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Commentaires

Georges Buisson, l'innocent parricide

Georges Buisson n'a rien à dire, rien à offrir.

Derniers commentaires

Qu'ils aient été sachistes ou ressentistes, j'ai éprouvé un énorme malaise devant ce petit moment de télé, capté un peu au hasard de mon zapping... j'ai même culpabilisé d'avoir été témoin de ce moment pour le moins révulsant.
Mais c'est ça, la téloche ;o(

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Et encore : http://www.mediapart.fr/journal/france/110314/affaire-kadhafi-ce-que-disent-les-ecoutes-de-brice-hortefeux?onglet=full
Bonjour,

Citation :"Le voici, timide, gauche...."

Normal qu'il soit en conflit avec son père s'il est gauche :-)
Il est en tout cas toujours amusant de constater que les mêmes qui prônent la fermeté en matière de justice s'offusquent dès lors qu'elle s'intéresse à leurs agissements...
Retour exceptionnel hier soir sur Canal + et on le voit arriver.Après, c'est tout ce que vous racontez Daniel. Redoutables questionneurs, ils veulent tous dénicher ce que le fils n'a pas encore dit. Le voilà sur la sellette, comme embêté d'avoir si peu à répondre et en même temps soulagé d'avoir dit qu'il n'avait rien à voir avec tout ça .Séquence inutile ,comme toujours chez canal+ et qui laisse un arrière goût de ne pas y revenir.
[quote=Daniel Schneidermann]De Caunes, Aphatie, Jouan, Rissouli, se le disputent, comme des chacals une antilope.

Piège de l'emportement ou courage de la vérité? La com(me)paraison à des chacals des quatre journalistes ci-dessus nommés suscite l'interrogation. Est-il justifié de donner à comprendre qu'il entre dans le comportement des journalistes une part essentielle de jouissive cruauté, publiquement exercée et partagée? Ou bien faut-il considérer qu'en l'occurrence comparaison n'est vraiment pas raison?

Freud, comme on sait, recommandait et se félicitait lui-même d'"appeler un chat un chat". Sans remarquer toutefois qu'en l'espèce il métaphoreuphémisait en appellation de "chat" ce qui est bien autre chose qu'un chat. Daniel Schneidermann n'aurait-il pas fait l'inverse: diaboliser en "chacals" de simples professionnels de l'information?

Interrogation toutefois n'étant pas incrimination, il faut laisser en suspens la question.
Toujours pas d'avis sur les intermittents et sur la fragilité des structures culturelles ?
Je persiste mais il y a plein de trucs à gratter, j'en suis sûre :
- L'aspect "politique et économie générale"
> Comment ça marche le statut intermittent ? Combien ça coûte vraiment ? Comme personne n'y comprend rien mais que tout le monde a un avis, on a un tas de n'importe quoi et ça peut être pas mal d'y voire plus claire.
> Qui abusent du statut ? On dit beaucoup que la "permittence" est monnaie courante dans la télévision (des techniciens permanents qui se servent des statuts en accord avec la chaîne qui les embauchent et qui leur versent des cachets pour obtenir un effet levier sur leurs gains), est-ce que c'est vrai ou une légende urbaine ?
> Pourquoi le medef pointe du doigt les annexes 8 et 10 du régime général qui régissent le régime particulier des intermittents du spectacle ? Quel intérêt ? Diviser pour mieux régner ?
> Quelle est la position "officielle" et "moins officielle" des ministères de la culture et du travail ?
> Plutôt qu'une suppression pure et simple des annexes, ne peut on pas faire évoluer les statuts?
> La baisse des budgets de 20%, quelle conséquence ? La culture, ça coûte cher et ça rapporte rien ? Sans subventions, quels autres modèles économiques ?
- L'aspect "médiatique"
> Comment certains médias, notamment papiers, donne leurs avis mais n'y connaissent rien ?
> Comment la lutte s'organise en face par la force des arguments (voir les vidéos "Ripostes" de Mathieu Grégoire, les pages de soutien sur Facebook, réponses pédagogiques aux commentaires agréssifs sous certains articles de presse, prise de paroles avant les spectacles...).
> Focaliser le débat sur le statut des intermittents n'est-il pas un moyen de faire "écran de fumée" et de nous détourner d'autres problèmes (sans argent, même si le statut est maintenu, il n'y aura plus d'intermittents) ?
> Aurélie Filipetti est quand même venu au Grand Journal la veille des manifestations du 27/2 pour parler d'une pseudo polémique d'une exposition sur les paparazzis (vous en avez parlé) et pas un mot (ou presque) sur le mouvement de contestation. Pourquoi cette discrétion ?
- L'aspect "philosophique"
> La culture, est-ce que ça sert vraiment à rien ? Peut-on souhaiter une société sans arts ?
> Les subventions publiques favorisent-elles une culture "officielle"? Est-ce le rôle des pouvoirs publics que de soutenir la culture ? Peut-on imaginer un soutien non intéréssé ?
...
C'est promis j'arrête de faire une fixette là-dessus. Je trouve juste étrange qu'@si ne s'est pas encore emparé de ce sujet.
Mamère a dit :

"Le « Buissonisme » n’est en fait que la face cachée du pouvoir personnel. Paradoxalement, les citoyens sont attachés charnellement à ce système. Ils pensent qu’il détermine la politique de la France durant cinq ans.

En fait, ils délèguent sans rémission leur pouvoir à un groupe suffisamment habile pour l’accaparer et faire fructifier ses affaires. Tant que nous n’aurons pas rompu avec cette logique, les Buisson and co continueront à conseiller le Prince en jouant Nos vies à la roulette russe."


La suite dans http://m.rue89.com/#/note/232492

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Merci Daniel de cette belle leçon de journalisme... De toute manière, même si le "non-événement" avait produit un effet positif, il aurait été immédiatement dénié par la partie adverse.
De rien, c'est gratuit.
moi je lui aurais demandé où est le vol MH370
Après ce non-évènement, après cette non-information, après ce " rien ", il ne lui restait qu'à partir " parricide la sortie "

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