"Filmer un éditeur lisant un manuscrit, c'est chiant !"
Il faut toujours faire attention à ce qu'on dit devant une caméra. C'est ce que doit se dire aujourd'hui un éditeur parisien, Gilles Cohen-Solal, suivi par les caméras de l'émission Strip-Tease, diffusée sur France 3 le 29 juillet. Comme nous le détaillons ici, il y apparaît cynique, libidineux et méprisant envers l'un des auteurs de sa maison d'édition.Comment travaillent ceux qui fabriquent Strip-Tease ? Cette émission n'a-t-elle pas tendance à forcer le trait au montage de ses sujets ? Et le monde de l'édition parisien est-il bien représenté dans ce numéro en particulier de l'émission ?
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Derniers commentaires
J'arrive comme les Carabiniers d'Offenbach pour vous dire que Strip-Tease a été pour moi, depuis 25 ans, la meilleure éducation à la critique des médias, et de l'information en particulier. Avant Arrêt sur Images.
Adolescent, je les adorais. J'ai hurlé de rire devant les films, je les ai commentés à l'infini avec mes potes en me moquant des protagonistes. Les Debecker, la fan de Cloclo, les vendeurs de bagnoles, le type dans sa soucoupe au fond du jardin, l'apprenti skinhead, un Navre de paix, le gamin qui fait du moto-cross, etc, etc... Que du bonheur! J'étais jeune et con. J'aurais voulu rester jeune.
Ensuite, j'ai découvert, dans le désordre, la déontologie, l'art du montage, la subjectivité, la narration mais aussi la diversité sociale. Un peu grâce aux ennuis qu'a connus l'émission quand ses méthodes ont été mises en lumière.
L'émission ne répond évidemment pas aux critères nécessaires pour être de l'information. Soit.
Elle juge aussi. Soit.
Et elle participe à un discours idéologique. Soit.
J'écris ici parce que, pour la première fois depuis que je regarde @si, je constate que l'émission a été manipulée par l'un des intervenants.
J'ajoute que je ne regarde pas strip tease et ne compte pas commencer aujourd'hui; bien que le sujet ne soit pas indifférent, c'est surtout la relation des intervenants à l'image et leur discours qui présentent pour moi un intérêt.
Pour une fois, j'ai vu un déséquilibre désagréable: le co auteur de l'émission, Jean Libon, sur une défensive totale, et à coté de lui, deux personnages peu plaisants, qui le mettent sous terre de façon détournée.
En clair je ne comprends pas que vous ayez accepté sur votre plateau la présence d'Emmanuel Pierrat, avocat de M Cohen Solal.
Sauf erreur, c'est bien ce qui est dit en début d'émission. Pour résumer: M Cohen Solal ne viendra pas, mais nous avons son avocat pour répondre aux questions.
Il est effarant que vous ayez accepté ça, et le débat en est la conséquence. A la fin M Libon affirme qu'il s'agit d'un entretien "enfariné". C'est là un terme très poli pour couvrir le tout .
M Pierrat a joué comme devant la Cour.
D'aucuns plaident l'amour aveuglant, les soucis contraignants, les tentations du monde pervers. M Pierrat a plaidé l'irresponsabilité de son client, pris dans le tourment fatal de sa profession.
Je répète ne pas comprendre sa présence alors que son discours, qui ne porte pas plus de vérité que celui des avocats en général face aux caméras ou aux prétoires, était si prévisible (Un avocat est payé pour défendre son client, pas pour dire la vérité), et Daniel Schneidermann n'a pas réussi à le maitriser.
M Arthus n'a pas cherché à relever le niveau
Et puisque M Arthus a accusé strip tease de populisme, et a donné sa définition du populisme. Je tiens à le plagier:
- Je n'aime pas les notaires: chaque fois que j'en ai croisé un j'ai eu à m'en défendre
- je n'aime pas les avocats, et ce que a@si a montré là ne fait que conforter mon jugement
- je n'ai plus aucun respect pour nos prétendues élites, car elles se servent et ne servent pas (ou plus)
et pourtant je n'ai jamais voté pour le borgne. J'ai même voté Chirac le jour ou mon parti, la social démocratie, a été trop nul pour être au second tour.
M Artus nous a donné dans cette émission une vraie leçon de terrorisme bien pensant avec sa définition du populisme.
Comme @si est pour moi une des rares occasions de respirer de l'air pur en regardant une émission télévisée, j'espère bien ne plus l'y voir.
Reste une question, posée par M Libon et à laquelle personne n'a cherché à trouver de réponse: pourquoi les interviewés de Strip Tease acceptent ils de se laisser filmer sans retenue pendant 40 bobines, dont ils savent que ne sera retenu que le plus croustillant? La publicité grasse qui permet la survie médiatique? Autre Chose?
A suivre...
Mes deux cents !
