Commentaires
faire du neuf avec du vieux, et inversement
Qu'il s'agisse de voitures, d'appareils photo ou de casques stéréo, les produits manufacturés d'aujourd'hui ont souvent un petit goût d'hier. Pourquoi faire du neuf avec du vieux ? Est-ce si nouveau ? Dans le même temps, des téléphones hautement technologiques prennent des photos à l'allure rétro. Pourquoi faire du vieux avec du neuf ? Pourquoi les traces de nos vies se parent-elles ainsi de nostalgie ?
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Derniers commentaires
Deux semaines sans nouvelles. On s'interrogeait, on s'inquiétait, on se rongeait les sangs.
Et voilà qu'il se repointe enfin, le choniqueur de la peinturlure. Pas gêné. Presque fier de son coup, même.
"J'ai glandé une douzaine de jours en Chine", il se contente d'écrire. Tout juste s'il ajoute pas : "Vous auriez bien aimé m'accompagner, hein, bande de jaloux ?"
Bah non. Le tourisme chez le boucher de Lhassa, très peu pour moi. Et puis j'aime pas leur riz gluant, leurs nems sont trop gras, leurs huîtres chaudes me font gerber, leurs filles souffrent le martyr pour avoir des pieds minuscules, ces jaunes sont des barbares.
Bizarre cette attirance pour les dictatures. Vous allez voir que d'ici peu, il va se faire inviter par Loukachenko et nous pondre dès son retour une critique dithyrambique de l'art officiel biélorusse.
Et voilà qu'il se repointe enfin, le choniqueur de la peinturlure. Pas gêné. Presque fier de son coup, même.
"J'ai glandé une douzaine de jours en Chine", il se contente d'écrire. Tout juste s'il ajoute pas : "Vous auriez bien aimé m'accompagner, hein, bande de jaloux ?"
Bah non. Le tourisme chez le boucher de Lhassa, très peu pour moi. Et puis j'aime pas leur riz gluant, leurs nems sont trop gras, leurs huîtres chaudes me font gerber, leurs filles souffrent le martyr pour avoir des pieds minuscules, ces jaunes sont des barbares.
Bizarre cette attirance pour les dictatures. Vous allez voir que d'ici peu, il va se faire inviter par Loukachenko et nous pondre dès son retour une critique dithyrambique de l'art officiel biélorusse.
(sauf que vraiment fallait pas)
J'étais parti en vacances une douzaine de jours quelque part par là, loin de mon nordi. Qui lui aussi s'en est allé loin, je ne sais où, mais il est revenu tout bronzé.
A mon avis, Alain a été enlevé par des extra terrestres, et Daniel Schneidermann a été témoin de la scène, et alors les Men In Black sont arrivés et ont flashé sa mémoire (*) ( à DS ) et du coup, il ne se souvient plus qu'il a un chroniqueur qui publie chaque samedi. Et donc, si DS ne nous informe pas de l'absence de Alain , c'est pas qu'il s'en tamponne et pense donc que nous nous en tamponnons aussi, c'est juste qu'il a oublié jusqu'à son existance et il ne sait plus que Alain existe et que ces chro sont attendues.
Et donc, pendant ce temps là, M Korkos fait la fiesta avec des extraterrestres et donne, peinard, des conférences sur l'art terrien, en savourant des vodka-martini entouré de vénusiennes pas farouches.
(*) : m'étonnerait pas qu'un certain M Bohler qui tripatouille des cortex, des hippocampes et des aires de Korsakoff à longueur de journées soit dans la combien d'ailleurs !!!
Et donc, pendant ce temps là, M Korkos fait la fiesta avec des extraterrestres et donne, peinard, des conférences sur l'art terrien, en savourant des vodka-martini entouré de vénusiennes pas farouches.
(*) : m'étonnerait pas qu'un certain M Bohler qui tripatouille des cortex, des hippocampes et des aires de Korsakoff à longueur de journées soit dans la combien d'ailleurs !!!
Dis, quand reviendras-tu,
Dis, au moins le sais-tu,
Que tout le temps qui passe,
Ne se rattrape guère,
Que tout le temps perdu,
Ne se rattrape plus,
Le printemps s'est enfui depuis longtemps déjà,
Craquent les feuilles mortes, brûlent les feux de bois,
A voir Paris si beau dans cette fin d'automne,
Soudain je m'alanguis, je rêve, je frissonne,
Je tangue, je chavire, et comme la rengaine,
Je vais, je viens, je vire, je me tourne, je me traîne,
....
Dis, au moins le sais-tu,
Que tout le temps qui passe,
Ne se rattrape guère,
Que tout le temps perdu,
Ne se rattrape plus,
Le printemps s'est enfui depuis longtemps déjà,
Craquent les feuilles mortes, brûlent les feux de bois,
A voir Paris si beau dans cette fin d'automne,
Soudain je m'alanguis, je rêve, je frissonne,
Je tangue, je chavire, et comme la rengaine,
Je vais, je viens, je vire, je me tourne, je me traîne,
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J'ai l'impression qu'on en saura pas plus aujourd'hui.
