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Chers journalistes et personnels d’Arrêt Sur Images, chers asinautes longanimes, bougons ou adeptes du ‘dites-moi ce que je veux entendre sinon je menace de changer de crèmerie', chers pratiquants et/ou croyants de la presse indépendante pas encore s(...)
Votre travail est indispensable dans le contexte puant actuel !! J'ai donné pour vous témoigner tout mon soutien et je tiens à vous remercier ici pour nous apporter toute la nuance, la complexité, l'investigation et l'éclairage de vraies expertes, qu(...)
Je suis un vieux con et je dois avouer que j'ai du mal avec l'écriture inclusive. Mais en même temps, comme je suis d'accord avec l'idée que les femmes ne doivent pas être invisibilisées je propose que désormais, et pour une période à déterminer, le (...)
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Avec tous mes voeux de succès et de continuations à l'équipe. Bravo à vous !
Triste même si ASI est le seul luxe que le m'autorise mais je suis vraiment fauché.
Votre travail est indispensable dans le contexte puant actuel !! J'ai donné pour vous témoigner tout mon soutien et je tiens à vous remercier ici pour nous apporter toute la nuance, la complexité, l'investigation et l'éclairage de vraies expertes, qui sont nécessaires pour comprendre et avancer dans ce monde fou. Tout mon soutien à la nouvelle équipe aussi, vous êtes toutes et tous au top!! Merci en particulier à Nassira et Paul pour avoir animé des émissions que j'ai adoré cette année, à Pauline dont j'adore absolument les articles (même si pas toujours le temps de tout lire), et à Sherlock Com' & Watsonne, quel courage de vous farcir toute la merde de BFM/TF1/M6 et nous en faire des compte-rendus hilarants que je suis religieusement :) Je suis une fidèle abonnée, vous suivais déjà dans l'enfance au temps de l'émission sur france 5, et pas prête de vous lâcher. Courage et bon vent @si
Chers journalistes et personnels d’Arrêt Sur Images, chers asinautes longanimes, bougons ou adeptes du ‘dites-moi ce que je veux entendre sinon je menace de changer de crèmerie', chers pratiquants et/ou croyants de la presse indépendante pas encore sous les ordres de la possédance,
La trêve des confiseurs est généralement un bon moment pour se dire des choses désagréables, ne serait-ce que pour l’immense avantage de pouvoir ensuite s’abandonner, la tête et le cœur légers, au menu festif de chez Lidl, Action, Netto, Aldi et autres Picard (pour les moins inquiets) : il ne sera pas possible de faire du don, le principal encore moins l’unique moyen de financement de toutes entreprise !
Il est bon, sans aucun doute, de pouvoir recourir aux dons, dans une conjoncture particulière, pour un projet spécifique mais en faire le moyen ‘naturel’ voire unique du financement de la création de richesse ne me semble pas souhaitable et pis encore cela ne changera rien à l’affaire. En effet, qu’espérons nous au bout du compte de toute cette autre compréhension du réel à laquelle participe, entre autres, Arrêt Sur Image ? N’est-il pas vrai que nous espérons comprendre ce réel pour le changer enfin ?!
Parviendrons-nous à changer quoi que ce soit si nous continuons, d’un côté, à alimenter la machine à concentrer la richesse dont le principe premier est l’accaparement du fruit du labeur du plus grand nombre et, de l’autre, rendre permanent, inscrire dans du marbre, l’appel à la générosité des masses laborieuses (comme on disait dans le temps) - celle-là même que l’accaparement réduit à la portion congrue – donc institutionnaliser l’appel aux dons pour faire vivoter une activité (il s’agit ici de la presse indépendante mais il y en a tant d’autres) dont nous espérons qu’elle participe à transformer le réel c’est-à-dire à faire cesser notamment la nécessité de faire appel aux dons ? Ne voit-on donc pas cette spirale infernale et absurde de la permanence de l’appel aux dons ?!
Peut-être une interrogation un peu plus spéculative : à supposer que la majorité laborieuse exerce avec constance une générosité qui permettrait de soustraire quelques personnes (quelques professions) de la pression permanente de la machine à concentrer la richesse, quel serait le ressort véritable de cette minorité rendue « libre », quel serait son intérêt constant à se battre contre une pression qu'elle est pour ainsi dire assurée de ne plus subir (j'ai bien dit spéculatif !)? Ne serait-il pas plus pertinent d’essayer de nous libérer ensemble et conjointement du joug du système de financement de la création de richesse qui a cours actuellement, celui de la machine à concentrer la richesse ?
Pour le dire autrement : il pourrait être possible, faute de mieux, de recourir aux dons mais à la condition expresse que ce recours soit conçu pour être ponctuel décisif et constituer un point de départ de la transformation, une porte de sortie en somme mais aucunement une installation dans une précarité à laquelle notre imagination voudrait donner des allures de liberté ! Nous avons besoin d’un modèle de financement de la création de richesses qui s’auto-alimente pour devenir viable, étant entendu qu’il est possible de faire appel aux dons mais uniquement pour l’amorçage et en phase transitoire. Je ne vois absolument rien de tel dans les campagnes de financement participatif ni dans les appels aux dons qui ont circulé récemment : Média, QG, ASI… liste non exhaustive.
Peut-être existe-t-il au sein de ces masses laborieuses de bonnes volontés (pas toujours chez les plus nantis) qui accepteraient de faire un don mais un don décisif ! Où est donc la perspective d’en sortir qu’attend cette multitude ?
Pour ma part, je fais le lien avec l'autre article portant sur les États généraux des médias indépendants. Si une lutte se mène qui permet de faire avancer les 59 propositions (il ne suffit pas de les énoncer, il faut organiser des actions déterminées pour les faire gagner), comme elles comprennent un volet financement, il n'y aura plus besoin de faire des appels à don récurrents.
le pire quand on est actionnaire d'ASI, ce n'est peut être pas manquer d'argent, c'est subir des leçons de stratégie de ses abonnés omniscients qui ont tout compris à tout.
C’est effectivement toute la difficulté avec les actionnaires d’ASI ou d’ailleurs : ils ne leur sied guère que leur capacité à avancer du financement ne constitue point une dispense pour tout, à commencer par les efforts pour comprendre.
Ces actionnaires effectifs ou fictifs (par le bien d’une imagination un peu prompte à s’identifier) n’abhorrent rien de plus que le commun des mortels qui manque (peut-être) d’argent mais qui trouve que ce n’est absolument pas une raison pour ne pas l’ouvrir !
Continuez à encourager les trolls zemmouristes, leurs copains vont peut-être venir en nombre pour s'abonner.
Courage, gardez le cap !
Si j'avais les moyens, j'augmenterais bien mon abonnement, mais hélas... :-/
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