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Entre Richard Andrieux, avec ses postures d'écrivain qui souffre d'écrire, et qui effectivement, s'il écrit bien, s'exprime de manière pesante, Max Monnehay qui joue de son physique, et le dernier qui évalue son à-valoir en se comparant aux autres auteurs...
Au moins, Cohen-Solal ne mache pas ses mots, et se juge même parfois avec sincérité ("je suis un lâche absolu") ...
C'est moins le sujet en lui-même que la réaction des invités qui me paraît remarquable.
Passons sur l'avocat, des beaux yeux, il parle bien avec ce mince filet de mauvaise foi propre au bobo parisien.
Le critique littéraire a essayé, soyons juste, de prendre de la hauteur, mais patatras ! Il dit que l'émission a donné une image subjective et pas une image juste. J'aurais aimé qu'il précise la différence entre les deux et surtout qu'il dise ce qu'est, pour lui, une image juste.
"la carte n'est pas le territoire" disait Korzybski (oups, pas certain de l'orthographe), et toute représentation de la réalité dévoile celle-ci, en même temps qu'elle la dévoie ...(je vous laisse méditer là-dessus !)
Montrer une réalité ne veut pas dire qu'on la généralise, mais personne peut nier que cette réalité existe. Strip-tease a montré une réalité de l'édition, celle de M. Cohen Solal, qui fait partie, jusqu'à preuve du contraire, de ce milieu. Faut-il reprocher à M. Libon de ne pas avoir fait une présentation intégrale, juste, complète de l'édition ? Celui qui fera un jour une telle présentation ne doit pas être né !
Oui, les images, la présentation qu'on nous fait de la réalité est truquée, subjective, partielle et donc forcément partiale, on ne pourra jamais faire disparaître cette subjectivité, par contre ne jamais l'oublier grâce à des émissions comme ASI ou d'autres est fondamentale dans une démocratie pour qu'elle le reste...
L'émission nous rappelle finalement, comme le disait Montesquieu, que "là où il y a l'homme, il y a de l'hommerie", avec ses côtés lumineux et l'ombre de ses comportements pas toujours avouables, mais au combien réels.
Dernière remarque pour DS : j'ai sursauté lorsque j'ai entendu Daniel dire très vite "on ne sait jamais pourquoi on fait les choses".
J'espère qu'il sait pourquoi il fait cette émission et je pense savoir pourquoi je la regarde.
On vit dans une société où on ne sait plus pourquoi on agit, alors que c'est le seul moyen de trouver un sens à nos actes.
J'ai regardé hier l'intégralité de l'émission Strip-Tease sur le site de l'Express. Et franchement, Gilles Cohen-Solal m'a[arait presque sympathique (presque car je ne le connais pas). Il y a quelques passages, comme son discours et sa déclaration d'amour a sa femme que j'ai trouvé tres bon. J'aime bien aussi sa considération pour Jean d'Ormesson ou sa femme, "qui passent 23h59 a être gentils".
Bref que lui reprocher ? D'être sincère? Je fais un tout autre métier, et combien de fois ais-je vu un collègue cracher sur un client apres avoir été mielleux devant ? L'hypocrisie est très bien partagée, rassurons nous. Ce qui dérange peut être ici est de voir trop de réalité ?
Bref, je conseillerais aux critiques de voir l'émission Strip-Tease dans son entier avant de commenter. Et d'aller sur le blog de Wrath pour déblatérer des inepties et sa hargne du milieux de l'édition: les mots "con", "tarlouze" ou autre ne font que discréditer leurs auteurs !
GCS est allé apparemment trop loin et ne peut plus assumer ce qu'il a dit et montré. Il n'est cependant pas juste d'accuser le réalisateur d'avoir laisser GCS "surjouer". Il est vrai que l'image donnée du monde de l'édition est catastrophique mais le réalisateur est libre de le montrer. Pourquoi Hubert Arthus était-il aussi mal à l'aise ? Il y a des silences qui doivent être rompus.
Il est vrai que la présence de l'avocat était plutôt malheureuse, celui-ci tentant trop de fois de nous emmener sur d'autres chemins que les problèmes posés.
Le sort réservé à l'écrivain Andrieux est véritablement odieux. Il a l'air d'être la véritable victime de l'histoire (mais peut-être pas forcément à plaindre ?).
J'étais très amusée au début par GCS, très écoeurée à la fin ... J'ai peu regardé d'émissions de Strip Tease, mais j'ai toujours trouvé cette émission très intéressante et (trop) troublante parfois. Ses fondateurs n'ont certainement pas à en rougir.