Faut croire que le patron s'en est pas aperçu ou plsu probablement qu'il juge pas utile d'informer la pietaille sur une défection du maitre ( si j'étais parano je mettrais ça en parallèle avec le retour de Rafik ) ou juste prendre 3 minutes pour nous expliquait qu'il est retenu ailleurs mais revient dès le ....
Faut croire que le patron s'en est pas aperçu ou plsu probablement qu'il juge pas utile d'informer la pietaille sur une défection du maitre ( si j'étais parano je mettrais ça en parallèle avec le retour de Rafik ) ou juste prendre 3 minutes pour nous expliquait qu'il est retenu ailleurs mais revient dès le ....
Que se passe-t-il ? Alain a trouvé un job mieux payé autre part ?
Dernière nouvelle :
Alain s'est laissé enfermer dans le Grand Palais avec Hopper
Alain s'est laissé enfermer dans le Grand Palais avec Hopper
ben, c'est la grève ou quoi ?
Où qu'elle est la chro du Samedi ?
Où qu'elle est la chro du Samedi ?
Bravo!
Le vieux qui devient jeune et le jeune qui devient vieux, c'est un mythe terriblement cruel. Vous avez connu Alexandre Révérend? qui chantait Émile et Amélie qui raconte Émile, qui va de vieux (carrément raide-mort) à bébé, en même temps que Amélie va de fillette à vieille femme (elle meurt aussi à la fin). À un moment ils ont le même âge, mais ça ne dure pas.
Dans ces phénomènes de téléscopage d'époques, cet aspect, nous remettant cruellement les idées en place question timing, échappe aux trop jeunes et aux trop vieux. On se le prend en plein quand on est ni trop/ni trop.
On a connu la fiat pot de yaourt et on voit la copie-fiat de maintenant. Je vous f'rais dire que ça m'amuse pas du tout cette histoire de temps qui passe, ça commence à bien faire d'avoir la silhouette qui se démode.
Et surtout ça me fait un sale effet qu'il ne s'est rien passé entre mes vingt ans et maintenant si ma prochaine voiture est une deux-chevaux à cause du markéting-designing-retro.. Tout est effacé. D'ailleurs Giscard est président, vous avez remarqué?
Dans ces phénomènes de téléscopage d'époques, cet aspect, nous remettant cruellement les idées en place question timing, échappe aux trop jeunes et aux trop vieux. On se le prend en plein quand on est ni trop/ni trop.
On a connu la fiat pot de yaourt et on voit la copie-fiat de maintenant. Je vous f'rais dire que ça m'amuse pas du tout cette histoire de temps qui passe, ça commence à bien faire d'avoir la silhouette qui se démode.
Et surtout ça me fait un sale effet qu'il ne s'est rien passé entre mes vingt ans et maintenant si ma prochaine voiture est une deux-chevaux à cause du markéting-designing-retro.. Tout est effacé. D'ailleurs Giscard est président, vous avez remarqué?
Tout bien réfléchi, il y a bien un progrès en art.
La preuve en image. L'évolution ...
La preuve en image. L'évolution ...
T'es sûr de ton truc, Alain ?
Moi je croyais que l'appeau qu'a l' hips c'était le 20-12 2012 à 20:12
Moi je croyais que l'appeau qu'a l' hips c'était le 20-12 2012 à 20:12
En matière de musique la liste des groupes qui font du "revival" serait trop longue je ne citerai donc que ces jeunots qui font de la musique de vieillard (en plus là c'est une reprise de la préhistoire) avec ce clip qui utilise aussi un genre de vignettage d'images qui bougent https://www.youtube.com/watch?v=_RX_b4LFY08&feature=relmfu
C'est drôle, la 1° image: , la pompe à essence, le rouge, le jaune, le bois, les arbres au fond, la personne seule... si on enlève le bolide rouge il y a un petit air d'un peintre bien oublié:
http://md0.libe.com/photo/460378/?modified_at=1349552103&ratio_x=03&ratio_y=02&width=476
http://md0.libe.com/photo/460378/?modified_at=1349552103&ratio_x=03&ratio_y=02&width=476
" Chacun peut ainsi créer des fausses vieilles photos aux couleurs irréelles et c'est top tendance trop trendy allez hop je partage sur Facebook".
J'aurais mis des tirets: " c'est-top-tendance-trop-trendy-allez-hop-je-partage-sur-Facebook".
Merci pour cet article!
J'aurais mis des tirets: " c'est-top-tendance-trop-trendy-allez-hop-je-partage-sur-Facebook".
