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Fin de Têtu : et à l'étranger, comment s'en sort la presse gay ?
Les abdos saillants des mannequins de Têtu n'égaieront plus les kiosques français. La société éditrice du mensuel gay français Têtu a été placée en liquidation judiciaire jeudi 23 juillet. Le magazine, qui existait depuis vingt ans, a toujours été déficitaire. En comparaison, la presse papier américaine semble mieux s'en sortir, à l'image de deux titres américains qui restent largement diffusés : Out et The Advocate.
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Derniers commentaires
Pas pouvoir vendre à une cible a fort pouvoir d'achat,avec un actualité gay et aucune concurrence faut être fort.
La presse gay est devenue, à l'exemple de la "communauté gay" (ou inversement) tristement consumériste et sans profondeur, évoquant pour la gloriole les années 70 et 80 militantes, plus ouvertes sur le monde et les difficultés d'autres communautés, comme les immigrés, et plus intéressée par la sociologie et la philosophie, en même temps que l'insouciance et l'insolence. Puis vint le SIDA...
Tétu, c'était la fenêtre du Marais bien pensant, qui ne pense rien à part sorties, drague, sexe et fringues et normalisation...
Donc si la fin de ce mensuel annonce la naissance d'une presse homo plus offensive, notamment contre le nouveau puritanisme, ça sera plutôt une bonne nouvelle.
Tétu, c'était la fenêtre du Marais bien pensant, qui ne pense rien à part sorties, drague, sexe et fringues et normalisation...
Donc si la fin de ce mensuel annonce la naissance d'une presse homo plus offensive, notamment contre le nouveau puritanisme, ça sera plutôt une bonne nouvelle.
On ne m'ôtera pas de l'idée qu'on a tous un papa et une maman.
Ne pas égayer, quand on est gay...
C'est le comble de la désolation !
PG
C'est le comble de la désolation !
PG
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
"Les chiffres proviennent d'une régie qui a tout intérêt à donner l'image d'un marché florissant, et sont donc à prendre avec précautions, mais ils donnent un ordre d'idée."
Énorme reserve sur ce raisonnement. Si les chiffres sont à prendre avec précautions, ils sont à prendre avec ... précautions. Les ordres d'idées peuvent s'avérer sans aucun fondement, si ce n'est celui de l'intox voulue par son auteur.
"Le magazine, qui existait depuis vingt ans, a toujours été déficitaire."
Sait-on qui finançait ? Au moins, pour donner un ordre d'idée ? :-)
Énorme reserve sur ce raisonnement. Si les chiffres sont à prendre avec précautions, ils sont à prendre avec ... précautions. Les ordres d'idées peuvent s'avérer sans aucun fondement, si ce n'est celui de l'intox voulue par son auteur.
"Le magazine, qui existait depuis vingt ans, a toujours été déficitaire."
Sait-on qui finançait ? Au moins, pour donner un ordre d'idée ? :-)
L'occasion de signaler la série Murder programmée par M6 depuis le début de l'été avec de vraies scènes de culs entre hommes, chose que je n'ai pas souvenir d'avoir vu ailleurs à la télé. Elles sont intégrées à l'intrigue (de l'art d'obtenir des informations...) et j'ai crains un moment que ça ne devienne un truc trop mécanique, le héros tombant à chaque épisode sur un beau gosse utile, mais au final, ça va, le personnage est correctement développé, il stabilise une relation sentimentale et réduit ses frasques.