"Ils sont où les patrons qui défendent la réforme des retraites ?"
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Fnalement, meme vous, vous donnez assez peu la parole à Dominique Meda
Donc, au final, on a attendu les 10 dernières minutes de l'émission pour entendre enfin Dominique Meda, expliquer très rapidement qu'on ne lui avait pas laissé la parole sur BFMTV... Et encore une fois, elle n'a pas pu parler du travail, sujet centra(...)
En effet l'émission aurait été vraiment meilleure si elle avait laissé plus de place à D. Meda. Belle mise en abîme, c'en était gênant... Avec une petite dose de mansplaining pour conclure ("il faut savoir s'imposer"), magnifique.
Derniers commentaires
Moi ce qui m'intéresse c'est de savoir c'est si l'accueil a bras ouvert des réfugiés ukrainiens est une construction médiatique. Parce que si c'est le cas alors on peut effectivement espérer pouvoir changer les choses en allant débattre dans les médias, tenir un discours humaniste et générer de l'empathie pour les migrants d'Afrique. Dans le cas contraire nos pays sont profondément racistes et il n'y a pas grand chose a esperer , le problème ca n'est pas le migrant mais sa couleur et sa religion.
Le fait que la turquie tente sans succès de rentrer dans l 'UE dont elle est candidate officielle depuis 1987 me laisse a penser que nos politiques ont eux aussi quelques biais raciaux sur les bords. On peut toujours trouver de bonnes excuses pour ne pas accepter un pays, mais au bout d'un moment ça finit par se voir, la au grand soulagement des diplomates qui commençaient à ramer l'arrivée d'Erdogan a permis d'enterrer le projet pour debon.
quelbdommage de ne pas entendre davant
Depuis l'autre jour je voulais poster ça qq part (clic droit) :
https://twitter.com/caissesdegreve/status/1632697645826207745
Et tiens ça aussi :
https://twitter.com/realmarcel1/status/1633948753957666817
Non on ne donne pas la plus la parole à l'alter-éco dans les grands médias. Il ne faut pas se laisser piéger par le phénomène qu'est la réforme des retraites. Les plateaux redeviendront bien vite "business as usual".
Par contre la discussion avec vos invités en plateau m'interroge sur la nécessité urgente d'une solution de media training à gauche, car il me semble bien que les intervenants de droite sont bien mieux préparés à cela.
Je m'étonne toujours de l'indulgence policière envers les "black blocs". Le 7 mars, j'en ai vu lancer des pétards assourdissants sur la police. Aucune arrestation. Le 16 février, je les ai vu cramer une bagnole en amont du cortège pour l'empêcher d'avancer. C'est quoi, leur but, en fait ? De quel côté sont-ils ? Pour moi, ils ont toujours ressemblé à des supplétifs de la police, et rien n'a jamais démenti cette impression.
Si vous souhaitez écouter davantage Dominique Méda, la Nupes organise un Webinaire avec pour thème "Redonner du sens, de la valeur, du pouvoir au travail"
On finit l'emission sur un magnifique exemple de mansplaining!
Les 18 première minutes sont très pénibles : journaliste peu mesurée voire agressive, et totalement hors sujet. Voyons si la suite s'améliore... car je ne vais pas tenir une heure à ce rythme
C'est moi ou l'intitulé de l'émission (les patrons qui défendent la réforme...) n'a pas été traité ? Un plateau Méda/Zemmour sans Croissandeau l'aurait peur-être autorisé...
Le faux cul de CROISSANDEAU m insupporte toujours autant . Souvenez vous de lui a l obs , comme il a fait virer AUDE LANCELIN.
Lire le MONDE LIBRE d A. LANCELIN
Dommage, elle aurait pu être bien cette émission, sans Nassira qui se la joue guerrière et Dominique encore et toujours respectueuse" avec le sourire".
Je reprend mon précédent commentaire.
Finalement, vous vous êtes un peu - mais très peu - rattrapée sur la fin en donnant la parole à Mme Meda sur la question du travail (mais si peu...).
En revanche, a été confirmée la brillante absence d'idées ou de réflexion du représentant de BFMTV concernant le travail et... le vrai/faux sujet de l'émission : "ils sont où les patrons..." etc.
Cela dit, vous ne me ferez pas croire que vous ignorer la distinction entre économistes orthodoxes et hétérodoxes pour le traitement d'un sujet/objet de réflexion.
Et je suis assez d'accord avec Griffouille : "Fnalement, meme vous, vous donnez assez peu la parole à Dominique Meda "
Puis-je vous rappeler le titre de l'émission : "Ils sont où les patrons qui défendent la réforme des retraites ?"
Oui, ils sont où?