Merci pour cet article!
Pour faire une bonne dame patronnesse
Il faut organiser ses largesses
Car comme disait le duc d'Elbeuf
" C'est avec du vieux qu'on fait du neuf "
Et un point à l'envers et un point à l'endroit
Un point pour saint Joseph un point pour saint Thomas
Pour faire une bonne dame patronnesse
Il faut être bonne mais sans faiblesse
Ainsi j'ai dû rayer de ma liste
Une pauvresse qui fréquentait un socialiste
Comme quoi "rien de nouveau sous le soleil "...
Ah! Si, une nouveauté: aujourd'hui, une pauvresse qui fréquenterait un socialiste ne serait plus rayée de la liste...l'odeur de soufre correspondante ayant complétement disparu...
Il faut organiser ses largesses
Car comme disait le duc d'Elbeuf
" C'est avec du vieux qu'on fait du neuf "
Et un point à l'envers et un point à l'endroit
Un point pour saint Joseph un point pour saint Thomas
Pour faire une bonne dame patronnesse
Il faut être bonne mais sans faiblesse
Ainsi j'ai dû rayer de ma liste
Une pauvresse qui fréquentait un socialiste
Comme quoi "rien de nouveau sous le soleil "...
Ah! Si, une nouveauté: aujourd'hui, une pauvresse qui fréquenterait un socialiste ne serait plus rayée de la liste...l'odeur de soufre correspondante ayant complétement disparu...
ce qui est drôle c'est de penser qu'aujourd'hui nous serions nostalgiques d'époques où il n'y avait finalement pas pléthore d'ustensiles....
...humpff alors à quand une machine à laver qui ressemblera à la mère Denis ?
peut être que le plus tragique dans tout ça c'est que des vendeurs cherchent sans arrêt à capter en nous par quel moyen ils arriveront à nous fourguer le dernier objet inutile qu'il nous faut absolument ma chère sinon vous comprenez toussa quoi, bref, le progrès !
merci m'sieur Korkos de nous rappeler à quel point nous sommes des petits êtres si faibles dans ce monde impitoyable de la consommation à outrance grrr et snifff !...
...humpff alors à quand une machine à laver qui ressemblera à la mère Denis ?
peut être que le plus tragique dans tout ça c'est que des vendeurs cherchent sans arrêt à capter en nous par quel moyen ils arriveront à nous fourguer le dernier objet inutile qu'il nous faut absolument ma chère sinon vous comprenez toussa quoi, bref, le progrès !
merci m'sieur Korkos de nous rappeler à quel point nous sommes des petits êtres si faibles dans ce monde impitoyable de la consommation à outrance grrr et snifff !...
Il y a queques années, on a appelé ça du rétro-marketing.
Bonne définition et exemples ici.
Dans les écoles de pub et de commerce, c'est un sujet de mémoire très prisé par les étudiants. L'excellent article d'Alain Korkos va faire chauffer la colle à copier.
P.S. : l'autre sujet de mémoire bateau étant "la femme dans la publicité", la pub sexiste pour la Cox "Soon or later..." devrait faire un malheur.
Bonne définition et exemples ici.
Dans les écoles de pub et de commerce, c'est un sujet de mémoire très prisé par les étudiants. L'excellent article d'Alain Korkos va faire chauffer la colle à copier.
P.S. : l'autre sujet de mémoire bateau étant "la femme dans la publicité", la pub sexiste pour la Cox "Soon or later..." devrait faire un malheur.
J'ai l'impression que vous nous avez déjà fait une chronique sur ce thème, il y a quelques années.
Je crois même que j'y avais écrit le même type de commentaire.
Je crois même que j'y avais écrit le même type de commentaire.
La mode rétro existe aussi en politique. Mimolette est une émouvante réincarnation du Guy Mollet des fifties.
Juste une question : est-ce que le fait d'aller rechercher de l'ancien et de s'en inspirer, ce n'est pas un désir de s'appuyer sur l'ancien, d'avoir un point d'appui pour se propulser à nouveau vers l'avenir ?
Quand les artistes de la Renaissance se fondent sur l'antiquité pour révolutionner la peinture et faire advenir un futur politique, esthétique, religieux, et social, qui va faire rupture avec ce qui est leur ancien monde, ils le font aussi en se servant d'éléments qu'ils trouvent dans leur propre époque et dans la conception qu'ils ont du monde.
Ils ne vont pas faire de l'antiquité, ils vont prendre ce qui les intéresse dans cette esthétique, ils vont la sublimer, utiliser les techniques qui ont été découvertes entretemps, pour inventer autre chose. Michel-Ange ne fait pas du Praxitèle, mais il n'existe pas sans Praxitèle et Phidias.
Après, ça dépend de ce qu'on va chercher dans ce passé. Périclès ou Hammourabi ? Rimbaud ou Parnasse ?
