Facebook supprime une dénonciation de twittos pro-loi travail
Denis Robert contre les twittos "ultras-libéraux et sectaires", épisode 2. Comme @si vous le racontait ici, "bluffé par la violence des détracteurs de la grève", le journaliste d'investigation avait choisi de livrer les noms et CV détaillés de deux d'entre eux, particulièrement actifs sur Twitter. L’un d’eux, cadre supérieur chez Danone, a depuis fermé son compte, où il tweetait des appels au meurtre de syndicalistes, ou des insultes misogynes. Hier, Denis Robert a recommencé en publiant l’identité de deux twittos qu’il qualifie de "Golden corbeaux". Dans le lot, le compte "Gordon Gekko", décrit par d'autres comme un simple "compte parodique", et dont la personne mise en cause par Denis Robert dément catégoriquement être l'auteur.
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Derniers commentaires
Gordon Gekko, je ne connaissais pas. Mais à lire ses tweets ou son interview dans Paris.Singapour, ça m'a l'air assez parodique, ou si c'est pas parodique, c'est volontairement très caricatural.
C'est pas mon cas, mais je pense qu'on a tout à fait le droit d'être facorable à la loi El Khomry. Du reste les quelques 20% qui y sont favorables sont plus des professions libérales, des patrons que des traders ou des banquiers d'affaire expatriés, pour qui ça ne va strictement rien changer.
Que les détenteurs de ces comptes parodiques, à l'humour ravageur, se défoulent sans penser un mot de ce qu'ils écrivent ?
Olivia Dufour sait bien, elle, qu'il n'y a pas de quoi fouetter un chat, matraquer un gréviste, massacrer un journaliste...
Mais toi, tu n'as pas les bons "codes".
L'anonymat sur internet devrais autant être un droit qu'un devoir, un devoir de réserve ou de mise en forme sur des sujets tendus sinon ça finira comme dieudo, par une radicalisation.
Etudier la névrose twitter chez les journalistes.
Que Denis Robert tente de lutter contre les odieux, il sera encore une fois pas soutenu par les journos qui feront 5mn pour Denis Robert et 5mn pour les illuminés...
Comme dit L'auteur de l'article par la formule de celui qui se mouille pas: "selon lui", avec la même distance sarcastique de la grande époque Clearstream.
Lâchage mou vs lâchage dur à la Plenel...
Denis ROBERT pour les stagiaires du journalisme:
"La boite Noire", en 2002, (z'étiez ou en 2002?)
14 ans avant les (selected by...) "Panama leaks"
12 ans avant les "Luxleaks" (Junker drunk again, did you know?)
10 ans avant le "discours du Bourget" de la flaque de gelée
Denis Robert a vraiment besoin de faire parler de lui...
Question de références, de courage et de professionalisme.
Pas tout le monde les a...
Dans le cas de ces "braves" petits gars, je doute que cela ait une incidence sur leur travail ou leur niveau de vie.