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Face à Macron, France 2 dégaine une filloniste masquée
Dans la famille des "citoyens" invités "pas tout à fait militants mais quand même", je demande... Barbara Lefebvre ! Invitée "citoyenne" de l'Emission Politique, jeudi 6 avril sur France 2, pour interpeller Emmanuel Macron sur ses propos sur la colonisation (qu'il avait, rappelez-vous, qualifiée de "crime contre l'humanité" à la télévision algérienne), Barbara Lefebvre, présentée simplement comme "professeur d'histoire-géographie" s'est avérée être un soutien affiché de François Fillon, intervenant régulièrement dans sa campagne. Tour d'horizon du personnage.
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Derniers commentaires
Thomas VDB votera peut-être pour Macron... s'il est le dernier à parler.
Dans sa chronique, il donne aussi un excellent conseil aux électeurs du FN.
Dans sa chronique, il donne aussi un excellent conseil aux électeurs du FN.
Être enseignante d'histoire-géo et soutenir la vision régressive et passéiste de Fillon à ce sujet. Une histoire de France où on a été gentils avec les pauvres indigènes, où la notion de République sociale est oubliée, où c'était quand même mieux avant parce qu'on va juste garder le meilleur et surtout fermer les yeux sur le reste tout en traitant ceux qui essaient d'avoir une vision d'ensemble un peu plus authentique de mauvais Français qui n'aiment pas leur patrie.
Être enseignante et soutenir un margoulin, profiteur, escroc, manipulateur de l'argent public à son profit mais qui n'hésite pas à clouer au pilori "les profiteurs du RSA" et autres "cancéreux de l'assistanat" au mépris de tout sens moral et de toute honnêteté.
Être filloniste.
Non, vraiment, ça me dépasse.
Être enseignante et soutenir un margoulin, profiteur, escroc, manipulateur de l'argent public à son profit mais qui n'hésite pas à clouer au pilori "les profiteurs du RSA" et autres "cancéreux de l'assistanat" au mépris de tout sens moral et de toute honnêteté.
Être filloniste.
Non, vraiment, ça me dépasse.
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Merci de cet article.
J'en peux plus de ces nostalgiques de l'ancien régime qui dénoncent à longueur de temps une supposée "idéologie égalitariste", en particulier quand ils ont le culot d'accoler dans la MEME proposition qu'elle serait"néfaste pour réduire les inégalités," et quil s'agit de "la renonciation à l'idéal républicain laïque". Ils n'ont pas peur de l'oxymore les obsédés du travail (celui des autres), de la famille (la leur, hein, pas un modèle alternatif, surtout pas) et de la patrie (ou de n'importe quel groupe à géométrie invariable, du moment qu'en exacerber le sentiment d'appartenance permet d'en exclure les autres).
"Egalitariste" comme si c'était un gros mot, déjà...
Et ça quand toute personne qui, en vertu de sa fonction d'enseignant-e, prétend porter un regard un tant soit peu objectif sur l'école, ne peut QUE constater que celle-ci est au contraire plus déterministe et inégalitaire que jamais, avec une mise en concurrence systématique des élèves, des personnels, des établissements, des régions et j'en passe.
J'en peux plus de ces nostalgiques de l'ancien régime qui dénoncent à longueur de temps une supposée "idéologie égalitariste", en particulier quand ils ont le culot d'accoler dans la MEME proposition qu'elle serait"néfaste pour réduire les inégalités," et quil s'agit de "la renonciation à l'idéal républicain laïque". Ils n'ont pas peur de l'oxymore les obsédés du travail (celui des autres), de la famille (la leur, hein, pas un modèle alternatif, surtout pas) et de la patrie (ou de n'importe quel groupe à géométrie invariable, du moment qu'en exacerber le sentiment d'appartenance permet d'en exclure les autres).
"Egalitariste" comme si c'était un gros mot, déjà...
Et ça quand toute personne qui, en vertu de sa fonction d'enseignant-e, prétend porter un regard un tant soit peu objectif sur l'école, ne peut QUE constater que celle-ci est au contraire plus déterministe et inégalitaire que jamais, avec une mise en concurrence systématique des élèves, des personnels, des établissements, des régions et j'en passe.
