patrons et employés. Après ce disclaimer, il me semble qu'il est toutefois possible d'avoir des situations meilleures que celles vécues dans la société française actuelle. Une des armes de l'employé pourrait être "bah rien à foutre alors, je me barre", et celui-ci de voguer vers une autre entreprise, voire même de se faire débaucher. Et c'est là que le chômage de masse intervient : d'un côté c'est un suicide social pour l'employé qui aura bien du mal à retrouver une entreprise, de l'autre l'employeur trouvera relativement vite un remplaçant assez désespéré pour accepter des conditions pires, les autres entreprises pouvant appliquer les mêmes raisonnements en outre. Bon, je résume et je caricature un peu, mais vous comprenez quel était l'argument de base.
Le débat est certes très compliqué mais aussi très simple, ce qui peut expliquer les résumés grossiers que vous pointez. Il me semble qu'on est contre le travail le dimanche quand on pense que pour faire société, c'est pas mal d'avoir un jour dans la semaine où théoriquement, "normalement" si je puis dire, on peut se réunir sans trop avoir de risques d'obligations professionnelles de part et d'autre. J'aime bien cette idée d'un jour qui soit consacré au social (et par conséquent au familial) aux dépends de l'économique. On a le droit de trouver ça très symbolique et dépassé dans une société où l'économie est partie prenante dans absolument tout, mais alors ce sont bien deux idéologies assez marquées qui s'affrontent, pas si "supposément opposées" que ça.
Oh mais c'est à mon avis effectivement le meilleur argument en faveur du maintien du repos dominical. Mais bon, ce repos est déjà bien virtuel pour pas mal de monde, d'abord, et je ne peux m'empêcher d'y voir la volonté de faire entrer l'individu dans un moule social et familial peu digne de la société individualiste dans laquelle nous évoluons. J'exagère sans doute un peu, et après tout l'individualisme n'est pas une fin en soi, mais c'est de là que vient mon allusion au catholiscisme, dans son influence sur notre structure sociale et notre vie familiale qui si elle n'est pas forcément dramatique, me gêne dans la mesure où elle n'est pas vraiment choisie.
Alors au temps pour moi, je vais essayer d'être plus clair. Je précise par avance que je suis parfaitement conscient du fait qu'il ne pourra jamais y avoir de relation d'égal à égal entre patrons et employés. Après ce disclaimer, il me semble qu'il est toutefois possible d'avoir des situations meilleures que celles vécues dans la société française actuelle. Une des armes de l'employé pourrait être "bah rien à foutre alors, je me barre", et celui-ci de voguer vers une autre entreprise, voire même de se faire débaucher. Et c'est là que le chômage de masse intervient : d'un côté c'est un suicide social pour l'employé qui aura bien du mal à retrouver une entreprise, de l'autre l'employeur trouvera relativement vite un remplaçant assez désespéré pour accepter des conditions pires, les autres entreprises pouvant appliquer les mêmes raisonnements en outre. Bon, je résume et je caricature un peu, mais vous comprenez quel était l'argument de base.
Le débat est certes très compliqué mais aussi très simple, ce qui peut expliquer les résumés grossiers que vous pointez. Il me semble qu'on est contre le travail le dimanche quand on pense que pour faire société, c'est pas mal d'avoir un jour dans la semaine où théoriquement, "normalement" si je puis dire, on peut se réunir sans trop avoir de risques d'obligations professionnelles de part et d'autre. J'aime bien cette idée d'un jour qui soit consacré au social (et par conséquent au familial) aux dépends de l'économique. On a le droit de trouver ça très symbolique et dépassé dans une société où l'économie est partie prenante dans absolument tout, mais alors ce sont bien deux idéologies assez marquées qui s'affrontent, pas si "supposément opposées" que ça.
Oh mais c'est à mon avis effectivement le meilleur argument en faveur du maintien du repos dominical. Mais bon, ce repos est déjà bien virtuel pour pas mal de monde, d'abord, et je ne peux m'empêcher d'y voir la volonté de faire entrer l'individu dans un moule social et familial peu digne de la société individualiste dans laquelle nous évoluons. J'exagère sans doute un peu, et après tout l'individualisme n'est pas une fin en soi, mais c'est de là que vient mon allusion au catholiscisme, dans son influence sur notre structure sociale et notre vie familiale qui si elle n'est pas forcément dramatique, me gêne dans la mesure où elle n'est pas vraiment choisie.
