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France 3 invente ses Américains typiques
Mémona Hintermann, envoyée spéciale de France 3, peine apparemment à trouver des électeurs américains qui correspondent à ses clichés. Pas de racistes, pas d'intégristes religieux, pas d'assassins d'Obama à portée de caméras ? Tant pis, inventons-les !
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Derniers commentaires
Conseil: boycottez les chaînes généralistes, regardez les thématiques. Sur France 24, BMF, Bloomberg, BBC, CNN, je me suis délectée de l'actualité pure. L'humour, parfois, dans le grand chaudron étatsunien. Une semaine magnifique.
Que les journalistes se contentent d'être les miroirs de l'événementiel et nous laissent faire notre propre analyse. Quand cesseront-ils de se comporter comme nos anciennes lavandières en avançant toujours leurs présupposés!
Que les journalistes se contentent d'être les miroirs de l'événementiel et nous laissent faire notre propre analyse. Quand cesseront-ils de se comporter comme nos anciennes lavandières en avançant toujours leurs présupposés!
moué ...sous couvert de politically correct, moi il me semble plutot y voir une forme dédaigneuse, renforcée d'ailleurs par l'utilisation du Z.
un peu comme rital, ruskof ou polak...
un peu comme rital, ruskof ou polak...
C’est fou les choses que l'on peut entendre mais aussi lire dans les medias, cela ne manque jamais de me faire bondir, les cliches ont la vie dure, combien de fois avons nous pu entendre un reportage commencer par "l'Amérique blanche et puritaine.." oui il y existe des cons intolérants comme partout mais l'Amérique est moderne jeune et nous montre l'exemple d'une démocratie en marche, la victoire d'Obama est une grande claque dans la gueule a tous ces pourvoyeurs de cliches anti américains.
et puis c'est quoi cette mode debile de dire "Etazunien" ?
Ben c'est pour leur éviter de continuer à se prendre pour les seuls Américains authentiques. Le continent est grand, du Nord au Sud et ça fait un paquet de monde "américain" qui n'est pas "étazunien" !
bah...mettez vous juste 2 secondes ds la peau d'un canadien, québecquois, venezuelien, mexicain, argentin, colombien, chilien... allez j'arrête ici ms la liste pourrait continuer longtps comme ça...
comme si on parlait tt le tps des européens pour parler des anglais par ex...
ça n'est pas une mode, les gens qui parlent "correctement" et qui savent faire la différence entre EUA et le continent américain le disent... zut alors...
une prof d'espagnol qui en a marre qu'on parle d'américains en oubliant les 3/4 du continent... il y a un nord et un (grannnnnnnnnnd) sud aux EUA!
comme si on parlait tt le tps des européens pour parler des anglais par ex...
ça n'est pas une mode, les gens qui parlent "correctement" et qui savent faire la différence entre EUA et le continent américain le disent... zut alors...
une prof d'espagnol qui en a marre qu'on parle d'américains en oubliant les 3/4 du continent... il y a un nord et un (grannnnnnnnnnd) sud aux EUA!
Je vous trouve très injuste vis à vis de Mémona Hintermann. Pour ce qui est de l'extrêmisme religieux et du racisme, si vous aviez lu son livre, "Tête haute", vous sauriez qu'elle parle en experte.
Et puis je suis très mal à l'aise de voir ici décortiqué un travail de terrain, dans ce cas peu dangereux j'en conviens, par quelqu'un qui ne risque qu'une crampe dans le poignet derrière son ordi, tandis que Mme Hintermann est sur tous les fronts de toutes les castagnes planétaires.
C'est d'ailleurs de plus en plus troublant de voir que les grands reporters sur les opérations périlleuses sont souvent des femmes, tandis que ces messieurs en costume leur passent la parole depuis les studios feutrés. A part Denis Chalandier dans les Guignols...
A contrario, j'aime beaucoup quand Mémona fait un remplacement pour le "journal" à telle ou telle occasion. Sa façon lapidaire de nous présenter l'info, à charge pour nous de la traiter en adultes, montre tout le respect qu'elle nous accorde, contrairement aux petits maîtres à penser qui nous mâchouillent les "nouvelles" jusqu'à ce que nous adoptions leurs certitudes. Elle nous repose !