On trouve tout dans le passé, y compris les germes de l'avenir qu'on peut et doit planter dans le présent. Nous sommes dans un processus dynamique qui circule en permanence entre le passé, le présent et le futur. Vouloir l'ignorer, c'est s'ôter toute ouverture au monde de demain.
Est-ce que cette propension effarante que vous décrivez à vouloir fixer le présent à tout prix, s'arrêter à l'instant T aujourd'hui et maintenant, frénétiquement, ce n'est pas justement une conscience vague que nous nous installons dans une sorte de catapulte encore immobile, que quelqu'un va couper la corde, et que nous allons être propulsés dans quelque chose dont nous ignorons tout ? Des chevaux qui piétinent devant la corde de départ et vont s'élancer ? Et que ce retour à un étrange hier en esthétique n'est pas une façon de rassembler ses idées, d'en faire émerger le meilleur, pour choisir les bagages qu'on va emmener avec nous en voyage ?
Le problème est toujours de savoir ce que nous choisissions d'emmener.
Quand les artistes de la Renaissance se fondent sur l'antiquité pour révolutionner la peinture et faire advenir un futur politique, esthétique, religieux, et social, qui va faire rupture avec ce qui est leur ancien monde, ils le font aussi en se servant d'éléments qu'ils trouvent dans leur propre époque et dans la conception qu'ils ont du monde.
Ils ne vont pas faire de l'antiquité, ils vont prendre ce qui les intéresse dans cette esthétique, ils vont la sublimer, utiliser les techniques qui ont été découvertes entretemps, pour inventer autre chose. Michel-Ange ne fait pas du Praxitèle, mais il n'existe pas sans Praxitèle et Phidias.
Après, ça dépend de ce qu'on va chercher dans ce passé. Périclès ou Hammourabi ? Rimbaud ou Parnasse ?
On trouve tout dans le passé, y compris les germes de l'avenir qu'on peut et doit planter dans le présent. Nous sommes dans un processus dynamique qui circule en permanence entre le passé, le présent et le futur. Vouloir l'ignorer, c'est s'ôter toute ouverture au monde de demain.
Est-ce que cette propension effarante que vous décrivez à vouloir fixer le présent à tout prix, s'arrêter à l'instant T aujourd'hui et maintenant, frénétiquement, ce n'est pas justement une conscience vague que nous nous installons dans une sorte de catapulte encore immobile, que quelqu'un va couper la corde, et que nous allons être propulsés dans quelque chose dont nous ignorons tout ? Des chevaux qui piétinent devant la corde de départ et vont s'élancer ? Et que ce retour à un étrange hier en esthétique n'est pas une façon de rassembler ses idées, d'en faire émerger le meilleur, pour choisir les bagages qu'on va emmener avec nous en voyage ?
Le problème est toujours de savoir ce que nous choisissions d'emmener.
La ville jadis la ville naguère la ville passée
Ô ciel noir comme une veuve
neige étoile tour comète remparts
à Villeneuve et à Chaville
à Deauville et à Trouville
à Tancarville à la Vieuville
La ville jadis la ville naguère la ville passée
Un incendie surgit d’un toit comme un pigeon
et la rose de minuit éclate au ciel
à Villeneuve et à Chaville
à Villevieille à Ville l’Évêque
à Melleville à Villeville
que la rose s’effeuille
le livre survivra
La ville jadis la ville naguère la ville passée
Le ciel de la rose à minuit
Et le livre ouvert à la page où l’amour
retenti comme un univers de porcelaine
s’écroulant d’abîmes en abîmes
avec l’étincellement des constellations
la blancheur de la neige
et les parfums des grands parterres à l’heure
où ta main viendra cueillir les roses.
Robert DESNOS
Recueil : "Destinée arbitraire"
Ô ciel noir comme une veuve
neige étoile tour comète remparts
à Villeneuve et à Chaville
à Deauville et à Trouville
à Tancarville à la Vieuville
La ville jadis la ville naguère la ville passée
Un incendie surgit d’un toit comme un pigeon
et la rose de minuit éclate au ciel
à Villeneuve et à Chaville
à Villevieille à Ville l’Évêque
à Melleville à Villeville
que la rose s’effeuille
le livre survivra
La ville jadis la ville naguère la ville passée
Le ciel de la rose à minuit
Et le livre ouvert à la page où l’amour
retenti comme un univers de porcelaine
s’écroulant d’abîmes en abîmes
avec l’étincellement des constellations
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et les parfums des grands parterres à l’heure
où ta main viendra cueillir les roses.
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Les heureux possesseurs d'un iPad peuvent le relooker façon 1984. J'hésite.
Une de vos meilleures chroniques, Alain.
Le forum après du Korkos, c'est encore du Korkos ?
Le forum après du Korkos, c'est encore du Korkos ?