C'est la dernière fois : on n'écrit pas "au temps pour moi", mais "autant pour moi".
Un peu de tendresse dans ce monde de brutes
Un peu de tendresse dans ce monde de brutes
Renseignez vous.
Vous itou.
" autant suspend ton vol". " au temps en emporte le vent".
Pardon pour le retard de la réponse, j'ai dû chercher dans les grimoires les plus reculés.
Pour Lamartine, d'aucuns, je vous laisse deviner lesquels, pensent que ce "otan" (sic) fut oui comme un "au temps" alors qu'il eut dû l'être comme un "au taon".
En effet, et je parle sous le contrôle d'Ulysse M., le lac du Bourget, comme tout lac qui se respecte, attire ces insectes volants et piquants avides de sang.
Parmi eux, le taon (enfin sa femelle, faut-il s'en étonner).
Ainsi donc un taon importunait Lamartine, notre poète-ministre-penseur et candidat malheureux. Ainsi donc, ses spins doctors (à l'époque on disait autrement) décidèrent que taon, ça le faisait pas, et il ont voté pour temps. Comme quoi le talent tient à peu de choses.
Pour Scarlett O'Hara, c'est un peu plus simple. Normal, tout ce qui nous vient d'amérique est simple. Imaginez le Sud profond, ses traditions et ses esclaves. Dans une atmosphère à la James Lee Burke, les insectes (et le taon), se ruent sur la pauvre victime qui n'est autre que ...mettez qui vous voulez.
Mais comme en ces jours de canonisation à tout va, vous êtes vous aussi -quoi que j'en doute- saisi par le désir de pardon, vous criez : au taon en emporte le van !
J'oubliais. pour la circonstance, vous aviez loué une camionette (un van en langage du cru).
Pour Lamartine, d'aucuns, je vous laisse deviner lesquels, pensent que ce "otan" (sic) fut oui comme un "au temps" alors qu'il eut dû l'être comme un "au taon".
En effet, et je parle sous le contrôle d'Ulysse M., le lac du Bourget, comme tout lac qui se respecte, attire ces insectes volants et piquants avides de sang.
Parmi eux, le taon (enfin sa femelle, faut-il s'en étonner).
Ainsi donc un taon importunait Lamartine, notre poète-ministre-penseur et candidat malheureux. Ainsi donc, ses spins doctors (à l'époque on disait autrement) décidèrent que taon, ça le faisait pas, et il ont voté pour temps. Comme quoi le talent tient à peu de choses.
Pour Scarlett O'Hara, c'est un peu plus simple. Normal, tout ce qui nous vient d'amérique est simple. Imaginez le Sud profond, ses traditions et ses esclaves. Dans une atmosphère à la James Lee Burke, les insectes (et le taon), se ruent sur la pauvre victime qui n'est autre que ...mettez qui vous voulez.
Mais comme en ces jours de canonisation à tout va, vous êtes vous aussi -quoi que j'en doute- saisi par le désir de pardon, vous criez : au taon en emporte le van !
J'oubliais. pour la circonstance, vous aviez loué une camionette (un van en langage du cru).
Pour Lamartine, je confirme. Tout est rigoureusement exact.
Pour l'anecdote, tous les étés, Alphonse retrouvait Elvire sur les rives du lac du Bourget. Ils avaient coutume de louer une barque pour voguer en silence sur l'onde et sous les cieux, et une fois au milieu du lac, à l'abri des regards, Alphonse quittait sa redingote et sortait le grand jeu.
Elvire ne s'appelait pas vraiment Elvire, mais Julie Charles. Un jour où ils étaient tous les deux chauds bouillants et que l'embarcation tanguait dangereusement, ils faillirent piquer une tête dans les flots harmonieux. Alphonse s'écria alors : "Fais attention, elle vire !"
"Je m'appelle Julie, Ducon !" lui répondit sèchement Julie, vexée.
"Mais bibiche, je parlais de la barque. Elle chavire, je voulais dire", mettant ainsi fin au malentendu.