Cela fait presque 1/2 heure, et vous êtes toujours en train de déblatérer sur des images de chaînes d'info qui n'ont rien à voir avec le sujet !
Non mais, franchement, vous vous moquez de moi ou quoi !
Le sujet proposé était pourtant très intéressant à développer.
bon, je retourne à l'émission, au cas où il le serait, on ne sait jamais...
J'ai dû couper mon visionnage au bout de 5mn parce que le débit et le volume de la présentatrice sont beaucoup trop élevés, ça donne une impression d"agressivité" envers les invités, c'est dommage
Bonjour,
très bonne émission, merci.
Un léger bémol. Le parti pris de Nassira El Moaddem (ou du moins le parti pris que j'entrevois) contre BFMTV est un peu trop évident. Matthieu Croissandeau accepte l'invitation, il est évident que les zones d'accords seront minces mais je trouve qu'il s'en prend tellement plein la musette au nom de BFMTV que ça en devient agaçant.
Bien à vous,
Abe.
D'accord avec plusieurs commentaires précédents, vraiment dommage de ne pas entendre plus D. Meda. La parole est de plus beaucoup laissée à M. Croissandeau qui ne fait pas franchement de travail critique sur les chaines d'info et il faut attendre que M. Zemmour rappelle que les journalistes ne s'appuient que sur les dossiers de presse du gouvernement pour que ça devienne intéressant !
Merci sinon à D. Meda d'aller sur la place des femmes dans le petit temps où elle a la parole.
Obligées d'être réduites à "être respectueuse" ou "une guerrière", à nouveau aux femmes de se faire leur place, elles n'ont qu'à "s'affirmer"... au lieu de se remettre en question côté journalistes, ne pas inviter D. Meda parce qu'elle est une femme, mais parce qu'elle a peut-être des choses à dire, réfléchir aux personnes qui sont invitées, à la manière de distribuer la parole, d'organiser le plateau, etc.
Je sais que ce n'était pas le sujet de cette émission, qui se voulait (à juste titre) anglée média. Mais frustrée de ne pas entendre plus ces invité.es très pertinent.es parler aussi du fond : à nouveau de cette réforme des retraites (ou du chômage, puisque M. Zemmour en serait aussi spécialiste, alors qu'il est encore dit dans les médias que la baisse du chômage serait due aux baisses d'impots de Macron), D. Meda sur le travail ou une parole telle que celle de B. Friot (voir par exemple ce débat avec aussi M. Zemmour, même s'il pourrait y avoir plus de débat...).
j'ai pas regardé jusqu'au bout. C'est l' "effet caroline Roux": je supporte plus l'expression "on y reviendra" ni la parole coupée; ça me donne des boutons.
Très bonne émission, à part le malheureux effet de mise en abyme : Dominique Méda, et la question du travail, à nouveau un peu réduites à la portion congrue. L'émission reproduit ce qu'elle dénonce ...
Je mets, pour ma part, un autre bémol sur le cadrage visuel de l'émission, un peu frustrant : Nassira El Moademm apparaît toujours en plan resserré, il n'y a jamais de plan général sur l'animatrice et ses invités, c'est un peu étouffant pour le téléspectateur.
Sinon j'ai beaucoup aimé le questionnement, en forme de recueil de confession (à la Léa Salamé), de Nassira E.M. à Michaël Zemmour au sujet de son hyperprésence ces derniers jours sur les plateaux télés : qu'y gagnez-vous ? qu'y perdez-vous ?
Et j'ai encore plus aimé les réponses de l'universitaire : aucune repentance, mais l'expression renouvelée de sa foi dans le savoir et de sa volonté de le partager !
Merci Michaël Zemmour d'être à nouveau venu sur un plateau télé !
Il y a au moins un journaliste intelligent sur BFM.
Pour une fois que cette chaîne nous surprend on devrait s'en réjouir non ?
Manifestement Nassira El Moaddem n'est pas du même avis.
J'écouterais cette émission plus tard
j'ai encore dans les pieds et les hanches la fatigue d'avoir marché sur les pavés
et le désespoir de voir que nous n'étions que 5000 ou 6000 à Strasbourg
et la nausée de voir tous ces gens sur le passage de la manifestation en train de vaquer à leurs emplettes de bons consuméristes, jeunes comme vieux, accompagnés de l'animal de compagnie
Raz le bol. La prochaine manif, je demande pour eux la retraite à 75 ans, qu'ils s'étiolent au service du CAC-40
Il a raison macron, le mafieux, borne, l'expert comptable juste bonne à vider les âmes, et dussops le génie incapable de comprendre la moindre règle de mathématique
Et pendant ce temps le milliardaire rishi sunak serrait la pince du major d'homme des milliardaires, emmanuel macron
En effet l'émission aurait été vraiment meilleure si elle avait laissé plus de place à D. Meda. Belle mise en abîme, c'en était gênant... Avec une petite dose de mansplaining pour conclure ("il faut savoir s'imposer"), magnifique.