Pour en revenir au sujet, le format de ces interventions expresses ne permet sans doute pas d'approfondir le propos, pressé qu'on est par un "confrère" ou une "consoeur" à Paris, impatient de passer "aux restes de l'actualité"... Chiche que vous vous y collez !!!
Et puis je suis très mal à l'aise de voir ici décortiqué un travail de terrain, dans ce cas peu dangereux j'en conviens, par quelqu'un qui ne risque qu'une crampe dans le poignet derrière son ordi, tandis que Mme Hintermann est sur tous les fronts de toutes les castagnes planétaires.
C'est d'ailleurs de plus en plus troublant de voir que les grands reporters sur les opérations périlleuses sont souvent des femmes, tandis que ces messieurs en costume leur passent la parole depuis les studios feutrés. A part Denis Chalandier dans les Guignols...
A contrario, j'aime beaucoup quand Mémona fait un remplacement pour le "journal" à telle ou telle occasion. Sa façon lapidaire de nous présenter l'info, à charge pour nous de la traiter en adultes, montre tout le respect qu'elle nous accorde, contrairement aux petits maîtres à penser qui nous mâchouillent les "nouvelles" jusqu'à ce que nous adoptions leurs certitudes. Elle nous repose !
Pour en revenir au sujet, le format de ces interventions expresses ne permet sans doute pas d'approfondir le propos, pressé qu'on est par un "confrère" ou une "consoeur" à Paris, impatient de passer "aux restes de l'actualité"... Chiche que vous vous y collez !!!
Dans la première et troisième vidéos, je constate plutôt un hiatus entre le message de lancement
de la vidéo et le contenu de la vidéo.
Mémona Hintermann a largement fait ses preuves, non ? En tout cas, je l'écoute, elle.
À sa décharge, elle rend compte de constats difficilement "illustrables".
Qui va venir dire devant une caméra "je ne voterai pas pour un noir" ?
Vous écrivez :
"Finalement, une seule personne interrogée, d'ailleurs elle-même pro-Obama, assure que "c'est parce qu'il est noir qu'il leur pose problème". C'est-à-dire ? Mystère. Le téléspectateur restera sur cette seule et unique allusion cryptique. Qui a suffi à la journaliste pour affirmer que dans ce café, "les non-dits du racisme s'expriment".
Justement : les non-dits…
de la vidéo et le contenu de la vidéo.
Mémona Hintermann a largement fait ses preuves, non ? En tout cas, je l'écoute, elle.
À sa décharge, elle rend compte de constats difficilement "illustrables".
Qui va venir dire devant une caméra "je ne voterai pas pour un noir" ?
Vous écrivez :
"Finalement, une seule personne interrogée, d'ailleurs elle-même pro-Obama, assure que "c'est parce qu'il est noir qu'il leur pose problème". C'est-à-dire ? Mystère. Le téléspectateur restera sur cette seule et unique allusion cryptique. Qui a suffi à la journaliste pour affirmer que dans ce café, "les non-dits du racisme s'expriment".
Justement : les non-dits…
J'ai eu peu d'occasions de rencontrer des journalistes, mais la seule fois ou l'on m'a tendu le micro et pointé la caméra vers moi les questions posées étaient orientées et attendaient une certaine réponse, réponse que je n'ai pas donnée car ce n'était pas mon avis sur le moment. Et bien, mon témoignage n'a pas été diffusé à l'antenne contrairement à ceux qui avaient répondu "correctement".
Plus généralement, il me semble qu'avant tout reportage ou interview, les journalistes décident du contenu (de la ligne à suivre) et travaillent et interrogent en ce sens. Ce qui semble tout à fait normal, un reportage ça se prépare. La contrepartie, c'est que le reportage produit ne reflète pas toujours entièrement la réalité.