Une fois rentré chez lui, Alphonse repensa à l'incident et se dit que, finalement, Elvire était un beau prénom, plus beau que Julie en tout cas, y avait pas photo, et il écrivit son poème "A Elvire", qui rappelle un peu les textes de Didier Barbelivien, mais en beaucoup plus chiant.
Pour l'anecdote, tous les étés, Alphonse retrouvait Elvire sur les rives du lac du Bourget. Ils avaient coutume de louer une barque pour voguer en silence sur l'onde et sous les cieux, et une fois au milieu du lac, à l'abri des regards, Alphonse quittait sa redingote et sortait le grand jeu.
Elvire ne s'appelait pas vraiment Elvire, mais Julie Charles. Un jour où ils étaient tous les deux chauds bouillants et que l'embarcation tanguait dangereusement, ils faillirent piquer une tête dans les flots harmonieux. Alphonse s'écria alors : "Fais attention, elle vire !"
"Je m'appelle Julie, Ducon !" lui répondit sèchement Julie, vexée.
"Mais bibiche, je parlais de la barque. Elle chavire, je voulais dire", mettant ainsi fin au malentendu.
Une fois rentré chez lui, Alphonse repensa à l'incident et se dit que, finalement, Elvire était un beau prénom, plus beau que Julie en tout cas, y avait pas photo, et il écrivit son poème "A Elvire", qui rappelle un peu les textes de Didier Barbelivien, mais en beaucoup plus chiant.
Bon, tant pis pour vous : http://www.academie-francaise.fr/la-langue-francaise/questions-de-langue#16_strong-em-au-temps-pour-moi-em-strong
Temps pis pour moi ?
En tant (et pas en temps) que grand défenseur devant et derrière l'éternel de nos grandes valeurs traditionnelles, vous devriez savoir que l’académie française n’a pas le monopole de la rectitude du langage.
Sur le site de la dite académie, ne figure que la graphie « au temps ». Au motif que c’est une expression de militaire…Sans doute les immortels se sentent ils une dette envers les militaires : ils portent une épée. Mais que font ils avec une épée ?
Ils essaient d’imiter les quelques badernes qui ont fini d’user leurs culottes sur les bancs qu’ils occupent. Il n’y a pas plus obséquieux qu’un académicien.
Je vous laisse chercher et trouver, car rien de plus gratifiant que la découverte.
Et je reste accroché, avec quelques autres, à mon « autant pour moi », qui est sémantiquement le seul qui vaille, en face de pauvres arguties de militaires pris en faute.
Bien à vous.
En tant (et pas en temps) que grand défenseur devant et derrière l'éternel de nos grandes valeurs traditionnelles, vous devriez savoir que l’académie française n’a pas le monopole de la rectitude du langage.
Sur le site de la dite académie, ne figure que la graphie « au temps ». Au motif que c’est une expression de militaire…Sans doute les immortels se sentent ils une dette envers les militaires : ils portent une épée. Mais que font ils avec une épée ?
Ils essaient d’imiter les quelques badernes qui ont fini d’user leurs culottes sur les bancs qu’ils occupent. Il n’y a pas plus obséquieux qu’un académicien.
Je vous laisse chercher et trouver, car rien de plus gratifiant que la découverte.
Et je reste accroché, avec quelques autres, à mon « autant pour moi », qui est sémantiquement le seul qui vaille, en face de pauvres arguties de militaires pris en faute.
Bien à vous.
Version courte de votre post : "meugneugneu d'abord si on dit "autant pour moi" moi gny comprends mieux, d'abord".
J'attends avec impatience votre défense du "comme même" qu'on retrouve aujourd'hui dans des copies d'élèves en lieu et place de "quand même". Après tout, c'est parce qu'ils trouvent sans doute plus de sens à dire "comme même" que nos têtes blondes le disent et l'écrivent de cette façon.
"Au temps pour moi" ayant la même valeur sémantique que "autant pour moi", comme vous le sauriez si vous aviez fait l'effort de lire le lien en question, et le premier étant défendu par l'académie française lorsque le deuxième l'est par, hem, vous, mon choix est vite fait. Ça ne veut pas dire que vous êtes un crétin hein. Non, non.
J'attends avec impatience votre défense du "comme même" qu'on retrouve aujourd'hui dans des copies d'élèves en lieu et place de "quand même". Après tout, c'est parce qu'ils trouvent sans doute plus de sens à dire "comme même" que nos têtes blondes le disent et l'écrivent de cette façon.
