Face à Cash Investigation, Veolia tente un contre-feu
C'est de la communication de crise désormais classique : Cash Investigation attaque une entreprise, laquelle contre-attaque aussitôt. Dernier exemple en date, l'enquête diffusée sur France 2, mardi 13 mars, sur le business de l'eau en France. Une enquête qui visait notamment Veolia... laquelle n'a pas manqué d'allumer son contre-feu sur Twitter. Examen.
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Commentaires préférés des abonnés
Que l'école, la santé, l'eau , l'énergie et les transport soient public est nécessaire , le cout étant énorme et les besoins non compressible. On peut se passer de coiffeurs, de téléphone, pas d'eau ,pas de soins; pas d'instruction, pas d'énergie et (...)
Une relecture s'impose 'Pourquoi donc avoir choisi d'évoquer des affaires Suez, au même titre que Saur et Veolia ?' la bonne phrase logique est "Pourquoi donc avoir choisi DE NE PAS évoquer des affaires Suez, au même titre que Saur et Veolia ?" pas f(...)
Vous n'y connaissez rien ou vous soutenez les multinationnales de l'eau.
Un conseil, rapprochez vous d'une association qui siège dans les CCSPL (commission consultative des services publics locaux et vous verrez que ce qui est dit dans l'émission est (...)
Derniers commentaires
Le rédacteur en chef a répondu ne pas avoir eu les éléments lors de l'enquête... imaginez bien qu'ils auraient enquêté là dessus autrement... AHHHH ... alors sur un an d'enquête ils ont eu tout sauf Suez d'accord... intéressant.
very funny ! ! ! ! lucet , payer 25 000 euros par mois avec nos impots joue les chevaliers plus blanc que blanc en allant casser les couilles a un maire de nimes assez convaincant et se la ferme sur sa patronne.....Excellent , quand les commissaires du peuples ne sont que des chiens de garde déguisés.....allez ! coucher !
C'est amusant comme le "contre-feu" est toujours du niveau de l'excuse d'un gamin de maternelle pris en flagrant délit.
"Mais heu m'dame, lui aussi y triche!" :-)
Très belle émission qui montre une fois de plus la collusion des fuites entre le public et le privé ,dommage que l'on ait pas évoqué le traitement très coûteux pour la rendre potable en grande partie dû à notre politique d'agriculture productiviste.
Si Suez n'est pas traité, il est évoqué avec Bordeaux et l'Expert Mr Duffau de la Mothe qui a pu faire récupérer pour les usagers des sommes astronomiques.
Sans doute aurait il fallu que l'émission dure plus longtemps car au vu de certains commentaires , beaucoup de citoyens usagers du service de l'eau sont loin d'en saisir tous les enjeux.
Il est sûr que les tuyaux ce n'est pas glamour et cela ne se voit pas sauf quand par hasard on les change et que cela retarde leur progression dans les bouchons.(pris en otage?)
On perd peu à peu de vue ce qui essentiel pour le superflu: l'atterrissage va être dur.
Dommage que nos chères journalistes d'ASI n'aient pas fait figurer l'évolution du classement de la France en ce qui concerne la corruption.
Que l'école, la santé, l'eau , l'énergie et les transport soient public est nécessaire , le cout étant énorme et les besoins non compressible. On peut se passer de coiffeurs, de téléphone, pas d'eau ,pas de soins; pas d'instruction, pas d'énergie et de déplacement.. ces besoins primordiaux n'ont pas a être privatisé, surtout que c'est le peuple le plus pauvre qui l'a mis sur pied. Stop au privatisation , avec l'effondrement climatique et énergétique et économique, la France se prépare si elle ne mutualiste pas les besoins, a des pertes humaines importantes. Comme dirait Servigne apprenons a accompagner les mourants, ça va nous servir. chaine Thinkerview sur youtube https://youtu.be/5xziAeW7l6w
Une relecture s'impose 'Pourquoi donc avoir choisi d'évoquer des affaires Suez, au même titre que Saur et Veolia ?' la bonne phrase logique est "Pourquoi donc avoir choisi DE NE PAS évoquer des affaires Suez, au même titre que Saur et Veolia ?" pas facile le journalisme ...
Je ne sais pas si on peut écrire que les fuites d’eau dans les canalisations sont de "véritables siphons à euros". C'est surtout pas bien de perdre de l'eau, lorsque les ressources sont en tension quantitatives, et qu'on demande à tous, agriculteurs, industriels, particuliers, des efforts pour moins consommer.
Comme l'écrit midi libre, la diffusion de ce reportage à une période de renouvellement de la DSP, tombe très mal ou à pic, selon de quel point de vue on se place... Nîmes a aussi publié un communiqué de presse. Ils affirment que la fuite de la rue du Chapitre est une fuite légère et que l'écoute d'un réseau ne permet pas d'estimer la perte à 10 000 m3/jour. Personnellement, voir Elise Lucet écouter sa prise de son puis déclarer d'un air docte "ah ouais cette fuite est vraiment importante" me fait gerber. Elle avait fait la même mimique en pointant un compteur geiger sur un échantillon en studio comme si ça allait lui péter à la gueule. Il y a assez de matière dans ces reportages pour ne pas se laisser aller à ce genre de facilités.
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur