Grève à La Tribune : des salariés dénoncent la fin du "poil à gratter"
C’est une grève passée inaperçue mais une grève quand même. Jeudi 23 février, une partie des salariés du journal économique La Tribune ont tenu à manifester leur désaccord sur le nouveau projet éditorial et notamment sur la suppression du service macroéconomique, décidée depuis l’arrivée du nouvel actionnaire Franck Julien, PDG du groupe industriel Atalian. Les grévistes ont expliqué les raisons de leur mécontentement dans un communiqué publié sur le site Acrimed… mais que l’actionnaire Jean-Christophe Tortora a refusé de diffuser dans les pages de La Tribune.
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Derniers commentaires
Extrait : "Paradoxal Tom Enders. Lui qui ne jure que par une économie libérale totale, il appelle aujourd'hui à l'aide les State alors qu'il a tout fait pour les écarter de la gouvernance du groupe. En quelque sorte, il souhaite la nationalisation d'une partie des pertes du programme A400M qu'il n'a pas su gérer, les profits étant en revanche partagés par les actionnaires."
Ca commence à bien faire nos si brillants dirigeants d'entreprises qui ne connaissent l'Etat que pour réparer leur conneries tout en gavant les actionnaires.
Après Tapie, Messier et Vivendi, Anne Lauvergeon et Areva, EDF sorti du CAC40, la crise des subprimes, ce qui est arrivé à l'industrie automobile américaine etc., faudrait faire un palmarès de tous ces "champions" pour le prochain qui sortirait qu'ils méritent bien leurs salaires.
Le Monde s'invente un virginité décodeuse façon "néo libéral avancé", et La Tribune jette aux orties ce pseudo froc intello qui pèse si lourd aux épaules de son propriétaire.
Et noublions pas la presse Lagardère, la presse Bolloré, la presse à Truc, celle à Machin, ...
Mais qui donc à un jour parlé d'infrastrucure et de superstructure ?