"Au temps pour moi" ayant la même valeur sémantique que "autant pour moi", comme vous le sauriez si vous aviez fait l'effort de lire le lien en question, et le premier étant défendu par l'académie française lorsque le deuxième l'est par, hem, vous, mon choix est vite fait. Ça ne veut pas dire que vous êtes un crétin hein. Non, non.
Précisons en outre que je n'ai rien contre l'usage de "autant pour moi". Simplement je ne fais pas parti des connards prétentieux qui prétendent imposer leur façon d'écrire aux autres.
"je ne fais pas parti des connards"
J'ai encore gagné une médaille.
J'ai encore gagné une médaille.
Soulignons en outre que cette volonté d'imposer à tout prix sa vision aux autres dans tous les domaines jusqu'à la langue française est une illustration assez éloquente d'une personnalité bien militante. C'est admirable.
à y revenir, j'aime beaucoup vos "meugneugneu d'abord ". Ils sont l'expression oh combien expressive de cette révolte profonde de tout ceux qui dans notre pays sont productifs, confrontés à l'obscurantisme et la bétise de ces pauvres "connards" qui ont été aux affaires avant.
Je le redis, ce "meugneugneu d'abord " constitue un témoignage poignant (le premier qui m'accuse d'abuser du mgn...mgn...Je lui tords le cou)
un témoignage poignant, disais-je, de la détresse qui saisit celui (le locuteur de ces mgneu, mgneu) lorsqu'il comprend qu'il doit écrire quelque chose que tous doivent comprendre.
Si seulement la révolte devait nous pousser à apprendre.
Je le redis, ce "meugneugneu d'abord " constitue un témoignage poignant (le premier qui m'accuse d'abuser du mgn...mgn...Je lui tords le cou)
un témoignage poignant, disais-je, de la détresse qui saisit celui (le locuteur de ces mgneu, mgneu) lorsqu'il comprend qu'il doit écrire quelque chose que tous doivent comprendre.
Si seulement la révolte devait nous pousser à apprendre.
Version courte de votre post : "Meugneugneu d'abord vous faîtes pas des phrases longues et compliqués comme moi alors vous êtes trop nul".
Mais sinon j'aime bien la façon amusante et didactique que vous avez choisi pour illustrer le naufrage de la vieillesse. J'y vois là une tentative de m'apitoyer, et j'y cède, alors je vais vous faire plaisir dans la suite.
Vous avez raison, on dit "autant pour moi". Parce que vous avez décidé, alors d'abord c'est bien. Et pis en plus, au niveau sémantique ça cartonne. "Au temps pour moi", pff, c'est militaire, alors c'est trop naze, tu m'as pris pour rambo cousin ou quoi ? Et pis ça a pas de sens dans la vie de tous les jours, et si ça se trouve on comprend pas tout de suite l'expression, alors zut quoi non mais.
Mais sinon j'aime bien la façon amusante et didactique que vous avez choisi pour illustrer le naufrage de la vieillesse. J'y vois là une tentative de m'apitoyer, et j'y cède, alors je vais vous faire plaisir dans la suite.
Vous avez raison, on dit "autant pour moi". Parce que vous avez décidé, alors d'abord c'est bien. Et pis en plus, au niveau sémantique ça cartonne. "Au temps pour moi", pff, c'est militaire, alors c'est trop naze, tu m'as pris pour rambo cousin ou quoi ? Et pis ça a pas de sens dans la vie de tous les jours, et si ça se trouve on comprend pas tout de suite l'expression, alors zut quoi non mais.
Pour tout dire, votre pitié m'insulte. Je préfère et de loin votre incompréhension.
Pout tout écrire, je n'ai besoin ni de l'une (la pitié) ni de l'autre (l'incompréhension).
Have a nice day
Pout tout écrire, je n'ai besoin ni de l'une (la pitié) ni de l'autre (l'incompréhension).
Have a nice day
Oh choupinet qui invective les gens et qui s'étonne qu'en retour on n'acclame pas son intelligence et son brio.
Pour clarifier, je n'ai pas besoin de vos leçons et de vos délires non plus. Mais vous semblez si content de les étaler...
