Gaza : la situation humanitaire s'aggrave, la couverture médiatique diminue
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Quand je poste, c'est plutôt pour critiquer ou donner une infos, et j'imagine que je ne suis pas le seul, ce qui crée un biais où les critiques sont surreprésentées par rapport aux soutiens, donc je vais tenter d'un peu renverser la vapeur.
Premièreme(...)
Cela ne vous prive de rien du tout. Par contre, permettez-moi d'exprimer mon désaccord : il ne me semble pas, par exemple, qu'une heure d'interview (que permet le format de l'émission) du vice-président de Médecins du monde sur la situation humanitai(...)
Le problème n'est pas de critiquer la gauche, c'est de faire un article à charge et sans recul sur un simple stagiaire, sans lui donner la parole d'ailleurs.
Si l'on compare a l'article sur la femme du conseiller d'Attal, chef du service politique du (...)
Derniers commentaires
Bonjour Loris, j'ai été interpellée par votre commentaire sur la convention syntec, nous avons une entreprise familiale et des salariés, sous cette convention(on fait du dev) mais je n'ai aucune connaissance dessus, ni point de comparaison. Auriez-vous une source critique de la convention? Merci d'avance, et merci pour votre émission
Ce paradoxe n'en est plus un une fois qu'on a compris ce qui se passe : les médias français soutiennent le génocide palestinien et aident Israël à le perpétrer en faisant tout pour l'invisibiliser : mensonges, euphémisation, silence.
Je dirais bien que depuis le 7 octobre, la partialité et le "deux poids deux mesures" des médias français est flagrant, et c'est vrai. Mais en réalité, ça fait bien plus longtemps que ça !
Le problème n'est pas de critiquer la gauche, c'est de faire un article à charge et sans recul sur un simple stagiaire, sans lui donner la parole d'ailleurs.
Si l'on compare a l'article sur la femme du conseiller d'Attal, chef du service politique du Monde, beaucoup plus nuancé et qui donne la parole à la journaliste impliquée, y'a vraiment 2 poids 2 mesures....
Quand je poste, c'est plutôt pour critiquer ou donner une infos, et j'imagine que je ne suis pas le seul, ce qui crée un biais où les critiques sont surreprésentées par rapport aux soutiens, donc je vais tenter d'un peu renverser la vapeur.
Premièrement, je ne comprends vraiment pas le fait d'attaquer ce format là. Beaucoup de gens l'apprécient, sinon twitch n'existerait pas. Oui, c'est long, mais quand le but est de faire une émission avec un tchat, on donne un rendez-vous régulier plutôt que faire une émission de 20min tous les jours. Et ce "problème" est déjà réglé via les brèves de toutes façons.
Oui le tchat parle parfois de tout et de rien, mais il apporte aussi des infos pertinentes et pose des questions intéressantes. Souffrez les premiers pour avoir les seconds (ou ne regardez pas l'émission si c'est tellement insupportable, les sujets les plus importants auront toujours leur papier de toutes façons).
Quant à critiquer les médias de gauche, là encore j'apporte tout mon soutien à Loris. À gauche, on se bat pour des idées, et si un groupe (assoc, média, entreprise, parti politique…) se prétend vertueux, il sera jugé en fonction de cette prétention.
C'est la gauche qui se fait mal à elle-même en défendant l'indéfendable. C'est peut-être rentable à court terme (à défaut d'être moral), mais c'est bien la cause du désaveu de la politique d'une partie de nos concitoyens à plus long terme. Si la gauche défendait des personnes avant ses idées, alors nous ne serions pas mieux que la droite et ses "valeurs".
Ceux qui dénoncent ces "attaques entre alliés" ne sont-ils pas de ceux qui condamnent les policiers qui font blocs quand il y a une violence policière ? Soyez cohérents.
N'attaquer que "l'autre camp" et faut fi des principes et de la vérité, c'est le quotidien de l'extrême droite, et j'espère que ce ne sera jamais le cas pour la gauche (qui ne sera plus la gauche).
Proxy, pour moi, ça veut dire serveur mandataire (un truc qui permet de naviguer masqué).
Mais bref, il y a sûrement un excellente explication pour le titre de l’émission.
Mais il y a plus grave.
Voilà une émission de plus de quatre heures sur huit sujets différents (mais avec un seul titre...)
Avec en prime un écran divisé en trois (sinon quatre si l’on compte le bandeau du bas) : en haut à droite, le maître de cérémonie, au centre les images du sujet et à gauche défilent les états d’âme des spectateurs en ligne, états d’âme qui n’ont parfois que peu de rapport avec le sujet en cours.
Huit chroniques, même très courtes sur chacun des sujets, c’est inenvisageable ?
Bonjour, merci pour votre commentaire. Proxy, c'est aussi un truc qui fait le lien entre le lecteur et son contenu, un peu comme l'émission entre Arrêt sur images et les asinautes, donc (en tout cas c'est l'idée). Ensuite, concernant la suite de votre remarque : d'une, vous aurez constaté que la vidéo s'accompagne d'un contenu écrit chapitré suffisamment important pour être lu seul, et pour aller regarder le passage qui vous intéresserait plus en détail. De deux, il se trouve que les séquences de l'émission sont ensuite déclinées en brèves écrites et vidéo sur le site d'ASI, que vous pouvez lire comme autant de courtes chroniques :-) bonne journée !
Merci de votre réponse.
Permettez moi de la compléter.
De trois.
à quoi sert donc cette émission ?
pour des gens comme moi qui aiment la suivre soit en direct, soit en différé, avec le plaisir de suivre des raisonnements aux long cours non débités en chapitres (je fais mes propres coupures, selon mon propre rythme)
Je me permets de vous renvoyer à la "vie du site" publiée à son lancement., qui me semble y répondre.
Vous voulez dire au lancement de l'émission, pas à celle du site.
Mais.
Cela me prive-t-il du droit de critiquer le format de cette emission qui je pense tombe dans le panneau de vouloir faire comme les autres en privilégiant le superficiel, le pseudo-convivial et l'anecdotique ?
Parfois, le medium est le message (ça, c'est pas moi qui l'ai inventé). Pensez-y.
Cela ne vous prive de rien du tout. Par contre, permettez-moi d'exprimer mon désaccord : il ne me semble pas, par exemple, qu'une heure d'interview (que permet le format de l'émission) du vice-président de Médecins du monde sur la situation humanitaire dramatique à Gaza et les récits médiatiques français entourant cette guerre privilégie "le superficiel, le pseudo-convivial et l'anecdotique". Certes, il n'y a pas que ça… mais le découpage en séquence chapitrées vous permet précisément de ne regarder (ou lire) que ce qui vous intéresse. Bonne journée !
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