Donc, au final, on a attendu les 10 dernières minutes de l'émission pour entendre enfin Dominique Meda, expliquer très rapidement qu'on ne lui avait pas laissé la parole sur BFMTV... Et encore une fois, elle n'a pas pu parler du travail, sujet central pourtant.
Emission frustrante, Nassira El Moaddem coupe beaucoup trop la parole, ne laisse pas les invités dérouler leur pensée, et avec beaucoup de redites (par exemple, vers la fin, on revient sur la place de Michael Zemmour dans les médias...). Tout le début de l'émission sur BFMTV était vraiment ennuyeux, déjà vu...
Proposition : ré- invitez Dominique Meda (si elle accepte de revenir ;-), pour parler de la crise du travail !
Merci Nassira pour cette belle émission, et courage à Dominique Meda. Oui je crois qu'il faut s'imposer... et il y a des techniques pour ça. Quitte à gêner la journaliste femme qui ne fait pas son boulot.
Une parmi d'autres : le haka. Les femmes néo-zélandaises le pratiquent tout autant que les hommes. Cela fait un bien fou, que l'on doive aller en plateau ou pas.
Et je me demande s'il n'y aurait pas eu moyen, entre les deux hommes, de taper des poings sur la table, tout simplement. Un geste masculin, pas d'hystérie "féminine". Et une parole décisive, une colère froide, surtout pas chaude. Avant de conclure avec le sourire, en effet... In Rome, do what the Romans do...
Pas très facile à dire, et très difficile à faire...Le respect que ce mec inspire , meme aux prétentieux , aux arrogants , impressionnant !
Les patrons ne sont pas là pour défendre cette réforme car elle leur complique le travail.
Leur gestion de RH est déjà difficile.
Ils ont du mal à recruter et à fidéliser leurs salariés. Beaucoup s'en vont rapidement, d'où des pertes en terme de formation. C'est l'effet boomerang du discours sur la mobilité. Cela a dépassé les espérances de ses promoteurs néolibéraux.
D'une autre côté, la réforme leur impose de garder celles et ceux qu'ils ne veulent plus à partir de 55 ans, parce qu'ils leur coûtent trop cher en salaire.
Un coût qui va augmenter puisque le nombre des accidents du travail s'élève en nombre et en gravité avec l'âge.
Les patrons seront donc confrontés à l'augmentation du risque de poursuites et de demandes de dédommagement, que les assurances estiment à 10 milliards.
Ce qui va poser un problème pour trouver qui peut supporter une augmentation de cotisation dans un pays où les salaires sont bas pour satisfaire l'actionnariat.
Sachant que la sinistralité salariale est dejà en forte augmentation.
Le nombre d'inactifs en France pour cause d'invalidité ou maladie entre 2010 et 2019 est passé de 0,2% à 4,3% selon une étude (tableau 1 page 6) .
Les profits se font déjà sur le dos de travailleurs qu'on casse et qui sont ainsi placés dans une situation qui leur interdit d'espérer parvenir à une carrière complète.
La réforme qu'impose Macron ne vise donc qu'à des économies à court terme des comptes sociaux. Sans rapport avec l'attente des salariés et des patrons. Au mépris de leur santé, de leur sécurité et de leurs retraites.
Comme d'habitude, déconnecté des réalités, Macron raisonne dans le vide, comme un tambour.
Sa politique se résume à un tableur excell et des situations comptables intermédiaires quotidiennes.
Un geek de chez Microsoft .
Un immature comme Bezos, Musk, Gates, Zuckerberg qui ne se sont pas fait tout seul.
Des produits marketing, comme Macron et Sarkozy le sont en politique. Ils reposent sur du vent et font du vent. Des baratineurs.
nb : je vote pour cette émission
Une question qu'on aurait pu poser à Michael Zemmour, c'est pourquoi n'est-il pas allé sur CNEWS
Fnalement, meme vous, vous donnez assez peu la parole à Dominique Meda
par contre, il commence à y avoir des (petits) patrons qui s'opposent à la réforme des retraites...
Superbe emission , Zemour président!
Bravo Nassira El Moaddem. Beau plateau, belle émission. Merci
Sempiternelle question, faut il aller sur sur les chaines mainstreams (avec ses codes pourris) pour donner le change a des carnassiers qui jouissent des joutes superfétatoires. La réponse est simple, NON !