Pour clarifier, je n'ai pas besoin de vos leçons et de vos délires non plus. Mais vous semblez si content de les étaler...
Je crois percevoir un peu de jalousie dans ce message.
Je suis persuadé que vous n'avez pas besoin de mes leçons.
Je suis persuadé que vous savez très bien faire le tri dans mes délires.
Si je semble, à vos yeux, content d'étaler les unes et les autres, c'est simplement un réflexe animal : il s'agit d'occuper le terrain. Sinon, vous et vos semblables l'occuperez tous seuls.
Je suis persuadé que vous n'avez pas besoin de mes leçons.
Je suis persuadé que vous savez très bien faire le tri dans mes délires.
Si je semble, à vos yeux, content d'étaler les unes et les autres, c'est simplement un réflexe animal : il s'agit d'occuper le terrain. Sinon, vous et vos semblables l'occuperez tous seuls.
Occuper le terrain face aux gens qui utilisent une autre orthographe pour une locution lorsque les deux sont parfaitement valables. On a les combats qu'on peut.
Par pitié, arrêtez de tirer sur l'ambulance: voyez à quoi en est réduit le "plus jeune premier ministre de france", le "cavalier émérite" de "la "tête et les jambes": lui qui devait déjà tout à Tonton le Flingueur du Socialisme, (celui qui a réduit le PC à un parti fantôme et trahi la gauche en 1984.........en confiant à Fafa le gouvernement de l'historique "U-Turn" socialo-libéral, pour rigoler, car Fafa était aors au nombre de ceux qui défendait mordicus la poursuite de la politique de l'union de la gauche conforme au programme du même nom, contre Delors, Rocard......et P Mauroy pragmatique confiant à Tonton: "François, il faut tout arrêter, on va dans le mur" ...), et qui ne se remit jamais de son rôle de fils marionnette entre les doigts experts du Florentin et de son cancer!
Croyez vous qu'il n'ait pas conscience d'être complètement passé à coté de l'histoire et d'avoir pris un train dont il n'a jamais su ou il allait vraiment et si il y parviendrait!
Pour finir, le voici qui a pour fils un délinquant, qui se bat pour être le Plus Grand des Diplomates-Géopoliticiens-VRP de France, vendant des Airbus et des Brouettes Haemerlin aux Chinois, comme il aurait pu le faire si il avait été un Sarkozy ou un Hollande ("non mais vous imaginez Hollande Président vous?")
Fabius, c'est la tristesse d'un hiver sans fin au milieu de loups affamés qui ont trop pitié de lui pour l'attaquer; alors, ne soyez pas plus cruel: l'intelligence ne suffit pas quand elle ne s'accompagne pas d'une bonne dose d'humilité et quand on ne se remet pas de ne rien devoir à soi-même, pas même de l'estime!
Croyez vous qu'il n'ait pas conscience d'être complètement passé à coté de l'histoire et d'avoir pris un train dont il n'a jamais su ou il allait vraiment et si il y parviendrait!
Pour finir, le voici qui a pour fils un délinquant, qui se bat pour être le Plus Grand des Diplomates-Géopoliticiens-VRP de France, vendant des Airbus et des Brouettes Haemerlin aux Chinois, comme il aurait pu le faire si il avait été un Sarkozy ou un Hollande ("non mais vous imaginez Hollande Président vous?")
Fabius, c'est la tristesse d'un hiver sans fin au milieu de loups affamés qui ont trop pitié de lui pour l'attaquer; alors, ne soyez pas plus cruel: l'intelligence ne suffit pas quand elle ne s'accompagne pas d'une bonne dose d'humilité et quand on ne se remet pas de ne rien devoir à soi-même, pas même de l'estime!
" Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !
Ainsi donc, Laurent Fabius alias Lolo Custom* est favorable au travail le dimanche. Cela pour la gloire des touristes. Voilà qui va bien avec la tendance lourde des Maîtres du Monde : transformer notre France en pays du Tiers-Monde, pays dont on sait qu'ils se caractérisent par une population faite d'une alouette de richissimes et d'un cheval de plus ou moins pauvres (mais plutôt plus) qui gagnent leur petite vie en se vendant au dieu Tourisme.