Plus généralement, il me semble qu'avant tout reportage ou interview, les journalistes décident du contenu (de la ligne à suivre) et travaillent et interrogent en ce sens. Ce qui semble tout à fait normal, un reportage ça se prépare. La contrepartie, c'est que le reportage produit ne reflète pas toujours entièrement la réalité.
Manquerait plus que F3 se téhéf1nise.
Mais que fait Audrey Pulvar ? L'une des rares journalistes télévisuelles qui me font encore tolérer le Soir 3.
Mais que fait Audrey Pulvar ? L'une des rares journalistes télévisuelles qui me font encore tolérer le Soir 3.
Même si on n'est pas totalement dans le sujet... Ce soir les journaux font fort : l'actualité internationale se résume à l'élection américaine... Alors qu'une femme somalienne vient d'être lapidée... Si l'on en croit le reportage de la BBC, elle pourrait avoir 13 ans...! Mais cette information n'est pas digne de France 2 qui passe 20 minutes sur les élections en France !
Navrant !
Talasrum
http://thalasrum.over-blog.com
Navrant !
Talasrum
http://thalasrum.over-blog.com
Mémona Hintermann : très glauque !
Heureusement Barack Obama va gagner, et pas elle...
Je serais assez d'avis de la virer du service public, elle n'a rien à y faire !
***
Heureusement Barack Obama va gagner, et pas elle...
Je serais assez d'avis de la virer du service public, elle n'a rien à y faire !
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Amérique , Afrique , @si....Le sujet est pour le moins étrange. A entendre les mots choisis pour décrire les pratiques de ces "Américains ordinaires", on se croirait dans un documentaire d'exploration de l'Afrique profonde Afrique ??????
En septembre, j'ai eu la chance de passer deux semaines aux États-Unis, où je rejoignais mon ami qui y est resté trois mois, pour travailler.
C'est à Boulder, Colorado, que j'ai passé ces vacances.
C'est une ville verte, bardée de pistes cyclables, d'une université florissante, qui abrite les centres de recherche ayant obtenu le prix Nobel de la paix, avec Al Gore.
Les lycéens y étudient souvent des langues étrangères, peignent, jouent de la musique, lisent aux terrasses des cafés. On se croirait un peu dans les années 70, les centres commerciaux en plus (faut pas déconner).
Le maire est démocrate, et comme le laisse supposer le style de vie des habitants, tous minces et mangeurs de légumes, cette tendance politique n'y est pas que momentanée.
C'est une vraie tradition.
Boulder est en somme l'antithèse du cliché américain, celui qui hante notre mémoire de hamburgers répugnants et d'américains ignares, qui croient que la Hongrie est une spécialité culinaire et l'Europe un pays au cœur de l'océan pacifique.
Bref mes hôtes se montrent ouverts, curieux de mon mode de vie, de mes origines (franco-portugaises) et de tout ce qui me rend si différente. Je suis plus discrète, indépendante, quand eux parlent trois tons au dessus de la normale et ne survivent qu'en groupe, l'instinct grégaire étant plus fort que tout.
Deux semaines sur place, à parler, observer, lire les journaux, surveiller les sondages d'opinion, assister à des grand messes populaires (matchs de football universitaire), m'ont permis d'arriver à la conclusion que malgré l'ouverture extraordinaire et le mode de vie quasi européen des gens que j'ai rencontré, le fossé qui nous sépare est abyssal. Habitués à regarder les américains par le bout de notre lorgnette, nous oublions que dans de nombreux lycées chaque matin vers 11h sonne une cloche, démarre l'hymne américain, tandis qu'une voix masculine récite "We, one nation under God, pledge allegeance to the flag of the United states of America", alors que chaque élève interrompt ses activités et se lève en portant la main à son cœur.
J'ai vu des gens manifester dans la rue contre les avortements, brandissant des posters montrant des fœtus ensanglantés, invectivant les passants avec des "assassins !", "meurtriers" !