J'ai donc ensuite été assez surpris de la polémique exposée dans l'émission d'@si. Personnellement, je trouve que c'est @si qui descend Gilles Cohen-Solal et non Strip-Tease. J'apprends ainsi que Gilles Cohen-Solal est tout le temps bourré, qu'il est maladroit, obscène, graveleux, etc etc etc. C'est probablement parce que je ne cerne pas la problématique dans sa globalité mais j'ai vraiment l'impression que les personnes qui le traitent ainsi sont un tantinet psychorigide. Pour finir, je trouve que l'avocat donne une très mauvaise image de son client.
Bref, je trouve tout cela vraiment très étrange. Je me dit qu'il faudrait peut-être que je connaisse mieux le personnage ou le monde de l'édition pour mieux comprendre la polémique. Je ne sais même pas si je vais me donner la peine d'essayer de comprendre. Je ne pense pas que le sujet m'intéresse assez pour que je persévère.
Débat stérile (d'accord avec Adrien) ce milieu de connard
sufisant de l'édition me fait gerber . Je passerai bien tout
ca au lance flamme si j'avais du gaz à gaspiller !
"Pierre Henry" il est tellement propre sur lui on dirait
le fils à Bling Bling .
Ou avez vous trouvez ce petit jeune , Daniel , à Neuilly ??
(on vous soutiendra à mort !!!) .
Bien content de revoir Sophie en direct , le petit rayon de
Soleil de l'émission .
Bonne nuit à tous !!
le débat est d'une pauvreté rare dans @si ...
Je ne peux que lui conseiller d'épouser Brice [s]de Nice[/s] Hortefeux après Gilles Cohen-Solal,
Seul moyen de toucher le fond de la piscine !
P.S. : Cette vision de l'édition n'est pas seulement sinistre, elle est désespérante...
***
Qu'est ce que j'attends d'ASI?
J'en attends ce que j'ai eu cette semaine (même si ce n'était pas les meilleures émissions) :
1) une ligne jaune, avec un sujet d'actualité des médias, et sa face cachée.
2) une émission du vendredi avec un sujet moins brulant, mais avec un vrai débat sur les protagonistes, et si possible loin des chemins battus rebattus et balisé.
3) Emission littéraire surement bien mais comme je ne lis pas, c'est plus difficile.
C'est une bonne formule, il n'y a plus qu'à trouver d'excellents plateaux.
Cordialement
Je commence par le début, le sujet sur les "nouveaux" JT est à mourir de rire.
Et la cerise sur le gâteau du mort de la grippe mort d'un cancer en est le point d'orgue.
Quelle nullité ambiante. Je le répète à nouveau, merci @si de nous faire état de la vie de nos malades médiatiques !!!
- ah non, on ne va pas fumer le cigare à la télévision...
- ... mais c'est pas la télévision et c'est pas pour vous c'est pour moi...
- ... ça choque
- ... non mais c'est pour moi. vous vous avez le droit de fumer, y'a pas de télé. moi je m'en vais.
- ... oui... Non mais...
- ... mais la télé s'en va aussi
- ... nee... ah elle s'en va? ah c'est pour toi alors?
*écarquille les yeux*
- ouii heee
- ah mon dieu!!
- oui, je suis désolé
- alors allume-moi un cigare
- ah ben voilà
J'ai beau faire un effort incommensurable pour essayer de trouver ce que je pourrais faire en famille mais pas à la télé, mais je ne trouve pas.
La définition d'une tarlouze est donc peut-être la suivante: personne capable d'avoir un honneur plus haut envers des inconnus qu'envers ses proches.
Je ne suis pas là pour juger si c'est bien ou mal de fumer le cigare, mais certainement qu'Ormesson se dit que ça fait cool de le faire en cachette. Grand bien lui fasse.
Je ne peux m'empêcher de me poser une question: mais bon sang de bois, qu'est-ce que je fais ici à regarder cette merde?
ben moi je dis que ça grandit le personnage et que c'est tout à son honneur de tenir ces propos "profilcaméra".
Si jamais ça fait du bruit, c'est uniquement parce-que les tarlouzes de l'édition espèrent que ça va nuire à son commerce.
Mais depuis 1989, tout le monde s'est aperçu que les "élites", qu'elles soient politiques, commerciales, scientifiques, économiques, médiatiques, artistiques, anonymes ou que sais-je encore... ça ne sont que des hommes et des femmes avec du poil sur les parties, des seins qui tombent et des crottes de nez qui pendent.
Churchill ou Oblomov ont du poil sur les couilles, qu'ils ont entre parenthèse fragiles, et il aura fallu un mur, long de toute une ville, symbole d'une guerre planétaire, qui tombe, pour que l'humanité réalise qu'elle était dirigée par des êtres humains. Avec du poil. Une humanité avec des poils. Des poils et des couilles ou un vagin.
Le pecnot, le paysan, la bécassine, l'intellectuel, le poète maudit, le réfugié, et le nantis ont tous appris en même temps que les responsabilités suprêmes n'incombaient pas à ceux qui en était le plus méritants, mais à ceux qui le voulaient le plus et surtout étaient le mieux placés. L'orgeuil, l'envie, et l'avarice.
