Journalistes : mourir pour l'environnement
Depuis novembre 2015, dix journalistes ont été tués en Asie et en Amérique du Sud parce qu'ils travaillaient sur des sujets environnementaux. En Inde, enquêter sur les "mafias des sables" est très risqué. Et de manière générale, même en France, les écueils pour les journalistes environnementaux se multiplient.
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Commentaires préférés des abonnés
Qu'ASI surfe sur cette la vague me va bien.
On peut parfois oublier que c'est l'une des professions les plus courageuses qui soit.
Petite correction, le Mexique faite partie de l'Amérique Latine mais est en Amérique du Nord contrairement à ce qui est dit dans l'article.
Derniers commentaires
Très bon article et sujet trop peu couvert. Merci
Petite correction, le Mexique faite partie de l'Amérique Latine mais est en Amérique du Nord contrairement à ce qui est dit dans l'article.
On peut parfois oublier que c'est l'une des professions les plus courageuses qui soit.
Ils meurent pour leur métier et la vérité comme beaucoup d'autres journalistes. le journalisme d'investigation des pratiques industrielles et de la corruption institutionnelle qui en decoule ca n'est pas nouveau, c'est le reestampillage "environnement" qui l'est, c'est dans l'air du temps et @si surf sur la vague.