"Ma vie professionnelle personnelle."  

Une imbécilité qui n'a jamais aussi bien résumé la situation (mais Achilli est bien trop stupide pour s'apercevoir qu'il titre sur sa propre ambulance), et ce en deux points :

1.) Vider les mots de leurs sen(...)

Si on licencie tous les journalistes qui promeuvent les idées d’extrême droite dans les médias, ça va faire un sacré vide.

"Mon crime ? Avoir dénoncé dans un livre les dérives du wokisme qui sévit dans le monde politique comme dans celui des médias, de l'éducation ou de la culture, se révolte-t-elle. Celui de Jean-François Achilli est d'avoir osé envisager, avant d'en ab(...)

Arguer en défense aux Prud’hommes d’une “activité d'auteur d'œuvres littéraires, scientifiques ou artistiques” pour justifier qu’il n’avait pas à informer sa direction, serait avouer publiquement l’intention d’auteur ou collaborateur à l’écriture de Mr Achilli, et démonterait par la même occasion la défense médiatique de Madame et de certains journalistes. À mon avis la cause est perdue pour Mr Achilli aux Prud’hommes…

" Un livre, d'entretiens ou non, avec un responsable politique en exercice, relève-t-il de ces autres activités ou d'une œuvre littéraire ? " 

Une interview politique est difficilement assimilable à une création littéraire. A moins de considérer la politique comme une fiction détachée du réel et n’ayant aucune obligation de bonne foi vis-à-vis de l’électorat. 

C’est peut-être la question de fond que soulève l’affaire Achilli et qui embarrasse celles et ceux qui le défendent ; parce que ce sont les premiers à s’exonérer d’un quelconque respect du public et de la réalité ? Et que le licenciement d’Achilli est un fâcheux précédent qui les inquiète ; parce qu’il les menace directement s’il faisait jurisprudence. 

C’est ainsi que peut se comprendre cette contre-attaque des achiléens. Rendez-vous compte de leur panique à s’imaginer que la bonne foi puisse risquer de devenir une obligation professionnelle du journalisme. 

Une angoisse pour les m’as-tu-vu bavards qui prétendent faire l’actualité comme ils le veulent et non comme elle est. 

Achilli n’est qu’un épiphénomène d’une situation qui le dépasse et va au-delà de sa personne. Ils et elles ne le défendent pas. Ils et elles défendent d’abord leur propre situation, leur commerce. Ce n’est qu’une solidarité de façade totalement égoïste qui se moqué de la profession comme du public, voir d’Achilli. 

On ne peut que remercier Achilli d’avoir contribué à rendre visible, par la mobilisation qu’il suscite et les méthodes employées,   l’importance et la force de cette inertie de la médiocrité qui plombe et met un couvercle sur l’information. 

Le Monde et Libé n’ont fait que révéler quelques éléments d’une situation qu’il reste possible de vérifier en réécoutant les informés de France info. La matinale de France inter est pas mal aussi dans le même genre. Non ?

Bientôt dans un média Bolloré... C'est une bonne chose, ces médias sont en train de devenir un marigot fascisant facile à repérer et donc facile à éviter pour ceux qui le veulent. Les fascistes y parleront aux fascistes, et ça, finalement, c'est bien moins grave que s'ils parlaient à tout le monde. Plus il y aura de Bock-Coté ou d'Achilli qui les rejoindront, plus le stigmate sera visible.

Le plus drôle c'est finalement la déclaration de la SDJ de FranceInfo : "si les faits ... étaient avérés, ... ce serait un manquement grave .. qui pourrait ternir la réputation d'impartialité de la rédaction de Franceinfo."

Parce que ces gens là pensent sincèrement que France Info est impartiale ! C'est une blague ! 

Il faut arrêter avec le mythe du journalisme objectif.

Que des "journalistes référent-e-s" pour le défendre,Val,Praud,Pujadas,Elkrief,il manque que Gisbert,que du beau monde du Paris sulfureux médiatique,vu de la profonde province.

M Chloé Morin n'est t'elle pas issue de la fondation Jean Jaurès,comme beaucoup d'autres,d'ailleurs.