J'ai aussi parlé avec une jeune fille, diplômée, cultivée, m'expliquant que Palin était le bon choix parce qu'elle est "pro life", mais que la peine de mort se justifie, puisque les condamnés, eux, contrairement aux fœtus, ont fait "quelque chose de mal". J'ai aussi vu les sondages changer d'un jour à l'autre, et les passants expliquer à un militant d'Obama qu'ils "s"en foutent des élections", ou lui répondre par le slogan de Mc Cain "Country first". J'ai assisté à des matchs nationaux commençant invariablement par l'hymne américain, le jeu rythmé par des coups de canon, résonnant dans le stade à chaque touchdown. Et cette incroyable fierté, ce patriotisme aveuglant qui anime tous les américains, se manifester sans honte au grand jour, aussi simplement que les français se payent la tronche du pape. Bien sûr il existe aussi une immense liberté de ton, qui n'existe pas ici, à la télévision, au théâtre. Sarkosy ne survivrait pas deux minutes... Où alors il passerait sa présidence à perdre des procès.
Je ne prend pas cette expérience personnelle au sérieux. Je n'ai pas fait d'étude à grande échelle, ni d'enquêtes sur le terrain, de celles qui fonctionnent sur la base de protocoles et donnent lieu à des statistiques.
Mais les États-Unis sont un pays complexe, leur rapport au drapeau et à la patrie, à la race, à la religion, est totalement différent du notre. La littérature américaine permet de s'en rendre compte : Russell Banks, Philip Roth, Chester Himes, Lanston Hugues, Richard Wright, Saul Bellow, tous montrent à quel point la question raciale en particulier est au coeur de la psyché américaine.
Alors si le reportage de la journaliste est manifestement bidonné, dans le sens où elle cherche à faire dire des choses à des gens qui ne le souhaitent pas, qui ne les pensent même peut-être pas, sur le fond elle ne me semble pas si éloignée de la vérité. A l'inverse je suis sidérée par le contenu des émissions radiophoniques de ce matin, et du ton donné par la presse écrite à ses articles concernant Obama. Obama le messie, Obama va gagner. Demorand ce matin était littéralement survolté, hystérique, à tel point que j'ai éteint la radio, n'y tenant plus.
Ce que je veux dire, c'est que je n'ai pas vu un seul papier potable sur le sujet, ni à la télé, ni à la radio. @si en parle bien, let es moissons de Gilles sont du pain béni. Vous savez quoi, en fait le sujet mérite une enquête. Une enquête de fond. Les États-Unis vus par la presse française. Ça existe ?
C'est à Boulder, Colorado, que j'ai passé ces vacances.
C'est une ville verte, bardée de pistes cyclables, d'une université florissante, qui abrite les centres de recherche ayant obtenu le prix Nobel de la paix, avec Al Gore.
Les lycéens y étudient souvent des langues étrangères, peignent, jouent de la musique, lisent aux terrasses des cafés. On se croirait un peu dans les années 70, les centres commerciaux en plus (faut pas déconner).
Le maire est démocrate, et comme le laisse supposer le style de vie des habitants, tous minces et mangeurs de légumes, cette tendance politique n'y est pas que momentanée.
C'est une vraie tradition.
Boulder est en somme l'antithèse du cliché américain, celui qui hante notre mémoire de hamburgers répugnants et d'américains ignares, qui croient que la Hongrie est une spécialité culinaire et l'Europe un pays au cœur de l'océan pacifique.
Bref mes hôtes se montrent ouverts, curieux de mon mode de vie, de mes origines (franco-portugaises) et de tout ce qui me rend si différente. Je suis plus discrète, indépendante, quand eux parlent trois tons au dessus de la normale et ne survivent qu'en groupe, l'instinct grégaire étant plus fort que tout.
Deux semaines sur place, à parler, observer, lire les journaux, surveiller les sondages d'opinion, assister à des grand messes populaires (matchs de football universitaire), m'ont permis d'arriver à la conclusion que malgré l'ouverture extraordinaire et le mode de vie quasi européen des gens que j'ai rencontré, le fossé qui nous sépare est abyssal. Habitués à regarder les américains par le bout de notre lorgnette, nous oublions que dans de nombreux lycées chaque matin vers 11h sonne une cloche, démarre l'hymne américain, tandis qu'une voix masculine récite "We, one nation under God, pledge allegeance to the flag of the United states of America", alors que chaque élève interrompt ses activités et se lève en portant la main à son cœur.