Il oublie que si des gens acceptent de bosser le dimanche, c'est parce que leur patron prend bien soin de les payer à coups de pied au cul pendant la semaine.
Que bosser le dimanche se fait au détriment des loisirs (les fêtes ont rarement lieu le lundi) et de la vie de famille (c'est dimanche que les gosses n'ont pas école).
Pourtant, la vie de famille n'a pas été terrible pour lui. Il avoue comment il a « raté » ses fils dans son extraordinaire livre Cela commence par une balade (vendu royalement à 3000 ex., introuvable chez les bouquinistes mais proposé à pleines pages de sites de soldeurs). Ratage, on le voit bien avec son parasite de Thomas, grand digne de rien aux revenus pour le moins bizarres.
* Surnom que je lui avais donné car, pour pouvoir écrire ce livre, il avait loué une 125 mais pas n'importe laquelle : une « custom », soit une prétentieuse fausse Harley. Fausse comme ses idées dites de gauche. Et aucun vrai motard ne loue une moto, il l'achète !
Voici la 4° de couv'. Attention, ça tape dur.
" Pour l'homme engagé que je suis, la défaite électorale du printemps de 2002 a constitué un choc. J'ai eu besoin de retourner à la source. Et la source ; c'est notre peuple. J'ai donc choisi d'aller à la rencontre des autres, de cheminer dans toute la France. De le faire sans apprêt, sans barrière, sans protocole. Sans le costume gris à rayures du ministre des Finances. Je voulais d'autant plus cette rencontre que mon cœur, s'il a toujours battu à gauche, a longtemps battu comme à l'étroit. Mes roses poussaient en dedans. L'ouïe, le regard, le toucher sont eux aussi essentiels. J'ai souhaité les partager à travers ces lignes. Qu'on ne cherche pas dans ces pages un programme politique. Je mêle les petites choses aux grandes. Je ne sépare pas les événements majeurs et le quotidien de la vie. Je livre ici, surtout, une certaine sensation de la France. "
PS ASI soutient Marcelle et chasse Godin-Varlin. Ce qui est assez drôle car les deux, s'ils ont le même sale caractère, ont gros merdo le même positionnement politique.
Il oublie que si des gens acceptent de bosser le dimanche, c'est parce que leur patron prend bien soin de les payer à coups de pied au cul pendant la semaine.
Que bosser le dimanche se fait au détriment des loisirs (les fêtes ont rarement lieu le lundi) et de la vie de famille (c'est dimanche que les gosses n'ont pas école).
Pourtant, la vie de famille n'a pas été terrible pour lui. Il avoue comment il a « raté » ses fils dans son extraordinaire livre Cela commence par une balade (vendu royalement à 3000 ex., introuvable chez les bouquinistes mais proposé à pleines pages de sites de soldeurs). Ratage, on le voit bien avec son parasite de Thomas, grand digne de rien aux revenus pour le moins bizarres.
* Surnom que je lui avais donné car, pour pouvoir écrire ce livre, il avait loué une 125 mais pas n'importe laquelle : une « custom », soit une prétentieuse fausse Harley. Fausse comme ses idées dites de gauche. Et aucun vrai motard ne loue une moto, il l'achète !
Voici la 4° de couv'. Attention, ça tape dur.
" Pour l'homme engagé que je suis, la défaite électorale du printemps de 2002 a constitué un choc. J'ai eu besoin de retourner à la source. Et la source ; c'est notre peuple. J'ai donc choisi d'aller à la rencontre des autres, de cheminer dans toute la France. De le faire sans apprêt, sans barrière, sans protocole. Sans le costume gris à rayures du ministre des Finances. Je voulais d'autant plus cette rencontre que mon cœur, s'il a toujours battu à gauche, a longtemps battu comme à l'étroit. Mes roses poussaient en dedans. L'ouïe, le regard, le toucher sont eux aussi essentiels. J'ai souhaité les partager à travers ces lignes. Qu'on ne cherche pas dans ces pages un programme politique. Je mêle les petites choses aux grandes. Je ne sépare pas les événements majeurs et le quotidien de la vie. Je livre ici, surtout, une certaine sensation de la France. "
PS ASI soutient Marcelle et chasse Godin-Varlin. Ce qui est assez drôle car les deux, s'ils ont le même sale caractère, ont gros merdo le même positionnement politique.