"mais on retiendra que Jean-François Achilli est un «fasciste», et que sa carrière est finie " dixit Mme Morin... Qu'elle se rassure, il n'aura sans doute aucun mal à se recaser sur un des médias de Bolloré.

Chloé qui défend Jean-François, Raphaël Enthoven (compagnon de la directrice de France Inter) qui fournit de nouvelles raisons de virer Guillaume Meurice, sans que personne n'y trouve à redire...

L'entre soi, le mélange des genres, les conflits d'intérêt... tout est permis !

Radio France n'a pas toujours été aussi sourcilleuse sur la question des ménages (qui touche régulièrement des membres de la maison ronde).

Espérons que la dure loi qui vient sur le chômage ne va pas trop affecter  JF Achilli. Trop d'exaspération risquerait d'en faire un électeur du RN. 

Le futur livre de Bardella, littéraire, scientifique ou artistique, :-) la question est en suspens. 

"seules les opinions (...) ont compté mais non les faits..."

Oui, c'est la plaie de l'époque.

Cet article est d'utilité publique. Je vote pour qu'il soit mis en accès libre.

"impartialité de la rédaction de Franceinfo "'
Rien que ça, hein....
lol quoi !

Sait-on si Chloé se revendique encore de gauche à ce jour ? Parce que faut lui dire que les journaux qui lui donnent la parole sans contradictions et dans lesquels elle a des alliés, ils sont bien de droite et réac tout de même.

Je ne m’inquiète pas pour ce pauvre travailleur privé d’emploi suite à un licenciement : il va pouvoir faire prospérer sa société, et même pouvoir se recaser un de ces jours (après avoir probablement été naviguer sur CNews ou Europe 1) dans la future ORTF que nous prépare le gouvernement…

Si on licencie tous les journalistes qui promeuvent les idées d’extrême droite dans les médias, ça va faire un sacré vide.

"Ma vie professionnelle personnelle."  

Une imbécilité qui n'a jamais aussi bien résumé la situation (mais Achilli est bien trop stupide pour s'apercevoir qu'il titre sur sa propre ambulance), et ce en deux points :

1.) Vider les mots de leurs sens, en ce sens Achilli contribue à la bataille culturelle de l'extreme centre, de la droite et de l'extrême droite.

2.) La vision du journalisme (d'Achilli et consorts) se résume a l'entreprenariat de sa petite personne.  

Cas d'école de ce qu'il y a de plus pourri dans le journalisme - mais peut-on encore (dans ce genre de cas) parler décement de journalisme ?

Quoiqu'il en soit, sieur Achilli peut compter sur la complaisance des médias qui concidèrent qu'inviter la "femme de" (ou le "mari de") - pour défendre le mis en cause - présente un quelconque interrêt journalistique. Toutes mes félicitations à Quotidien, dont l'état-major de l'émission se targuait (devant la comission d'enquête parlementaire) de ne jamais inviter/donner la parole à l'extrême droite, de près ou de loin.

"Mon crime ? Avoir dénoncé dans un livre les dérives du wokisme qui sévit dans le monde politique comme dans celui des médias, de l'éducation ou de la culture, se révolte-t-elle. Celui de Jean-François Achilli est d'avoir osé envisager, avant d'en abandonner l'idée, un livre d'entretiens avec le leader du Rassemblement national." 

Un crime? C'est quoi cette société où les gens qui émettent une opinion sont jugés aux assises enfin!!! Cette dame et son mari risquent plus de 20 ans de réclusions pour ça? c'est terrible...

Alors que nous sachons toutes et tous que le wokisme à la française est LA plaie de notre société! Mais ces gens là, on veut les faire taire et même si elle est invitée sur tous les plateaux, on voit bien qu'elle dérange parce qu'elle dit la vérité, la vraie!

Mettons de côté le fait que M. Achilli soit licencié pour ne pas avoir respecté le règlement intérieur et les règles de déontologie de son média employeur, c'est un détail... Qui pourrait lui en vouloir d'avoir pensé à faire un "livre d'entretien qu'est pas un livre d'entretien mais qui aurait pu l'être" avec le premier parti raciste de France? C'est son droit de promouvoir des idées xénonphobes en les normalisant enfin!

En vrai, on ne peut plus rien dire...