J'ai vu des gens manifester dans la rue contre les avortements, brandissant des posters montrant des fœtus ensanglantés, invectivant les passants avec des "assassins !", "meurtriers" !
J'ai aussi parlé avec une jeune fille, diplômée, cultivée, m'expliquant que Palin était le bon choix parce qu'elle est "pro life", mais que la peine de mort se justifie, puisque les condamnés, eux, contrairement aux fœtus, ont fait "quelque chose de mal". J'ai aussi vu les sondages changer d'un jour à l'autre, et les passants expliquer à un militant d'Obama qu'ils "s"en foutent des élections", ou lui répondre par le slogan de Mc Cain "Country first". J'ai assisté à des matchs nationaux commençant invariablement par l'hymne américain, le jeu rythmé par des coups de canon, résonnant dans le stade à chaque touchdown. Et cette incroyable fierté, ce patriotisme aveuglant qui anime tous les américains, se manifester sans honte au grand jour, aussi simplement que les français se payent la tronche du pape. Bien sûr il existe aussi une immense liberté de ton, qui n'existe pas ici, à la télévision, au théâtre. Sarkosy ne survivrait pas deux minutes... Où alors il passerait sa présidence à perdre des procès.
Je ne prend pas cette expérience personnelle au sérieux. Je n'ai pas fait d'étude à grande échelle, ni d'enquêtes sur le terrain, de celles qui fonctionnent sur la base de protocoles et donnent lieu à des statistiques.
Mais les États-Unis sont un pays complexe, leur rapport au drapeau et à la patrie, à la race, à la religion, est totalement différent du notre. La littérature américaine permet de s'en rendre compte : Russell Banks, Philip Roth, Chester Himes, Lanston Hugues, Richard Wright, Saul Bellow, tous montrent à quel point la question raciale en particulier est au coeur de la psyché américaine.
Alors si le reportage de la journaliste est manifestement bidonné, dans le sens où elle cherche à faire dire des choses à des gens qui ne le souhaitent pas, qui ne les pensent même peut-être pas, sur le fond elle ne me semble pas si éloignée de la vérité. A l'inverse je suis sidérée par le contenu des émissions radiophoniques de ce matin, et du ton donné par la presse écrite à ses articles concernant Obama. Obama le messie, Obama va gagner. Demorand ce matin était littéralement survolté, hystérique, à tel point que j'ai éteint la radio, n'y tenant plus.
Ce que je veux dire, c'est que je n'ai pas vu un seul papier potable sur le sujet, ni à la télé, ni à la radio. @si en parle bien, let es moissons de Gilles sont du pain béni. Vous savez quoi, en fait le sujet mérite une enquête. Une enquête de fond. Les États-Unis vus par la presse française. Ça existe ?
A propos du mot métis, je vous invite à aller voir vers 00:04:18 : http://latelelibre.fr/index.php/2008/10/le-photographe-et-les-candidats-americains/
En très très résumé, l'utilisation du mot "métis" est une interprétation franco-française. Je ne l'avais pas encore vu signalé sur @SI (mais ça m'a peut-être échappé vu que je ne lis pas beaucoup les commentaires ...)
En très très résumé, l'utilisation du mot "métis" est une interprétation franco-française. Je ne l'avais pas encore vu signalé sur @SI (mais ça m'a peut-être échappé vu que je ne lis pas beaucoup les commentaires ...)
Ils sont drôles les présentateurs de JT. Compte-tenu de la teneur des réponses, il est probable que les journalistes aient posé une question comme "pensez-vous que la couleur de peau d'Obama va l'empêcher d'être élu", plutôt que "pensez-vous qu'Obama va être élu", et le présentateur conclut "la couleur de peau d'Obama reste un sujet de discussion". C'est vrai quoi, ils sont bêtes les gens de répondrent aux questions qu'on leur pose...