Rien n'a changé depuis les temps anciens. Ni au plus haut degré du pouvoir, ni à l'autorité de la cellule familiale.
Les tarlouzes qui pètent plus haut que leur cul resteront des tarlouzes pétant dans la soie. Et elles sont les seules à croirent qu'elles sont enviées.
Une pseudo-élite ou du moins telles que décrites par les médias (et dont vous vous faites l'écho ne serait-ce que par les interventions anachroniques de votre tarlouze de spécialiste littéraire) s'efforce de maintenir vivante la supercherie. Uniquement parce-qu'elle se sent pousser des ailes dans cette hiérarchie inconséquente.
C'est juste de la tarlouzerie. Et je rentre à ma maison.
Donc, la question qui me semble primordiale est : quelle est l'information censée être mise en avant par ce reportage (que j'ai visionné en entier) ?
1-Cohen-Solal est un con ?
2-Les auteurs sont des cons ?
3-Le milieu de l'édition, c'est comme ça ?
4-La vie de couple de d'Ormesson/Cohen-Solal, c'est ça ?
5-Nous sommes tellement malins à Strip Tease qu'on arrive à humilier tous les gens filmés pour ce sujet avec leur aide ?
Le truc de Strip Tease, c'est "Strip Tease déshabille les gens".
OK, non seulement Strip Tease les déshabille, mais en plus il les nique en place publique...
Qui perd ici sa dignité : ceux qui sont filmés, ceux qui filment, ceux qui regardent ?
« Strip Tease » en question. Je l’ai donc visionné en entier. Et alors là, c’est la grande confusion :
- soit @si aborde les tenants et les aboutissants de Strip Tease (une vraie curiosité du Paf tant par son talent, sa diversité que par sa longévité) et dans ce cas là on laisse réellement s’exprimer son producteur Jean Libon et on creuse les motivations diverses de ceux qui acceptent le deal de ce type de tournage avec exemples différents à la clé,
- soit on fait, et c’est la cas aujourd’hui, un zoom sur un personnage finalement peu excitant avec juriste et critique. Le résultat : un « mini-tribunal-tribune » qui survole le monde de l’édition et révèle un type dont le narcissisme plutôt masochiste semble se réaliser dans la contre- bonne- image. Donc on reste sur sa faim, sans fil conducteur construit, et c’est bien dommage.
Lorsqu’on voit l’épisode de Strip Tease en entier, ce qui frappe (en tout cas, ce qui m’a surtout frappé), c’est l’étrangeté du coupe Héloïse d’Ormesson/ Gilles Cohen-Solal, qui interroge vraiment sur les relations à deux. Le « monde de l’édition » sert plutôt de décor à cette "association ».
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L'éditeur en question finit par m'être sympathique dans sa misère. Une espèce de pitié chrétienne, comme pour ce petit cousin paumé qui est en train de tristement rater sa vie, mais qu'on aime bien quand même, parce qu'il nous rappel un peu ce que l'on a évité d'être.
Ça me fait ça à chaque fois, moi, Strip Tease.
ouahhh !
C'est beau comme du Arthur.
On commençait à fatiguer de trop d'intelligence et de subtilité.
"Ce qui est déprimant c'est ce que raconte Ravalec (...) , il raconte ce que c'est qu'une séance de dédicaces et une conférence dans une librairie au milieu de nulle part en quelque sorte, où vous ne savez pas qui est là devant vous et vous vous retrouvez dans un désert et une espèce de solitude..."
Je suis strasbourgeoise, et la librairie où a été filmé ce passage est la librairie Kléber. Strasbourg n'est pas vraiment au milieu de nulle part (ville de 500.000 habitants, à 2h15 de Paris en TGV, capitale européenne!) et cette librairie et tout à fait exemplaire, elle concurrence merveilleusement la Fnac qui se trouve sur la même place, a créé un site internet extrêmement répertorié qui permet de commander ses livres, elle organise plusieurs fois par semaine des conférences avec des auteurs (plus ou moins connus, et c'est aussi la notoriété de l'auteur qui fait la mobilisation du public, tout comme le travail de communication qui incombe aussi à son éditeur).
Je trouve l'excuse de la librairie au milieu de nulle part risible, infondée et insultante.
Il faudrait peut être que cet éditeur se remette en question, et accepte au moins, qu'avant d'être connu, reconnu, la vie est dure pour un artiste (quelque soit sa forme d'expression) et qu'être invité pour une séance de dédicaces + conférence dans une grande librairie comme la librairie kléber est déjà, finalement, une belle réussite pour un premier auteur!
A bon entendeur.
(Passage auto-censuré). J'aurais préféré un autre sujet, il n'en manque pas ce me semble.